Top 100 DVDClassik | Edition 2012

[Truffaut Chocolat]

21 grammes
25e heure, la

Annie Hall
Armée des ombres, l'
Apprentis, les
Assurance sur la mort
Auberge espagnole, l'

Bal des actrices, le
Barberousse
Barry Lyndon
Beaux lendemains, de
Big Lebowski, the
Boulevard du crépuscule

Casino
Cashback
Cercle des poètes disparus, le
Chansons d'amour, les
Charme discret de la bourgeoise, le
Clerks
Citizen Kane
Communauté de l'anneau, la
Crash

Dans Paris
Delicatessen
Descendants, the
Dolce vita, la
Donnie Darko
Dracula

Ed Wood
Elephant
Elephant man
Eternal sunshine of the spotless mind
Etrange histoire de Benjamin Button, l'
Eve
Evil dead
Eyes Wide Shut
Exotica

Fight Club
Fountain, the

Gens de Dublin, les
Gerry
Ghost world
Guerre est déclarée, la

Haine, la
Hana-bi
Harakiri
Heure du loup, l'
Homme sans âge, l'

Il était une fois en Amérique
Inland empire

Jackie Brown
Jeux d'été
JFK
Jour sans fin, un

Lois de l'attraction, les
Lost in translation
Lunes de fiel

Magnifique, le
Man on the moon
Master and commander
Match Point
Melancholia
Memento
Méprise multiple
Mysterious skin

Neuvième porte, la
Nuit des forains, la
Nuit des morts-vivants, la

O'Brother
On connait la chanson
OSS 117 : Rio ne répond plus

Paris, Texas
Péril jeune, le
Persona
Petits meurtres entre amis
Phantom of the paradise
Polisse
Poupées russes, les
Presque célèbre
Pulp fiction

Reservoir dogs
Rosemary's baby
Route, la

Sexe, mensonges et video
Shaun of the dead
Silence des agneaux, le
Snatch
Social network, the
Solaris (Soderbergh)
Solaris (Tarkovski)
Soyez sympas, rembobinez
Stalker
Strada, la

Tetro
Thing, the
Tournée
Tout sur ma mère
Tristana
Twin Peaks, fire walk with me

Usual suspects

100 films où tous les sujets qui me tiennent à coeur sont représentés : le monde de la scène, les choix de vie, le sens du destin, l'adolescence, la jeunesse, le temps qui passe…
Et puis des plaisirs primaires comme la frousse et le rire, parce que ça sert aussi à ça le cinoche.
Beaucoup de réals pas ou peu représentés mais c'est le jeu ma pauvre Lucette.
Pas assez de cinéma français à mon goût, mais je préfère les films contemporains, dans lesquels je me reconnais finalement beaucoup plus, plutôt que l'école française que l'on connait tous. Pas assez non plus d'italien, à ma grande suprise. Tant pis.

[julien]

Comme beaucoup, il y a pas mal de films que j'ai pas revus depuis un moment, donc c'est loin d'être impartial. Voici déjà ce que ça donne :

