Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda - 1963)

Rubrique consacrée aux DVD de films tournés avant 1980.

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hellrick
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par hellrick »

Encore une fois je trouve que dire que la copie est exécrable ou infâme c'est vraiment y aller fort...elle n'est pas de première fraicheur mais on est loin d'une copie irregardable...
Enfin ayant découvert la plupart de ces films en VHS je suis surement moins regardant :wink:
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jacques 2
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par jacques 2 »

Disons que je désirais manifester mon mécontentement et ma déception, à la mesure de mes attentes par rapport à ce film ...
Dommage, si les gens d'Artus n'avaient pas de meilleure copie (ce qui est compréhensible), qu'ils n'aient pas fait un autre choix éditorial (en éditant par exemple, "l'effroyable secret du professeur hichcock" dont il existe de belles copies)

Mais bon : chacun est prévenu et jugera que c'est un grand problème - ou ne l'est pas - suivant ses exigences en matière d'image : je répète que c'est à peine mieux qu'une VHS (même si c'est du 16/9) et donc insuffisant ...
Toutefois, je reconnais avoir été trop dur vis à vis de l'éditeur qui est visiblement de bonne foi (j'ai rattrapé le coup en éditant sa réponse intégrale) : à chacun désormais de s'accommoder (ou pas) d'une édition aussi imparfaite ... :?
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par jacques 2 »

Eh bien voilà : ARTUS édite en juin "L'effroyable secret du professeur Hichcock", un des sommets (sinon LE ...) du gothique transalpin ...

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=7252

En espérant une belle copie : le film la mérite ... :|
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hellrick
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par hellrick »

C'est une sacré bonne nouvelle, d'autant qu'en tout ce sera 4 films gothiques italiens qui vont sortir en juin (en coffret?) dont le très bis et rigolo Vierges pour le bourreau :D
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par jacques 2 »

hellrick a écrit :C'est une sacré bonne nouvelle, d'autant qu'en tout ce sera 4 films gothiques italiens qui vont sortir en juin (en coffret?) dont le très bis et rigolo Vierges pour le bourreau :D
Miam ... :)

Quels sont les autres titres stp ? :wink:
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locktal
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par locktal »

Les 4 titres italiens prochainement édités par Artus films sont :

- Des vierges pour le bourreau (Massimo Pupillo)
- L'effroyable secret du docteur Hichcock (Riccardo Freda)
- L'orgie du vampire (Renato Polselli)
- Chacun pour soi (Giorgio Capitani)
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par jacques 2 »

Merci ... :wink:

"L'orgie du vampire" c'est du vrai nanar que certains esthètes du genre apprécieront sans doute ...

"Chacun pour soi" , j'avoue ne pas connaître du tout ... :?

Les deux premiers, j'achète en tout cas sans réserves ... 8)
Anecdotiquement parlant, le bourreau des "vierges ...", c'était Mickey Hargitay, le papa de la belle Mariska (la détective Benson de "NY unité spéciale) ...
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par locktal »

Je n'ai vu que le film de Freda qui est effectivement un superbe film gothique, avec une Barbara Steele envoûtante...

Les 3 autres films, je serai tout de même curieux de les découvrir, surtout Des vierges pour le bourreau !
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par jacques 2 »

Reçu et un peu "picoré" les dvds de "L'effroyable secret ... " et de "vierges pour le bourreau" ...

J'avais été probablement excessif dans ma critique négative - au niveau technique - du dvd du "spectre ..." : raison de plus pour être correct vis à vis d'Artus en soulignant que les copies sont ici d'excellente qualité : tant mieux compte tenu du côté baroque et coloré des opus ...

Et la présence, parmi les bonus, de nombreuses reproductions d'affiches d'époque fera la joie des nostalgiques (Francis Moury, par exemple) de cette belle époque du cinébis ...

