Supfiction a écrit :
J'aime beaucoup Wimbledon également. Si c'est également de l'humour british et si l'on retrouve la thématique d'un homme quelque-peu "dominé" par une femme, le scénario me semble tout de même bien différent de celui de Notting Hill...
Exemple criant de recyclage : la séquence où la nana et son petit copain s'isolent dans une maison que personne n'est censée connaître... maison qui finit par être découverte et qui est assaillie par les journalistes. On a la même scène dans les deux films.
Supfiction a écrit :
Un mot sur Rencontre à Elizabethtown : un film très étrange, peut-être la première rom-com malade, dans laquelle on ne sait jamais sur quel pied danser, qui parait parfois très long et dans lequel on s'ennuie un peu tout en étant séduit par l'ambiance et son actrice. Une sorte de comédie neurasthénique. Et comme toujours chez Cameron Crowe, la musique pop parle pour ses personnages et en dit plus que les dialogues.
Dans les deux cas, Kirsten Dunst est formidable au point de rendre transparents ses co-interprètes masculins (en particulier Orlando Bloom).
Moi, c'est clair : je zappe, je prends les passages qui m'intéressent. Notamment la séquence de drague dans l'avion, la nuit passée au téléphone (et Dieu sait si je déteste le téléphone mobile), l'achat de l'urne et la dernière demi-heure.
Supfiction a écrit :
... Dans les deux cas, Kirsten Dunst est formidable au point de rendre transparents ses co-interprètes masculins (en particulier Orlando Bloom).
C'est peut-être un point de vue de mec. Il y a de fortes chances pour que les filles le regardent avec les yeux de Chimène !