Oui, dans mon souvenir le film de Ronald Neame était bien meilleur.blaisdell a écrit : Je n'ai pas arrêté de penser à Un hold-up extraordinaire, autre film de voleurs élégants du milieu des années 60 mais meilleur à tous niveaux: interprétation, mise en scène, scénario..
Jack Smight (1925-2003)
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Re: Jack Smight (1925-2003)
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Re: Jack Smight (1925-2003)
THE ILLUSTRATED MAN (1969)
Situé dans la filmographie de Jack Smight entre la comédie policière No way to treat a lady et le difficilement classable The Travelling executioner, The Illustrated man est la très partielle adaptation de la compilation de nouvelles éponyme de Ray Bradbury originellement publiée en 1951. Seuls les récits « The Veldt », « The Long rain », « The Last Night of the world », le prologue et l’épilogue de cette anthologie sont ici portés à l’écran.
Si j’espérais en l’entamant qu’il n’en soit pas ainsi, je dois bien reconnaitre au final que The illustrated man n’a pas tout à fait volé sa mauvaise réputation. Le tout début fait pourtant presque illusion : ambiance pastorale étrangement menaçante, belle photographie, score haut de gamme de Goldsmith : ça semble parti pour un bon petit film de SF post-Twilight Zone (série sur laquelle s’était d’ailleurs précédemment illustré Smight).
Malheureusement, l’intérêt potentiel de l’œuvre se dilue très vite dans une narration statique, bavarde, sans but, enchevêtrement d’intrigues survolées (les trois « sketchs ») ou seulement amorcé (le segment fédérant le film, dont la résolution laisse pour le moins coi). Par ailleurs, côté direction d’acteurs, ce n’est pas trop ça non plus. Après No way to treat a lady, Smight semble de nouveau accorder carte blanche à Rod Steiger. Sauf que le résultat obtenu diffère ici grandement du précédent. Steiger amusait dans No way..., tandis que là, son jeu emphatique aurait plutôt tendance à agacer.
Malgré tout, le film suscite une curiosité certaine tout du long, distillant sporadiquement une appréciable atmosphère d’angoisse, plus ou moins feutrée selon les histoires. En outre, la partition de Goldsmith sauve quelques meubles, évitant à plusieurs séquences de tomber totalement à plat. Tout n’est donc pas à jeter, même s’il s’agit clairement là d’un essai fantastique raté, dans son ensemble...
Situé dans la filmographie de Jack Smight entre la comédie policière No way to treat a lady et le difficilement classable The Travelling executioner, The Illustrated man est la très partielle adaptation de la compilation de nouvelles éponyme de Ray Bradbury originellement publiée en 1951. Seuls les récits « The Veldt », « The Long rain », « The Last Night of the world », le prologue et l’épilogue de cette anthologie sont ici portés à l’écran.
Si j’espérais en l’entamant qu’il n’en soit pas ainsi, je dois bien reconnaitre au final que The illustrated man n’a pas tout à fait volé sa mauvaise réputation. Le tout début fait pourtant presque illusion : ambiance pastorale étrangement menaçante, belle photographie, score haut de gamme de Goldsmith : ça semble parti pour un bon petit film de SF post-Twilight Zone (série sur laquelle s’était d’ailleurs précédemment illustré Smight).
Malheureusement, l’intérêt potentiel de l’œuvre se dilue très vite dans une narration statique, bavarde, sans but, enchevêtrement d’intrigues survolées (les trois « sketchs ») ou seulement amorcé (le segment fédérant le film, dont la résolution laisse pour le moins coi). Par ailleurs, côté direction d’acteurs, ce n’est pas trop ça non plus. Après No way to treat a lady, Smight semble de nouveau accorder carte blanche à Rod Steiger. Sauf que le résultat obtenu diffère ici grandement du précédent. Steiger amusait dans No way..., tandis que là, son jeu emphatique aurait plutôt tendance à agacer.
Malgré tout, le film suscite une curiosité certaine tout du long, distillant sporadiquement une appréciable atmosphère d’angoisse, plus ou moins feutrée selon les histoires. En outre, la partition de Goldsmith sauve quelques meubles, évitant à plusieurs séquences de tomber totalement à plat. Tout n’est donc pas à jeter, même s’il s’agit clairement là d’un essai fantastique raté, dans son ensemble...
