La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
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La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Que vaut le retour de "La Fête à la Maison" après 20 ans d'attente insoutenable?
INSOUTENABLE.
Non, reprenons. Parce que déjà, qui l’attendait?
La force de Netflix, et sa démarche, c’est de créer un "facteur nostalgie". Le créer de toute pièce.
Si la série avait pu accompagner nos après midi Liptonic-Granola devant Antenne 2 en fin des années 80, début des années 90, elle n’avait jamais marqué notre enfance, en tout cas pas durablement. Trop encrée dans son époque, trop enfantine, trop naïve. Elle n’avait pas de saveur particulière, autre que de faire partie du paysage audiovisuel (ce qui est déjà beaucoup quand on a 8 ans).
Au mieux, on retenait son générique chantant, ses acteurs sympathiques (un beau trio de "papas" tout de même) et la fameuse voisine insupportable (comme dans toutes les séries de l’époque). Pas de quoi se relever la nuit, pas de quoi marquer l’inconscient collectif.
On se souvient tout de même d’avoir rêvé, un peu, de ces maisons typiques de San Francisco. Qu’on irait bien les voir un jour.
Bref, rien qui ne justifie un retour de bâton 20 ans plus tard.
Mais belle perf’ de Netflix, qui sur cette base assez molle réussit à générer la curiosité, et recréer un état qui n’existe pas. Je n’aimais pas particulièrement la série, mais elle me rappelle mon enfance. Elle me rappelle mon début d’adolescence. Je regarde… et je me retrouve à chantonner gaiement le nouveau générique, qui joue à fond la nostalgie.
Alors ce retour en lui même?
On voudrait théoriser, on dirait qu’elle joue de façon admirable ses cartes de série post-moderne.
Comment ça?
Produire en 2016, une série qui ressemblerait EXACTEMENT (dans sa mise en scène, dans son écriture, dans son interprétation) à une série de 1990, c’est un tour de force. C’est oublier volontairement le nouvelle âge d’or des séries TV, faire l’impasse sur 30 ans de création, de mutation. C’est forcément voulu, et ça permet un retour vers le passé assez intriguant. L’étrange impression de voir une série de 1986, sans les coupes mulets, sans les chemises à fleur, sans les sweats trop grands, sans le charme quoi… Seul apport très "contemporain", un second degré qui n’existait pas alors, ces regards caméras, ses références aux soeurs Olsen et parfois un peu de vulgarité (qui gâche un peu la douce naïveté de l'ensemble). Au final, on a plus l’impression de regarder un sketch parodique (type SNL) étiré sur 30 min, qu’une vraie série TV.
J’allais écrire, "c’est toujours un plaisir de revoir Danny Tanner, Joey Gladstone et surtout Jesse Katsopolis", mais on doit bien avouer qu’on les avait gentiment oubliés, mis de côté avec nos cartouches MegaDrive de Cool Spot, James Pond et Global Gladiators. Qu’ils étaient comme l’ami imaginaire de Vice Versa, qu’il avait bien fallu les laisser derrière nous pour grandir. Qu'on ne s'en portait pas plus mal.
Je ne sais pas trop de quoi je parle ici. Assez peu de la série. Je ne sais pas.
Bon, pour finir, c’est pas terrible, c’est même embarrassant. Seul surnagent les moments avec les anciens, qui sont aussi embarrassants d’ailleurs… J’en suis au 3° épisode, j’ai hâte de terminer la série, et de laisser tout ça derrière moi. Avant de me lancer dans les potentiels reboots de Code Lisa, Sauvé par le Gong, Parker Lewis ou Quoi de neuf docteur ?
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(je trouve pas une photo de paquet de Granola, avant qu’ils ne se fassent racheter par LU)
Et par moi même.
INSOUTENABLE.
Non, reprenons. Parce que déjà, qui l’attendait?
La force de Netflix, et sa démarche, c’est de créer un "facteur nostalgie". Le créer de toute pièce.
Si la série avait pu accompagner nos après midi Liptonic-Granola devant Antenne 2 en fin des années 80, début des années 90, elle n’avait jamais marqué notre enfance, en tout cas pas durablement. Trop encrée dans son époque, trop enfantine, trop naïve. Elle n’avait pas de saveur particulière, autre que de faire partie du paysage audiovisuel (ce qui est déjà beaucoup quand on a 8 ans).
Au mieux, on retenait son générique chantant, ses acteurs sympathiques (un beau trio de "papas" tout de même) et la fameuse voisine insupportable (comme dans toutes les séries de l’époque). Pas de quoi se relever la nuit, pas de quoi marquer l’inconscient collectif.
