Un homme de goût !Phnom&Penh a écrit : Et un truc qui fera plaisir aux autres admirateurs d'une réalisatrice assez controversée (et que j'admire beaucoup) :
"Quel pourrait être ce dernier film?
Avant de mourir, j'aimerais être dirigé par une femme. Je n'ai jamais connu ça. Je voudrais faire l'expérience, découvrir le type de rapports que peut avoir un homme avec une réalisatrice de talent. Il y en a quelques unes comme Maïwenn...Maïwenn m'a d'ailleurs envoyé un truc à lire...On va voir."
Interview du JDD du 19/05
Alain Delon
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Re: Alain Delon
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Re: Alain Delon
Oui, c'est bien à toi que je pensais en lisant celaJeremy Fox a écrit :Un homme de goût !Phnom&Penh a écrit : Et un truc qui fera plaisir aux autres admirateurs d'une réalisatrice assez controversée (et que j'admire beaucoup) :
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Re: Alain Delon
Je suis d'accord. Ca pourrait faire une fin de carrière à la hauteur de son talent.Jeremy Fox a écrit :Un homme de goût !Phnom&Penh a écrit : Et un truc qui fera plaisir aux autres admirateurs d'une réalisatrice assez controversée (et que j'admire beaucoup) :
"Quel pourrait être ce dernier film?
Avant de mourir, j'aimerais être dirigé par une femme. Je n'ai jamais connu ça. Je voudrais faire l'expérience, découvrir le type de rapports que peut avoir un homme avec une réalisatrice de talent. Il y en a quelques unes comme Maïwenn...Maïwenn m'a d'ailleurs envoyé un truc à lire...On va voir."
Interview du JDD du 19/05
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Re: Alain Delon
Je suis d'accord, il domine (et il a raison) ses interlocuteurs, qui ne sont pas à la hauteur (Delon paraît plus proche de nous, dans le temps, que les autres).Phnom&Penh a écrit :Non, justement pas. Il est classe par rapport à des détracteurs pas franchement folichons si on les regarde eux, un par un, (vanter la parité pour ce niveau d'arguments ), et leur discours à chacun. Il renvoie très bien Buache dans ses cordes. Par rapport à Véronique Jannot, elle est effectivement bien mimi, mais elle ne dit rien ou presque. Il a un long monologue sur la façon dont les médias français ne défendent pas assez l'industrie nationale et là, il l'interpelle elle ( les autres sont suisses) pour l'encourager à donner son avis. Elle ne sait pas prendre la perche, mais en quoi cela le rend-il "imbuvable "?Alexandre Angel a écrit :Cela dit, pour l'instant, les argumentaires contre me paraissent assez datés. Freddy Buache n'est pas follement convaincant. Delon est évidemment imbuvable : "Si t'as quelque chose à dire, Véro, dis-le!"
Rappelons qu'il a produit le film, l'a choisie comme partenaire principale et discoure avant sur son talent et le couple de cinema qu'il aimerait former avec elle.
Après, Véronique Jannot, elle est bien mimi, elle n'a jamais giflé personne, son couple de cinema avec Delon ne s'est jamais fait (doit-on le regretter ), mais "imbuvable " ici?
Delon, c'est juste un type qui a eu beaucoup de chance , le sait et le reconnaît, et demande juste qu'on soit à son niveau.
"On a dit des conneries sur moi et ça m'a joué des tours. Des réalisateurs n'osaient pas faire appel à moi parce qu'on leur racontait que j'étais un tueur sur un plateau, que je voulais tout faire. Truffaut me l'a dit un jour. Je lui ai répondu : "Vous avez peur de quoi ? Il n'y a pas plus docile que moi si je travaille pour un vrai metteur en scène." Et lui en était un. Je n'ai jamais dit à Visconti, Clément ou Losey où mettre leur caméra. Après si je tombe sur un nul qui ne sait pas où la placer, je m'en charge, c'est vrai. Et il y a plus de nuls que de génies dans ce métier. J'ai été à telle école que je sais de quoi je parle. Je dis ce que je pense, ça ne plaît pas toujours dans ce milieu".
Il est juste cash, quoi.
C'est juste que je fais partie de ceux qui n'aiment pas Delon, qui ne le trouvent pas sympathique. "Imbuvable" est dans ce sens-là.
Mais c'est clair qu'il n'est pas une aussi grande star pour rien.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Alain Delon
Je viens de voir la conférence que Delon a donnée à Cannes.
