Doris Day (1922-2019)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Randolph Carter
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Message par Randolph Carter »

Cathy a écrit :
On attend d'une comédie qu'elle fasse rire aussi. Les temps évoluent, et les choix de sujet aussi. Les comédies des années 30-50) se passent dans un milieu souvent très favorisé (My Man Godfrey, Bringing up baby, Philadelphia story, etc., etc.) par contre plus on avance, plus on se place dans des milieux plus proches de tout le monde. C'est moins la classe "téléphone blanc" qu'une bourgeoisie provinciale. Dans ce registre, Doris Day a totalement rempli son rôle. Dans un film comme Ne mangez pas les marguerites où elle ne joue pas à côté de Rock Hudson, que beaucoup doive trouver fade, mais de David Niven, elle est très bien également. Elle joue parfaitement le rôle qui lui est confié.

Le cinéma n'est pas que du cinéma d'art et d'essai, il faut aussi ces comédies plus légères qui plaisent à grand nombre de spectateurs. D'ailleurs elle ne devait pas être considérée comme si inodore, incolore et sans saveur par les américains vu qu'elle a eu sa propre émisson de télévision ! Maintenant que tu ne l'apprécies pas soit, mais de là à être aussi dur sur l'actrice, je dois avouer que j'ai du mal à comprendre.

Est-ce être dur avec une actrice que de la trouver insignifiante?Cela dit,elle est trés bien en potiche hitchcockienne :fiou:
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Cathy
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Message par Cathy »

Randolph Carter a écrit : Est-ce être dur avec une actrice que de la trouver insignifiante?Cela dit,elle est trés bien en potiche hitchcockienne :fiou:
A partir du moment où tu la critiques aussi vertement, c'est qu'elle n'est pas aussi insignifiante que cela :fiou: ! Quant à la potiche hitchcockienne, elle est quand même la clé de plusieurs scènes, comme celle de l'Albert Hall, ou de Que sera sera. Mais bon la mauvaise foi :uhuh:
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Watkinssien
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Message par Watkinssien »

bogart a écrit :
Je la trouve au contraire émouvante et crédible dans son personnage de mère angoissée
Comme je l'ai écrit précédemment, je trouve Edna Best plus convaincante dans la version 1934. En même temps, Hitchcock était un grand directeur d'acteurs, donc on va dire que Doris Day n'était pas en roue libre.
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someone1600
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Message par someone1600 »

Je suis d'accord avec Jeremy, bien que n'ayant vu que The man who know to much.
Music Man
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Message par Music Man »

Doris Day !
Que de souvenirs d’enfance !
Dans les années 70, quand sa série « Doris Day show » était diffusée en France sous le titre Doris Day, le midi pendant l’été, je me souviens qu’on en parlait avec les camarades de mon âge et qu’on attendait chaque épisode avec impatience (et pourtant, il me semble que l’intrigue était des plus minces voire parfois complètement inexistante : certains épisodes étaient le prétexte à des défilés de mode, et il n’y avait rien d’autre !). Je me souviens aussi qu’on discutait à la récré de « la blonde défie le FBI « que tous les enfants avaient trouvé très drôles.
Par la suite, j’ai pu redécouvrir Doris Day dans ses nombreuses comédies musicales (c’était une délicieuse chanteuse de pop classique) et ses comédies avec Rock Hudson. Je trouve que « pillow talk » a conservé toute sa drôlerie. Par contre les comédies suivantes avec Rock Hudson me semblent parfois un peu trop artificielles et le coté coquin pas toujours subtil.
Mais franchement, je l’ai trouvé remarquable dans les pièges de la passion ou storm warning.
En tout état de cause, c’est une comédienne pour laquelle j’ai la plus grande tendresse et la plus grande estime. Je me souviens d’un évènement personnel assez triste. Peu de jours après, j’ai vu un film des années 60 avec Doris. Ce n’était pas une comédie bien subtile mais d’un seul coup, pendant quelques minutes, la vie reprenait le dessus et je me suis surpris à éclater de rire de bon cœur. Merci beaucoup, Doris Day.

