ed a écrit :
C'est pas un expert, Groucho, c'est le dieu du cinéma.
J'avais déjà posé cela à mes débuts sur le forum sans trouver satisfaction.
Et bien je vais retenter ma chance. Groucho, à toi l'honneur.
AVIS DE RECHERCHE
J'ai 6 ans à tout casser, nous sommes donc autour de 1972, devant "La Séquence du Spectateur" en noir et blanc. Un extrait dépose une image en moi tout à fait indélébile, comme un flash mental à jamais gravé. Dans mon souvenir, il s'agit de l'extrait d'un film qui pourrait être sud-américain (Glauber Rocha ?), égyptien, indien ou italien, que sais-je.. Un barbu hirsute, sans doute torse nu, en pagne mais je n'en suis pas sûr, escalade la façade d'une chapelle, d'un temple, d'un monastère ou d'une tour, se hisse jusqu'au sommet, s'arrête au niveau d'une large ouverture circulaire fermée d'une espèce de membrane blanche, un peu solaire ou lunaire. Le barbu hirsute, d'abord hésitant, finit par fendre la membrane de tout son corps pour se retrouver, en contre-champ, à l'intérieur d'une grande salle vide, dont le sol est un plancher. Dans mon souvenir encore, cette salle ressemble à un comble (on comprend que l'on se trouve au sommet de l'édifice).
EDIT Si ça se trouve, c'est El Topo, de Jodorowski.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
ed a écrit :C'est pas un expert, Groucho, c'est le dieu du cinéma.
Euh, non, quand même pas.
Alexandre Angel a écrit :J'avais déjà posé cela à mes débuts sur le forum sans trouver satisfaction.
Et bien je vais retenter ma chance. Groucho, à toi l'honneur.
Je cherche toutes les demandes de ce fil et je me souviens très bien de la tienne.
Malheureusement, je n'avais rien trouvé.
Groucho Marx a écrit :Je cherche toutes les demandes de ce fil et je me souviens très bien de la tienne.
Malheureusement, je n'avais rien trouvé.
Toute ma vie j'ai été visité par ce souvenir.
Mais merci quand même !
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :AVIS DE RECHERCHE
J'ai 6 ans à tout casser, nous sommes donc autour de 1972, devant "La Séquence du Spectateur" en noir et blanc. Un extrait dépose une image en moi tout à fait indélébile, comme un flash mental à jamais gravé. Dans mon souvenir, il s'agit de l'extrait d'un film qui pourrait être sud-américain (Glauber Rocha ?), égyptien, indien ou italien, que sais-je.. Un barbu hirsute, sans doute torse nu, en pagne mais je n'en suis pas sûr, escalade la façade d'une chapelle, d'un temple, d'un monastère ou d'une tour, se hisse jusqu'au sommet, s'arrête au niveau d'une large ouverture circulaire fermée d'une espèce de membrane blanche, un peu solaire ou lunaire. Le barbu hirsute, d'abord hésitant, finit par fendre la membrane de tout son corps pour se retrouver, en contre-champ, à l'intérieur d'une grande salle vide, dont le sol est un plancher. Dans mon souvenir encore, cette salle ressemble à un comble (on comprend que l'on se trouve au sommet de l'édifice).
EDIT Si ça se trouve, c'est El Topo, de Jodorowski.
Tout correspond : la période (1972), les barbus hirsutes torses nus, un type qui fait céder une membrane … Je me souviens d'un vieux John Holmes se passant chez les Hippies. Mais ça va pas être ça (Je vais me reconfiner, oui)
ed a écrit : Après, c'est peut-être très mal décrit.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
ed a écrit :
C'est pas un expert, Groucho, c'est le dieu du cinéma.
J'avais déjà posé cela à mes débuts sur le forum sans trouver satisfaction.
Et bien je vais retenter ma chance. Groucho, à toi l'honneur.
AVIS DE RECHERCHE
J'ai 6 ans à tout casser, nous sommes donc autour de 1972, devant "La Séquence du Spectateur" en noir et blanc. Un extrait dépose une image en moi tout à fait indélébile, comme un flash mental à jamais gravé. Dans mon souvenir, il s'agit de l'extrait d'un film qui pourrait être sud-américain (Glauber Rocha ?), égyptien, indien ou italien, que sais-je.. Un barbu hirsute, sans doute torse nu, en pagne mais je n'en suis pas sûr, escalade la façade d'une chapelle, d'un temple, d'un monastère ou d'une tour, se hisse jusqu'au sommet, s'arrête au niveau d'une large ouverture circulaire fermée d'une espèce de membrane blanche, un peu solaire ou lunaire. Le barbu hirsute, d'abord hésitant, finit par fendre la membrane de tout son corps pour se retrouver, en contre-champ, à l'intérieur d'une grande salle vide, dont le sol est un plancher. Dans mon souvenir encore, cette salle ressemble à un comble (on comprend que l'on se trouve au sommet de l'édifice).
EDIT Si ça se trouve, c'est El Topo, de Jodorowski.
La Montagne Sacrée The Holy Mountain de Alejandro Jodorowski
Bien que le film soit de 1973
ZoZef a écrit :
La Montagne Sacrée The Holy Mountain de Alejandro Jodorowski
Bien que le film soit de 1973
Tu proposes ou tu l'affirmes? (parce que la date du souvenir, j'ai jamais été trop sûr, )
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Incroyable J'ai ma réponse enfin depuis 46 ou 47 ans. Oui, c'est sur que c'est ça : j'ai reconnu, à la volée en matant les photos, l'espèce de conduit par lequel passe le mec pour rentrer dans la maison de l'Alchimiste (par contre, le décor est encore plus barré que dans mon souvenir). Ce qui m'avait marqué, tout petit donc, c'était le côté complètement déstabilisant de l'extrait, sans aucun points de repère auxquels m'accrocher. Cela avait l'air, bien que je ne connaisse pas le mot, complètement ésotérique.
Merci aux contributeurs et à ZoZef!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :
Toute ma vie j'ai été visité par ce souvenir.
Mais merci quand même !
Quel con, je n'ai même pas regardé l'extrait! C'est pile poil la scène de mon souvenir, merci!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
fudoh a écrit :Bonjour à tous,
Je cherche un morceau joué dans ''Thief'' de Michael Mann. La BO est composée par Tangerine Dream. Cependant, un morceau ne se trouve pas dans l'OST (Tangerine Dream, Thief, 1981). Le morceau se situe dans le 3e quart, lorsque Frank cherche son partenaire (Barry) en train de se faire malmener. Le morceau débute précisément lorsque Caan apprend qu'il ne sera pas payé, à partir de 1h34min. Merci!
Il s'agit d'un extrait de "Thru Metamorphic Rocks" (issu de l'album Force Majeure deTD)