Alice (Jan Švankmajer)
L’Alliance (Christian de Chalonge)
Allons Chasser dans les Bois (Jiří Brdečka)
A Mort l’arbitre (Jean-Pierre Mocky)
L’Argent de la Vieille (Luigi Comencini)
Au Feu les Pompiers !(Miloš Forman)
L’Avis des Animaux (Nick Park)
Le Baron de Crac (Karel Zeman)
Barton Fink (Joel/Ethan Coen)
La Bataille d’Alger (Gillo Pontecorvo)
La Belle Captive (Alain Robbe-Grillet)
La Bête Aveugle (Yasuzo Masumura)
La Bonne Année (Claude Lelouch)
Brazil (Terry Gilliam)
Buffet Froid (Bernard Blier)
Le Chant de la Terre (Karel Plicka)
Le Chat qui allait son Chemin tout seul (Ideya Garanina)
Les Chevaux de Feu (Sergeï Paradjanov)
La Comédie de Dieu (João César Monteiro)
Comizi d’Amore (Pier Paolo Pasolini)
Corpus Christi (Jérome Prieur/Gérard Mordillat)
Cría Cuervos (Carlos Saura)
Crimes au Musée des Horreurs (Arthur Crabtree)
Déserteurs et Nomades (Juraj Jakubisko)
Dites-lui que je l’aime (Claude Miller)
Le Dossier Adams (Errol Morris)
Double Assassinat dans la rue Morgue (Gordon Hessler)
Ecrit dans le Sable (Collectif Amber)
L’Empire des Sens (Nagisa Ôshima)
L’Epouvantail (Rolan Bykov)
Eraserhead (David Lynch)
Et Vogue le Navire (Federico Fellini)
Eugénie de Sade (Jess Franco)
Fantasia (Collectif Disney)
Festen (Thomas Vinterberg)
La Fiancée du Spectre (Josef Kábrt)
La Fille de Ryan (David Lean)
French Connection (William Friedkin)
La Grand-mère Cybernétique (Jiří Trnka)
L’Harmonica de Verre (Andreï Khrjanovski)
Histoire(s) du Cinéma (Jean-Luc Godard)
L’Homme qui plantait des Arbres (Frédéric Back)
L’Horrible, Bizarre et Incroyable Aventure de Monsieur Tête (Jan Lenica)
L’Inconnu (Tod Browning)
L’Inde Fantôme (Louis Malle)
L’Invasion des Profanateurs (Philip Kaufman)
L’Invention Diabolique (Karel Zeman)
Le Jardin de Prométhée (Bruce Bickford)
Jean de Florette/Manon des Sources (Claude Berri)
Le Joli Mai (Chris Marker)
Journal d’une Fille Perdue (Georg Wilhelm Pabst)
King Kong (Merian C. Cooper/Ernest B. Schoedsack)
Koyaanisqatsi (Godfrey Reggio)
Le Labyrinthe du Pouvoir (Peter Weigl)
Le Locataire (Roman Polanski)
Macadam Cowboy (John Schlesinger)
Mais ne nous Délivrez pas du Mal (Joël Séria)
La Maladie de Hambourg (Peter Fleischmann)
Maugli (Roman Davidov)
Music Lovers (Ken Russell)
Le Mystère Andromède (Robert Wise)
La Nuit des Morts Vivants (George Romero)
L’Obsédé (William Wyler)
Les Oiseaux (Alfred Hitchcock)
Opération Peur (Mario Bava)
Le Parfum Mortel (Václav Bedrich)
Paysage dans le Brouillard (Théo Angelopoulos)
La Petite Sirène (Roger Andrieux)
Phase IV (Saul Bass)
The Pillow Book (Peter Greenaway)
La Planète Sauvage (René Laloux)
Playtime (Jacques Tati)
Du Poison pour les Fées (Carlos Enrique Taboada)
Possession (Andrzej Zulawski)
Les Possibilités du Dialogue (Jan Švankmajer)
Préparez vos Mouchoirs (Bertrand Blier)
Prospero’s Books (Peter Greenaway)
Répulsion (Roman Polanski)
Le Retour de Frankenstein (Terence Fisher)
Rhythm is It ! (Thomas Grube/Enrique Sánchez Lansh)
Rosas Danst Rosas (Thierry de Mey)
Le Songe d’un Homme Ridicule (Alexandre Petrov)
Soudain, je fus surprise par la Nuit (Juraj Herz)
Souvenir de la Maison Jaune (João César Monteiro)
Steps (Zbigniew Rybczyński)
Steve Reich : City Life (Manfred Waffender)
Stranger than Paradise (Jim Jarmusch)
Le Tambour (Volker Schlöndorff)
Le Temps des Gitans (Emir Kusturica)
Terre sans Pain (Luis Buñuel)
Toby Dammit (Federico Fellini)
Toto le Héros (Jaco van Dormael)
Trois Contes (Beryl Korot)
Un Chien Andalou (Luis Buñuel)
Un Cœur en Hiver (Claude Sautet)
Un Homme qui Dort (Georges Perec/Bernard Queysanene)
Valérie et la Semaine des Miracles (Jaromil Jireš)
Videodrome (David Cronenberg)
Les Vieilles légendes Tchèques (Jiří Trnka)
Voisins (Norman McLaren)

Par contre pour le "Top 10", j'en sais vraiment rien... Les 100 ont pour moi tous autant leur place.