On se souvient tout de même d’avoir rêvé, un peu, de ces maisons typiques de San Francisco. Qu’on irait bien les voir un jour.
Bref, rien qui ne justifie un retour de bâton 20 ans plus tard.
Mais belle perf’ de Netflix, qui sur cette base assez molle réussit à générer la curiosité, et recréer un état qui n’existe pas. Je n’aimais pas particulièrement la série, mais elle me rappelle mon enfance. Elle me rappelle mon début d’adolescence. Je regarde… et je me retrouve à chantonner gaiement le nouveau générique, qui joue à fond la nostalgie.
Alors ce retour en lui même?
On voudrait théoriser, on dirait qu’elle joue de façon admirable ses cartes de série post-moderne.
Comment ça?
Produire en 2016, une série qui ressemblerait EXACTEMENT (dans sa mise en scène, dans son écriture, dans son interprétation) à une série de 1990, c’est un tour de force. C’est oublier volontairement le nouvelle âge d’or des séries TV, faire l’impasse sur 30 ans de création, de mutation. C’est forcément voulu, et ça permet un retour vers le passé assez intriguant. L’étrange impression de voir une série de 1986, sans les coupes mulets, sans les chemises à fleur, sans les sweats trop grands, sans le charme quoi… Seul apport très "contemporain", un second degré qui n’existait pas alors, ces regards caméras, ses références aux soeurs Olsen et parfois un peu de vulgarité (qui gâche un peu la douce naïveté de l'ensemble). Au final, on a plus l’impression de regarder un sketch parodique (type SNL) étiré sur 30 min, qu’une vraie série TV.
J’allais écrire, "c’est toujours un plaisir de revoir Danny Tanner, Joey Gladstone et surtout Jesse Katsopolis", mais on doit bien avouer qu’on les avait gentiment oubliés, mis de côté avec nos cartouches MegaDrive de Cool Spot, James Pond et Global Gladiators. Qu’ils étaient comme l’ami imaginaire de Vice Versa, qu’il avait bien fallu les laisser derrière nous pour grandir. Qu'on ne s'en portait pas plus mal.
Je ne sais pas trop de quoi je parle ici. Assez peu de la série. Je ne sais pas.
Bon, pour finir, c’est pas terrible, c’est même embarrassant. Seul surnagent les moments avec les anciens, qui sont aussi embarrassants d’ailleurs… J’en suis au 3° épisode, j’ai hâte de terminer la série, et de laisser tout ça derrière moi. Avant de me lancer dans les potentiels reboots de Code Lisa, Sauvé par le Gong, Parker Lewis ou Quoi de neuf docteur ?
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(je trouve pas une photo de paquet de Granola, avant qu’ils ne se fassent racheter par LU)
Et par moi même.
Dernière modification par 7swans le 29 févr. 16, 21:36, modifié 1 fois.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Amusant!
Tu as bien résumé la situation, mais il y a un réel publique pour ce type de série "revival", du moins aux Etats Unis...
La chaîne TVLand mise à fond sur la nostalgie de ces années 90, en produisant des séries qui font clairement échos aux anciens 20h d'M6 (The Exes, Happily Divorced avec Fran, Hot in Cleveland ou même le retour du Cosby Show).
(Malheureusement) Netflix surfe clairement sur cette tendance.
Tu as bien résumé la situation, mais il y a un réel publique pour ce type de série "revival", du moins aux Etats Unis...
La chaîne TVLand mise à fond sur la nostalgie de ces années 90, en produisant des séries qui font clairement échos aux anciens 20h d'M6 (The Exes, Happily Divorced avec Fran, Hot in Cleveland ou même le retour du Cosby Show).
(Malheureusement) Netflix surfe clairement sur cette tendance.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Oui, vite le retour de Quoi de Neuf Docteur!!! (vous croyez que Leonardo di Caprio va rempiler?)
- Joshua Baskin
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
La fête à la maison et moi c'est une longue histoire d'amour.
Pour donner un peu de contexte, j'ai découvert la série vers l'âge de 9 ans lors de sa première diffusion sur Antenne 2, période qui correspond à mon premier voyage aux US et plus particulièrement à San Francisco, ville ou se situe l'action de la série. Cette première visite à SF m'a un peu chamboulé tellement elle me semblait être un idéal de vie absolu et j'ai dû attendre de nombreuses années avant de pouvoir y revenir. (check ratatouille).
