Votre parcours sériephile

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Telmo
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Telmo »

Commissaire Juve a écrit :
Commissaire Juve a écrit :
Petit apparté pour ceux ça intéresse, cette série est sortie en Allemagne en Blu-Ray avec la VO, contrairement à l'édition britannique ! Sous-titres allemands uniquement, mais amovibles.
Pour les fans de jeux vidéo, le titre japonais est Suikoden, une des sommités du genre en JdR à la japonaise.
Die Rebellen vom Lang Shang Po est le titre allemand, et c'est trouvable en deux éditions.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Outerlimits »

Après la disparition de "Samedi est à vous" en octobre 76, Denise Fabre, Pierre Douglas et Garcimore prennent la relève le samedi dans une émission moins novatrice (pas de SVP choix des spectateurs mais des programmes imposés) : "Restez donc avec nous".
Si l'émission qui restera sur les écrans environ 2 ans reprenait pas mal de séries de l'émission de Bernard Golay et Guy Lux (Sam Cade, Amicalement vôtre, Arsène Lupin, Les mystères de l'Ouest, Columbo etc...), une particulièrement -et inédite jusque-là sur nos écrans (alors que vieille de 10 ans à l'époque)- m'a suffisamment marquée... Plus exactement un dessin-aminé :


L'émission avait un atout de choc : la présence de Garcimore et ses fous-rires avec Denise Fabre qui d'ailleurs reçut pas mal d'avertissements de la chaîne :
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Karras
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Karras »

Commissaire Juve a écrit :Absolument ! c'était un sacré canon.
En parlant de canon, il me revient en tête cette série inspirée du film de Zinnemann, Tant qu'il y aura des hommes, avec un sacré casting et notamment Natalie Wood.
J'y ai découvert Kim Basinger
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Commissaire Juve
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Commissaire Juve »

Karras a écrit : ...il me revient en tête cette série inspirée du film de Zinnemann, Tant qu'il y aura des hommes, avec un sacré casting et notamment Natalie Wood.
Ah mais, oui ! Nom d'une pipe. Vu également. Et en famille par-dessus le marché (preuve que mes parents avaient quand même un certain niveau de tolérance).

Karras a écrit : ... Natalie Wood.
Et c'est sans doute grâce à ce feuilleton que j'ai pensé "Mince !" quand j'ai appris sa mort en novembre 1981.

EDIT : parce qu'il faut signaler que le premier épisode était passé sur TF1 le 4 octobre 1980 ! (je pensais l'avoir vu plus tôt)
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: Votre parcours sériephile

Message par titou »

Ce topic m'a rappelé beaucoup de souvenir avec toutes ces séries.
Merci à Alexande Angel , tes posts m'ont fait vivre ce que j'ai aussi vécu avec toutes ces séries.

Né fin des années 60 , premières series que j'ai en tête les envahisseurs ( sur une télé noir& blanc) , chapeaux melon et bottes de cuir , amicalement votre etc etc ............
l'émission "samedi et à vous" ," les visiteurs du mercredi" , les séries après l'émission "Aujourd'hui madame" .

Je me rappelle aussi de belle et sébastien , le jeune fabre ( adolescent mes premiers émois avec Véronique Jeannot ) qui passaient vers 12h30 juste en rentrant de l'école .
Le vendredi soir 21h30 ......... Les brigades du tigres ;

J'ai aussi l'image d'une série totalement hos sujet dans cette télé "giscardienne" :) ...........
j'ai nommé ............ Aux frontières du possible


J'enviai mon cousin qui habitait Nice et qui de ce fait avait accés à TMC.
En vacance je regardais spectreman :)

Voilà :) merci encore pour ce topic .
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Alexandre Angel
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Alexandre Angel »

Evocation : angle 5
Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980)

C'est à l'automne 1973 que déboulait dans la lucarne familiale la révolutionnaire Une est à vous, dont les gens de ma génération allaient avoir du mal à se remettre.
J'ai la souvenance floue que l'on m'avait soufflé un truc du genre : "Tu verras, c'est nouveau : il y a des feuilletons tout l'après-midi".
(matériau qui pique les yeux : merci de votre compréhension)

