Sherlock Holmes au cinéma

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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LDL
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par LDL »

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Lord Henry
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Lord Henry »

Personnellement, j'aime beaucoup le Sherlock Holmes interprété par John Neville dans A Study in Terror. Et ce qui ne gâte rien, le film lui-même se range parmi les tout meilleurs inspirés par la création d'Arthur Conan Doyle - et qui pourrait résister au Mycroft Holmes de Robert Morley?

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riqueuniee
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par riqueuniee »

Cathy a écrit :Enfin il n'y a aucune allusion à' l'effort de guerre dans les Aventures de Sherlock Holmes. Le chien des Baskerville de Rathbone et celui de Cushing n'ont pas grand chose à voir dans l'histoire, mais au niveau interprétation les deux acteurs sont très bons. J'aime beaucoup aussi la vie privée de Sherlock Holmes de Wilder, tout comme cette parodie géniale "Elementaire mon cher lock Holmes", avec Michael Caine et Ben Kingsley. Et j'ai beaucoup apprécié la dernière version avec Robert Downey et Jude Law. J'aime aussi énormément Young Sherlock Holmes, le mystère de la pyramide !
Moi aussi j'aime beaucoup ces films-là.Particulièrement le mystère de la pyramide,qui invente un jeunesse à Sherlock Holmes,expliquant la naissance de sa vocation.Un film pour lequel il ne faut pas rater la dernière image du générique de fin,qui amène une information très importante.
J'aime bien aussi l'interprétation d Basil Rathbone (je n'ai pas revu ses films depuis longtemps).
Un film très intéressant,revu récemment : Sherlock Holmes contre Jack l'Eventreur (James Hill,1965).Bonne idée que de faire enquêter Holmes sur cette affaire bien réelle (très romancée dans ce film).Un film qui,à côté de l'enquête (fort bien menée) ,est une belle évocation de la société victorienne.A noter que,dans ce film,on voit Holmes (interprété par John Neville) se battre,ce qui est rarement le cas .
PS En ce qui concerne ce dernier film,je n'avais pas vu le message de Lord Henry... :oops:
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par riqueuniee »

Cathy a écrit :Je sais bien que ce n'est pas du naphta mais bon je poste ici mon commentaire de

Basil, détective privé, The Great Mouse Detective (1986)



Adaptation en dessin animé des aventures de Basil, une souris qui vit chez Sherlock Holmes et voit surgir dans sa vie le Docteur Dawson. Il lutte ici contre Ratigan, un horrible rat d'égout !

Sherlock Holmes en dessin animé voila qui pouvait paraître surprenant, mais le personnage fera aussi l'objet d'une série Manga
Très bon dessin animé.La transposition en dessin animé fonctionne très bien.La scène de poursuite dans Big Ben est très spectaculaire,et les chansons sont très belles,pas guimauve.A noter que c'est Vincent Price qui "interprète" (en VO) Ratigan,et qu'il chante lui-même la chanson.
La série animée japonaise a été réalisée (en partie) par Miyazaki.
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Cathy
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Cathy »

Sherlock Holmes et la Voix de la Terreur, Sherlock Holmes and the Voice of Terror (1942) - John Rawlins

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Sherlock Holmes et le Dr Watson doivent trouver qui est la mystérieuse Voix de la terreur qui annonce des crimes nazis sur la terre anglaise.

