Watkinssien a écrit :
Honnêtement, c'est le film de 2018 qui a reçu, en ce lieu, un des accueils les plus incompréhensiblement froids, en le réduisant le plus souvent à des crottes de chien et un rythme chiant, en gros...
Fleuve Noir : 6/10
L'enquête est pépère, mais l'atmosphère glauque et la prestation totalement autre de Cassel donnent au film une personnalité et un cachet intéressants.
On est loin du méga nanar qu'on nous a survendu.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Un grand bof pour cette fable sur l’animalité. Un portrait difforme ne sachant pas comment finir, plus à l’aise dans la chronique que dans la réflexion sur le caractère. Néanmoins, une belle attention au lieu, station balnéaire surréaliste, Villagio Coppola rappelant l'ambiance crépusculaire d’un western.
The Front Runner : 4.5/10
Reconstitution et casting impeccables, mais tout est désespérément morne, plat. Y compris (et surtout) dans ses quelques tentatives de vouloir faire du cinéma.
Du Jason Reitman, quoi.
Guy (Alex Lutz) : 7/10
Je n'aime pas les décimales donc je ne lui mets pas 7,5 mais je n'en pense pas moins.
Une belle réussite. Dadoudi Didouda.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :Guy (Alex Lutz) : 7/10
Je n'aime pas les décimales donc je ne lui mets pas 7,5 mais je n'en pense pas moins. Une belle réussite. Dadoudi Didouda.
vu le mois dernier, je partage ton enthousiasme (alors que j'en attendais pas grand chose)
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Jack Carter a écrit :vu le mois dernier, je partage ton enthousiasme (alors que j'en attendais pas grand chose)
C'est un drôle de numéro qu'il fait!
Et puis il a un sens du pastiche très aiguisé. Ça a un charme assez redoutable.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Pour avoir vu son spectacle sur scène, je confirme que Lutz a un talent dingue pour créer des personnages, tout en gestes et postures d'une précision et d'une acuité assez incroyables.
Son personnage de Guy Jamet, malgré le lourd maquillage (plutôt bien foutu, d'ailleurs), prend réellement vie sous nos yeux, c'est fascinant à regarder.
