Raimu (1883-1946)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Tommy Udo
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Tommy Udo »

supfiction a écrit :JS de Gaumont a pour projet/souhait d'éditer l'intégrale de la Continentale.. peut-être que Gaumont en a les droits (l'espoir fait vivre)..
ça m'étonnerait qu'il en ait les droits :mrgreen:
Le film semble n'avoir jamais été présenté au public et est donc réputé perdu (existe t-il encore des copies ?). Il n'est même pas repris sur imdb ni dans la liste des 30 films produits par la Continental. Et pourtant il a apparemment bien été tourné...
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Tommy Udo
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Tommy Udo »

Noix de Coco
Un film de Jean Boyer (1938)


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Loulou (Raimu), un horticulteur qui vit à Menton, dans le sud de la France, a épousé en secondes noces une femme particulièrement prude. Au cours d'une soirée, il évoque son passé et notamment une folle nuit passée en compagnie d'une certaine "Noix de Coco" (Marie Bell). Peu de temps après, il apprend que cette dernière est en fait sa nouvelle épouse...

Encore une belle découverte avec le grand Raimu :D
Tout comme J'AI UNE IDEE ! (1932), on se retrouve ici en plein vaudeville. Et si la sauce prend sans problème, force est de constater que Boyer n'arrive pas à atteindre le niveau comique et la dynamique du film de Roger Richebé. Mais inutile de bouder son plaisir. Raimu en fait des tonnes dans le rôle d'un mari finalement assez débonnaire, et ça fonctionne. Et puis, son duo avec Michel Simon est bien souvent irrésistible.

Selon la formule consacrée : "mais qu'attendent les éditeurs pour nous le sortir en DVD ?".
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Supfiction
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Supfiction »

Tommy Udo a écrit :
Noix de Coco
Un film de Jean Boyer (1938)


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Loulou (Raimu), un horticulteur qui vit à Menton, dans le sud de la France, a épousé en secondes noces une femme particulièrement prude. Au cours d'une soirée, il évoque son passé et notamment une folle nuit passée en compagnie d'une certaine "Noix de Coco" (Marie Bell). Peu de temps après, il apprend que cette dernière est en fait sa nouvelle épouse...

Encore une belle découverte avec le grand Raimu :D
Tout comme J'AI UNE IDEE ! (1932), on se retrouve ici en plein vaudeville. Et si la sauce prend sans problème, force est de constater que Boyer n'arrive pas à atteindre le niveau comique et la dynamique du film de Roger Richebé. Mais inutile de bouder son plaisir. Raimu en fait des tonnes dans le rôle d'un mari finalement assez débonnaire, et ça fonctionne. Et puis, son duo avec Michel Simon est bien souvent irrésistible.

Selon la formule consacrée : "mais qu'attendent les éditeurs pour nous le sortir en DVD ?".
Oui.. qui a les droits, tu sais ?
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Tommy Udo
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Tommy Udo »

Il était sorti, il y a bien longtemps, en VHS chez René.
Mais je ne sais pas si c'est toujours lui qui en a les droits pour un éventuel DVD^^

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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Tommy Udo »

Sinon, un gros piège à Raimuphiles, à éviter de toute urgence : LE DUEL de Pierre Fresnay (1939).
Vu à l'instant :arrow: Une romance bondieusarde, qui plus est super mal interprétée, avec Raimu dans un rôle très secondaire. Peut-être une apparition pour faire plaisir à son collègue Pierre Fresnay ?
A côté, LE BLANC ET LE NOIR de Robert Florey fait office de chef-d'oeuvre :roll:
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par onvaalapub »

Tommy Udo a écrit :Sinon, un gros piège à Raimuphiles, à éviter de toute urgence : LE DUEL de Pierre Fresnay (1939).
Vu à l'instant :arrow: Une romance bondieusarde, qui plus est super mal interprétée, avec Raimu dans un rôle très secondaire. Peut-être une apparition pour faire plaisir à son collègue Pierre Fresnay ?
A côté, LE BLANC ET LE NOIR de Robert Florey fait office de chef-d'oeuvre :roll:
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Pourtant ça donnait envie avec un tel casting... Merci du tuyau :wink:
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Frances »

Chronique également en ligne dans le topic consacré à Marcel Pagnol.

LA FILLE DU PUISATIER (1940) de Marcel Pagnol avec Josette Day, Raimu (Pascal Amoretti), Fernandel (Félipe), Fernand Charpin (Mazel)
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Patricia, la fille du puisatier s'éprend de Jacques Mazel un aviateur bientôt appelé sous les drapeaux. Enceinte, elle avoue "sa faute" à son père qui se rend chez les Mazel (de riches quincaillers) dans l'espoir de laver l'honneur de sa fille et le sien.

Le tournage commence le 20 mai 1940, s’arrête un mois plus tard pour reprendre du 13 août jusqu’à novembre de la même année. Entre temps eu lieu l’invasion allemande de juin 1940, l’exode, la débâcle, l’armistice et la capitulation de la France.

