James Bond 007 : Sujet général

[Roilo Pintu]

On perd les jambes sexy d'Octopussy

[Jean-Pierre Festina]

Plus Octopussy que Dangereusement vôtre pour l'inspiration :

Spoiler (cliquez pour afficher)

Il manque Ana de Armas, mais pas qu'elle....

Spoiler (cliquez pour afficher)

Et toujours Craig qui se reboutonne la veste, le geste typique de la petite frappe videur de discothèque

[El Dadal]

En plus, Craig a l'art de toujours porter des costumes trop étriqués dans ses Bond.
Et cerise sur le gâteau, il ne porte même pas de ceinture sur cette dernière image (OK s'il a des bretelles, mais j'en doute).
Message sponsorisé par #lapolicedubongout

[Jean-Pierre Festina]

En plus, Craig a l'art de toujours porter des costumes trop étriqués dans ses Bond.

Je cautionne, c’est effectivement trop petit. Même pour sortir son flingue, il a de quoi se déchirer la couture de l’épaule.

Et cerise sur le gâteau, il ne porte même pas de ceinture sur cette dernière image (OK s'il a des bretelles, mais j'en doute).
Message sponsorisé par #lapolicedubongout

Attention, si la boutonnière du pantalon est un peu étudiée et que celui-ci tombe bien, tu peux ne pas porter de ceinture dans un costume.

[Roilo Pintu]

En plus, Craig a l'art de toujours porter des costumes trop étriqués dans ses Bond.
Et cerise sur le gâteau, il ne porte même pas de ceinture sur cette dernière image (OK s'il a des bretelles, mais j'en doute).
Message sponsorisé par #lapolicedubongout

En fait si, Craig porte des bretelles

Spoiler (cliquez pour afficher)

[Jean-Pierre Festina]

La claquasse que je m'étais pris, n'empêche ! Car il faut bien le dire, ce Bond est parfait. Les lieux d'action de toute beauté (Sardaigne, Egypte etc), les gadgets (Lotus, ascenseur rigolo etc), Stromberg et ses doigts palmés, la base Atlantis, Jaws, Barbara Bach, Caroline Munro, la partition de Marvin Hamlisch (aaah ce Bond 77 bien disco)...

C'est marrant, il me vient la même accumulation quand je parle de mes Bond préférés, L'espion qui m'aimait en tête. Et pour Opération Tonnerre que tu évoques après, je pense tout de suite à la piscine aux requins, les Bahamas, le cigare à oxygène, les plans sous-marins, le traître électrocuté sur son fauteuil au début, etc. Le film est un peu long, un peu chargé en folklorisme, mais les plans marins comme l'amerrissage de l'avion détourné ou les séquences de faune aquatique sont hypnotiques.

Quand je compare l'aspect solaire et ingénu de tels films, je me dis que c'est pas avec le James Bond du XXIe siècle qu'on aurait pu avoir ça. Daniel Craig avait tout pour être un Bond fabuleux, comme on l'aperçoit dans Casino Royale, mais le personnage que ses traits burinés ont inspiré aux scénaristes est devenu catastrophique... Livré tout entier à un lourd appareil émotionnel, le Bond de Craig est une espèce de trou noir qui subvertit tout ce qu'il touche : le luxe devient cynisme, le rire devient grincement de dents, la classe - du moins, l'élégance ostentatoire mais encore contenue dans des bornes acceptables- devient tenue d'entretien pro ; quant aux Bond girls, l'essentiel de leur message tient en une phrase-mantra : "je suis une femme et j'existe, compris ringard ?"
Autre chose : le Bond de Roger Moore n'a pas de mémoire (à peine s'il tique un peu quand Barbara Bach évoque son ancienne femme) et surtout n'a pas de remords et n'a pas d'inconscient ! Il a bien mieux que cela : il est anglais. Et cela suffit à tout, comme nous le signifie le malicieux Ian Fleming.

[Edouard]

Et toujours Craig qui se reboutonne la veste, le geste typique de la petite frappe videur de discothèque

Pour moi c'est logique vu qu'il sort de sa magnifique V8 Vantage et qu'il vient donc de conduire. Assis, il convient de déboutonner sa veste de costume tant pour des raisons esthétiques (éviter d'avoir des plis sur la veste et avoir l'air engoncé) que pratiques (éviter que cela "tire" sur le bouton de la veste) ; pour conduire, le plus pratique est même de retirer sa veste mais cela serait moins cinématographique.

En plus, Craig a l'art de toujours porter des costumes trop étriqués dans ses Bond.