EDIT: ajout d'un post de Music Man tiré du topic "Vedettes féminines des comédies musicales":

Doris Day, qui fut aux Etats-Unis la vedette n°1 du box office américain a été déjà évoquée dans d’autres topics, aussi je me concentre ici sur sa carrière dans le film musical.
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Née en 1924 (le même jour que Marlon Brando !), de parents d’origine allemande, Doris a toujours rêvé d’une carrière artistique. Elle participe à des concours de danse avec un jeune voisin, mais un très grave accident de voiture, qui va la clouer au lit pendant des mois, l’oblige à arrêter cette activité. Elle se tourne alors vers le chant et dès l’âge de 16 ans, commence à chanter pour différents orchestres dont celui de Les Brown. C’est la grande époque des big bands (Glenn Miller, Tommy Dorsey, etc…) qui siègent les sommets des hits parade. Ces grandes formations engagent toujours des chanteurs, chargés uniquement de chanter les refrains. Doris tombe amoureuse du joueur de trombone Al Jorden et l’épouse à l’âge de 17 ans.
Il s’agit en fait d’un homme extrêmement violent, d’une jalousie maladive. Dans un moment de folie, il menace Doris, enceinte, en lui braquant son pistolet sur le ventre. Les problèmes du couple inspireront le scénario du film « New York New York » de Scorsese.
Bien évidemment, le divorce ne tardera pas. En 1944, Doris triomphe avec l’orchestre de Les Brown en chantant (avec beaucoup de talent) « sentimental journey » (qui sera un succès en France repris par Yvette Giraud). La voix suave et très personnelle de Doris excelle dans ce genre de chansons très jazzy, mais à vrai dire, elle est à l’aise dans tous les genres.
En 1948, la Warner Bros entame le tournage du remake d’un film argentin dans lequel s’est illustrée Libertad Lamarque. Sans vedette musicale sous contrat, le studio est embarrassé : il tente d’emprunter Betty Hutton à la Paramount, mais elle est enceinte. Après avoir envisagé la candidature de Mary Martin, la star de Broadway, la Warner engage Doris et ne le regrettera pas. Même si pour certaines chansons, on remarque que le rôle était taillé sur mesure pour Betty Hutton, Doris resplendit de naturel et de charme. Elle transporte au sommet des charts la chanson it’s magic, qui sera à son tour un énorme succès commercial.
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La Warner met en chantier une série de comédies musicales avec Doris et son partenaire (à l’écran comme en privé) Jack Carson pour capitaliser sur ce succès. Ce sont des films sympas, qui ne jouent pas dans la même cour que les films de la MGM, c’est sûr, mais qu’on regarde avec plaisir. Par exemple « il y a de l’amour dans l’air » 1948
où Doris et Jack dansent un numéro rigolo avec Bugs Bunny.
En 1950, Doris joue dans l’adaptation de l’opérette No no Nanette (très populaire en France).
Elle y révèle enfin ses remarquables talents de danseuse, face à un partenaire de choc Gene Nelson, un danseur extrêmement brillant et pas assez reconnu à mon goût. Hélas, en France, le film fut gâché par un doublage reprenant toutes les chansons en français, par de quelconques chanteurs d’opérette, avec une post synchronisation désastreuse. Si la finale d’Escale à Brodway (1951) n’a pas l’originalité et le génie de la lullaby of Broadway des chercheuses d’or 1935, c’est tout de même un beau numéro musical , et une prouesse pour Doris et Gene Nelson qui dansent et virevoltent sur un grand escalier.
Le bal du Printemps (1951), musical familial et nostalgique, très inspiré du chant du Missouri, ne possède pas la magnificence et la beauté plastique du film de Minnelli, mais a néanmoins beaucoup de charme. Après le très raté « Avril à Paris » 1952 avec Claude Dauphin, Doris gravit un échelon de plus sur le sentier de la gloire avec Calamity Jane, la terreur blonde (1953). Clairement inspiré d’Annie reine du cirque (1950), avec le même partenaire masculin (Howard Keel), ce western musical énergique offre à Doris un rôle en or et une superbe chanson (secret love, un succès en France par Léo Marjane).


