Henry Hathaway (1898-1985)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Profondo Rosso
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Profondo Rosso »

Hé hé le point qui manque sera pour la seconde vision, là j'ai été un peu dérouté durant la première heure je me demandais vraiment où ça voulait aller. En sachant à quoi s'attendre ça devrait mieux passer en tout cas un de mes Hathaway favoris d'office ! :D
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Rick Blaine
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Rick Blaine »

Profondo Rosso a écrit :Hé hé le point qui manque sera pour la seconde vision, là j'ai été un peu dérouté durant la première heure je me demandais vraiment où ça voulait aller. En sachant à quoi s'attendre ça devrait mieux passer en tout cas un de mes Hathaway favoris d'office ! :D

:D Je suis soulagé!
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Rick Blaine
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Rick Blaine »

daniel gregg a écrit :
Rick Blaine a écrit :Très belle chronique, dont les captures illustrent formidablement les qualités visuelles du film. Bon, je dirais qu'il manque un petit point à la note, mais c'est pour pinailler! :mrgreen:
Certainement mon western préféré, une œuvre qui brille par son traitement visuel, par le choix des décors... Et puis surtout il y a le personnage de Widmark, pour moi un des plus beau qui soit, et qui nous mène à un final qui me hante pour toujours!
Oui très juste, surtout l'avant dernière ! :fiou:






:mrgreen:
:mrgreen:

Une image que l'on reconnaitrait entre mille! Normalement... :fiou:
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monk
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par monk »

Profondo Rosso a écrit :Hé hé le point qui manque sera pour la seconde vision, là j'ai été un peu dérouté durant la première heure je me demandais vraiment où ça voulait aller.
Etonnement, c'est la seconde partie qui m'a vraiment gênée. J'ai bien senti que j'étais un peu seul sur ce coup là, mais à partir du moment où ils arrivent tous pour sauver le mari, je trouve les comportements...étonnants, voir incohérents. Leur entêtement à être celui qui se sacrifiera le plus m'a vraiment irrité et ça m'a bloqué pour apprécier ce qui se passe à l'écran.
J'ai trouvé les décorts fantastiques et cette première heure de voyage et de découverte (à la fois du pays et des autres), justement, m'a fortement marquée. Dommage que je ne comprenne pas les personnages sur la suite, je ne peux pas adhérer au conscensus.

Celà dit, je lui redonnerais bien une chance en BR, si une affaire se présente, car les prix Sidonis ne freinent toujours un peu.
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Profondo Rosso
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Profondo Rosso »

monk a écrit :
Profondo Rosso a écrit :Hé hé le point qui manque sera pour la seconde vision, là j'ai été un peu dérouté durant la première heure je me demandais vraiment où ça voulait aller.
Etonnement, c'est la seconde partie qui m'a vraiment gênée. J'ai bien senti que j'étais un peu seul sur ce coup là, mais à partir du moment où ils arrivent tous pour sauver le mari, je trouve les comportements...étonnants, voir incohérents. Leur entêtement à être celui qui se sacrifiera le plus m'a vraiment irrité et ça m'a bloqué pour apprécier ce qui se passe à l'écran.
J'ai trouvé les décorts fantastiques et cette première heure de voyage et de découverte (à la fois du pays et des autres), justement, m'a fortement marquée. Dommage que je ne comprenne pas les personnages sur la suite, je ne peux pas adhérer au conscensus.

En fait j'ai trouvé que la première heure de traversée n'existe que pour faire exister les personnages et expliquer leur comportement de la deuxième partie la beauté des décors et l'ambiance maintenant l'intérêt alors qu'il ne se passe pas grand chose. Cameron Mitchell se raccroche à son gain avec la même passion et violence qu'il a voulu posséder Susan Hayward, Widmark dévoile pas mal de la sensibilité qu'on devinait dans ses réflexion de la première partie et Cooper demeure un roc. Susan Hayward aussi révèle ses failles une fois qu'elle n'a plus l'objectif du début auquel se raccrocher. La progression est vraiment remarquable je trouve le début m'a paumé et Hathaway retombe sur ses pattes avec une évidence parfaite et puis bon le script de Fenton est énorme. Oh oui retente, ça doit décoller la rétine en blu-ray déjà qu'en dvd wow !
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Filiba »

[center]The Dark Corner (L'impasse tragique) Henri Hathaway 1946[/center]

A new York, le détective Galt (Mark Stevens) s'aperçoit qu'il est suivi un mystérieux homme vêtu de blanc (William Bendix).
Il apprend que le commanditaire est son ancien associé sur la côte ouest Jardine (Kurt Kreuger à l'accent allemand prononcé!), responsable des années que Galt vient de passer en prison.
Jardine évolue maintenant dans la haute société new yorkaise et il est l'amant de plusieurs femmes dont celle de son ami le galeriste Cathcart (Clifton Webb).
L'étau se resserre sur Galt qui cherche à échapper à la machination avec sa secrétaire (Lucille Ball).