La Une est à vous, pour moi, c'était avant tout le rêve américain. Comme un concentré en noir et blanc de Californie et de Nouveau Mexique. Typiquement les paysages et l'environnement des Envahisseurs généralisé à la plus grande partie de l'après-midi. Le noir et blanc n'était pas un problème malgré l'habitude prise avec la 2, la ZDF, l'ARD, la Suisse Alémanique et la Suisse Romande. Voir Les Envahisseurs rétrogradé, de la couleur au noir et blanc, n'était pas un traumatisme. Seule comptait l'Amérique poussiéreuse, chaude, sertie de parkings et de stations-service concentrée par ces après-midi offerts aux choix du téléspectateur. D'ailleurs lorsqu'il était l'heure de choisir, le nez sur le tableau blanc présentant les séries par genre et que Roger Lago faisait le lien SVP avec Bernard Golay, il me semble qu'on entendait le Money de Pink Floyd mais je n'en suis pas sûr et peut-être étais-ce un an plus tard.
Donc l'Amérique. Oh.. non pas que des ambiances bien de chez nous n'avaient pas droit de cité. Comme en attestent Les Nouvelles Aventures de Vidocq qui me firent connaître un très pimpant et juvénile Claude Brasseur dont me frappait la voix rauque, la sexy Danièle Lebrun et Marc Dudicourt, dans le rôle du con de service : l'inspecteur Flambard.

La Une et la France, c'était aussi Les Globes-Trotters, feuilleton dont je n'avais rien à cirer mais qui ne durait que 30 minutes et que j'aimais bien, simplement parce qu'il existait, comme quelqu'un auquel on finit par s'attacher à force de constater sa présence. Et puis, le compère d' Yves Rénier était Edward Meeks : qu'un américain soit présent dans une série française me fascinait.
Je vous le dis : il n'y en avait que pour l'Amérique. (à suivre)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Votre parcours sériephile

Message par Jeremy Fox »

Une vraie madeleine proustienne que tes évocations :D

Je copie tout dans un fichier word.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par la_vie_en_blueray »

Personne n'évoque une serie qui m'avait marqué mome et qui est carrement introuvable.

La légende des chevaliers aux 108 étoiles (pas trouvé la BA en Francais).

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Alexandre Angel
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Alexandre Angel »

Evocation : angle 5
Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980) (suite)

