Les Patriotes (Eric Rochant - 1994)
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Les Patriotes (Eric Rochant - 1994)
Les Patriotes : Revu avec plaisir. Intrigue rigoureuse, crédible et intéressante. la réalisation est aucunement tape-à-l'oeil mais crée une atmosphère parfaite pour une film d'espionnage réaliste. Bons acteurs et belle musique.
Dans le traitement cela m'a fait penser à la bd Alpha que certains connaissent peut-être.
En attendant Agents Secrets de Frédéric Schoendoerffer avec Cassel et Bellucci.
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- John Anderton
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On fait pire comme comparaison, en effet...Martin Quatermass a écrit :Les Patriotes : Revu avec plaisir. Intrigue rigoureuse, crédible et intéressante. la réalisation est aucunement tape-à-l'oeil mais crée une atmosphère parfaite pour une film d'espionnage réaliste. Bons acteurs et belle musique.
Dans le traitement cela m'a fait penser à la bd Alphaque certains connaissent peut-être.
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- Joshua Baskin
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Les Patriotes (Eric Rochant, 1993)
Parfois on se dit que c'est simple de faire de bons films.
Une histoire prenante, de jolies images et une belle musique et hop, on passe plus de deux heures de bonheur total.
Ce soir j'ai donc décidé de regarder les Patriotes, acheté "à l'aveugle" en dvd, et uniquement appuyé sur la très bonne réputation du film. Je n'en sors pas décu.
Sans trop en réveler pour ceux qui ne l'ont pas vu, c'est un film d'espionnage sur la vie d'un agent du Mossad interprété par Yvan Attal, entre Paris, Tel Aviv et Washington. Ici, aucune pyrotechnie, au contraire un vrai sens de l'ellipse, mais un vrai bon scénario intelligent et très prenant.
Dommage qu'Eric Rochant n'ait pas eu la carriere qu'il aurait dû avoir (Il est encore jeune et peut faire pas mal de belles choses) parce que passer des Patriotes à Total Western...
Une histoire prenante, de jolies images et une belle musique et hop, on passe plus de deux heures de bonheur total.
Ce soir j'ai donc décidé de regarder les Patriotes, acheté "à l'aveugle" en dvd, et uniquement appuyé sur la très bonne réputation du film. Je n'en sors pas décu.
Sans trop en réveler pour ceux qui ne l'ont pas vu, c'est un film d'espionnage sur la vie d'un agent du Mossad interprété par Yvan Attal, entre Paris, Tel Aviv et Washington. Ici, aucune pyrotechnie, au contraire un vrai sens de l'ellipse, mais un vrai bon scénario intelligent et très prenant.
Dommage qu'Eric Rochant n'ait pas eu la carriere qu'il aurait dû avoir (Il est encore jeune et peut faire pas mal de belles choses) parce que passer des Patriotes à Total Western...
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Tu t'es senti d'humeur maussade après visionnage?
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Re: Les Patriotes, d'Eric Rochant
Regarde les suppléments, tu comprendras mieux.Joshua Baskin a écrit :Dommage qu'Eric Rochant n'ait pas eu la carriere qu'il aurait dû avoir (Il est encore jeune et peut faire pas mal de belles choses) parce que passer des Patriotes à Total Western...
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J'aime beaucoup Total western, en ce qui me concerne. Un film d'action brut de décoffrage qui va au bout de ses intentions, je le trouve très réussi.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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Et Vive la république ! ?harry callahan a écrit :J'aime beaucoup Total western, en ce qui me concerne. Un film d'action brut de décoffrage qui va au bout de ses intentions, je le trouve très réussi.
Pour Total western, je trouve que le film n'est pas à la hauteur de ses ambitions (c'est le risque aussi, quand on cite le nom de Peckinpah comme référence). Si le film ne manque pas de qualités (des passages d'action bien sentis en effet, Kalfon, Stevenin), il collectionne aussi les casseroles, en tête desquelles Samuel Le Bihan, pas aidé - déjà qu'il ne l'était pas à la base - par des dialogues qui désamorcent certaines situations... Quant aux personnages des "d'jeunz" qu'il traine derrière lui sont pour la plupart dépeints comme des gamins souffrant de dislexie (je cite de mémoire un "eh m'sieur Pédé-ta-race" comme running-gag) et/ou de débilité légère. Bref, pour moi la mayo ne passe pas ("action brute" et comédie, ici ça n'est pas miscible)...
