Re: Le cinéma français contemporain
Publié : 20 nov. 19, 23:27
Ils auraient dû mettre sur l'affiche "par le scénariste du Faucon".Supfiction a écrit :COMMENT JE SUIS DEVENU SUPER-HÉROS
Le nouveau pari audacieux de Alain Attal.
Ils auraient dû mettre sur l'affiche "par le scénariste du Faucon".Supfiction a écrit :COMMENT JE SUIS DEVENU SUPER-HÉROS
Le nouveau pari audacieux de Alain Attal.
Ah je pensais franco belge ?Rockatansky a écrit :Bon déjà c'est belge, et perso j'ai pas trop accroché alors que j'en attendais beaucoup.
Non pas de HS.Arn a écrit :Ah ok bon désolé si un peu HS ici alors
Ces films-là sont préalablement sortis en salles aux Etats-Unis, non ? Je le suppose puisque deux d’entre eux sont nommés aux Oscars. J’imagine donc que c’est la fenêtre d’exploitation vidéo qui est concernée, et qu’ils sortiront là-bas sur des plateformes plutôt qu’en physique (à moins que l’un n’empêche pas l’autre ?).cinephage a écrit :Ponctuellement, ces achats sont normaux, mais le problème de ce type d'achat, à terme, c'est qu'en permettant aux plateformes d'acquérir les titres les plus attractifs, le cinéma en salle finisse par se retrouver avec les restes, des films moins bons ou moins fédérateurs, qui éloigneraient encore plus le public...
A moins qu'à l'inverse, en permettant à un public plus large que le seul public art & essai, les plateformes étendent le gout de leur public à des films plus pointus, plus personnels. Mais je crois assez peu à cette tendance. Quand j'entends des gens pas spécialement cinéphiles discuter de Netflix, ils ne regardent pas The Irishman ni Roma...
Certains de ces films ont bénéficié d'une sortie ponctuelle et événementielle dans 3 ou 4 salles, mais c'est tout. En l'occurrence, pour autant que je le sache, il n'y a pas de nécessité de sortir en salle pour bénéficier de nomination aux oscars.-magik- a écrit :Ces films-là sont préalablement sortis en salles aux Etats-Unis, non ? Je le suppose puisque deux d’entre eux sont nommés aux Oscars. J’imagine donc que c’est la fenêtre d’exploitation vidéo qui est concernée, et qu’ils sortiront là-bas sur des plateformes plutôt qu’en physique (à moins que l’un n’empêche pas l’autre ?).cinephage a écrit :Ponctuellement, ces achats sont normaux, mais le problème de ce type d'achat, à terme, c'est qu'en permettant aux plateformes d'acquérir les titres les plus attractifs, le cinéma en salle finisse par se retrouver avec les restes, des films moins bons ou moins fédérateurs, qui éloigneraient encore plus le public...
A moins qu'à l'inverse, en permettant à un public plus large que le seul public art & essai, les plateformes étendent le gout de leur public à des films plus pointus, plus personnels. Mais je crois assez peu à cette tendance. Quand j'entends des gens pas spécialement cinéphiles discuter de Netflix, ils ne regardent pas The Irishman ni Roma...
Au temps pour moi, je pensais que les films étrangers étaient soumis au même règlement que les catégories principales.cinephage a écrit :Certains de ces films ont bénéficié d'une sortie ponctuelle et événementielle dans 3 ou 4 salles, mais c'est tout. En l'occurrence, pour autant que je le sache, il n'y a pas de nécessité de sortir en salle pour bénéficier de nomination aux oscars.-magik- a écrit : Ces films-là sont préalablement sortis en salles aux Etats-Unis, non ? Je le suppose puisque deux d’entre eux sont nommés aux Oscars. J’imagine donc que c’est la fenêtre d’exploitation vidéo qui est concernée, et qu’ils sortiront là-bas sur des plateformes plutôt qu’en physique (à moins que l’un n’empêche pas l’autre ?).
Les quatre films mentionnés par Supfiction sont tous sortis en salles en France. C'est donc uniquement de leur sortie, ou non-sortie, dans les salles des USA qu'il est question... sachant que ce n'est de toute façon pas là que le cinéma français fait ses plus grosses recettes. Ci-dessous un graphique des résultats (provisoires) du cinéma français à l'export en 2019 (incluant aussi les plateformes VOD) :cinephage a écrit :Ponctuellement, ces achats sont normaux, mais le problème de ce type d'achat, à terme, c'est qu'en permettant aux plateformes d'acquérir les titres les plus attractifs, le cinéma en salle finisse par se retrouver avec les restes, des films moins bons ou moins fédérateurs, qui éloigneraient encore plus le public...