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En 1955, elle révèle encore d’autres possibilités, en incarnant la chanteuse Ruth Eting dans les pièges de la passion (1955), une vraie réussite : aussi bien les numéros musicaux que l’intensité dramatique des scènes entre Doris et James Cagney. Sa performance très remarquée permettra à Doris d’élargir son univers, aussi bien vers le drame que la comédie.
Intelligent virage négocié par son 3ème mari, le producteur Martin Melcher qui comprend bien que le film musical vit ses dernières années de gloire, et qu’il urge de se recycler.
Il suggère à son épouse, fort réticente, d’accepter le rôle que lui propose Hitchcock dans son remake de l’Homme qui en savait trop (1956). C’est un succès mondial. Même chose pour la berceuse chantée par Doris, « Que sera sera ».
Tous les fans de comédie musicale ont un faible pour « Pique nique en pyjama »(1957), superbe musical, dirigé par le grand Stanley Donen. Cette adaptation d’un spectacle de Broadway est fort réussie, et le grand chanteur de Broadway, John Ryatt est excellent lui aussi.
C’est à la fin des années 50 que Doris atteint le pinacle de sa carrière avec les comédies coquines et un peu mécaniques et pas toujours très fines, mais souvent très drôles, qu’elle enchaîne aux cotés de Rock Hudson. Impeccablement coiffée et habillée de façon très sophistiquée par Jean-Louis, Doris y incarne systématiquement la femme indépendante, très méfiante vis-à-vis des hommes et pas facile à séduire. Ce qui fera dire à Oscar Levant, qu’il a connu autrefois Doris Day avant qu’elle ne soit vierge.
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Dans ces films comiques, Doris pousse (rarement) la chansonnette, mais certaines de se chansons seront encore de gros succès commerciaux comme «everybody loves a lover »1959 ou « move over darling »(1964), tiré d’un film prévu à l’origine pour Marilyn Monroe.
Le dernier musical de Doris, la plus belle fille du monde (1962) ne remportera pas le succès escompté, déclin du genre oblige. Pourtant c’est un bel hommage au cirque, parfois très drôle, avec de très jolies chansons.
Au fil des années 60, la carrière de Doris périclite. Sa peur panique de changer une formule qui jusqu’à présent s’était avérée gagnante, lui fait refuser dorénavant tout rôle un peu différent : elle refuse de jouer Mrs Robinson dans le Lauréat.
Quand le mari de Doris décède en 1968, elle découvre avec effroi qu’il était criblé de dettes et avait signé à son insu un contrat pour qu’elle joue dans une sitcom à la télé. C’est ainsi que Doris finira sa carrière dans la navrante « Doris comédie », que pourtant je regardais avec délice dans mon enfance (le charme de Doris sans doute).
Déçue par les hommes (elle se remariera et divorcera encore 2 fois), comme Brigitte Bardot, Doris s’est tournée vers les animaux, surtout les chiens qu’elle adore. Elle a animé aux USA une sorte de 30 millions d’amis qui n’a pas marché. Doris Day vit à présent en recluse en Californie, avec ses amis à 4 pattes. Elle a récemment perdu son fils unique, Marty Melcher (né de son mariage avec Al Jorden, puis adopté par Melcher), décédé d’un cancer.
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Pour les admirateurs de Doris Day chanteuse, la très perfectionniste firme allemande Bear Family a ressorti l’intégralité de ses enregistrements sur 4 superbes (et coûteux) coffrets de 8 CDs chacun. Pour bien moins cher, on peut s’offrir en DVD son show TV de 1971, où elle reprend avec Perry Como les gros succès de sa carrière, et nous présente ses amis les animaux qui semblent vraiment occuper une très grande place dans son cœur.

Une chanson de Doris exhumée de l'oubli par la publicité : let's keep smiling ! (1961) :
[youtube]-R9kl2jQvBI [/youtube]
francesco
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Message par francesco »

Doris Day pour moi ce n'est pas exactement une comédienne c'est plutôt une image délicieusement kitsh, une actrice pas très subtile mais souvent drôle, une personnalité souvent agaçante et du coup revigorante : j'ai d'ailleurs remarqué qu'elle ne laisse pas indifférent, ce qui est un signe.
Bon en plus j'aime beaucoup sa voix en tant que chanteuse.
Et puis elle a un look tellement années 50 (même physiquement je veux dire), je trouve ça irresistible : pour moi ça meilleure performance, elle l'a donne dans Les Pièges de la passion (elle est très crédible en fait alors que le rôle n'est pas dans son registre, et ce n'est pas qu'un contre emploi pour essayer : c'est une composition vigoureuse, très dure, très réaliste en fait), même si le film que je préfère avec elle c'est Le Piège de Minuit de David Miller, sur le thème bien connu de la femme menacée par un inconnu. Là encore on croit finalement à sa yankee naive, faussement chic. Et puis avec elle on croise Rex Harrisson, Mirna Loy en tantine, John Gavin. Entre eux tous, la photo, le "look du film", son scènario très "sous-hitch" on est en plein esthétique fifties et j'aime beaucoup !
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Message par Sailor G.Kelly »