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Ce film, je l'ai longtemps fantasmé (principalement à cause de sa musique géniale). Mais maintenant que j'ai enfin réussi à le récupérer, j'ose même pas le découvrir. Et ce n'est pas ton avis qui va me motiver...
En revanche, du même Smight je viens d'enregistrer Harper, et il me tente en fait carrément plus.
En revanche, du même Smight je viens d'enregistrer Harper, et il me tente en fait carrément plus.
- Jeremy Fox
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Un des polars/cool les plus réjouissants qui soit.Ratatouille a écrit : En revanche, du même Smight je viens d'enregistrer Harper, et il me tente en fait carrément plus.
EDIT : Ah tiens, je ne me souvenais même plus en avoir écrit un avis à la page précédente.
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Revu hier : toujours aussi beau ce film. Chouette patine, des plans magnifiques, jolie minette qui danse près de la piscine ; sa silhouette sous une arcade...Jeremy Fox a écrit :Je ne sais pas ce que valent ses autres films mais il a réalisé au moins une petite merveille qui lui fait selon moi mériter son topic
Détective privé (Harper, 1966)
« Tu as été engagé par une salope pour retrouver une ordure. »
« Oui, et à chaque fois j’espère que ce sera le prince charmant qui m’envoie à la recherche de Cendrillon. »
Ce simple dialogue entre Paul Newman et Arthur Hill à la toute fin du film pourrait presque suffire à en résumer l’intrigue, à en deviner le ton et à approcher le caractère du détective ‘nouveau style’ comme Lew Harper se définit lui-même. Vingt ans après Le Grand Sommeil (The Big Sleep) de Howard Hawks, tourné sur le même plateau de la Warner, Harper marque le renouveau au milieu des années 60 du film de détective, le Mike Hammer d’Aldrich dans Kiss me Deadly ayant entre temps dynamité l’image de ce personnage récurrent dans le film noir américain depuis l’apparition inoubliable de Sam Spade en 1941 interprété par Humphrey Bogart dans le chef-d’œuvre de John Huston, Le Faucon maltais (The Maltese Falcon). Voici un raccourci un peu fulgurant de l’histoire des détectives dans l’histoire du cinéma américain pour dire que le film de Jack Smight ne doit surtout pas avoir à rougir de ses illustres prédécesseurs.
Tout comme dans la plupart des films du genre, l’intrigue semble à priori complexe et embrouillée mais, là ou Chandler nous faisait vraiment lâcher prise dans le même temps que son Philip Marlowe, William Goldman nous concocte un scénario superbement écrit lui aussi (d’après un roman du californien Ross McDonald qui connaissait parfaitement bien le monde en décomposition dont il parlait) mais finalement très facile à suivre. Son travail est d’ailleurs remarquable puisqu’en plus de nous gratifier d’une intrigue rondement menée, il n’hésite pas à prendre des sentiers de traverse afin d’enrichir et de faire vivre toute une galerie de personnages haut en couleurs (plus ou moins déphasés, plus ou moins touchants dans leur médiocrité) sans néanmoins tomber dans le pittoresque.
Le générique de début donne immédiatement le ton, celui d’une chronique, nous montrant une scène de la vie quotidienne du détective, en l’occurrence son réveil difficile et la préparation de son petit déjeuner dans sa cuisine miteuse ; n’ayant plus de café, il récupère, dépité, l’ancien filtre de sa poubelle. Oui, la classe de Bogart/Spade-Marlowe a fait place à un style plus réaliste de détective privé, un homme désabusé qui arrive toujours à rester intègre (sinon continuerait-il à vivre aussi misérablement ?) mais possédant en plus une certaine faculté de compréhension et le don de compassion. En revanche, Harper possède de ses prédécesseurs la même ironie, le même humour, la même dérision, la nonchalance en plus. Paul Newman est absolument génial dans ce rôle qui lui va comme un gant. Sa décontraction fait ici merveille et l’humour est constamment présent à travers des répliques d’anthologie sans qu’elles ne fassent jamais trop ‘mots d’auteur’.