Je cautionne, c’est effectivement trop petit. Même pour sortir son flingue, il a de quoi se déchirer la couture de l’épaule.

Et cerise sur le gâteau, il ne porte même pas de ceinture sur cette dernière image (OK s'il a des bretelles, mais j'en doute).
Message sponsorisé par #lapolicedubongout

Attention, si la boutonnière du pantalon est un peu étudiée et que celui-ci tombe bien, tu peux ne pas porter de ceinture dans un costume.

La coupe des Tom Ford, encore plus ajustée depuis Spectre, fait effectivement débat... Les goûts et les couleurs...
En réalité, il ne porte ni ceinture ni brettelle avec ses costumes Tom Ford ces derniers disposant de side-adjusters sur les côtés au niveau de la taille


Si la garde-robe de 007 vous intéresse, je vous conseille un excellent site en la matière : https://www.bondsuits.com/

[Jean-Pierre Festina]

Et toujours Craig qui se reboutonne la veste, le geste typique de la petite frappe videur de discothèque

Pour moi c'est logique vu qu'il sort de sa magnifique V8 Vantage et qu'il vient donc de conduire. Assis, il convient de déboutonner sa veste de costume tant pour des raisons esthétiques (éviter d'avoir des plis sur la veste et avoir l'air engoncé) que pratiques (éviter que cela "tire" sur le bouton de la veste) ; pour conduire, le plus pratique est même de retirer sa veste mais cela serait moins cinématographique.

En effet, tu marques des points. Au fond c'est le cliché promotionnel que je ne cautionne pas : le seul personnage dont il me revienne un flagrant délit de reboutonnage, c'est Requin, après s'être fait virer comme un malpropre du train dans L'Espion qui m'aimait. Pas précisément la classe de Georges Abitbol (Il prend d'ailleurs une mine assez marrante, style "shocking !")

Si la garde-robe de 007 vous intéresse, je vous conseille un excellent site en la matière : https://www.bondsuits.com/

Bon, c'est l'heure d'un top !

1- Le complet flanelle gilet de Sean Connery au dernier quart de Goldfinger
2- La tenue "riviera" de Pierce Brosnan au début de Goldeneye (pantalon clair, chemise oxford bleu sombre, veste bleu clair, foulard et drivers (?) je cite de mémoire)
3- La tenue semi-formelle de Roger Moore dans L'Espion qui m'aimait (pantalon beige, chemise bleu clair, blazer marine et cravate club)
4- Le col roulé du même Moore dans Vivre et laisser mourir. (Le même que tu arbores en signature, sans doute.)
5- Moore toujours, son costard crème dans Moonraker
En fin de classement, les jabots de George Lazenby.
Dans l'ensemble je trouve que Moore s'en tirait pas mal (exprimait-il ses talents de costumier aussi librement que dans Amicalement Vôtre ? Sans doute dans une petite mesure). Si l'on abandonne les blazers croisés à boutons dorés et les pattes d'eph', ça reste très chic et totalement d'actualité.

[Rotorvator]

La claquasse que je m'étais pris, n'empêche ! Car il faut bien le dire, ce Bond est parfait. Les lieux d'action de toute beauté (Sardaigne, Egypte etc), les gadgets (Lotus, ascenseur rigolo etc), Stromberg et ses doigts palmés, la base Atlantis, Jaws, Barbara Bach, Caroline Munro, la partition de Marvin Hamlisch (aaah ce Bond 77 bien disco)...

C'est marrant, il me vient la même accumulation quand je parle de mes Bond préférés, L'espion qui m'aimait en tête. Et pour Opération Tonnerre que tu évoques après, je pense tout de suite à la piscine aux requins, les Bahamas, le cigare à oxygène, les plans sous-marins, le traître électrocuté sur son fauteuil au début, etc. Le film est un peu long, un peu chargé en folklorisme, mais les plans marins comme l'amerrissage de l'avion détourné ou les séquences de faune aquatique sont hypnotiques.

Quand je compare l'aspect solaire et ingénu de tels films, je me dis que c'est pas avec le James Bond du XXIe siècle qu'on aurait pu avoir ça. Daniel Craig avait tout pour être un Bond fabuleux, comme on l'aperçoit dans Casino Royale, mais le personnage que ses traits burinés ont inspiré aux scénaristes est devenu catastrophique... Livré tout entier à un lourd appareil émotionnel, le Bond de Craig est une espèce de trou noir qui subvertit tout ce qu'il touche : le luxe devient cynisme, le rire devient grincement de dents, la classe - du moins, l'élégance ostentatoire mais encore contenue dans des bornes acceptables- devient tenue d'entretien pro ; quant aux Bond girls, l'essentiel de leur message tient en une phrase-mantra : "je suis une femme et j'existe, compris ringard ?"
Autre chose : le Bond de Roger Moore n'a pas de mémoire (à peine s'il tique un peu quand Barbara Bach évoque son ancienne femme) et surtout n'a pas de remords et n'a pas d'inconscient ! Il a bien mieux que cela : il est anglais. Et cela suffit à tout, comme nous le signifie le malicieux Ian Fleming.