Un panneau nous avertit avant même le début du film que Sherlock Holmes est un héros intemporel donc rien d'étonnant à le voir récupéré pour lutter contre les nazis infiltrés vu la renommée du personnage et son impact en Angleterre. Nous sommes dans ici dans un film de guerre, destiné à galvaniser le peuple anglais et à montrer que l'envahisseur allemand ne réussira pas ! C'est assez intéressant finalement de constater que la mentalité anglaise était celle-là et que jamais les allemands ne purent envahir l'Angleterre, malgré leurs envies ! Le scenario est donc une transposition moderne, à la radio, une voix annonce au peuple britannique qu'il doit se rendre car des crimes seront commis contre la nation, déraillement de train, incendies d'usines, etc. Une fois posé le concept purement "propagande", nous avons une enquête traditionnelle de Sherlock Holmes. Par contre contrairement aux deux premiers opus tournés avec Basil Rathbone, nous n'avons ici aucune scène de déguisement, et si Holmes découvre naturellement qui est le coupable, nous le voyons s'entourer d'une jeune femme qui servira d'appât aux coupables. Il y aura aussi à la fin la grande déclaration qui doit motiver le peuple anglais à résister. Le film n'est donc plus une enquête traditionnelle du détective anglais mais plus un film "noir" avec des espions nazis, une jeune femme blonde très vamp et très typique des films noirs de cette époque, cette ambiance nocturne habituelle avec ces rues coupe-gorges. Il est évident que nous ne sommes plus dans le domaine du "traditionnel", mais après tout Sherlock Holmes a donné lieu à de nombreuses variations autour de son nom.
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Lord Henry »

Pour revenir un instant au Chien des Baskervilles, la plus mauvaise adaptation doit bien être celle tournée par Stewart Granger pour la télévision américaine - et lui-même campe un Sherlock Holmes des plus quelconque.
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someone1600
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par someone1600 »

Personnelement j'ai adoré tous les films sur Sherlock Holmes que j'ai vu, de Dressed to kill avec Rathbone, a The hound of the Basketville avec Cushing, The secret life of Sherlock Holmes de Wilder a Without a clue avec Micheal Caine. :D
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Randolph Carter »

Personne n'a cité " Les mystères du véritable Sherlock Holmes" avec Ian Richardson (mort en 2007 et c'est une occasion de lui rendre hommage) qui incarne de façon magistrale le docteur Joseph Bell,personnage ayant servi de modèle à Conan Doyle pour créer son célèbre personnage.La série est exceptionnelle et méritait d'être signalée...
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par LDL »

Sinon bien sur, le Sherlock Holmes Définitif, celui-la même qui a été baptisé de la sorte par de nombreux clubs holmesiens ainsi que par le Times, a juste titre d'ailleurs : Jeremy Brett (tellement son interprétation dépasse tout ce qui a été fait. Notons les budgets faramineux que la Granada a dépensé sur la série, bravo quand même, la qualité est au rendez vous !)....

Toute la famille de Brett y compris sa femme et son propre frère lui avait défendu de prendre le rôle, très inquiets pour sa santé ! (Brett était très gravement maniaco-depressif, tout comme Holmes, la légende dit qu'il prenait aussi une solution dans ses moments d'inactivité, mais sans aucune preuve), il mourut sur le dernier épisode, après s'être totalement investi en ne quittant jamais le petit livre rouge des notes de Doyle, alors qu'il avait refusé le rôle au départ jugeant qu'il ne pourrait rien apporter a de trop nombreuses interprétations qui avaient nui a l'œuvre de l'auteur, et finalement acceptant (après 5 tentatives de la part du producteur qui avait vu en lui un immense Holmes !), jouant a la condition que l'interprétation devait coller a l'œuvre de Doyle, c'était tout a fait aussi le point de vue du producteur, quel souci de la méticulosité, du perfectionnisme dans toutes expressions, bref, du grand Art !.

Il y a une esquisse faite par un artiste sur un plan séquence, Brett de profile dans une blouse de travail, pipe a la main, la ressemblance du corps, du visage et de l'expression volontairement éloignée de toutes choses superflues, pensant a un problème ("Ce problème requiert 3 pipes au moins !"), est tout a fait extraordinaire par rapport a un croquis fait pour illustrer le premier tome de Doyle, il est tout a fait étonnant et remarquable de voir a quel point il y a eu osmose entre le grand interprète de Shakespeare et le héros de Doyle...


