Stanley Kramer (1913-2001)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Stanley Kramer (1913-2001)
Producteur et réalisateur américain (1913-2001)
Avant d'aborder sa carrière de réalisateur producteur, il produisit entre autres, Champion (Mark Robson, 1949) High Monn (Le Train sifflera trois fois, 1952), Caine Mutiny (Ouragan sur le caine, 1954) etc....
Il aborda la réalisation en 56 par Not as A Stranger avec Robert Mitchum, Gloria Grahame, mélodrame médical. L'année suivante Gary Grant, Frank Sinatra et Sophia Loren s'affrontaient dans The Pride and The Passion (Orgueil et Passion, 1957), puis en 58, il enchaînait Sidney Poitier et Tony Curtis dans La Chaîne, film antiraciste.
Mais son plus grand film abordait le phénomène nazi dans Jugement à Nuremberg (1962), véritable film coup de poing et bénéficiant d'une distribution hors pairs, Spencer Tracy, Marlène Dietrich, Judy Garland, Burt Lancaster, Montgomery Clift, Richard Widmark et Maximillien Schell.
Actuellement, le dvd lui fait honneur puisque 3 films vous sont proposés:
ZONE 2
ZONE 2
Autres films :
Un Monde fou, fou, fou, fou 1963. (bourré de gags féroces, j'adore )
Devine qui vient diner, 1967.
La Théorie des dominos, 1976 (film sur la manipulation des individus)
Que pensez-vous de ce réalisateur
Avant d'aborder sa carrière de réalisateur producteur, il produisit entre autres, Champion (Mark Robson, 1949) High Monn (Le Train sifflera trois fois, 1952), Caine Mutiny (Ouragan sur le caine, 1954) etc....
Il aborda la réalisation en 56 par Not as A Stranger avec Robert Mitchum, Gloria Grahame, mélodrame médical. L'année suivante Gary Grant, Frank Sinatra et Sophia Loren s'affrontaient dans The Pride and The Passion (Orgueil et Passion, 1957), puis en 58, il enchaînait Sidney Poitier et Tony Curtis dans La Chaîne, film antiraciste.
Mais son plus grand film abordait le phénomène nazi dans Jugement à Nuremberg (1962), véritable film coup de poing et bénéficiant d'une distribution hors pairs, Spencer Tracy, Marlène Dietrich, Judy Garland, Burt Lancaster, Montgomery Clift, Richard Widmark et Maximillien Schell.
Actuellement, le dvd lui fait honneur puisque 3 films vous sont proposés:
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Autres films :
Un Monde fou, fou, fou, fou 1963. (bourré de gags féroces, j'adore )
Devine qui vient diner, 1967.
La Théorie des dominos, 1976 (film sur la manipulation des individus)
Que pensez-vous de ce réalisateur
Je le considère bien plus comme un grand producteur (pour lui-même et d'autres) que comme un grand cinéaste. Mais cela ne m'empêche pas d'aimer la plupart de ses films.
Stanley Kramer était surtout un homme avide de défendre régulièrement des idées humanistes dans ses productions, et rien que pour cela il a tout mon respect.
Stanley Kramer était surtout un homme avide de défendre régulièrement des idées humanistes dans ses productions, et rien que pour cela il a tout mon respect.
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on pourrait meme dire que cet episode existe car quand Jerry et Georges vont à Hollywood pour vendre leur idée d'une serie sur rien, il y a un episode ou on voit des acteurs censés jouer leurs roles, et celui qui fait Kramer est aussi drole que le vraiBartlebooth a écrit :Ça fait rêver. Tu imagines le jeu de jambes durant leur affrontement ? J'en ris rien que d'y penser.Alex a écrit :Je suis très déçu d'apprendre que ce n'est pas lui qui a réalisé Kramer contre Kramer.
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Lord Henry a écrit :Entre Not as a Stranger, The Pride and the Passion, Guess Who's Coming to Dinner, The Secret of Santa Vittoria, Oklahoma Crude et The Domino Principle, le moins que l'on puisse dire c'est qu'il ny a pas matière à s'extasier.
Certes !!! Mais la chaîne, Jugement à Nuremberg portent à reflexion.
- Alphonse Tram
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Un coffret regroupant 5 films de ce réalisateur va bientôt sortir en zone 1.
http://www.dvdtimes.co.uk/content.php?contentid=65515
(en passant : comparaison beaver de Guess who's...)
Je ne connais pas ce réalisateur.
Si vous aviez un top réalisateur à faire, quel serait-il ?
http://www.dvdtimes.co.uk/content.php?contentid=65515
(en passant : comparaison beaver de Guess who's...)
Je ne connais pas ce réalisateur.
Si vous aviez un top réalisateur à faire, quel serait-il ?
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Notez les films de mars 2008
Devine qui vient dîner de Stanley Kramer
Etats Unis de la fin des 60's, une jeune fille blanche vient présenter son fiancé noir à ses parents. Si le film était novateur à l'époque pour son progressisme, il faut bien reconnaitre ques certains aspect ont vieillis et qu'il y a de grosse facilités. Le personnage de Sydney Poitier docteur brillant et parfait sous tout rapport est bien plus simple à accepter et ont devine bien que les parents progressiste finiront par accepter malgré leurs réticences. La description de l'amérique des 60's bien flower power date aussi pas mal le film. Malgré tout ça se laisse encore toujours largement regarder grâce au dialogues brillant (le dernier speach de Spencer Tracy magnifique) et aux brillantes prestations des acteurs qui ont tous leurs grand moments (beau monologue de la mère de Poitier). Sydney Poitiers est vraiment brillant et le vieux couple Spencer Tracy/ Katherine Hepburn fait toujours des étincelles. Le personnage du prêtre fredonnant du Beatles est des plus sympathique. Idée interessante aussi que le plus réticent du lot jusqu'au bout soit le père de Poitier (le personnage de la servante est par contre très cliché). 4/6
Etats Unis de la fin des 60's, une jeune fille blanche vient présenter son fiancé noir à ses parents. Si le film était novateur à l'époque pour son progressisme, il faut bien reconnaitre ques certains aspect ont vieillis et qu'il y a de grosse facilités. Le personnage de Sydney Poitier docteur brillant et parfait sous tout rapport est bien plus simple à accepter et ont devine bien que les parents progressiste finiront par accepter malgré leurs réticences. La description de l'amérique des 60's bien flower power date aussi pas mal le film. Malgré tout ça se laisse encore toujours largement regarder grâce au dialogues brillant (le dernier speach de Spencer Tracy magnifique) et aux brillantes prestations des acteurs qui ont tous leurs grand moments (beau monologue de la mère de Poitier). Sydney Poitiers est vraiment brillant et le vieux couple Spencer Tracy/ Katherine Hepburn fait toujours des étincelles. Le personnage du prêtre fredonnant du Beatles est des plus sympathique. Idée interessante aussi que le plus réticent du lot jusqu'au bout soit le père de Poitier (le personnage de la servante est par contre très cliché). 4/6
Dernière modification par Profondo Rosso le 21 mars 08, 02:23, modifié 1 fois.