Un peu long, c'est ce que j'aurais dit pour "On Ne Vit Que Deux Fois". Un bon début, du matériau bien iconique comme il faut (les vilains, le repaire, le projet criminel) mais le récit s'enlise inextricablement pendant une bonne partie du film... Je me le suis repassé hier et mon avis n'a pas changé en plus de 30 ans. En comparaison, "Thunderball" est étincelant d'un bout à l'autre et les plans marins sont totalement sublimés par le score de John Barry. A mon gout, l'un des 3 meilleurs avec "L'espion Qui M'aimait" et "Au Service Secret De Sa Majesté".

Le problème selon moi avec la période Daniel Craig, c'est le caractère exclusivement "in your face" de l'entreprise. Je trouve intéressant d'avoir reconfiguré le personnage mais déplore l'absence (même d'une once) d'esthétisme et d'exotisme qui faisaient une bonne partie du charme de la franchise à son Zénith. Si je prends "Casino Royale", c'est bien ficelé, c'est efficace, mais ça ne fait pas rêver 5 sec...

Le Bond de Roger Moore n'a pas de mémoire, ni de remords ? J'émets une légère réserve. C'est bien lui pourtant qui tique (un peu quand même !) face à Barbara Bach, se recueille sur la tombe de sa défunte épouse, venge éventuellement ceux qu'il estime (notamment dans "Rien Que Pour Vos Yeux" et "Octopussy"). A l'inverse, t'as le Bond de Sean Connery qui fait mumuse avec l'assassin de sa femme dans "Les Diamants Sont Eternels" (un peu le comble de cet opus), joue au Ninja alors que sa dulcinée du moment est morte empoisonnée la veille au soir. Chez Connery, les morts s'enchainent dans la plus grande indifférence...

[Jean-Pierre Festina]

Un peu long, c'est ce que j'aurais dit pour "On Ne Vit Que Deux Fois". Un bon début, du matériau bien iconique comme il faut (les vilains, le repaire, le projet criminel) mais le récit s'enlise inextricablement pendant une bonne partie du film... Je me le suis repassé hier et mon avis n'a pas changé en plus de 30 ans. En comparaison, "Thunderball" est étincelant d'un bout à l'autre et les plans marins sont totalement sublimés par le score de John Barry. A mon gout, l'un des 3 meilleurs avec "L'espion Qui M'aimait" et "Au Service Secret De Sa Majesté".

Tiens, moi je suis passé de l'un à l'autre. J'ai commencé par aduler Opération Tonnerre pour sa violence et son exotisme, tout en regrettant qu'il ne prenne pas davantage exemple sur Goldfinger qui est, à mon avis, plus rythmé et avec un scénario ras la gueule. Mais je le place quand même très au-dessus de Goldfinger, pour une raison simple : dans Opération Tonnerre, Sean Connery commence à se lasser un tout petit peu du rôle et son visage n'a plus qu'une ou deux expressions... C'est le point d'équilibre bondien absolu ! A partir des Diamants, il se foutra complètement du personnage et ça ne passe plus.

Pour On ne vit que deux fois, j'y vois de mon côté la parfaite synthèse du rythme de Goldfinger et de l'exotisme d'Opération Tonnerre ; il y a juste des moments où ça lâche un peu : les batailles finales sans intérêt, bien dans le goût de Lewis Gilbert, et un passage sur le toit d'un immeuble avec 007 assailli par quinze Japonais, avec travelling en hélico, qui nous sort complètement du film. (Une autre réserve mais de taille : j'adore le Japon, mais ce qui me fait rêver, c'est les Bahamas et la Méditerranée - avec, de préférence, des couleurs primaires pétantes et des décors immédiatement reconnaissables ; parce que le Nassau de Daniel Craig, ça ressemble à... Bondy !)

[Major Tom]

Si la garde-robe de 007 vous intéresse, je vous conseille un excellent site en la matière : https://www.bondsuits.com/

Bon, c'est l'heure d'un top !