[Truffaut Chocolat]

Double Assassinat dans la rue Morgue (Gordon Hessler)

C'est la 1e fois que j'entends parler en bien de ce film.

Histoire(s) du Cinéma (Jean-Luc Godard)

Yes.
Je ne le regarderais pas tous les jours mais c'est vrai que c'est immense.

[julien]

Double Assassinat dans la rue Morgue (Gordon Hessler)

C'est la 1e fois que j'entends parler en bien de ce film.

Ah oui ? Pourtant c'est un film assez remarquable au niveau de la structure. On dirait un peu du Resnais. C'est complètement éclaté. Ça a sans doute dû dérouter ceux qui s'attendaient à y voir un film d'horreur plus traditionnel, dans l'esprit de ceux de Roger Corman. D'ailleurs les distributeurs avaient demandé à ce que les scènes oniriques soient colorisés par des teintes uniques, pour permettre au spectateur de mieux s'y retrouver. Ce qui était évidemment une erreur. Je crois que le film s'est pas mal vautré d'ailleurs au box-office...

Delicatessen

Je voulais le mettre celui-là aussi mais je l'ai pas revu depuis un bail mais je pense que ça a sans doute dû bien vieillir. J'avais pas tellement aimé par contre le suivant.

[Major Tom]

Joli top, assez surprenant, je ne m'attendais pas à ceux-là :

L’Empire des Sens (Nagisa Ôshima)
Eugénie de Sade (Jess Franco)
Mais ne nous Délivrez pas du Mal (Joël Séria)
Possession (Andrzej Zulawski)

Toby Dammit (federico Fellini)

Yes!

[julien]

Ah oui le film de Fellini, j'ai toujours était très amateur. J'adore la scène d'ouverture dans l'aéroport. C'est complètement surréaliste. C'est l'un des premiers films qu'il a fait en couleur. A cette époque, il prenait du LSD. Je pense que ça a dû certainement l'influencé au niveau de l’esthétique visuelle de ce film, très particulière ; même si on y perçoit aussi nettement l'influence de Mario Bava.

[Major Tom]

Ah oui le film de Fellini, j'ai toujours était très amateur. J'adore la scène d'ouverture dans l'aéroport. C'est complètement surréaliste. C'est l'un des premiers films qu'il a fait en couleur. A cette époque, il prenait du LSD. Je pense que ça a dû certainement l'influencé au niveau de l’esthétique visuelle de ce film, très particulière ; même si on y perçoit aussi nettement l'influence de Mario Bava.

Il est dans mon top aussi (j'ai viré aussi les deux autres sketches même si le Louis Malle n'était pas si mal, mais face à Fellini, quoi...). Effectivement, d'entrée de jeu avec la scène dans l'aéroport, on est avertis. il y a mille idées à la minute dans ce petit film, Terence Stamp est très bon, et cette fin... c'est un vrai cauchemar sur pellicule. (J'écoute d'ailleurs la BO là).

[ed]

C'est l'un des premiers films qu'il a fait en couleur.