Comment ça, c'est des Patriotes qu'on parle ici ?
Non, ouais, ça a l'air bien, 'faudra que j'jette un oeil un jour...
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Je rapelle d'ailleurs que si tu aimes Blade II, te gêne pas pour le dire ici ou sur n'importe quel autre sujet.M_RiK a écrit :[...]Comment ça, c'est des Patriotes qu'on parle ici ?[...]
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Le moins que je puisse dire, c'est que j'ai été pas mal déçu. Ca commençait pourtant bien, avec les débuts d'Yvan Attal au Mossad, sa formation, ses 1ères missions tests, etc...
Puis dès qu'on rentre dans des missions plus "sérieuses", mon intérêt pour le film s'est soudainement écroulé. Dommage pour un film qui m'avait l'air pas mal ambitieux, mais qui malheureusement ne propose que des digressions pas très intéressantes (à mon goût). C'est bien simple : aucune intrigue ne m'a intéressé.
De plus, aucune empathie envers le personnage d'Attal...vraiment rien.
Et en fait, si je mets la moyenne au film, c'est (quasi) uniquement pour les apparitions de Sandrine Kiberlain. Ce qui est bien peu, au final...
Puis dès qu'on rentre dans des missions plus "sérieuses", mon intérêt pour le film s'est soudainement écroulé. Dommage pour un film qui m'avait l'air pas mal ambitieux, mais qui malheureusement ne propose que des digressions pas très intéressantes (à mon goût). C'est bien simple : aucune intrigue ne m'a intéressé.
De plus, aucune empathie envers le personnage d'Attal...vraiment rien.
Et en fait, si je mets la moyenne au film, c'est (quasi) uniquement pour les apparitions de Sandrine Kiberlain. Ce qui est bien peu, au final...
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LES PATRIOTES d'Eric Rochant
J'en sors euphorique. Vieillir n'est pas du tout ce que je préfère sauf dans ces cas-là. J'avais vu le film lors de sa diffusion sur Canal+ en 1994. J'avais 19 ans à l'époque et probablement davantage réceptif aux films américains, je ne sais pas...
Quoiqu'il en soit l'erreur est réparée et j'ai découvert, suite à plusieurs avis très positifs lus ici, un excellent film. Les 2 histoires principales sont très intéressantes, bien que je préfère un peu la première. La manipulation est très bien rendue (presque chirurgicale), et Rochant met cela très bien en scène en laissant le spectateur faire l'histoire par lui-même (et tout est très compréhensible). J'ai beaucoup de mal à en parler (c'est très dur de rédiger) mais j'ai beaucoup aimé entre autres l'ambiguité de pas mal de personnages. On ne sait pas s'ils sont espions ou innocents... Et puis c'est très bien écrit tout simplement.
Dès que je trouve l'édition collector du film, pas cher, je me jette dessus.
J'en sors euphorique. Vieillir n'est pas du tout ce que je préfère sauf dans ces cas-là. J'avais vu le film lors de sa diffusion sur Canal+ en 1994. J'avais 19 ans à l'époque et probablement davantage réceptif aux films américains, je ne sais pas...
Quoiqu'il en soit l'erreur est réparée et j'ai découvert, suite à plusieurs avis très positifs lus ici, un excellent film. Les 2 histoires principales sont très intéressantes, bien que je préfère un peu la première. La manipulation est très bien rendue (presque chirurgicale), et Rochant met cela très bien en scène en laissant le spectateur faire l'histoire par lui-même (et tout est très compréhensible). J'ai beaucoup de mal à en parler (c'est très dur de rédiger) mais j'ai beaucoup aimé entre autres l'ambiguité de pas mal de personnages. On ne sait pas s'ils sont espions ou innocents... Et puis c'est très bien écrit tout simplement.
Dès que je trouve l'édition collector du film, pas cher, je me jette dessus.