Des disques très recommandables donc : Hellrick, entre autres, si tu me lis ... :wink:
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par hellrick »

jacques 2 a écrit : Des disques très recommandables donc : Hellrick, entre autres, si tu me lis ... :wink:
Artus me les a envoyé également, comme d'hab (merci Artus!) de belles éditions et un joli travail sur les bonus...Voici ma chronique de Vierges pour le bourreau: http://bis.cinemaland.net/html/movies/b ... orrors.htm

Tu peux t'abstenir pour l'Orgie des vampires, une curiosité plutôt chiante et "portnawak" dans la tradition de Polselli :fiou:
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francis moury
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda)

Message par francis moury »

Etant donné que je découvre à l'occasion de ma critique de LO SPETTRO [Le Spectre du professeur Hichcock] (Ital. 1963) de Riccardo Freda - LO SPETTRO qui donne justement un de ses plans à la première de couverture du tome 2 de la nouvelle édition de MIDI-MINUIT FANTASTIQUE, en ce mois d'octobre 2015 ! - cette mise en cause de ma critique de THE MUMMY'S SHROUD [Dans les griffes de la momie] (GB 1966) de John Gilling, il ne me semble pas inutile d'y répondre, fût-ce tardivement.

Voici donc le texte intégral reproduit ici de cette critique du Gilling que j'avais publiée sur Dvdrama :

"The Mummy’s Shroud [Dans les griffes de la momie] (GB 1966) de John Gilling est, contrairement à ce qu’on
pouvait lire globalement dans les études françaises déjà parues sur la Hammer depuis sa sortie, une excellente
surprise. Certes mineur en comparaison des deux grands films que sont The Reptile [La Femme-reptile] (GB
1966) et The Plague of the Zombies [L’Invasion des morts-vivants] (GB 1966) tournés par Gilling la même
année, il demeure original et intéressant pour plusieurs raisons, même si son canevas (retour à la vie d’une
momie) est identique à ceux de la quinzaine de films produits par la Universal puis la Hammer, depuis le très
beau The Mummy [La Momie] (USA 1933) de Karl Freund jusqu’au méconnu Blood from the Mummy’s
Tomb
(GB 1971) de Seth Holt et Michael Carreras.
Tout d’abord un beau pré-générique situé en Égypte antique qui est très différent de celui de The Mummy [La
Malédiction des pharaons]
(GB 1959) de Terence Fisher, auquel on songe à le comparer, dans la mesure où il
comporte toute une partie tournée en beaux extérieurs et où l’intrigue en est toute différente. Le reste du film est
intégralement situé en Égypte contemporaine où les décors de Bernard Robinson sont mis à contribution pour
reconstituer des fouilles sépulcrales, des intérieurs d’hôtels, des rues, un musée tous admirables plastiquement.
Gilling reconstitue comme à son habitude une « communauté criminelle » inquiétante qui manipule ici la momie
d’une manière très savoureuse, et filme des meurtres spectaculaires de cruauté et de violence. Sa mise en scène
alterne assez nerveusement souples travellings glacés et très beaux plans fixes. Le scénario de Gilling d’après
une histoire originale de John Elder (alias Anthony Hinds) introduit par ailleurs un thème oedipien assez
étrange : l’épouse de Preston et son fils lui sont opposés à mesure que la peur envahit la conscience de leur mari
et père respectif. Le thème du médium est dédoublé : une Anglaise (jouée par la très belle Maggie Kimberley) et
une Égyptienne (jouée par Catherine Lacey) se partagent ce don mi-bénéfique, mi-maléfique. Autre intérêt : le
rôle important et étonnant composé par l’acteur Michael Ripper, tout à fait impressionnant en être faible et
sympathique, soumis à son patron au-delà du raisonnable, et qui en mourra finalement. Le mélange d’ironie, de
peur, d’humour noir est constant : Gilling ne se permet qu’une scène franchement comique tout le long du
métrage, et très bien amenée. Certains plans sont plastiquement très beaux comme le plan final, d’une noble
poésie macabre. Cette production Seven Arts-Hammer sous la houlette d’Anthony Nelson Keys comprend les
éléments suivants : musique de Don Banks supervisée par Philip Martell, les costumes féminins composés par
Molly Arbuthnot et les costumes masculins conçus par Larry Stewart, le maquillage de George Partleton (autre
rival de Roy Ashton au sein de la Hammer), les effets spéciaux conçus par Bowie Films Ltd., le montage de
Chris Barnes supervisé par le talentueux James Needs, la direction artistique de Bernard Robinson et Don
Mingaye, un casting homogène composé de très honnêtes acteurs de second plan et d’une vedette émérite, Andre
Morell. Tout cela ajouté aux éléments déjà décrits permet d’apprécier pleinement ce que la qualité Hammer
apporte, en dépit d’un budget restreint mais utilisé à plein rendement, lorsque des cinéastes talentueux sont aux
commandes. Injustement méprisé, Dans les griffes de la momie est un Gilling passionnant, incontournable à
une connaissance intégrale de sa filmographie, dont il n’est nullement un élément négligeable.