Sauf erreur de ma part, c'est le troisième : le premier, c'était le sketch réalisé pour Boccace 70, pas mal barré aussi.
Voilà ce que j'en disais il y a quelques années :

Par ailleurs, Fellini, à la recherche de nouvelles formes d’expression, décide que cet épisode sera son premier travail en couleur. Interrogé à ce sujet par Giovanni Grazzini, Fellini expliquait que, selon lui, « un film en noir et blanc est toujours préférable à un film en couleur laid, surtout si l’on pense à quel point un emploi plat ou sottement naturaliste de la couleur peut appauvrir l’imagination. » Quand choisir la couleur, alors ? « Quand c’est le film lui-même qui nous apparaît sous cet aspect, quand ses premières images se révèlent à nous en couleurs, et la couleur devient un matériau totalement expressif, elle devient histoire, structure, sentiment du film, le moyen par quoi traduire, raconter tout. Comme dans le rêve, où la couleur est concept, sentiment. » Dès les premières secondes du film, on est frappé par cette utilisation anti-naturaliste au possible, qui construit, par le contraste des couleurs (le rouge criard des soutanes et le blanc/jaune des écolières) et la géométrie des cadrages, un univers propre, cohérent et flamboyant. D’une certaine manière, La Tentation du Docteur Antonio est un palier dans la carrière du cinéaste, dans le sens où c’est l’irruption de la couleur qui achève le basculement du style du cinéaste, pour schématiser, de l’héritage du néo-réalisme vers l’onirisme pur.

[julien]

OK Ed, merci pour la précision. Voici ce que je disais du film d'ailleurs, sur un autre forum que tu as bien connu :

Dans Toby Dammit, un court-métrage des Histoires Extraordinaires d’après les contes d’Edgar Allan Poe, l’acteur anglais Toby Dammit, joué par Terence Stamp vient à Rome pour tourner un western catholique. L’acteur habillé comme une pop star, visage pâle, les yeux cerclés de noir est très porté sur la boisson. Il est tourmenté par les apparitions fantomatiques d’une mystérieuse fillette qui se révèle être le Diable. Aux questions que lui pose la présentatrice Tv, il répond avec une indifférence détachée. "Prenez vous du LSD ou d’autre drogues ? " "Toutes les drogues… " répond-il. "Pourquoi ? " "Pour redevenir normal ".
Dans ce film, les couleurs sont poussées à l’extrême. La lumière est complètement artificielle. Fellini opte pour l’étrangeté et le surnaturel en utilisant des filtres orangés dans l’aéroport ; la vision de Rome est particulièrement halluciné, avec des nuages roses à la tombée de la nuit. Les flashs incessants des journalistes et les spots lumineux qui éclairent la voiture conduisant l’acteur au studio participent à ce chaos visuel. Fellini s’explique sur ses choix esthétiques : "Celui qui rêve peut voir un pré rouge, un cheval vert, un ciel jaune et ce ne sont pas des absurdités. Ce sont des images trempées du sentiment qui les inspire".
La réalité se transforme ainsi en vision onirique. L' univers mental et dérangé de Toby Dammit. La musique de Nino Rota cultive cette même veine, partagée entre deux réalités. Celle du "cauchemar" de Dammit et de sa rencontre avec le Diable, illustrée par un motif très beau, calme et mélancolique de quelques notes jouées au piano. Les motifs pops dansant, volontairement défraîchis que l'on entend dans le Show Tv, nous ramène à une réalité plus conventionelle. Assez inhabituel chez lui, Fellini utilise une chanson pop moderne, Rubyd’Heinz Roemheld interprétée par Ray Charles pour représenter l’état d’absence dans lequel sombre peu à peu le personnage.

[Miss Nobody]

L’Inconnu (Tod Browning)

J'aimerais bien lui trouver une petite place dans mon top, à celui-là.
Va falloir que je m'y repenche... zut!