1- Le complet flanelle gilet de Sean Connery au dernier quart de Goldfinger
2- La tenue "riviera" de Pierce Brosnan au début de Goldeneye (pantalon clair, chemise oxford bleu sombre, veste bleu clair, foulard et drivers (?) je cite de mémoire)
3- La tenue semi-formelle de Roger Moore dans L'Espion qui m'aimait (pantalon beige, chemise bleu clair, blazer marine et cravate club)
4- Le col roulé du même Moore dans Vivre et laisser mourir. (Le même que tu arbores en signature, sans doute.)
5- Moore toujours, son costard crème dans Moonraker
En fin de classement, les jabots de George Lazenby.
Dans l'ensemble je trouve que Moore s'en tirait pas mal (exprimait-il ses talents de costumier aussi librement que dans Amicalement Vôtre ? Sans doute dans une petite mesure). Si l'on abandonne les blazers croisés à boutons dorés et les pattes d'eph', ça reste très chic et totalement d'actualité.

Bonne idée !

J'aime beaucoup le costume beige de Dalton au Maroc dans The Living Daylights. Pourtant des défauts : pas de nœuds pap', pas de cravate, une chemise ouverte. Je ne me l'explique pas.



1- Timothy, Tuer n'est pas jouer

2 - Les col roulé et pantalon de costume noirs de Moore dans Vivre et laisser mourir, parce que c'est l'évidence même.
Moore va amener quelque chose de différent avec lui, y compris dans les costumes.
La preuve tout de suite :



3 - Roger Moore, L'Homme au pistolet d'or
La veste blanche un peu "militaire" avec ces poches extérieures au niveau de la poitrine où il ne manque pas un bouton, on aime ou on n'aime pas, je l'aime beaucoup. En ce temps-là, James Bond ne suivait pas la mode, il créait la mode. Cela m'évoque cette vieille anecdote de marin sur la différence entre les Français et les Anglais ; quand un gouverneur français partait en Polynésie, il y allait en uniforme et revenait en paréo, mais quand un Anglais quittait Fidji, la moitié du Pacifique s'habillait comme lui. Le Bond de Moore c'est ça, d'autant que je le visualise bien dans cette anecdote, lui qui dans l'Inde d'Octopussy n'hésite pas à débarquer de son bateau dans un costard pas adapté à la situation.

4 - Le costume 3 pièces à carreaux gris clair de Sean dans Goldfinger, trop mythique pour être ignoré.

5 - Enfin Brosnan, même si on raconte que c'est avec lui que la trahison a commencé niveau costumes (because changement de maison), son manteau de cachemire long et sombre reste à mes yeux d'une classe folle (j'adore les doudounes longues).


Très loin derrière (tout au fond), Daniel Craig tient compagnie à Georgie, avec ses espèces de costumes Tom Ford pour couvertures de magazines GQ, totalement hors de propos.
Dans ce genre de style, le costume bleu moyen avec pantalon porté haut de Mission: Impossible - Ghost Protocol permet à Tom Cruise de lui voler la vedette (et lui au moins a un deuxième bouton à sa veste).

[Jean-Pierre Festina]

J'aime beaucoup le costume beige de Dalton au Maroc dans The Living Daylights. Pourtant des défauts : pas de nœuds pap', pas de cravate, une chemise ouverte. Je ne me l'explique pas.

Vrai que Dalton n'est pas mon premier choix en termes d'élégance. C'est le Bond le plus talentueux pour moi, mais il y a quelque chose en lui d'effacé et de grave qui fait que le costume ne "prend" pas véritablement sur lui : il n'a ni le dandysme de Moore ou de Brosnan, ni l'animalité contenue de Sean Connery. En tout cas, cette tenue est effectivement superbe et harmonieuse malgré l'absence de noeud pap ou de cravate comme tu dis. Sans doute la couleur estivale de la veste y est pour quelque chose.

3 - Roger Moore, L'Homme au pistolet d'or
La veste blanche un peu "militaire" avec ces poches extérieures au niveau de la poitrine où il ne manque pas un bouton, on aime ou on n'aime pas, je l'aime beaucoup.

Ha, je suis dingue des sahariennes, plus colonial tu meurs ! Une ou deux remarques concernant la couleur : en blanc, c'est effectivement inhabituel de nos jours, mais c'est salissant, et le contraste avec le pantalon sombre est un peu vif (sans doute la photo ment un peu, et la veste est beige sur un futal gris clair... Mais j'ai la flemme de revoir le film).

Le Bond de Moore c'est ça, d'autant que je le visualise bien dans cette anecdote, lui qui dans l'Inde d'Octopussy n'hésite pas à débarquer de son bateau dans un costard pas adapté à la situation.