Du coup, me replonger dans la ville par le biais de cette sitcom ou tout le monde vit heureux et sous le même toit, ça m'a vraiment parlé dès l'épisode 1. J'ai vu la série de nombreuses fois lors de ses multiples diffusions et j'ai même l'intégrale (toujours pas revue d'ailleurs) en DVD.
C'est la sitcom, avec probablement Sauvés par le gong, qui m'a accompagné jusqu'à la découverte de sitcoms plus adultes tels que Friends puis Seinfeld.
Et malgré tous ses innombrables défauts, la série continue de fonctionner sur moi, sans que je me l'explique vraiment, si ce n'est un effet madeleine de Proust.
Je ne suis d'ailleurs pas le seul car la série est proche d'être culte aux US, au premier ou au second degré d'ailleurs.
20 ans plus tard donc, arrive Fuller House. Est-ce opportuniste ? Certainement. Est-ce réussi ? Pas vraiment. Pourtant est ce que ça marche (sur moi) ? Oui.
J'ai vu les 3 premiers épisodes dimanche soir. On est en terrain connu, les mêmes blagues sont recyclées, le décor est identique. Le premier épisode fait office de series reunion; il ne cherche d'ailleurs même pas vraiment à avoir de vrai scénario construit. Chaque personnage fait son entrée, est applaudi par un vrai/faux public (la série est tournée en public mais les rires sont mixés), la mise en scène fait dans le mimétisme le plus absolu (il faut quand même se dire qu'une scène de ce pilote est un duplicata d'une scène du premier épisode de la saison 1 et que les images de ces 2 épisodes sont mises l'une à coté de l'autre, degré zéro de la mise en scène) mais j'ai marché à fond. Je ne sais même pas si je suis capable d'expliquer pourquoi.
En tout cas j'irai au bout de la saison avec je pense le même plaisir, n'en déplaisent à tous les haters.
Pour donner un peu de contexte, j'ai découvert la série vers l'âge de 9 ans lors de sa première diffusion sur Antenne 2, période qui correspond à mon premier voyage aux US et plus particulièrement à San Francisco, ville ou se situe l'action de la série. Cette première visite à SF m'a un peu chamboulé tellement elle me semblait être un idéal de vie absolu et j'ai dû attendre de nombreuses années avant de pouvoir y revenir. (check ratatouille).
Du coup, me replonger dans la ville par le biais de cette sitcom ou tout le monde vit heureux et sous le même toit, ça m'a vraiment parlé dès l'épisode 1. J'ai vu la série de nombreuses fois lors de ses multiples diffusions et j'ai même l'intégrale (toujours pas revue d'ailleurs) en DVD.
C'est la sitcom, avec probablement Sauvés par le gong, qui m'a accompagné jusqu'à la découverte de sitcoms plus adultes tels que Friends puis Seinfeld.
Et malgré tous ses innombrables défauts, la série continue de fonctionner sur moi, sans que je me l'explique vraiment, si ce n'est un effet madeleine de Proust.
Je ne suis d'ailleurs pas le seul car la série est proche d'être culte aux US, au premier ou au second degré d'ailleurs.
20 ans plus tard donc, arrive Fuller House. Est-ce opportuniste ? Certainement. Est-ce réussi ? Pas vraiment. Pourtant est ce que ça marche (sur moi) ? Oui.
J'ai vu les 3 premiers épisodes dimanche soir. On est en terrain connu, les mêmes blagues sont recyclées, le décor est identique. Le premier épisode fait office de series reunion; il ne cherche d'ailleurs même pas vraiment à avoir de vrai scénario construit. Chaque personnage fait son entrée, est applaudi par un vrai/faux public (la série est tournée en public mais les rires sont mixés), la mise en scène fait dans le mimétisme le plus absolu (il faut quand même se dire qu'une scène de ce pilote est un duplicata d'une scène du premier épisode de la saison 1 et que les images de ces 2 épisodes sont mises l'une à coté de l'autre, degré zéro de la mise en scène) mais j'ai marché à fond. Je ne sais même pas si je suis capable d'expliquer pourquoi.
En tout cas j'irai au bout de la saison avec je pense le même plaisir, n'en déplaisent à tous les haters.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
J'aurais juste 2 questions :
- est-ce que Comète est toujours de ce monde ? (faisez gaffe si vous me répondez non)
- y a-t-il toujours ces réactions du public qui font "oooohhhhhhhhhhh !!!!!....." dès qu'il se passe le moindre truc un peu mignon avec un enfant au physique très énervant ?
Merci.