Toujours très intéressant d'écouter cette immense personnalité revenir sur sa carrière impressionnante, mais le passage sur Melville est vraiment très beau et surprenant.
Toujours très intéressant d'écouter cette immense personnalité revenir sur sa carrière impressionnante, mais le passage sur Melville est vraiment très beau et surprenant.
Dernière modification par Watkinssien le 24 mai 19, 20:14, modifié 1 fois.
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Re: Alain Delon
Merci. Je suis en train de regarder sa palme d’honneur justement. C’était pas le même jour ?
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Re: Alain Delon
J’apprends au passage que Melville avait projeté de tourner un « Arsène Lupin » avec Delon après Le Cercle rouge. Dommage.
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Re: Alain Delon
Je ne cherche pas à te faire changer d'avis, mais en relisant un peu le topic, j'ai vu les deux interview qu'Odelay avait mis en ligne, assez récemment d'ailleurs:Alexandre Angel a écrit :C'est juste que je fais partie de ceux qui n'aiment pas Delon, qui ne le trouvent pas sympathique. "Imbuvable" est dans ce sens-là.
Mais c'est clair qu'il n'est pas une aussi grande star pour rien.
odelay a écrit :
Et je laisse la remarque d'Odelay sur la seconde interview (non pas pour emmerder Odelay, mais parce que c'est symptomatique ...) Non, Depardieu ne tacle pas du tout Delon. Il tacle Blier en disant que Delon avait demandé deux mois de plus pour intégrer son personnage et que Blier ne les lui avait pas octroyés.odelay a écrit :C'est marrant car j'ai enchainé avec une autre interview de ce programme, cette fois en 87 avec Depardieu et à 16'30 il tacle Delon et sa façon de se comporter durant la pré production de Notre Histoire, ce qui apporte un autre éclairage. Bon, il est possible de penser que Depardieu agisse de la même manière que Delon aujourd'hui ...
C'est au contraire très respectueux sur le travail d'Alain Delon.
Alain Delon, dans cet interview de 1984, parle de lui comme comédien. Mais ce n'est pas un comédien, c'est un acteur. Et en 2019, il dit
"Comme je le dis souvent, je ne suis pas un comédien, je vis. Aujourd'hui, je suis différent d'hier physiquement."
La différence comédien / acteur est difficile à résumer. Je dirai Molière / Shakespeare. On dit souvent cours Simon / autodidacte. Mais qui sait que Michel Piccoli, immense comédien, est un autodidacte? Et Depardieu n'est-il pas un comédien?
La différence, pour moi, c'est que Molière, ça se joue.
Et que Shakespeare, ça se vit:
« Le monde entier est un théâtre,
Et tous, hommes, femmes ne sont que des acteurs ;
Ils ont leurs entrées, ils ont leurs sorties,
Et chaque homme y voit maint rôle lui échoir :
Les actes font sept âges. D’abord l’enfant
Rotaillant et braillant dans les bras de sa nourrice ;
Puis l’écolier geignard, la face luisante,
Sur le matin, gibecière au dos,
Qui se traîne comme un escargot,
A regret, à l’école. Et puis l’amoureux,
Soupire comme un grand four, lamentable ballade
Aux sourcils de sa maîtresse ; le soldat, maintenant,
Plein de bizarres jurons, et barbu
Comme un léopard ; jaloux de son honneur ;
Fort soudain en colères, et qui court
Jusque dans la bouche du canon
Attraper la bulle de renom.
Et puis le juge de paix,
En bon ventre bien rond de chapon bien doublé,
Œil sévère, barbe bien taillée,
Plein de sages dictons, d’exemples rebattus,
Et c’est ainsi qu’il vous joue son propre rôle. Le sixième âge
Tourne au Pantalon, maigre, en pantoufles,
Bourse au côté, lunettes au nez,
Et hauts-de-chausses qu’on a gardés
Du jeune temps, qui flottent à plaisir
Sur ce mollet vidé ; et la grave voix d’homme,
Revenue au fausset enfantin,
Chuinte et chevrote en siflaillant. Ultime scène,
Qui finit cette étrange, frappante histoire,
Sans dents, sans yeux, sans goût, sans rien du tout »*
*Comme il vous plaira, Acte II, scène 7 »
Cela ne veut évidemment pas dire qu'un comédien ne peut pas jouer du Shakespeare. Mais la porte d'un acteur est beaucoup plus étroite. Il vit son rôle, et n'a que sa personnalité pour trouver l’inspiration de son rôle.