NB : le titre original signifie littéralement « Le Linceul de la momie ». Mais le titre français d’exploitation de
1966, s’il est moins poétique car se voulant plus efficace, ne manque pas non plus de pertinence. On vous laisse
découvrir la grande scène de la mort de Sir Basil (joué par le grand Andre Morell) sans vous en dire plus.

Francis Moury"


En le relisant ce soir, presque dix ans après sa parution sur un site internet disparu, je ne crois pas avoir été trop excessif concernant ce Gilling. J'ai immédiatement, dès le début du texte, souligné (je le souligne ici physiquement par les balises HTML) que ce Gilling n'est pas un Gilling majeur - j'ai donc écrit en toutes lettres qu'il est mineur - mais j'ai ensuite détaillé en quoi il est intéressant, en quoi il constitue une "excellente surprise". Il faut bien se souvenir que ce film était invisible depuis plusieurs dizaines d'années dans le circuit commercial d'exploitation. Mis à part, peut-être un ou deux passages erratiques à la C.F., le cinéphile de 2005 n'en conservait que les traces critiques imprimées au moment de sa sortie et que les traces critiques imprimées dans diverses études sur l'histoire et l'esthétique du cinéma fantastique. On en disait en général du mal un peu partout. Ce film, certes mineur, ne mérite pas cet excès d'indignité et j'espère que la lecture de mon texte, dix ans après sa parution, cinq ans après son attaque par "Jacques 2" ici même, permettra d'en discerner les raisons historiques et esthétiques.

PS sur LO SPETTRO et son édition par Artus
Je maintiens que cette édition DVD montrait pour la première fois en France le film de Freda dans son format respecté. Etant donné qu'Ecran Large ne fournit plus sur son site internet que ma critique mais qu'il est actuellement impossible de lire mon test technique de l'image, du son, de l'interactivité, je crois non moins inutile de reproduire ce que j'écrivais à leur sujet en 2010 :

"DVD-9 zone 2 PAL Artus films – sortie Paris 5 octobre 2010
Durée vidéo PAL :90’45’’ ou 1H30min45sec. - 1.66 Technicolor 16/9 – Son VOSTF + VF – Suppléments
LE SPECTRE DU PROFESSEUR HICHCOCK
[LO SPETTRO / THE GHOST
] (Ital. 1963) de Riccardo FREDA
FICHE TECHNIQUE SUCCINCTE
Prod.: Luigi Carpentieri & Ermmanno Donati (Panda Films, Italie)
Réal.: Riccardo Freda (alias « Robert Hampton »)
Scn. : Riccardo Freda & Oreste Biancholi
Dir. Ph. : Raffaele Masciocchi
Mont. Ornella Micheli
Mus.: Franco Mannino
Edition DVD Artus Films (France)
CASTING SUCCINCT
Avec : Barbara Steele (Margareth), Peter Baldwin (le médecin), Elio Jotta (Hichcock), Harriet
White Medin (la gouvernante médium), Umberto Rao (le prêtre), etc.
IMAGE
Format 1.66 respecté, en Technicolor compatible écran large 16/9. Image chimique moyenne : rayures,
instabilité (lorsque le malade est couché dans son lit), brûlures de cigarette. Définition du pré-générique
nettement inférieure à celle du restant du film : une fois le générique d’ouverture (anglicisé par des
pseudonymes, sauf Barbara Steele, Peter Baldwin et Harriet White) passé, les choses s’améliorent
heureusement. Progrès considérable comparé à l’ancienne VHS sortie sous le titre La Dernière phase mais
progrès insuffisant en songeant à ce que pourrait donner une véritable restauration, si on se dotait des moyens
nécessaires. Ne faisons pas la fine bouche, cependant, excessivement : nous attendons un tel DVD depuis les
débuts du support, donc presque quinze ans. La prochaine étape sera un Blue-ray à l’image réellement parfaite
mais peut-être ne viendra-t-il pas avant dix ou quinze ans de plus…
Note : 7/10
SON
VF mono d’époque entrecoupée de VanglaiseSTF durant le pré-générique puis VF d’époque sans interruption.
Excellent doublage (dont le réalisateur et les acteurs étaient crédités sur le générique francophone conservé
par la VHS Secam française La Dernière phase) sauf un point amusant : le nom « Hichcock » est prononcé
plus d’une fois comme s’il s’agissait du nom du cinéaste Alfred Hitchcock : le « t » est entendu. La version
anglaise est la version originale puisque le film fut tourné en anglais mais elle demeure dramaturgiquement
inférieure à la VF d’époque. Musique honnête mais nettement inférieure à celle composée par Roman Vlad
l’année précédente pour Raptus [L’Effroyable secret du docteur Hichcock] (Ital. 1962) de Riccardo Freda.
Note : 7/10
BONUS
1) Galerie affiches et photos : plusieurs affiches, trois photos d’exploitation, une dizaine de photos de
plateau ou de photos d’exploitation détourées. Bel effort qu’il faut saluer. Une des photos de plateau,
celle montrant un gros plan de Barbara Steele angoissée, a servi de couverture au numéro 10-11 de la
revue Midi-Minuit fantastique, éd. Le Terrain vague, Paris hiver 1964-1965.
2) Présentation du film par Alain Petit (durée 30 min. environ, 16/9) : les documents de la galerie en
question proviennent de la riche collection d’Alain Venisse dont on lisait les articles sur le cinéma-bis et
le cinéma fantastique dans les éditions françaises de Creepy, Eery et Vampirella, dans les années
1970. Les riches détails filmographiques et biographiques concernant le réalisateur et les acteurs, sont
très bien illustrés par de nombreuses affiches. Quelques points de la présentation demeurent
évidemment sujets à caution : par exemple, Freda n’est pas le premier cinéaste italien à avoir filmé du
fantastique. Il y avait eu des péplums italiens fantastique à l’époque du cinéma muet ! Sur la carrière de
la comédienne Harriet White Medin (qui avait débuté avec Roberto Rossellini dans Païsa) et sur sa
rencontre avec Riccardo Freda, nous recommandons de compléter ce que dit Petit par la lecture de
l’entretien de la comédienne avec Tim Lucas paru dans l’excellent petit fanzine américain
VidéoWatchdog N°22, mars-avril 1994, pp.32-52.
3) Bandes-annonces d’une dizaine de films édités par Artus : aventure, fantastique, films de prisons de
femmes, etc. : ce sont parfois les B.A. originales, parfois des B.A. montées par Artus directement.
Note : 8/10"
Francis Moury