[Lune-Demi]

A moi

Top 10.
1. Alice (Neco z Alenky, 1988) de Jan Švankmajer
2. Prometheus II (Proměthěůšky, zpátky, 2014) de Ridlí Škot
3. Fin de l'agent W4C par l'intermédiaire du chien de Monsieur Foustka (Konec agenta W4C prostrednictvím psa pana Foustky, 1967) de Vaclac Vorlicek
4. Monsieur vous êtes veuve (Pane, vy jste vdova!, 1970) de Václav Vorlícek
5. Valérie au pays des merveilles (Valerie a týden divu, 1970) de Jaromil Jires
6. Complot de famille (1976) d'Alfred Hitchcock
7. MIG 21 Pod nohama nebe (1983) de Milan Růžička
8. La planète des vampires (Terrore nello Spazio, 1965) de Mario Bava
9. Philip Glass : mon œuvre, ma vie (2012) de Philip Glass
10. Les mésaventures d'une baraque aux poutres pourries (2012) d'Alan Smithee

Bon après j'avoue que je me suis forcé hein. Aimer plus de 50 films ça me paraît déjà surhumain.


Alouettes, un fil à la patte (Skrivanci na niti, Jiri Menzel, 1969)
Les amours d'une blonde (Lásky jedné plavovlásky, 1964) de Miloš Forman
L'année des treize lunes (In einem Jahr mit 13 Monden, 1978) de Rainer Werner Fassbinder
Au feu les pompiers (Hoří, má panenko, 1967) de Miloš Forman
Le Baron de Crac (Baron Prásil, 1962) de Karel Zeman
Body Double (1984) de Brian De Palma
Cendres et diamant (Popiół i diament, 1958) d'Andrzej Wajda
La Clé (1983) de Tinto Brass
Comment noyer le Dr Mracek, ou la fin des ondins en Bohème (Jak utopit Dr. Mracka aneb konec vodniku v Cechach, 1974) de Václav Vorlícek
Le Crabe aux pinces d'or (1947) de Claude Misonne
Du courage pour chaque jour (Kazdy den odvahu, 1964) d'Evals Schorm
L'École élémentaire (Obecná škola, 1991) de Jan Svěrák
La fête et les invités (O slavnosti a hostech, 1966) de Jan Nemec
Film socialisme (2010) de Jean-Luc Godard
Le Flic de Beverly Hills 3 (1994) de John Landis
La Grand-mère Cybernétique (Kybernetická babička, 1962) de Jiří Trnka
Les Hommes sans ailes (Muzi bez krídel, 1946) František Čáp
L’Horrible, Bizarre et Incroyable Aventure de Monsieur Tête de Jan Lenica
L'incinérateur de cadavres (Spalovač mrtvol, 1968) de Juraj Herz
Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008) de Steven Spielberg
Jabberwocky ou les vêtements de paille d'Hubert Paglia (Zvahlav aneb Saticky Slameného Huberta, 1971) de Jan Švankmajer
Katapult (1984) de Jaromil Jires
Kolya (1996) de Jan Svěrák
Le manuscrit trouvé à Saragosse (Rękopis znaleziony w Saragossie, 1965) de Wojciech Has
Mère Jeanne des anges (Matka Joanna od aniolów, 1961) de Jerzy Kawalerowicz
Marketa Lazarova (1967) de Frantisek Vlacil
Le marteau des sorcières (Kladivo na carodjenice, Otakar Vavra, 1970)
Le Miroir aux alouettes (Obchod na korze, 1965) de Ján Kadár et Elmar Klos
Musíme si pomáhat (2000) de Jan Hrebejk
Les Nuits de Prague (Pražské Noci, 1968) Miloš Makovec, Jiří Brdečka et surtout Evald Schorm
Les petites marguerites (Sedmikrásky, 1966) de Věra Chytilová
Phase IV (1974) de Saul Bass
Les Oiseaux, les Orphelins et les Fous (Vtáčkovia, siroty a blázni, 1969) de Juraj Jakubisko
Qui veut tuer Jessie ? (Kdo chce zabit Jessi ?, 1966) de Vaclav Vorlicek
Survivre à sa vie (Théorie et pratique) (l Prezít svuj zivot [teorie a praxe], 2010) de Jan Švankmajer
Tmavomodrý svet (2001) de Jan Sverák
Trains étroitement surveillés (Ostře sledované vlaky, 1966) de Jiří Menzel
Les Trois cheveux d'or du grand-père omniscient, réalisé en 1963 par Jan Valášek
Trois noisettes pour Cendrillon (Tri orísky pro Popelku, 1973) de Václav Vorlíček
Tommy (1975) de Ken Russell
Ton vice est une chambre close dont moi seul ait la clé (1972) de Sergio Martino
Un jour, un chat... (Až přijde kocour, 1963) de Vojtěch Jasný.
Un message ambigu sur la fin du monde (Nejasná zpráva o konci sveta, 1997) de Juraj Jakubisko
La vie et les aventures peu ordinaires du soldat Ivan Tchonkine (Život a neobyčejná dobrodružství vojáka Ivana Čonkina, 1994) de Jiří Menzel