L'une de ses meilleurs chansons restent pour moi: 10 cent a dance.
Je connais très peu de ses chansons, à part les plus connu, mais de celle que je connais, j'aime :D
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Message par bogart »

Découvert cet après-midi Le Chou-chou du professeur (George Seaton, 1958)


Initiateur de ce topic, ce film me donne l'occasion de retrouver Doris Day aux côtés de Clark Gable et Gig Young. Le Chou-chou du professeur est un film amusant, gai, dont le charme est assuré par la présence de Doris Day (craquante en professeur), de Clark Gable (parfait dans son personnage de journaliste bougon et stéréotypé), et, de Gig Young (très drôle)

Bref, passé un agréable moment en compagnie de ces acteurs précités !
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

bogart a écrit :Découvert cet après-midi Le Chou-chou du professeur (George Seaton, 1958)

. Le Chou-chou du professeur est un film amusant, gai, dont le charme est assuré par la présence de Doris Day (craquante en professeur), de Clark Gable (parfait dans son personnage de journaliste bougon et stéréotypé), et, de Gig Young (très drôle)

Bref, passé un agréable moment en compagnie de ces acteurs précités !
Et pourtant, c'est loin d'être la comédie la plus drôle dans laquelle a tourné Doris Day. Donc, tu te prépares d'autres bons moments en perspective :wink:
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Message par bogart »

Jeremy Fox a écrit :
bogart a écrit :Découvert cet après-midi Le Chou-chou du professeur (George Seaton, 1958)

. Le Chou-chou du professeur est un film amusant, gai, dont le charme est assuré par la présence de Doris Day (craquante en professeur), de Clark Gable (parfait dans son personnage de journaliste bougon et stéréotypé), et, de Gig Young (très drôle)

Bref, passé un agréable moment en compagnie de ces acteurs précités !
Et pourtant, c'est loin d'être la comédie la plus drôle dans laquelle a tourné Doris Day. Donc, tu te prépares d'autres bons moments en perspective :wink:

En tout cas ce film m'incite à me tourner de nouveau vers la comédienne. Car comme je le précisais dans sa présentation (CF, 1ère page) le dernier film que j'avais vu avec elle "Le FBI... ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable !
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

bogart a écrit :
En tout cas ce film m'incite à me tourner de nouveau vers la comédienne. Car comme je le précisais dans sa présentation (CF, 1ère page) le dernier film que j'avais vu avec elle "Le FBI... ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable !
Logique, ce Tashlin était plutôt mauvais. Je te conseille surtout Confidences sur l'oreiller et It happened to Jane (quand ce dernier sortira en zone 2)
bogart
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Message par bogart »

Jeremy Fox a écrit :
bogart a écrit :
En tout cas ce film m'incite à me tourner de nouveau vers la comédienne. Car comme je le précisais dans sa présentation (CF, 1ère page) le dernier film que j'avais vu avec elle "Le FBI... ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable !
Logique, ce Tashlin était plutôt mauvais. Je te conseille surtout Confidences sur l'oreiller et It happened to Jane (quand ce dernier sortira en zone 2)

J'en prends note, merci ! :wink:
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francesco
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Message par francesco »

Ca donne quoi "The Tunnel of love" que dirigea Gene Kelly je crois et aussi Ne mangez pas les marguerites ???
(Une fois de plus je peux me tromper au niveau des titres :oops: )
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Tommy Udo
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Message par Tommy Udo »

francesco a écrit :Ca donne quoi "The Tunnel of love" que dirigea Gene Kelly je crois et aussi Ne mangez pas les marguerites ???
(Une fois de plus je peux me tromper au niveau des titres :oops: )
Grâce à toi, je viens d'apprendre que Richard Widmark avait tourné avec Doris Day :arrow: bien tentant ce film...

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Boubakar
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Message par Boubakar »

Bizarre que ce son dernier rôle au cinéma date de 1970. :shock:
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