7swans a écrit :Quelqu'un a eu l'occasion de jeter un oeil sur Tell me you love me une nouvelle série de HBO?
J'en avais vu des bouts à la télé US il y a quelques semaines...et j'avais été sur le cul en constatant à quel point les scènes de sexe sont réalistes (je pense même qu'il y en a certaines qui ne sont même pas simulées...merci HBO) ! Par contre, tous les prétextes sont bons pour en placer le plus possible : dès qu'un couple s'embrasse, tu peux être sûr que ça se termine en ébats sexuels. Et ça dure longtemps...
Avec un petit peu d'étude de caractères au milieu de tout ça, avec aussi beaucoup de questions existentielles ("j'aime ma femme, mais je n'ai plus envie de lui faire l'amour"). Mais surtout...beaucoup de scènes de cul, donc (évidemment, les nanas sont jolies).
Cet après-midi j'ai vu le meilleur pilote de toute l'Histoire de la télévision, mais je ne peux pas en parler
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
Cosmo Vitelli a écrit :Cet après-midi j'ai vu le meilleur pilote de toute l'Histoire de la télévision, mais je ne peux pas en parler
C'est pas beau de faire de l'autosatisfaction
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit :C'est pas beau de faire de l'autosatisfaction
Tu as raison. Je rectifie donc : cet après-midi j'ai vu l'un des meilleurs pilotes de toute l'Histoire de la télévision (et c'était pas le mec qui conduit K200 hein), mais je ne peux pas en parler.
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
Dans un futur proche, où le terrorisme fait rage et où la situation économique et sociale est guère rejouissante, le gouvernement garde le secret sur l'existence des Neuros, des humains dont les gènes ont été modifiés, leur conférant des supers pouvoirs. Craignant les dérives d'individus capables de télékinésie ou télépathie, une organisation secrète est créée pour traquer ces spécimens. Jane Vasko intègre cette unité chargée de localiser et neutraliser les Neuros. La jeune femme ne tarde cependant pas à découvrir qu'elle est elle-même dotée d'une incroyable faculté à s'auto-régénérer, lui permettant de guérir rapidement à des blessures.
Puisque adapté du comics de Joe Quesada et de Jimmy Palmiotti , j'attendais cette série avec une impatience non contenue et dès les premières minutes, mon constat est immédiat : Painkiller Jane ne se contente pas d'être dôté d'une photo abominable et d'un acting des plus calamiteux ( Kristina Loken qui fait sa Jovovich à la Resident Evil style), non, il s'enfonce littéralement avec sa réalisation catastrophique et ses effets spéciaux cheap. La caméra qui file la gerbe dès qu'une séquence d'action apparait, et qui n'est pas foutu de donner un tant soi peu de corps au montage, avec des filtres gerbants au possible, le tout associé à une voix off qui vous déblatère des phrases éculées toutes les 2 minutes, Painkiller Jane est un show mort-né, moisi avant même d'exister.
Quand je pense que Sci-fi avait eu le bon goût de créer la très bonne, et très originale série Eureka l'année dernière, voilà qu'elle nous balance une mauvaise resucée de Heroes avec les moyens en moins et la nausée en plus...
Bref, une catastrophe comme je n'en avais pas vu depuis très longtemps...
La série passe sur Sci-Fi (France) en ce moment.
J'en suis au 8ème épisode. Peut-être suis-je bon public (certainement même), mais ça se laisse regarder.
Comme je n'ai pas vu un seul épisode de Heroes, je ne peux pas comparer.
Painkiller Jane me fait plutôt penser à Blade (passée également sur Sci-Fi et arrêtée après la 1ère saison).