Alain Delon, dans cet interview de 1984, est à son meilleur (son âge) et à son pire (il joue l'homme d'affaires et vend sa marque). Il parle de lui à la troisième personne, non par délire égocentrique, mais parce qu'il vend sa marque et le Japon (où il est une immense star, c'est vrai, mais là, il vend sa camelote) . Je ne crois pas qu'il ait fait pire après mais l'image est restée.
Et Jean-Marie Le Pen, il en parle aujourd’hui comme s'ils avaient fait la guerre d'Indochine ensemble et que bon, sans partager ses idées, c'est un vieux pote de combat...L'un comme l'autre n'ont pas sauté sur Dien-Bien-Phu (contrairement à Schoendoerffer, qui, lui, l'a fait). Ils sont arrivés en 1954, après les accords de Genève, et s'ils ont partagés quelque chose, ça doit pas aller plus loin que quelques bières et des bars à Congaï à Saïgon Et dans l'interview de 1984, il partage quand même plus que des souvenirs de vieux combattants.
Bref, le Delon mytho et lepéniste (à cette époque), il existe bien.
Mais l'acteur, qui n'a comme ressource que de chercher en lui?
Je ne vais pas m'étendre sur le sujet, mais il est évident qu'une grande part de son talent, il le doit à sa part féminine. Attention, je ne parle pas de sexualité, qui ne regarde que lui. Je parle de son regard, de sa sensibilité, de son émotion à fleur de peau, de sa capacité à accepter à se mettre en danger...
Dans cet interview de 1984, il parle de Proust comme, à mon avis, peu d'acteurs seraient capables de le faire. Bien sûr, il se cache derrière Visconti, Losey, Pinter. Il n'est pas très gentil avec Schlöndorff. J'aime bien Un amour de Swann, mais c'est vrai que la distribution est très erratique. Le temps retrouvé de Raoul Ruiz, lui est, à mon avis très supérieur.
Mais l'acteur autodidacte Alain Delon a lu Proust et maîtrise parfaitement son sujet. Il a aussi évidemment lu le scénario de Pinter pour Losey. C'est une star mais avant tout un grand professionnel.
D'ailleurs, parlant de professionnel, quelqu'un pourrait-il me dire où Jean-Paul Belmondo (que j'adore, attention ), immense comédien, joue de sa part de féminité?
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Re: Alain Delon
Ah ben non. il dit le contraire. Il laisse entendre que ok ce n'est pas terrible de la part de Blier de se laisser marcher sur les pieds par Delon mais surtout il dit "ce n'est pas digne de la part d'un acteur comme Delon de dire 'ah non j'ai pas le temps' alors que l'auteur demandait deux mois de travail supplémentaire". Perso je comprends que c'est Blier qui demandait deux mois de plus et que Delon a dit niet. Vous comprenez quoi les autres? (c'est à 16'30)Phnom&Penh a écrit :Et je laisse la remarque d'Odelay sur la seconde interview (non pas pour emmerder Odelay, mais parce que c'est symptomatique ...) Non, Depardieu ne tacle pas du tout Delon. Il tacle Blier en disant que Delon avait demandé deux mois de plus pour intégrer son personnage et que Blier ne les lui avait pas octroyés.odelay a écrit :C'est marrant car j'ai enchainé avec une autre interview de ce programme, cette fois en 87 avec Depardieu et à 16'30 il tacle Delon et sa façon de se comporter durant la pré production de Notre Histoire, ce qui apporte un autre éclairage. Bon, il est possible de penser que Depardieu agisse de la même manière que Delon aujourd'hui ...
C'est au contraire très respectueux sur le travail d'Alain Delon.
Alain Delon, dans cet interview de 1984, parle de lui comme comédien. Mais ce n'est pas un comédien, c'est un acteur. Et en 2019, il dit
"Comme je le dis souvent, je ne suis pas un comédien, je vis. Aujourd'hui, je suis différent d'hier physiquement."
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Re: Alain Delon
Pareil que toi Odelay, je pense qu’il parle bien de Delon.
D’ailleurs j’ai vu le film récemment et j’ai été stupéfait de voir Delon comme ça. C’est un film à voir, totalement à part dans sa filmographie. Peut-être l’une des seules fois où Delon joue la comédie et se met en danger à ce point.
D’ailleurs j’ai vu le film récemment et j’ai été stupéfait de voir Delon comme ça. C’est un film à voir, totalement à part dans sa filmographie. Peut-être l’une des seules fois où Delon joue la comédie et se met en danger à ce point.