- est-ce que Comète est toujours de ce monde ? (faisez gaffe si vous me répondez non)
- y a-t-il toujours ces réactions du public qui font "oooohhhhhhhhhhh !!!!!....." dès qu'il se passe le moindre truc un peu mignon avec un enfant au physique très énervant ?
Merci.
- Joshua Baskin
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Oui, c'est Comet Junior Junior. On la voit dès le premier épisode je crois.Ratatouille a écrit :J'aurais juste 2 questions :
- est-ce que Comète est toujours de ce monde ? (faisez gaffe si vous me répondez non)
- y a-t-il toujours ces réactions du public qui font "oooohhhhhhhhhhh !!!!!....." dès qu'il se passe le moindre truc un peu mignon avec un enfant au physique très énervant ?
Merci.
Quant aux ooooooooooh, non pas trop. La série joue d'ailleurs de ça et des violons qui sortaient de nulle part dès que c'était un peu émouvant.
Et merci pour ce GIF.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Très bien, merci.Joshua Baskin a écrit :Oui, c'est Comet Junior Junior. On la voit dès le premier épisode je crois.
Mais Comet pas junior, elle va toujours bien ? Hein ?
Je t'en prie. Très très énervant, n'est-ce pas ?Joshua Baskin a écrit :Et merci pour ce GIF.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Vaut mieux pas ramener les idoles de l'enfance parfois.odelay a écrit :Oui, vite le retour de Quoi de Neuf Docteur!!!
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Comet pas junior est allée se reposer dans une ferme à l'extérieur de la ville. Comme ça elle peut gambader tranquillement dans les prés.Ratatouille a écrit :Très bien, merci.Joshua Baskin a écrit :Oui, c'est Comet Junior Junior. On la voit dès le premier épisode je crois.
Mais Comet pas junior, elle va toujours bien ? Hein ?
Je t'en prie. Très très énervant, n'est-ce pas ?Joshua Baskin a écrit :Et merci pour ce GIF.
Et le GIF, il est parfait.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
HS.Supfiction a écrit :Vaut mieux pas ramener les idoles de l'enfance parfois.odelay a écrit :Oui, vite le retour de Quoi de Neuf Docteur!!!
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Je viens d'avoir comme un gros flashback d'une série que j'ai regardée (et je devais être bien seul) dans les années 90.
Kirk Cameron habite New York et je sais plus pourquoi, ses petits frères et soeurs venaient habiter avec lui. J'étais un peu amoureux de la petite sœur (je crois?).
Si je ne me trompe pas, ça s'appelait Kirk, mais je n'arrive pas à mettre la main sur une vidéo de la série (comme le générique), ni à confirmer ses dates de diff' en France.
HS.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Ne manque plus que dvdlib sur ce topic.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Va lentement cracher ton venin ailleurs!AtCloseRange a écrit :Ne manque plus que dvdlib sur ce topic.
Ici c'est le topic de ceux qui ont eu une enfance.
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
J'ai juste trouvé ça (à partir de la 20ème seconde) :7swans a écrit :HS.Supfiction a écrit :
Vaut mieux pas ramener les idoles de l'enfance parfois.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Je viens d'avoir comme un gros flashback d'une série que j'ai regardée (et je devais être bien seul) dans les années 90.
Kirk Cameron habite New York et je sais plus pourquoi, ses petits frères et soeurs venaient habiter avec lui. J'étais un peu amoureux de la petite sœur (je crois?).
Si je ne me trompe pas, ça s'appelait Kirk, mais je n'arrive pas à mettre la main sur une vidéo de la série (comme le générique), ni à confirmer ses dates de diff' en France.
HS.
On est partis pour ne plus jamais fermer ce HS...
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Re: La Fête à la maison : 20 ans après (Netflix)
Je viens de voir que l'actrice que j'aimais bien (qui jouait la petite soeur de Kirk Cameron) n'est autre que... La petite Lucy McClane, l'originale, la vraie. Qui sera plus tard jouée par the gorgeous Elizabeth Winstead.Ratatouille a écrit :J'ai juste trouvé ça (à partir de la 20ème seconde) :7swans a écrit :
HS.
Je viens d'avoir comme un gros flashback d'une série que j'ai regardée (et je devais être bien seul) dans les années 90.
Kirk Cameron habite New York et je sais plus pourquoi, ses petits frères et soeurs venaient habiter avec lui. J'étais un peu amoureux de la petite sœur (je crois?).
Si je ne me trompe pas, ça s'appelait Kirk, mais je n'arrive pas à mettre la main sur une vidéo de la série (comme le générique), ni à confirmer ses dates de diff' en France.
HS.
On est partis pour ne plus jamais fermer ce HS...
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