La cinématographie est de Joseph McDonald et c'est un des points forts du film avec des scénes de nuit, des contrastes.
La première image donne le la.
Image
Contraste blanc/Noir. Extérieur sordide de New york.
Le film raconte l'interaction de deux mondes:
celui sombre et pauvre où évolue Galt
celui brillant et riche où évolue Jardine.
Le contraste est visuel tant le style graphique des deux mondes est différent.
Le contraste est aussi sonore : Clifton Webb continue son personnage sophistiqué de Laura, Mark Stevens parle une langue crue. On dirait le héros des romans de Mickey Spillane qui n'apparaîtra qu'en 1947. Autre point commun avec Mike Hammer, la grande violence avec laquelle il agit.
Le scénario le dépeint parfois comme peu compétent (il met deux jours à repérer son suiveur, pourtant vêtu de blanc!).
Se juxtaposent un film noir où Galt est menacé dans un univers sombre et sordide (bureau mal éclairé, logements minables, rues nocturnes) et un film criminel mondain où adultères et chantage sont décrits dans un univers luxueux (salons, galerie).
La conclusion appartient plus au film mondain qu'au film noir, qui limite mon appréciation finale du film mais c'est là affaire de goût.
Un trés bon film, formellement soigné.
Dernière modification par Filiba le 23 nov. 12, 23:42, modifié 1 fois.
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Jeremy Fox »

Rawhide, était sorti en zone 1 avec 3 autres film avant d’atterrir chez Sidonis.
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Profondo Rosso
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Profondo Rosso »

Le Renard du désert (1951)

Image

De la bataille d'El Alamein jusqu'à sa mort en septembre 1944, décidée par Hitler, le portrait du maréchal Erwin Rommel, qui participa au complot contre le dictateur.

Henry Hathaway signe un très intelligent biopic de Rommel, général allemand à l'aura légendaire et responsable de hauts faits notamment durant la campagne d'Afrique du Nord. Le scénario de Nunnally Johnson choisit les angles adéquats pour ne pas détourner le public de celui qui fut pourtant un des favoris d'Hitler et un outil de la propagande nazie grâce à ses victoires. Le film s'attardera donc sur la facette chevaleresque et quasi mythique qu'incarnait Rommel, autant pour les alliés qu'il mena à la victoire grâce à ses talents de stratèges qu'à ses ennemis auxquels il inspirait le respect, et en premier lieu Winston Churchill qui lui consacra une fameuse tirade citée en fin de film.

We have a very daring and skillful opponent against us, and, may I say across the havoc of war, a great general.

Malgré son appartenance au régime nazi et sa dévotion à Hitler, Rommel était l'archétype du soldat respectueux des règles du combat et en ne participant pas à la campagne du Front Russe l'un des rares généraux allemands à n'avoir commis ni crime de guerre, ni crime contre l’humanité. C'est cette aura que cherche à capturer Hathaway dans un long prologue le présentant tour à tour comme une légende et un adversaire valeureux. Cette crainte est signifiée par l'ouverture voyant la mission avortée d'un commando britannique pour l'assassiner (et cette superbe transition où un soldat mourant demande s'ils ont réussi, un allemand lui riant au nez avant que tonne le générique d'ouverture) puis sa noblesse lorsqu'il contredit un subalterne obligeant un prisonnier à traverser le champ de bataille avec un drapeau blanc. Ce prisonnier, fasciné par l'allure de cet homme qui vient de le sauver sera notre guide puisqu'il sera le biographe de Rommel la guerre passée (et en fait Desmond Young officier de l'armée indienne qui croisa effectivement Rommel durant la campagne d'Afrique du Nord) dans une narration solennelle et informative assuré en voix off par Michael Rennie.