Ce qui finit de faire de Détective privé une très grande réussite est la description des relations qu’entretient Harper avec toutes ses personnes qu’il rencontre au cours de son enquête (une femme de milliardaire désirant retrouver son époux détesté, une fille déséquilibrée haïssant tout autant son père et se jetant à la tête de tous les beaux mâles, une chanteuse droguée, un faux mage exploitant de la main d’œuvre immigrée, une star déchue, un playboy oisif…) ainsi qu’avec son ex-femme (Janet Leigh, superbe) et son meilleur ami (Arthur Hill, magistral). Car on ne l’a pas souvent remarqué mais Détective privé est aussi un formidable film sur l’amitié ; il n’y a qu’à voir et revoir ces merveilleuses dix dernières minutes et l’étonnant plan qui les clôture pour en être convaincu. N’oublions pas un casting de très grande classe, une mise en scène d’une belle fluidité et pour englober le tout, une composition jazzy très sophistiquée de Johnny Mandel. Que ceux qui, comme beaucoup, se seront attachés au personnage de Lew Harper se rassurent ; Stuart Rosenberg réalisera une suite d’une égale réussite en 1975 : La Toile d’araignée (The Drowning Pool), toujours avec Paul Newman.
J'ai cru voir, à plusieurs reprises, la référence première des frères Coen pour The Big Lebowski. Et, pour le style, les OSS117 avec Dujardin. C'est vraiment classieux, très plaisant à voir - et à entendre, oui.
Préfigure largement The Long Goodbye d'Altman.
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Enfin découvert ce Harper, détective privé. Que Conrad Hall soit loué, car c'est à lui que je dois la majeure partie de mon plaisir. En fonction des scènes, de studio ou d'extérieurs, nuit ou jour, on ainsi droit à un festival de jeux d'ombres, d'éclairages centralisés, de couleurs chatoyantes, de textures enveloppantes, de contrastes saisissants... le tout majoritairement en mouvement et dans le cadre d'un tournage en Technicolor Panavision. Le résultat est subjuguant de beauté (ce qui n'est pas forcément gagné quand on parle des bariolées années 60) et invariablement captivant, a fortiori quand l'on réalise qu'avec une grande variété de situations, Hall parvient à donner une épaisseur et une unité à l'ensemble.
Alors certes, Newman n'est pas en reste, entre règne du cool décomplexé, sarcasme (ses réactions et diverses mimiques valent leur pesant de cacahuètes) et variation plus réaliste, moins ancrée dans les figures imposées du privé. Il permet à Harper d'évoluer non pas en retard ni en avance mais de concert avec son monde.
La partition de Johnny Mandel exsude elle-aussi le cool et la joie de vivre... alors que reprocher au film de Jack Smight? Peut-être un peu plus de concision dans sa 2e moitié, même si l'étude des valeurs morales du final donne pas mal de peps et d'envergure à l'affaire.
Alors certes, Newman n'est pas en reste, entre règne du cool décomplexé, sarcasme (ses réactions et diverses mimiques valent leur pesant de cacahuètes) et variation plus réaliste, moins ancrée dans les figures imposées du privé. Il permet à Harper d'évoluer non pas en retard ni en avance mais de concert avec son monde.
La partition de Johnny Mandel exsude elle-aussi le cool et la joie de vivre... alors que reprocher au film de Jack Smight? Peut-être un peu plus de concision dans sa 2e moitié, même si l'étude des valeurs morales du final donne pas mal de peps et d'envergure à l'affaire.
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Quelle surprise de tomber sur ce test! Et en plus la critique est bonne!
http://www.dvdclassik.com/critique/fran ... ire-smight
Grand grand souvenir de gosse...
http://www.dvdclassik.com/critique/fran ... ire-smight
Grand grand souvenir de gosse...
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Juste pour signaler que Canal à la demande propose ce titre assez rare en ce moment :
Par contre, attention, copie pourrie et film particulièrement mauvais dans mon souvenir.
Par contre, attention, copie pourrie et film particulièrement mauvais dans mon souvenir.
- manuma
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Re: Jack Smight (1925-2003)
LOVING COUPLES (1980)
Ca me travaillait, fallait que j’y rejette un œil. Et si cela reste un vaudeville bourgeois qui empile les situations satirico-romantiques les plus éculées, mis en scène de loin par Jack Smight, j’avoue avoir révisé mon jugement légèrement à la hausse.