L'Amérique, dans La Une est à vous (j'ai l'impression de parler comme le facteur de Jour de Fête : "Efficacité, rapidité, à l'amélicaine!!" :mrgreen: ), l'Amérique disais-je, avait, ces après-midis-là, sa vedette, son porte-étendard, sa mascotte du régiment, sa série chouchou que des téléspectateurs sous emprise ne manquaient que rarement de choisir : Les Mystères de l'Ouest ,sur laquelle je reviendrais peu, cumulait différents registres d'excitation et d'intérêt que devait dispenser le programme ricain idéal : imagination, fantasy, spectacle et......western. Les Mystères de l'Ouest ,pourvu de ces ingrédients addictifs, étaient capables, par leur présence ou, parfois, leur absence, d'interagir sur votre humeur de l'après-midi. Mais ça, c'était pour plus tard : quand on s'était installé dans l'habitude de recevoir sa becquetée hebdomadaire de séries.
L'heure (1973-1974) était à l'ashtonishment. Ces séries nous subjuguaient par leur nombre (du moins l'illusion crée par ce nombre qui restait forcément modeste) et lorsqu'un après-midi à nous commençait, nous nous sentions embarqués pour une paie (c'était loin 18 heures) avec son climax, son étape obligée : les aventures de West et Gordon, jamais anxiogènes, mais d'une bizarrerie parfaitement calibrée.
Si,... un épisode, courant 1er semestre 1974, m'avait paru anxiogène, c'était La Nuit de la Terreur ailée, parce qu'il était le premier que je voyais divisé en deux parties : il fallait patienter jusqu'au Samedi suivant et cela faisait tout drôle. Episode par ailleurs plutôt lourd à revoir (j'ai même essayé de le revoir en noir et blanc pour retrouver d'enfouies sensations).
Bref, autour de La Nuit hebdomadaire tournoyaient des satellites télévisuels de chez l'Oncle Sam qui constituaient le mortier de l'après-midi et cartographiaient idéalement le spectre d'intervention de la fiction télévisuelle américaine à travers le polar, le fantastique et le western.
Ces séries, tournées sans doute à peu près dans les mêmes endroits, finissaient, à l'instar de foyers d'incendie dispersés, par converger les unes vers les autres en une boule de feu sans couleurs consumant un imaginaire commun.
Cet imaginaire incendiaire, porté par des génériques qu'accompagnait de rutilantes musiques, roulait hors de l'appartement familial jusque dans les rues étroites du quartier du Faubourg de Montbéliard, entre la Savoureuse et mon école primaire, qui en irradiaient. Peu de lieux de la vie quotidienne étaient épargnés par ces effluves américaines : si les polars (Colombo (j'y reviendrais!), Cannon ou La Nouvelle Equipe, influencée par la Blaxploitation)
ou certaines séries fantastiques plus (Les Envahisseurs donc mais aussi L'Immortel et son thème déstabilisant, fiévreux du mec qui ne peut jamais mourir)

ou moins contemporaines (Au delà du réel et ses petites villes très late fifties) parfumaient d'une odeur de kérosène la périphérie plus fonctionnelle et anonyme de ma ville (celle des stations service, des SARL garagistes ou du magasin de meubles de mon père), les westerns purs me faisaient sortir de la ville pour imbiber l'apparat d'une campagne qu'on ne manque pas de vite rencontrer dès que l'on quitte Belfort.
Ainsi, peu de fermes, d'enclos, de crottins de chevaux, de vérandas, qui ne résonnaient avec leurs équivalents westerniens jusque dans leurs composantes mexicaines. Le western, dans La Une est à vous, formait une communauté à lui tout seul avec Au Nom de la loi, bien entendu, et son générique solennel et impératif, mais aussi toutes ces histoires de ranchers que constituaient Cimarron, Le Ranch L et surtout Le Grand Chaparral, dont j'adorais un générique que j'ai retrouvé, bien plus tard (et sans en avoir immédiatement conscience) et graphiquement avec le générique du Hombre, de Martin Ritt.



8)
Il y avait également cette miniature (30 minutes) agissant comme un trou normand westernien :

et aussi celle où l'on me présenta Monsieur Glenn Ford et sa jeep bondissante, compromis entre western et aventures contemporaines à la sauce néo-mexicaine:


Décidément , le Samedi après-midi sentait la poussière et les grands espaces (à suivre)
Dernière modification par Alexandre Angel le 20 juil. 17, 12:07, modifié 2 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Votre parcours sériephile

Message par Karras »

Alexandre Angel a écrit : Les Mystères de l'Ouest ,sur laquelle je reviendrais peu, cumulait différents registres d'excitation et d'intérêt que devait dispenser le programme ricain idéal : imagination, fantasy, spectacle et......western.
Et ses méchants récurrents avec au premier rang le fameux Miguelito Loveless ( quel nom ! ) qui apparait dans une dizaine d'épisode avec son acolyte le géant Voltaire ( Richard "Requin" Kiel). Sa démarche chaloupée, son sourire narquois et son regard sadique représenteront assez longtemps dans mon esprit, l'archétypique du malfaisant.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Alexandre Angel »

la_vie_en_blueray a écrit :La légende des chevaliers aux 108 étoiles (pas trouvé la BA en Francais).
J'ai regardé le générique qui est alléchant mais je n'ai absolument pas connu cette série. Dans le précieux Dictionnaire des Séries télévisées, de Nils C. Ahl et Benjamin Fau (édition Philippe Rey), il est dit qu'elle a été diffusée sur TF1 en 77. Mais je regardais déjà moins (même si encore beaucoup) à cette époque. Ou alors, en ordre dispersé.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Alexandre Angel »