Ici l’eau est source de vie dès les premières images. Lieu de passage, de rencontre entre Patricia et Jacques Mazel, gué entouré de roseaux symbole d’un jardin d’éden provençal. Pascal Amoretti le puisatier, creuse la terre pour y trouver de l’eau (scène émouvante où il évoque la naissance de sa fille qu’il a finie par aimer comme un garçon). Pascal et Félipe sont des terriens en opposition à Jacques Mazel (le fils du ciel).
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Pagnol oppose l’authenticité, la naïveté et la simplicité de Félipe au mensonge et à la flagornerie de Jacques. Mais Patricia rejette l’amour simple de l’ouvrier de son père pour l’amour plus aérien, plus vaste, plus libéré de l’aviateur.

« Mon foulard c’est moi qui l’ai dénoué. Le vent m’a tourné la tête. » dit Patricia. Le vent, le ciel c’est Jacques. Jolie scène d’aveux fortement elliptique. Patricia s’est donnée à lui et parle de folie. Désormais elle se sent sale et grise comme cette amie qui batifolait avec un garçon et qu’elle avait bannie. Patricia exprime avec beaucoup de sincérité la naissance de son désir, d’abord réprimé puis de son abandon voulu. Elle n’est pas la victime innocente de Jacques mais une jeune fille qui voulait être femme et qui en assume les conséquences mais la voilà qui vacille quand elle dit : « Pour mon malheur vous êtes le mal et le pêché. » Elle est tiraillée entre le désir et l’idée encore vivace du pêché dans la France de 1940 où l’on parle de fille perdue et de bâtard.


La scène entre Félipe (en permission) et Pascal Amoretti à propos de l’enfant de Patricia et de son patronyme est révélatrice de la place de la femme dans la société de l’époque. L’enfant ne prend pas le nom de sa mère mais hérite de celui de son grand père.
Ordre de mobilisation. Départ de Félipe et de Jacques Mazel. Lointaine mais présente les échos de la guerre mêlent la grande histoire à la petite.
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Patricia avoue sa bêtise à Félipe qui en accepterait volontiers de la prendre à son compte si elle voulait bien l’épouser. Belle déclaration d’amour d’une simplicité touchante :

« - J’ai remarqué quand vous apportez le dîner à votre père, moi pendant qu’il est dans le puits, je change mon pain contre le sien…parce que son pain vous l’avez touché alors je le mange volontiers et même je ramasse les miettes. »

Pagnol oppose les classes sociales, tape avec vigueur sur Mazel et sa femme, petits bourgeois arrivistes qui toisent Pascal Amoretti, le puisatier d’origine italienne avec mépris.

« -Maintenant je sais qu’il faut se méfier des gens qui vendent des outils et qui ne s’en servent jamais. » (Amoretti).


Ici on parle de la fille du puisatier parce qu’on assiste au cheminement d’Amoretti, le patriarche. Le film s’attache à sa vision d’une situation qu’il qualifie d’honteuse et finalement à son acceptation. Dans l’arrière pays provençal les mœurs n’ont guère évolué et être fille-mère c’est le déshonneur de toute une famille.

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Amoretti c’est le père blessé, l’homme au cœur gros comme la montagne, qui grogne et qui tempête pour cacher sa peine et son déshonneur mais qui finit par pardonner Patricia et endosser avec un bonheur immense le rôle du grand-père. Pour aboutir à cela il lui faudra procéder par étapes. Quand les Mazel portant le deuil de leur fils viennent voir l’enfant autrefois banni, le géant se réveille à nouveau et rejette leur tentative de rapprochement comme ils l’avaient rejeté lui et sa fille à l’annonce de sa grossesse.

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« - Moi, je suis pas charitable. C’est peut être à force de vivre au milieu des pierres. Non, gardez votre lait de riche, allez. Le meilleur lait c’est le lait des petits pauvres. C’est le vrai et voilà les enfants que ça fait. »

Mais la révolte s’amenuise, la protestation faiblit, le cœur gonflé d’amour déborde annonçant l’acceptation, la réconciliation et le pardon.
Dans l’univers minéral de Pagnol le drame éclate comme un orage en plein été et ravine les cœurs avec la violence du torrent mais l’eau finit toujours par laver les âmes et effacer les malheurs.
« - Il nous faut trouver des sources. Nous en avons déjà trouvé beaucoup mais les plus belles sont encore cachées parce que ce sont les plus profondes. Avec des pioches, des bras et de l’amour peut être qu’un jour elles sauteront au soleil. »

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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Supfiction »

Frances a écrit :Chronique également en ligne dans le topic consacré à Marcel Pagnol.

LA FILLE DU PUISATIER (1940) de Marcel Pagnol avec Josette Day, Raimu (Pascal Amoretti), Fernandel (Félipe), Fernand Charpin (Mazel)
Image
Patricia, la fille du puisatier s'éprend de Jacques Mazel un aviateur bientôt appelé sous les drapeaux. Enceinte, elle avoue "sa faute" à son père qui se rend chez les Mazel (de riches quincaillers) dans l'espoir de laver l'honneur de sa fille et le sien.

