Nip/Tuck (saison 3)
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Nip/Tuck (saison 3)
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SPOILERXuxu a écrit :J'ai raté les derniers, il se passe quoi ?bibou a écrit :Je suis trop impatiente, j'ai cru que j'allais pleurer au dernier épisode
Dans le dernier épisode, Christian, l'un des deux chirurgiens plastiques se fait agresser chez lui par le"découpeur"... Le"découpeur apparait toujours masqué et les derniers épisodes laissent planer le doute sur son identité... Sean reçoit des menaces de celui ci puisqu'il répare le visage de ses victimes! Le découpeur anesthésie les femmes et leur fait le sourire de l'ange. Il est furieux après Sean et celui ci est agressé une première fois par le fou mais il le menace juste. Sean décide de continuer à opérer ses victimes et se prépare à piéger le malade (il pense qu'il va venir l'agresser chez lui)...
Mais, dans les dernières minutes de l' épisode, le spectateur se rend compte que le malade décide de s'attaquer à Christain qui dort profondément, c'est extrêmement flippant et ca s'arrête là!
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Le premier épisode a été diffusé mardi sur FX donc on a un peu de temps avant la diffusion sur Paris Première mais je crois qu'ils ont l'intention de faire très vite (genre janvier un truc comme ça).
M6 devrait suivre rapidement.
Enfin les impatients savent comment faire...
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3.01 Momma Boone (Garanti sans spoilers concernant cet épisode)
Episode spécial d'une heure.
Reprise de la saison en grande pompe.
Ryan Murphy, malin comme un singe, trouve une alternative intéressante et plutôt bien pensé au vu du cliffangher de la saison passée et enchaîne de manière assez surprenante.
Le reste de l'épisode se laisse regarder, avec l'apparition de deux nouveaux personnages, dont Rhona Mitra, transfuge de Boston Legal qui voit ici enfin ses capacités vraiment mis en avant...
Passé ce season opening, on surfe toujours sur une drôle d'ambiance depuis la seconde moitié de la saison passée, précisément depuis la véritable paternité concernant Matt, mélangeant donc des moments de drames familiaux très durs à celui d'autres beaucoup plus racoleurs et tape-à-l'oeil...
En l'occurence, j'ai un peu de mal à passer de scènes comportant de gros conflits affectifs et humains très violents à des scènes très chaudes et un peu artificiels au vu de certains contextes.
Dans un sens, ça témoigne d'une certaine réalité mais en même temps, je trouve ça peu too much de passer de l'un à l'autre parfois de manière trop franche et ce nouvel épisode n'échappe pas à la règle...
Dans la saison précédente, citons par exemple L'histoire de la femme qui est un transexuel-pédophile-incesteux et qui couche avec son fils adopté : Du nawak total en somme mais assumé à 100%.
C'est peut être pour ça que la série donne envie d'être suivie : Pour son absence de tabous, son côté jusqu'au boutiste et extrême à tous les niveaux, pour voir jusqu'où les scénaristes peuvent aller...
C'est gros, hénaurme et en même temps, je crois bien que personnellement, ç'est ça qui me donne envie de continuer l'expérience Nip Tuck...
Episode spécial d'une heure.
Reprise de la saison en grande pompe.
Ryan Murphy, malin comme un singe, trouve une alternative intéressante et plutôt bien pensé au vu du cliffangher de la saison passée et enchaîne de manière assez surprenante.
Le reste de l'épisode se laisse regarder, avec l'apparition de deux nouveaux personnages, dont Rhona Mitra, transfuge de Boston Legal qui voit ici enfin ses capacités vraiment mis en avant...
Passé ce season opening, on surfe toujours sur une drôle d'ambiance depuis la seconde moitié de la saison passée, précisément depuis la véritable paternité concernant Matt, mélangeant donc des moments de drames familiaux très durs à celui d'autres beaucoup plus racoleurs et tape-à-l'oeil...
En l'occurence, j'ai un peu de mal à passer de scènes comportant de gros conflits affectifs et humains très violents à des scènes très chaudes et un peu artificiels au vu de certains contextes.
Dans un sens, ça témoigne d'une certaine réalité mais en même temps, je trouve ça peu too much de passer de l'un à l'autre parfois de manière trop franche et ce nouvel épisode n'échappe pas à la règle...
Dans la saison précédente, citons par exemple L'histoire de la femme qui est un transexuel-pédophile-incesteux et qui couche avec son fils adopté : Du nawak total en somme mais assumé à 100%.
C'est peut être pour ça que la série donne envie d'être suivie : Pour son absence de tabous, son côté jusqu'au boutiste et extrême à tous les niveaux, pour voir jusqu'où les scénaristes peuvent aller...
C'est gros, hénaurme et en même temps, je crois bien que personnellement, ç'est ça qui me donne envie de continuer l'expérience Nip Tuck...
- Coxwell
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Bon je vais peut-être me faire lyncher par la horde fans, mais j'avoue qu'arrivé à la moitié de la saison 2, je suis déçu sinon lassé.
Je trouve que la série tourne un peu à vide, et devient de plus en plus raccoleuse : on tente d'éponger le cruel manque d'innovation scénaristique par du cul à rallonge, jusqu'à plus soif, si bien que cela en devient lassant, sinon facile. Est-ce vraiment l'ultime artifice du créateur pour ratisser le plus large possible et susciter l'audimat ?
On est bien loin de l'aboutissement et de la profondeur de SFU qui sait se renouveler sans tomber dans la facilité, sinon la lourdeur.
Voilà, c'était un petit coup de gueule.
Je trouve que la série tourne un peu à vide, et devient de plus en plus raccoleuse : on tente d'éponger le cruel manque d'innovation scénaristique par du cul à rallonge, jusqu'à plus soif, si bien que cela en devient lassant, sinon facile. Est-ce vraiment l'ultime artifice du créateur pour ratisser le plus large possible et susciter l'audimat ?
On est bien loin de l'aboutissement et de la profondeur de SFU qui sait se renouveler sans tomber dans la facilité, sinon la lourdeur.
Voilà, c'était un petit coup de gueule.
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- Overdosed on Gamma-ray
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Je te rejoins absolument. J'ai arrêté de regardé cette série au tiers de la saison 2.Coxwell a écrit :Bon je vais peut-être me faire lyncher par la horde fans, mais j'avoue qu'arrivé à la moitié de la saison 2, je suis déçu sinon lassé.
Je trouve que la série tourne un peu à vide, et devient de plus en plus raccoleuse : on tente d'éponger le cruel manque d'innovation scénaristique par du cul à rallonge, jusqu'à plus soif, si bien que cela en devient lassant, sinon facile. Est-ce vraiment l'ultime artifice du créateur pour ratisser le plus large possible et susciter l'audimat ?
On est bien loin de l'aboutissement et de la profondeur de SFU qui sait se renouveler sans tomber dans la facilité, sinon la lourdeur.
Voilà, c'était un petit coup de gueule.