Karras a écrit :Et ses méchants récurrents avec au premier rang le fameux Miguelito Loveless ( quel nom ! ) qui apparait dans une dizaine d'épisode avec son acolyte le géant Voltaire ( Richard "Requin" Kiel).
Ceux-ci n'étaient pas diffusés dans La Une est à vous, ni après (du moins immédiatement). Peut-être y a t-il eu des diffusions antérieures, mais sporadiques.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par la_vie_en_blueray »

Alexandre Angel a écrit :
la_vie_en_blueray a écrit :La légende des chevaliers aux 108 étoiles (pas trouvé la BA en Francais).
J'ai regardé le générique qui est alléchant mais je n'ai absolument pas connu cette série. Dans le précieux Dictionnaire des Séries télévisées, de Nils C. Ahl et Benjamin Fau (édition Philippe Rey), il est dit qu'elle a été diffusée sur TF1 en 77. Mais je regardais déjà moins (même si encore beaucoup) à cette époque. Ou alors, en ordre dispersé.
Elle n'est passé que 2 fois à la télévision francaise, et puis plus rien. Completely lost.
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Karras »

Alexandre Angel a écrit :
Karras a écrit :Et ses méchants récurrents avec au premier rang le fameux Miguelito Loveless ( quel nom ! ) qui apparait dans une dizaine d'épisode avec son acolyte le géant Voltaire ( Richard "Requin" Kiel).
Ceux-ci n'étaient pas diffusés dans La Une est à vous, ni après (du moins immédiatement). Peut-être y a t-il eu des diffusions antérieures, mais sporadiques.
J'ai souvenir qu'au moins un épisode avec Loveless a été diffusé dans l'émission du samedi ( La Nuit des Tireurs d'Elite ), c'était en 78, l'émission était renommé Restez donc avec nous (présentation Denise Fabre et Pierre Douglas ).
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Re: Votre parcours sériephile

Message par Alexandre Angel »

Karras a écrit :
Alexandre Angel a écrit : Ceux-ci n'étaient pas diffusés dans La Une est à vous, ni après (du moins immédiatement). Peut-être y a t-il eu des diffusions antérieures, mais sporadiques.
J'ai souvenir qu'au moins un épisode avec Loveless a été diffusé dans l'émission du samedi ( La Nuit des Tireurs d'Elite ), c'était en 78, l'émission était renommé Restez donc avec nous (présentation Denise Fabre et Pierre Douglas ).
Attention, je ne parle que des "Miguelito/Voltaire"! (et de la saison 1, plus généralement)
Parce que sinon, bien sûr que Michael Dunn était THE vilain des Mystères de l'Ouest.
Par contre, et on y reviendra, attention avec l'émission de Denise Fabre! Pour moi, sauf si on me l'assure avec force :mrgreen: (la mémoire peut être retorse), Les Mystères de l'Ouest ne correspondaient plus aux diffusions de l'après-midi sur TF1 en 78. C'était fini, ça..
Seul demeure pour moi, je le reconnais, le flou artistique de la saison 1976-1977 que j'ai longtemps cru, et à tort, encore dévolu à Samedi est à vous alors que Denise Fabre tenait déjà le crachoir (Samedi est à vous avait été sabordé pour de mystérieuses raisons). C'est au cours de cette saison que des épisodes des Mystères de l'Ouest ont du être encore diffusés dans le cadre du Samedi après-m. mais là, j'ai un problème de mémoire : je ne parviens pas à associer Denise Fabre avec ce type de série. Il y a quelque chose que je n'ai pas imprimé. Et pourtant je devrais : j'étais en plein CM2, auquel j'associe beaucoup de souvenirs.
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