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Re: Alain Delon
Je mets ce que j’avais commencé à écrire :
Le choc (1982, réalisation Robin Davis), film totalement insipide alors qu'il est l'occasion des retrouvailles Delon-Deneuve dix ans après Un flic. Il est étonnant de voir Deneuve dans un rôle aussi transparent et inintéressant tant on a l'habitude de la voir désormais dans des rôles forts ou colorés. Là elle semble éteinte et le couple Deneuve-Delon est loin de faire des étincelles.
Notre histoire (1984, Blier) : c'est un film absolument à voir car il est l'occasion unique de voir Delon jouer un personnage paumé avec une tête d'ahuri.
C'est l'histoire d'un mec qui se fait draguer dans un train par une fille qui veut juste baiser mais le mec s'accroche...
Je n'ai jamais vu Delon (le César est sans doute mérité) comme ça et on peut dire qu'il a pris un vrai risque et que très certainement l’échec du film a sonné le glas de sa carrière.
Le film bénéficie d'un casting détonnant. Outre Delon et Nathalie Baye, sublime, on découvre de nombreux acteurs quasi-inconnus à l'époque et devenus des stars ou des valeurs sûres : Jean Reno, Gérard Darmon, Jean-Pierre Darroussin, Vincent Lindon (dans son troisième rôle) et un tout jeune et tout mince Bernard Farcy (qui n'a quasiment pas de dialogues) entourent Michel Galabru, Jean-Claude Dreyfus, Jean-François Stévenin, Sabine Haudepin, Ginette Garcin.
Le choc (1982, réalisation Robin Davis), film totalement insipide alors qu'il est l'occasion des retrouvailles Delon-Deneuve dix ans après Un flic. Il est étonnant de voir Deneuve dans un rôle aussi transparent et inintéressant tant on a l'habitude de la voir désormais dans des rôles forts ou colorés. Là elle semble éteinte et le couple Deneuve-Delon est loin de faire des étincelles.
Notre histoire (1984, Blier) : c'est un film absolument à voir car il est l'occasion unique de voir Delon jouer un personnage paumé avec une tête d'ahuri.
C'est l'histoire d'un mec qui se fait draguer dans un train par une fille qui veut juste baiser mais le mec s'accroche...
Je n'ai jamais vu Delon (le César est sans doute mérité) comme ça et on peut dire qu'il a pris un vrai risque et que très certainement l’échec du film a sonné le glas de sa carrière.
Le film bénéficie d'un casting détonnant. Outre Delon et Nathalie Baye, sublime, on découvre de nombreux acteurs quasi-inconnus à l'époque et devenus des stars ou des valeurs sûres : Jean Reno, Gérard Darmon, Jean-Pierre Darroussin, Vincent Lindon (dans son troisième rôle) et un tout jeune et tout mince Bernard Farcy (qui n'a quasiment pas de dialogues) entourent Michel Galabru, Jean-Claude Dreyfus, Jean-François Stévenin, Sabine Haudepin, Ginette Garcin.
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Re: Alain Delon
Il y a aussi "Le Professeur" de Valerio Zurlini (1973) où Delon joue "vraiment". Et pour moi, il y aussi "Flic Story".
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Re: Alain Delon
Heu il joue bien dans des tas de films, quand même. Flic Story est un bon film (et Le Professeur est superbe), mais je ne trouve pas Delon meilleur ici que dans par exemple Monsieur Klein (1976) ou Trois hommes à abattre (1980) pour la même période.Grimmy a écrit :Il y a aussi "Le Professeur" de Valerio Zurlini (1973) où Delon joue "vraiment". Et pour moi, il y aussi "Flic Story".
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- Régisseur
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Re: Alain Delon
Nan mais pour moi Delon est un de nos meilleurs comédiens. Je cherchait un peu les rôles à "performances".. J'ai, pour ma part, toujours regretté qu'il n'ait jamais tourné avec Pialat.
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Re: Alain Delon
J'ai compris pareil que odelay .odelay a écrit :Ah ben non. il dit le contraire. Il laisse entendre que ok ce n'est pas terrible de la part de Blier de se laisser marcher sur les pieds par Delon mais surtout il dit "ce n'est pas digne de la part d'un acteur comme Delon de dire 'ah non j'ai pas le temps' alors que l'auteur demandait deux mois de travail supplémentaire". Perso je comprends que c'est Blier qui demandait deux mois de plus et que Delon a dit niet. Vous comprenez quoi les autres? (c'est à 16'30)
Phnom&Penh, je pense que vous vous trompez.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
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