Cinéma muet français

[The Eye Of Doom]

J’ai attaqué La maison du mystere et en suis a la moitié.
C’est vraiment tres bien !
Mise en scene jamais facile, avec plein de vrais moments de cinema. Interpretation impeccable.
Je savoure....

Fini hier soir.
Tres chouette, entre belle mise en scene au carré souvent inventive et interpretation impeccable.
Attention, on reste dans le registre du roman popu avec trahison, bagne, chantage, marriage forcé, amour contrarié, déguisement,... donc il faut adherer a ce type de recit.
Un tres bon moment.
A noter dans la seconde moitié une bagarre vraiment memorable, rarement vu au cinema!

[Jack Carter]

La Proie du vent (1926) de René Clair sur HENRI

[John Holden]

Programmation de films muets de Julien Duvivier à partir d'aujourd'hui à la fondation Seydoux. Plus quelques parlants.

Julien Duvivier, l'ingénieux poète | Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
du 25 août au 21 septembre

« Si j’étais architecte et devais construire un monument du cinéma, je placerais une statue de Duvivier au-dessus de l’entrée. » Jean Renoir

Salué par Jean Renoir, admiré par Ingmar Bergman mais décrié par les « Jeunes Turcs » des Cahiers du Cinéma, le cinéma de Julien Duvivier ne laisse personne indifférent. La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé revient sur la carrière du cinéaste qui révéla Jean Gabin.

Âgé de 19 ans, Julien Duvivier intègre la société Gaumont où il devient l’assistant de nombreux réalisateurs. Après la Grande Guerre, il écrit et réalise son premier long métrage : Haceldama (1919). Esthétiquement, le film a l’ambition d’un western américain magnifié par les paysages de la Corrèze. Ce premier film atteste alors de la profonde sensibilité du cinéaste pour les prises de vues en extérieur. En 1924, Julien Duvivier entreprend Credo ou La Tragédie de Lourdes. Il se rend in situ pour filmer les lieux saints et va même reconstituer une scène de pèlerinage dans les rues de Nice. Suivra L’Agonie de Jérusalem (1927) dont quelques scènes, par souci d’authenticité, ont été réalisées en Palestine.

Réalisateur éclectique, il co-réalise avec Henri Lepage l’un des premiers documentaires sur le cinéma (La Machine à refaire la vie). Ils le complèteront jusqu’à ce qu’Henri Lepage opère un remontage dans les années 1940. Cette dernière version sera montrée lors de ce cycle. En 1925, Lepage est nommé assistant sur l’adaptation de Poil de Carotte. Oscillant entre perfidie et sensibilité, cette œuvre littéraire s’accorde à l’univers de Duvivier.

En 1930, Julien Duvivier transpose Au Bonheur des Dames à l’écran et c’est Dita Parlo qui incarne Denise Baudu, nouvelle recrue d’un magasin parisien. Tourné en partie dans les Galeries Lafayette, le cinéaste capture un Paris effervescent en dissimulant une caméra pour la séquence où Denise arrive à la capitale.

À l’avènement du cinéma parlant, Duvivier s’approprie les méthodes liées à cette révolution technique. Entouré de fidèles, le réalisateur continue d’explorer la complexité du langage cinématographique et, ainsi, de sonder l’âme humaine avec mélancolie (La Fin du jour, 1939) et noirceur (Voici le temps des assassins, 1956).

Les séances sont accompagnées par les pianistes issus de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel (Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris).

[Jack Carter]

Certainement les copies restaurées par Lobster pour la plupart !

[John Holden]

Oui très certainement. Première séance cet après midi, on verra.

Le Reflet de Claude Mercoeur, 1923 (1h35)

Réalisation : Julien Duvivier

Adapté par Julien Duvivier du roman éponyme de Frédéric Boutet

Sociétés de production : Les Films Julien Duvivier et Isis-Film

Directeurs de la photographie : Paul Thomas et Paul Parguel

Décorateur : Gaston David

Régisseur : Jean-François Martial

Avec : Maud Richard, Gaston Jacquet, Camille Beuve, Maurice Violette, Jean Prévost, Jean Lorette

Claude Mercoeur, un ministre débordé dans son travail, accepte les services d'un sosie pour le décharger de certaines activités. Mais sa fiancée, abusée par la ressemblance, s'étonne des bonnes mais soudaines intentions de son fiancé à son égard. Alors que le sosie tombe amoureux de la fiancée, Mercoeur est retrouvé mort et défiguré.

Copie 35mm, Cinémathèque française



Précédé de

Le Logis de l’horreur de Julien Duvivier, 1922 (15min)

Réalisation et scénario : Julien Duvivier

Société de production : Les Films Julien Duvivier

Directeurs de la photographie : Roger Bourgeois et Paul Cotteret

Avec : Jeanne Helbling, Max Haker, Hugues de Bagratide, Jean Lorette

Résumé : Un couple en lune de miel, quelque part sur la Côte d'Azur. Alors qu'ils se promènent, ils sont maudits par une vieille femme en noir.

Copie 35mm, Institut audiovisuel de Monaco

[Jack Carter]

L'Autre aile de Henri Andreani (1923) sur HENRI

https://www.cinematheque.fr/henri/film/ ... eani-1923/

[Erich]

A signaler (pour les habitants d'Ile-de-France...) la belle exposition Comédie-Française et cinéma, aller-retour à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé (jusqu'au 16 avril). Expo plus ample que celles qui y sont habituellement proposées (elle occupe notamment l'étage où figurait jusque là la collection permanente d'appareils), elle évoque les relations entre la Comédie-Française et le cinéma, des débuts du septième art jusqu'à aujourd'hui. Documents, photos, affiches, bustes, costumes, extraits de films... On y voit par exemple le costume porté par Albert Lambert dans L'Assassinat du Duc De Guise en 1908, un des costumes de soie de Jean-Louis Barrault dans Les enfants du paradis, un manteau de Paul Poiret pour Mary Marquet, etc. Un régal !

[Nestor Almendros]

et la robe d'Adjani dans La reine margot (mais ce n'est plus du muet...)

[John Holden]

Les nouveaux messieurs de Jacques Feyder (1928) sur Henri.

[bruce randylan]

Le site internet de la Fondation Pathé vient de faire peau neuve. Si je trouve l'aspect programmation assez illisible et brouillonne, il y a désormais une partie consacrée aux productions maisons accessibles gratuitement (malheureusement avec gros Copyright et compression médiocre). On y trouve beaucoup de raretés avec des films à trucs, des bandes burlesques et même quelques moyens et long-métrages ainsi que des Emile Cohl absents du double DVDs du coffret Gaumont le cinéma premier.

https://www.fondation-jeromeseydoux-pat ... s_en_ligne

[beb]

...

[Alexandre Angel]

Pierre Lescure en a fait la pub hier soir sur la 5. C'est dans ma liste d'achat.

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[Jack Carter]

Récupéré le mien à la Fnac il y a quelques minutes

[The Eye Of Doom]

N’hésitez pas a faire un retour!
Sur le film je precise
Merci d’avance

[Ann Harding]

Pierre Lescure en a fait la pub hier soir sur la 5. C'est dans ma liste d'achat.

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Voici ma critique qui date de 2010.