[ed]

OK Ed, merci pour la précision. Voici ce que je disais du film d'ailleurs, sur un autre forum que tu as bien connu

J'avais pas lu ça (j'avais du être dégagé avant ), mais je viens de survoler ton dossier "pop", y'a plein de choses intéressantes

[Anorya]

Alice (Jan Švankmajer)
La Bête Aveugle (Yasuzo Masumura)
Cría Cuervos (Carlos Saura)
L’Empire des Sens (Nagisa Ôshima)
Histoire(s) du Cinéma (Jean-Luc Godard)
La Nuit des Morts Vivants (George Romero)
L’Obsédé (William Wyler)
Les Oiseaux (Alfred Hitchcock)
Phase IV (Saul Bass)
The Pillow Book (Peter Greenaway)
La Planète Sauvage (René Laloux)
Les Possibilités du Dialogue (Jan Švankmajer)
Valérie et la Semaine des Miracles (Jaromil Jireš)
Videodrome (David Cronenberg)

Cela aurait été un top 200, on les aurait retrouvés ceux-là dans mon top. Phase IV et la planète sauvage auraient pu y être de justesse d'ailleurs.
Content de voir les Histoire(s) du cinéma même si j'y vois plus une série (si,si) qu'un film.

Au Feu les Pompiers !(Miloš Forman)
La Bataille d’Alger (Gillo Pontecorvo)
La Belle Captive (Alain Robbe-Grillet)
Les Chevaux de Feu (Sergeï Paradjanov)
Et Vogue le Navire (Federico Fellini)
La Fille de Ryan (David Lean)
Journal d’une Fille Perdue (Georg Wilhelm Pabst)
Mais ne nous Délivrez pas du Mal (Joël Séria)
Music Lovers (Ken Russell)
Le Mystère Andromède (Robert Wise)
Possession (Andrzej Zulawski)
Le Tambour (Volker Schlöndorff)
Toby Dammit (Federico Fellini)

J'enrage de ne les avoir toujours pas vus ceux-là, des fois...

[Truffaut Chocolat]

Delicatessen

Je voulais le mettre celui-là aussi mais je l'ai pas revu depuis un bail mais je pense que ça a sans doute dû bien vieillir. J'avais pas tellement aimé par contre le suivant.

Oui je trouve, parce que c'est un univers vraiment atypique, qui n'a pas été si copié et banalisé que ça.
C'est resté frais.

[hellrick]

C'est la 1e fois que j'entends parler en bien de ce film.

Ah oui ? Pourtant c'est un film assez remarquable au niveau de la structure. On dirait un peu du Resnais. C'est complètement éclaté. Ça a sans doute dû dérouter ceux qui s'attendaient à y voir un film d'horreur plus traditionnel, dans l'esprit de ceux de Roger Corman. D'ailleurs les distributeurs avaient demandé à ce que les scènes oniriques soient colorisés par des teintes uniques, pour permettre au spectateur de mieux s'y retrouver. Ce qui était évidemment une erreur. Je crois que le film s'est pas mal vautré d'ailleurs au box-office...

Je ne l'ai pas encore vu mais j'ai acheté le dvd voici quelques temps