Le tournage commence le 20 mai 1940, s’arrête un mois plus tard pour reprendre du 13 août jusqu’à novembre de la même année. Entre temps eu lieu l’invasion allemande de juin 1940, l’exode, la débâcle, l’armistice et la capitulation de la France.
La fille du puisatier fut effectivement commencé en 1940 et finit à la fin de l'année, ce qui en fait le premier film français réalisé sous l'occupation et l'un des plus représentatifs de l'état d'esprit de l'époque face au coup de massue de la défaite.
Le film avait été accusé (je crois, en tous cas par certaines mauvaises langues) à la libération d'être pro-Petain juste parce que à un moment les personnages écoutent un discours du maréchal à la radio. Et puis les valeurs de Pagnol peuvent effectivement avoir certains points communs avec celle de la révolution nationale (l'éloge de la campagne).
Pourtant le message véhiculé par le film n'appelait pas à la soumission, bien au contraire, mais il fallait décoder les dialogues (notamment ceux prononcés par Josette Day à Mme Mazel) pour bien le comprendre..
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Frances »

Supfiction a écrit : Pourtant le message véhiculé par le film n'appelait pas à la soumission, bien au contraire, mais il fallait décoder les dialogues (notamment ceux prononcés par Josette Day à Mme Mazel) pour bien le comprendre..
Tu parles du dialogue - après la scène où une partie des villageois se regroupent devant le poste de radio - qui se termine par : « - Les morts des batailles perdues sont la raison de vivre des vaincus. » ?
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Supfiction »

Frances a écrit :
Supfiction a écrit : Pourtant le message véhiculé par le film n'appelait pas à la soumission, bien au contraire, mais il fallait décoder les dialogues (notamment ceux prononcés par Josette Day à Mme Mazel) pour bien le comprendre..
Tu parles du dialogue - après la scène où une partie des villageois se regroupent devant le poste de radio - qui se termine par : « - Les morts des batailles perdues sont la raison de vivre des vaincus. » ?
Oui. :) "Ils n'ont pas sauvé la France mais ils l'ont prouvé..."
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Supfiction »

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Les nouveaux riches (1938, réalisé par André Berthomieu)

Juste découvert cette formidable comédie, farce quelque-peu anti-capitaliste sous forme de face à face entre deux géants :
Michel Simon vs Raimu !

Michel Simon forcément dans le rôle du méchant et cynique prêt à tout pour écraser ses rivaux, quitte à écraser son ancien mentor, et Raimu dans le rôle du nouveau riche débonnaire qui se laisse tenter par les charmes d'une actrice arriviste avant de reprendre la main comme il sait toujours le faire pour ruser et se venger de ses adversaires.. Jouissif. Incroyable que ce film ne soit pas plus connu, surtout pour son duel de stars.
Dernière modification par Supfiction le 25 juil. 15, 17:46, modifié 1 fois.
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Tommy Udo »

Il devait sortir chez RC. J'espère que ça ne tardera pas trop^^
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Frances »

LES PETITS RIENS (1942) de Yves Mirande, mise en scène Raymond Leboursier avec Raimu, Fernandel, Jules Berry, Claude Dauphin, Suzy Prim.
En écoutant une émission musicale à la radio, chacun des auditeurs se souvient de ces « petits riens » (le titre est emprunté au ballet-pantomime de Mozart, Les Petits Riens) qui ont souvent changé leur existence. Chacune des histoires racontées va prouver qu'un infime détail peut changer toute une destinée.
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Je n’ai jamais été cliente des films à sketches, ce n’est pas celui-ci qui risque de me faire changer d’avis. Les petits riens souffre de nombreux défauts : une enfilade de sketches qui interdit tout développement de l’intrigue et des personnages, une pléiade d’acteurs qui font leur numéro (surtout Fernandel en roue libre qui ne fait pas dans la demi mesure), des histoires vite emballées nourries de poncifs qui n’épargnent ni les bourgeois ni les concierges. Ajoutons à cela une mise en scène paresseuse et sans inventivité et on est pas loin d’appuyer sur la touche avance rapide. Heureusement que l’apparition de Raimu superbe et touchant, vulnérable et grand monsieur apporte, avant que le rideau ne tombe, une véritable émotion. On se dit que finalement notre patience a été récompensée… de justesse (et que le film vaut pour les 10 dernières minutes)
NB : un mot sur la copie RC. Le film aurait été soit disant restauré. Difficile de s’en convaincre. On a vu pire mais c’est franchement pas terrible. Bande son : pas top non plus à tel point que certains dialogues sont difficilement audibles.
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par Supfiction »

Frances a écrit :Heureusement que l’apparition de Raimu superbe et touchant, vulnérable et grand monsieur apporte, avant que le rideau ne tombe, une véritable émotion. On se dit que finalement notre patience a été récompensée… de justesse (et que le film vaut pour les 10 dernières minutes)
Je ne saurai mieux dire! Ce film n'aurait pu durer que ces 10 dernières minutes (et je ne suis pas non plus client des films à sketchs de cette époque souvent très inégaux).
lilmoz
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Re: Raimu (1883-1946)

Message par lilmoz »

c'est vrai que "les petits rien" n'était pas top, j'ai nettement préférer dans le meme genre "Parade en sept nuits"!
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