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A noter le dernier plan qui se transforme systématiquement en un croquis sépia, avec un trait légèrement rugueux (dans un esprit "eau forte") tout a fait identique aux illustrations des éditions originales de Doyle. Le Holmes de Ritchie avec Robert Downey Jr et Jude Law va reprendre exactement la même chose sur le générique début et fin en l'améliorant (la technique informatique depuis a évolué a ce sujet, en y ajoutant un full color draw monochromique, admirablement exécuté du reste...).

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hellrick
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par hellrick »

Je poste également mon avis sur La voix de la terreur, je suis peut-être un peu sévère mais j'ai vu 10 des films de la série et c'est clairement le moins bon, je mettrais les autres au fur et à mesure et ils m'ont tous bien davantage enthousiasmé :wink:
(PS: la propagande n'est pas importante, c'est classique de l'époque, les Tarzan ont fait bien pire, sans oublier l'Homme Invisible)

SHERLOCK HOLMES ET LA VOIX DE LA TERREUR

Troisième épisode de la longue saga cinématographique de Sherlock Holmes, initiée par LES AVENTURES DE SHERLOCK HOLMES en 1939, ce métrage est le premier à transposer le personnage du Londres victorien à l’époque (alors) contemporaine. Un carton pré-générique nous apprend ainsi que Holmes et Watson sont des héros intemporels et, par conséquent, leurs aventures peuvent se dérouler en tout lieux et en tout temps. Une manière commode de rogner sur le budget en s’épargnant de couteuses reconstitutions historiques mais, également, un moyen de convoquer le célèbre détective à participer à l’effort de guerre. Tout comme Tarzan ou l'Homme Invisible, Holmes sera donc opposé, au début des années ’40, non plus à de vulgaires criminels de droit commun mais bien à de redoutables espions nazis menaçant le monde libre.

1942. Londres est terrorisé par un mystérieux personnage surnommé « La Voix de la Terreur », lequel donne ses ordres, via les ondes radio, à une redoutable bande de saboteurs Nazis. Vu la multiplication des attentats, le haut commandement des services secrets britanniques, dépassé par les événements, décide de recourir aux services du célèbre détective Sherlock Holmes afin d’identifier « La Voix de la Terreur ». Même si les militaires se montrent, pour la plupart, réticent à engager un civil, une petite démonstration des talents de Holmes leur prouve qu’ils ont fait le bon choix. Peu après, un homme, un couteau planté dans le dos, s’écroule devant l’appartement que le fin limier partage avec le docteur Watson en murmurant un simple prénom. Les deux intrépides héros se lancent alors à la poursuite de son meurtrier et remontent une piste menant à un certain Mr Meade, membre de l’organisation dirigée par « La Voix de la Terreur ». Mais qui est véritablement ce-dernier ?