Exactement ! Au contraire de Sean Connery, Moore devait se faire un peu chier dans les salles de sport, il préférait le shopping à Savile Row : à ce titre, il mérite tout notre respect.

- Enfin Brosnan, même si on raconte que c'est avec lui que la trahison a commencé niveau costumes (because changement de maison), son manteau de cachemire long et sombre reste à mes yeux d'une classe folle (j'adore les doudounes longues).

Brosnan est toujours classe, zero trahison ! (Par contre, et ne me dis pas que je te l'apprends : un manteau n'est pas une doudoune !)

[harry]

En reponse a "Ou-est-mon-sonotone":

Grosso Merdo ca ressemblerait a ca:

Goldfinger
OHMSS
Living Daylights
You Only Live Twice
Thunderball
Diamonds are Forever
Casino Royale
A View to a Kill
Tomorrow Never Dies
From russia With Love
The World is Not Enough
Moonraker
Die Another Day
Octopussy
The Man With the Golden Gun
Quantum of Solace
Dr No
The Spy Who Loved Me
License to Kill
Skyfall
Spectre
Live and Let Die
For Your Eyes Only
Goldeneye

[Jean-Pierre Festina]

Ok cimer, je vois que John Barry a grignoté les premières places et je ne t'en blâme pas.
De mon côté ç'aurait cette tête-là, avec les outsiders à l'honneur sauf un :

1- Permis de tuer (Micheal Kamen), morceau-titre fabuleux, BO qui serre les dents.
2- L'espion qui m'aimait (Marvin Hamlish), le mariage Bond et disco ne me choque pas, puisqu'ils partagent superficialité, clinquant et joie de vivre
3- Jamais plus jamais (Michel Legrand), la touche jazz so frenchy !
4- Rien que pour vos yeux (Bill Conti), morceau splendide, score délirant
5- Dr No (Monty Norman), imparable pour se siffler des ti-punch en speedball
6- On ne vit que deux fois (B), j'adore le japonisme de la BO et de la chanson de Nancy Sinatra !
7- Opération Tonnerre (B), le morceau de Tom Jones est melliflu et poilu mais je préfère le reste
8- Goldeneye (Eric Serra), mention spéciale pour le morceau fusion geek de la poursuite Bond/Onatopp
9- Goldfinger (B) j'en extrais la chanson avec Shirley Bassey que j'ai entendue dans tous les défunts Prisunic pour ne garder que le reste
10- Tuer n'est pas jouer (B) pour sa dernière BO d'un Bond, Barry s'est bien mouillé la chemise et le résultat porte ses fruits


La suite ne concerne plus que les morceaux-titres, le reste de la BO étant un peu mineur à mon avis ; je n'y mets pas de classement particulier, l'ensemble étant d'un niveau égal et toujours, au minimum, plaisant :

Casino Royale 1967, pour the Look of love de Dusty Springfield
Les diamants sont éternels
Demain ne meurt jamais
Casino Royale
Quantum of Solace
Skyfall
Spectre
Meurs un autre jour
Moonraker
Octopussy
Au service secret de Sa Majesté
Le monde ne suffit pas
Dangereusement vôtre
Bons baisers de Russie
L'homme au pistolet d'or

Dernier : Vivre et laisser mourir, BO grotesque de George Martin embourbé dans la wah-wah funky opportuniste (mais superbe chanson du Mac)

[harry]

La suite ne concerne plus que les morceaux-titres, le reste de la BO étant un peu mineur à mon avis ; je n'y mets pas de classement particulier, l'ensemble étant d'un niveau égal et toujours, au minimum, plaisant :

Casino Royale 1967, pour the Look of love de Dusty Springfield
Les diamants sont éternels
Demain ne meurt jamais
Casino Royale
Quantum of Solace
Skyfall
Spectre
Meurs un autre jour
Moonraker
Octopussy
Au service secret de Sa Majesté
Le monde ne suffit pas
Dangereusement vôtre
Bons baisers de Russie
L'homme au pistolet d'or

Dernier : Vivre et laisser mourir, BO grotesque de George Martin embourbé dans la wah-wah funky opportuniste (mais superbe chanson du Mac)

OHMSS, Diamonds..., From Russia... mineurs? Ca fait un peu partie des meilleurs scores de la serie et qui ont defini le son Bond.

PS: Casino 67 et Never say never again, c'est pas des officiels. Niveau score ou a d'un cote le grand bazar pop 60's et de l'autre du Legrand un peu planplan et oubliable.