PS 2 sur l'évaluation numérique et l'évaluation chimique d'un film
L'évaluation numérique est secondaire par rapport à l'évaluation chimique, dans le cadre d'un test technique. Le premier élément qui doit déterminer le jugement est celui du respect du format du film. Ce point est aussi fondamental en histoire du cinéma qu'en histoire de la peinture. Ensuite, vient la restitution de la texture de la toile, de la définition, des profondeurs de noirs mais elles sont, en réalité, déterminées par le respect du cadre initial.
Quant aux brûlures de cigarettes, aux rayures, au défauts de la piste son, ce sont des éléments négligeables par rapport aux éléments précédents : je renvoie, à leur sujet, aux beaux textes de Mathis sur certains Dvd Artus, parus sur Influences. On pourra y lire quelques discussions entre nous sur certains aspect esthétiques, historiques, techniques de certains films de leur catalogue, à commencer par Raptus / L'Orribile Segreto del Dr. Hichcock [L'Effroyable secret du Dr. Hichcock] (Ital. 1962) de Riccardo Freda.
"Felix qui potuit rerum causas cognoscere "
francis moury
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Re: Le spectre du professeur Hichcock (Riccardo Freda - 1963

Message par francis moury »

Soit dit en passant, je précise à toutes fins utiles, pour ceux qui l'ignorent encore, que l'image de la première de couverture du tome 2 de la nouvelle édition revue et augmentée de MIDI-MINUIT FANTASTIQUE aux éditions Rouge profond, provient de LE SPECTRE DU PROFESSEUR HICHCOCK.
Voir le sujet consacré à cette réédition dans la rubrique "livres" ici-même, où on peut contempler cette image

http://www.google.co.th/imgres?imgurl=h ... YwodURYPIw

dont j'approuve le choix : c'est un plan magnifique de Barbara Steele. On peut, dans les suppléments du DVD Artus, observer une ou deux photos d'exploitation et de plateau qui en fournissent des variantes N&B puisque, à cette époque, les films couleurs étaient encore souvent dotés d'un matériel publicitaire N&B., l'inverse étant aussi possible.
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