Le champ de bataille se réduit dans l'ensemble à des stock-shots très impressionnant (notamment celui où l'on voit les bombardements du débarquement depuis le ciel) mais c'est bien aux postes de commandements que tout se joue. Là le "Renard du désert" va constater toute son impuissance dans une Allemagne en déliquescence et proche de la défaite à travers les ordres insensé arrivant de Berlin. L'atmosphère de désillusion, de fin de règne et les échanges désabusés traduisent bien l'amertume des officiers comprenant qu'ils sont menés par un tyran fou les menant à leur perte (dont les positions stratégique et l'option pour le débarquement décidé par les astrologues d'Hitler...). Rommel incarné avec prestance et compassion par un grand James Mason apparaît ainsi comme un soldat d'un autre temps. Respectueux de l'uniforme et du chef au point de n'oser le remettre en question bien qu'il le désapprouve. Le film exprime ainsi une hypothèse (pas forcément prouvé) du soutien de Rommel au complot visant à assassiner Hitler le 20 juillet 1944 (et dépeint minutieusement dans le Walkyrie de Brian Singer même si la scène d'attentat est reconstitué ici aussi).

Tout tient dans la formidable prestation de James Mason, subtile et sensible avec cet homme dont les qualités deviennent des défauts dans une nation lobotomisé. L'entrevue finale où il accepte son terrible destin face à un pantin SS endoctriné est des plus marquantes, tout comme les adieux à son épouse (formidable Jessica Tandy) en conclusion sobre et intense. On n'aura finalement peu vu Rommel du temps de sa splendeur et de ses victoires mais le regard que posent sur lui Hathaway et Nunally Johnson, le visage que lui donne James Mason et le discours final repris de Churchill suffisent à convaincre de la hauteur du soldat. 4,5/6
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Wicker »

Prince Vaillant

J'avais un peu peur de voir ce film. Et finalement après de nombreuses hésitations je m'y suis lancé et je ne regrette pas. Certes, le film a un parfum kitsch, mais pas plus que les autres films de chevalerie de l'époque. Qui plus est, c'est d'autant plus justifié que la BD d'origine (que j'ai feuilleté pour la première fois il y a quelques semaines) possède cet esprit. Au niveau de l'action, on est servi. Le rythme est haletant et les péripéties nombreuses. On est bien loin des Chevaliers de la Table Ronde où il ne se passait rien tout du long (il est vrai que vouloir raconter toute la légende arthurienne en 2h et avec les contraintes de la censure de l'époque, ça n'aide déjà pas). Nous avons droit à un James Mason parfait, même si il n'y a franchement aucun suspense quant au fait que c'est lui le méchant de l'histoire. Robert Wagner et Janet Leigh nous ont en revanche habitués à mieux, même si leur prestation est loin d'être déshonorante. Mais la vraie surprise du film est l'incarnation de Gauvain par Sterling Hayden. Gauvain est mon personnage préféré de la légende arthurienne et Hayden lui rend justice de la plus belle manière. Et on en vient à regretter que son personnage ne soit pas encore plus présent (de même que le personnage de la sublime Debra Paget que j'ai trouvé plus intéressante que sa soeur), tout comme on peut regretter que l'acteur n'ai pas eu plus souvent l'occasion de montrer son talent dans ce type de rôles au lieu d'être cantonné à des rôles de sous-Mitchum. Bref, une des grandes réussites des films de chevalerie !
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Jeremy Fox
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Jeremy Fox »

Wicker a écrit :Prince Vaillant

J'avais un peu peur de voir ce film. Et finalement après de nombreuses hésitations je m'y suis lancé et je ne regrette pas. Certes, le film a un parfum kitsch, mais pas plus que les autres films de chevalerie de l'époque. Qui plus est, c'est d'autant plus justifié que la BD d'origine (que j'ai feuilleté pour la première fois il y a quelques semaines) possède cet esprit. Au niveau de l'action, on est servi. Le rythme est haletant et les péripéties nombreuses. On est bien loin des Chevaliers de la Table Ronde où il ne se passait rien tout du long (il est vrai que vouloir raconter toute la légende arthurienne en 2h et avec les contraintes de la censure de l'époque, ça n'aide déjà pas). Nous avons droit à un James Mason parfait, même si il n'y a franchement aucun suspense quant au fait que c'est lui le méchant de l'histoire. Robert Taylor et Janet Leigh nous ont en revanche habitués à mieux, même si leur prestation est loin d'être déshonorante. Mais la vraie surprise du film est l'incarnation de Gauvain par Sterling Hayden. Gauvain est mon personnage préféré de la légende arthurienne et Hayden lui rend justice de la plus belle manière. Et on en vient à regretter que son personnage ne soit pas encore plus présent (de même que le personnage de la sublime Debra Paget que j'ai trouvé plus intéressante que sa soeur), tout comme on peut regretter que l'acteur n'ai pas eu plus souvent l'occasion de montrer son talent dans ce type de rôles au lieu d'être cantonné à des rôles de sous-Mitchum. Bref, une des grandes réussites des films de chevalerie !
Que j'aurais aimé ressentir la même chose à la vision de ce film qui m'avait fait saliver mais qui selon moi fait au contraire partie des plus mauvais. Je préfère de très loin les trois films de Richard Thorpe même si évidemment le ton n'est pas le même. A revoir cependant car les avis ici sont dans l'ensemble plutôt positifs.
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Flavia »