En fait, c’est creux mais on ne s’ennuie pas vraiment, essentiellement grâce à un quatuor d’acteurs qui fonctionne parfaitement. La prestance naturelle de James Coburn et Shirley MacLaine fonctionne plein pot, leur épargnant le ridicule, même dans les scènes les plus risquées (MacLaine en mode disco inferno), le bellâtre Stephen Collins est presque amusant par moment et Susan Sarandon étonne, rétrospectivement, dans son rôle d’ingénue sexy (il me semble que, même à cette époque, ce n’est pas le type d’emploi qu’on lui offrait, mais je peux me planter...). En outre, point cadeau pour l’amateur de cinéma US de cette époque : les 4, 5 apparitions de Sally Kellerman dans son habituel rôle de femme cougar excentrique.
Un mini plaisir coupable, à l’image d’ailleurs de la plupart des autres titres ciné de Jack Smight sur la décennie 70.
Lorsque son couple traverse une période difficile, Evelyn, une doctoresse, s'ennuie auprès de son mari, Walter, un éminent chirurgien. Sa solitude est interrompue lorsqu'elle fait la connaissance d'un séduisant agent immobilier, Greg Plunkett. C'est le coup de foudre et la jeune femme se donne à lui...
Ca me travaillait, fallait que j’y rejette un œil. Et si cela reste un vaudeville bourgeois qui empile les situations satirico-romantiques les plus éculées, mis en scène de loin par Jack Smight, j’avoue avoir révisé mon jugement légèrement à la hausse.
En fait, c’est creux mais on ne s’ennuie pas vraiment, essentiellement grâce à un quatuor d’acteurs qui fonctionne parfaitement. La prestance naturelle de James Coburn et Shirley MacLaine fonctionne plein pot, leur épargnant le ridicule, même dans les scènes les plus risquées (MacLaine en mode disco inferno), le bellâtre Stephen Collins est presque amusant par moment et Susan Sarandon étonne, rétrospectivement, dans son rôle d’ingénue sexy (il me semble que, même à cette époque, ce n’est pas le type d’emploi qu’on lui offrait, mais je peux me planter...). En outre, point cadeau pour l’amateur de cinéma US de cette époque : les 4, 5 apparitions de Sally Kellerman dans son habituel rôle de femme cougar excentrique.
Un mini plaisir coupable, à l’image d’ailleurs de la plupart des autres titres ciné de Jack Smight sur la décennie 70.
- Jeremy Fox
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Tu as pu le voir comment ? Car rien que pour Shirley McLaine, je tenterais bien le coup.
- manuma
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Dispo via Canal à la demande. Par contre, la médiocrité de la copie (au format VHS) risque fort d'être rédhibitoire pour toi.Jeremy Fox a écrit :Tu as pu le voir comment ? Car rien que pour Shirley McLaine, je tenterais bien le coup.
- Jeremy Fox
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Re: Jack Smight (1925-2003)
manuma a écrit :Dispo via Canal à la demande. Par contre, la médiocrité de la copie (au format VHS) risque fort d'être rédhibitoire pour toi.Jeremy Fox a écrit :Tu as pu le voir comment ? Car rien que pour Shirley McLaine, je tenterais bien le coup.
Merci ; de toute manière je n'ai pas canal
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Pas tant que ça quand on se souvient de ses rôles bébêtes dans The Great Waldo Pepper ou (of course) The Rocky Horror Picture Show.manuma a écrit :Susan Sarandon étonne, rétrospectivement, dans son rôle d’ingénue sexy (il me semble que, même à cette époque, ce n’est pas le type d’emploi qu’on lui offrait, mais je peux me planter...).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- manuma
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Re: Jack Smight (1925-2003)
Je n'étais pas trop sûr de mon coup, là dessus. Le génial The Front page rentre peut-être aussi dans cette catégorie, mais je ne me souviens plus exactement de son rôle...Kevin95 a écrit :Pas tant que ça quand on se souvient de ses rôles bébêtes dans The Great Waldo Pepper ou (of course) The Rocky Horror Picture Show.manuma a écrit :Susan Sarandon étonne, rétrospectivement, dans son rôle d’ingénue sexy (il me semble que, même à cette époque, ce n’est pas le type d’emploi qu’on lui offrait, mais je peux me planter...).