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Encore meilleur que ce que j'espérais. Je regrette juste de l'avoir vu dans sa version doublée où tout le monde parle français, qu'on soit à Tel Aviv ou à Washington.
Rochant qui signe seul le scénario, est manifestement habité par une ambition qui détonne complétement par rapport à ce qu'on attend encore aujourd'hui du cinéma français (je schématise sans doute un peu). À quelques rares occasion, on trouve comme ça des producteurs qui ont les couilles de financer un projet complétement hors norme et qui s'avère maîtrisé de bout en bout. Les Patriotes c'est un chef-d'oeuvre d'écriture, qui parvient plus que brillamment à trouver le bon ton entre description clinique du monde de l'espionnage et romantisme du héros. L'obsession d'Yvan Attal pour cette femme qu'il a utilisé et qui a disparu (superbe et troublante Sandrine Kiberlain) n'apparaît en effet jamais comme un élément superflu ou déplacé. Il s'intègre au contraire parfaitement au récit et au propos du cinéaste. Et pas un seul coup de feu, aucune explosion, même pas de course poursuite.
On notera un travail sur le son discret mais constant (arrière-plan sonore régulièrement saturé de sonneries diverses, bruits de sirènes, etc.), qui renforcent cette atmosphère de surveillance et de paranoïa. Et puis quel casting : JF. Stevenin, Bernard Lecoq, Emmanuelle Devos, Christine Pascal, Maurice Bénichou, et même Hyppolite Girardot et Nancy Allen...
Rochant qui signe seul le scénario, est manifestement habité par une ambition qui détonne complétement par rapport à ce qu'on attend encore aujourd'hui du cinéma français (je schématise sans doute un peu). À quelques rares occasion, on trouve comme ça des producteurs qui ont les couilles de financer un projet complétement hors norme et qui s'avère maîtrisé de bout en bout. Les Patriotes c'est un chef-d'oeuvre d'écriture, qui parvient plus que brillamment à trouver le bon ton entre description clinique du monde de l'espionnage et romantisme du héros. L'obsession d'Yvan Attal pour cette femme qu'il a utilisé et qui a disparu (superbe et troublante Sandrine Kiberlain) n'apparaît en effet jamais comme un élément superflu ou déplacé. Il s'intègre au contraire parfaitement au récit et au propos du cinéaste. Et pas un seul coup de feu, aucune explosion, même pas de course poursuite.
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« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
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Je l'ai également revu la semaine dernière, pour la première fois depuis sa sortie en salle. C'est encore meilleur que dans mon souvenir.
Effectivement, il faut le voir en v.o. Yvan Attal y parle hébreux, anglais et français. Et les bonus sont formidables : un long making of sans langue de bois et des scènes coupées qui n'auraient pas fait taches dans le film. Bref: génial génial !!!
Effectivement, il faut le voir en v.o. Yvan Attal y parle hébreux, anglais et français. Et les bonus sont formidables : un long making of sans langue de bois et des scènes coupées qui n'auraient pas fait taches dans le film. Bref: génial génial !!!
- Joshua Baskin
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- Localisation : A la recherche de Zoltar
Après avoir vu les Patriotes, j'étais tout content de découvrir Un monde sans pitié, je suis tombé de haut.Swan a écrit :J'irai jusqu'à dire que tu peux t'arrêter là.Max Schreck a écrit :Je n'avais encore vu aucun Rochant.
Par contre, je garde un très bon souvenir d'Aux Yeux du monde, et le souvenir sympathique de Vive la république.
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- Mémé Lenchon
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Euh, c'est quoi le problème avec Un Monde Sans Pitié?Joshua Baskin a écrit :Après avoir vu les Patriotes, j'étais tout content de découvrir Un monde sans pitié, je suis tombé de haut.Swan a écrit : J'irai jusqu'à dire que tu peux t'arrêter là.
C'est quand même un des films français les plus important du début des années 90 qui a ouvert la voix à pas mal de cinéastes. Mais, en même temps, je me demande si ce n'est pas un film "générationnel". Enfin, pour moi qui l'ai vu un bon paquet de fois, ça n'a pas vieilli.
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