Petite erreur concernant le nom, c'est Robert Wagner et non Robert Taylor :wink:
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Watkinssien »

Jeremy Fox a écrit :
Wicker a écrit :Prince Vaillant

J'avais un peu peur de voir ce film. Et finalement après de nombreuses hésitations je m'y suis lancé et je ne regrette pas. Certes, le film a un parfum kitsch, mais pas plus que les autres films de chevalerie de l'époque. Qui plus est, c'est d'autant plus justifié que la BD d'origine (que j'ai feuilleté pour la première fois il y a quelques semaines) possède cet esprit. Au niveau de l'action, on est servi. Le rythme est haletant et les péripéties nombreuses. On est bien loin des Chevaliers de la Table Ronde où il ne se passait rien tout du long (il est vrai que vouloir raconter toute la légende arthurienne en 2h et avec les contraintes de la censure de l'époque, ça n'aide déjà pas). Nous avons droit à un James Mason parfait, même si il n'y a franchement aucun suspense quant au fait que c'est lui le méchant de l'histoire. Robert Taylor et Janet Leigh nous ont en revanche habitués à mieux, même si leur prestation est loin d'être déshonorante. Mais la vraie surprise du film est l'incarnation de Gauvain par Sterling Hayden. Gauvain est mon personnage préféré de la légende arthurienne et Hayden lui rend justice de la plus belle manière. Et on en vient à regretter que son personnage ne soit pas encore plus présent (de même que le personnage de la sublime Debra Paget que j'ai trouvé plus intéressante que sa soeur), tout comme on peut regretter que l'acteur n'ai pas eu plus souvent l'occasion de montrer son talent dans ce type de rôles au lieu d'être cantonné à des rôles de sous-Mitchum. Bref, une des grandes réussites des films de chevalerie !
Que j'aurais aimé ressentir la même chose à la vision de ce film qui m'avait fait saliver mais qui selon moi fait au contraire partie des plus mauvais. Je préfère de très loin les trois films de Richard Thorpe même si évidemment le ton n'est pas le même. A revoir cependant car les avis ici sont dans l'ensemble plutôt positifs.
Retente, qui sait. J'adore ce film, également. Avec un James Mason succulent...
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Wicker »

Flavia a écrit :Petite erreur concernant le nom, c'est Robert Wagner et non Robert Taylor :wink:
Honte à moi ! Etant en train de repenser aux Chevaliers de la Table Ronde, j'ai écrit Taylor en pensant Wagner :oops:
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Wicker »

Jeremy Fox a écrit : Je préfère de très loin les trois films de Richard Thorpe même si évidemment le ton n'est pas le même.
J'ai surtout été déçu pour les "Chevaliers de la Table Ronde" du massacre de la légende arthurienne qui en a été fait et qui m'a vraiment empêché d'entrer dans le film, malgré une bonne performance de Robert Taylor (cette fois-ci c'est le bon :lol: ) et Mel Ferrer (je suis en revanche plus partagé sur la pertinence d'Ava Gardner en Guenièvre). "Ivanohé", j'en en revanche beaucoup plus apprécié, malgré un Taylor beaucoup trop âgé pour le rôle (Invanohé n'a qu'une vingtaine d'année...) et une Joan Fontaine qui se fait manger par Elizabeth Taylor au point qu'on a du mal à croire que le héros préfère la première à la seconde (alors que dans le roman cela était évident). Je n'ai pas encore vu "Quentin Durward" et j'ai été très déçu que Wild Side ne le sorte finalement pas. Je l'ai pris sur youtube, mais pas encore regardé...
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Re: Henry Hathaway (1898-1985)

Message par Jeremy Fox »

A 23 pas du mystère est sorti chez Sidonis : Philippe Paul en profite pour nous donner la critique du film et le test DVD
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