Même si les puristes ne digèreront sans doute pas facilement le déplacement temporel des personnages, SHERLOCK HOLMES ET LA VOIX DE LA TERREUR, fonctionne agréablement, l’époque où intervient le détective important finalement peu tant que ses fondamentaux sont conservés, ce qui s’avère le cas ici. Holmes, brillamment interprété par Basil Rathbone, reste un attachant génie excentrique, agaçant par sa suffisance, capable de relier entre eux des faits insignifiants pour établir des théories farfelues mais toujours justes. Comme souvent, les déductions accomplies par Holmes sur base de minuscules et improbables indices s’avèrent fantaisistes et peu crédibles mais participent au charme de ces productions n’hésitant pas à surenchérir pour démontrer l’infaillibilité du détective. Difficile, par exemple, de comprendre comment Holmes solutionne l’intrigue, même en admettant l’existence d’agents secrets nazis « dormant » envoyés en Angleterre préparer la Seconde Guerre Mondiale depuis…1924 ! Le spectateur devra, pour apprécier les prouesses intellectuelles du limier, admettre que son intelligence si brillante lui permet ce genre d’exploits impossibles. Si Rathbone tire naturellement la couverture à lui, le reste du casting accomplit un honnête boulot même si la transformation de Watson en un bouffon caricatural reste navrante. La performance de Nigel Bruce n’est d’ailleurs nullement à blâmer, l’acteur se montrant très compétent, voire pétillant, en dépit de l’orientation discutable prise par les scénaristes. Sans doute soucieux d’offrir un contre point humoristique au très froid et sérieux Holmes, les auteurs ont malheureusement changé Watson en un faire-valoir, voire un clown dispensant l’une ou l’autre réplique parfois drôle mais généralement déplacées ou inappropriées.
A l’instar d’autres productions de la même époque, SHERLOCK HOLMES ET LA VOIX DE LA TERREUR exalte, forcément, les valeurs nationalistes et patriotiques du public. Le métrage propose ainsi plusieurs scènes au cours desquelles le fin limier se lance dans un vibrant discours visant à motiver les troupes. Des passages n’ayant pas forcément bien vieillis mais excusables si on se replace dans le contexte de la Seconde Guerre Mondiale et d’ailleurs probablement fort appréciés en leur temps.
En dépit de ces lourdeurs propagandistes, l’intrigue en elle-même se révèle distrayante et bien menée, la durée restreinte (à peine 66 minutes) obligeant le cinéaste à adopter un rythme soutenu et prenant. La photographie en noir et blanc, pour sa part, joue adéquatement sur les ombres et confère au métrage un parfum proche du thriller noir et une atmosphère intéressante aux lisières du fantastique. Malheureusement, dans l’ensemble, SHERLOCK HOLMES ET LA VOIX DE LA TERREUR n’est pas une grande réussite et s’apparente à un essai manqué qu’on évitera de comparer aux précédents métrages Victorien et même aux tentatives modernisées ultérieures, bien plus convaincantes. Si le métrage reste divertissant et pourvu d’un charme suranné appréciable, il n’en reste pas moins très moyen et apparaît, rétrospectivement, comme un des épisodes les plus faibles (si ce n’est le plus faible) de la saga tournée durant les années ‘40. On le réservera par conséquent aux inconditionnels de la série souhaitant voir toutes les aventures de Sherlock Holmes incarné par Basil Rathbone même si, avec un peu d’indulgence, il est encore possible d’y prendre un petit plaisir nostalgique.
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Lord Henry »

A noter cette réalisation d'Anthony Harvey (Lion in Winter) dans laquelle George C. Scott interprète un personnage qui endosse la personnalité de Sherlock Holmes à la suite d"un traumatisme. Je ne l'ai pas vu, mais peut-être certains le connaissent-ils.

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Néanmoins, je peux mentionner pour l'avoir vu, un téléfilm sans grand intérêt reposant étrangement sur une idée similaire; Larry Hagman y joue le rôle d"un motard de la police qui se prend pour Sherlock Holmes après avoir été victime d'un accident.
Dernière modification par Lord Henry le 4 févr. 11, 12:09, modifié 1 fois.
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par riqueuniee »

Je connais le téléfilm (qui relève plutôt de la comédie policière).Hagman y interprète un flic pas très doué qui devient un super-détective (avec la "personnalité" de Holmes,donc) après avoir reçu un coup sur la tête.Distrayant...
Autre téléfilm,brodant sur le thème de Holmes (mais j'ai oublié titre et interprètes!).L'arrière-petite-fille de Watson (aussi médecin) hérite la propriét de son illustre ancêtre.Dans les sous-sols,se trouve le corps de Holmes,cryogénisé ((ou équivalent).Celui-ci,ramené à la vie,l'assistera dans une enquête.Une grande partie du scenario joue sur le décalage entre la personnalit très "victorienne" de Holmes et notre époque .
Dernière modification par riqueuniee le 4 févr. 11, 12:47, modifié 1 fois.
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par hellrick »

riqueuniee a écrit : Autre téléfilm,brodant sur le thème de Holmes (mais j'ai oublié titre et interprètes!).L'arrière-petite-fille de Watson (aussi médecin) hérite la propriét de son illustre ancêtre.Dans les sous-sols,se trouve le corps de Holmes,cryogénisé ((ou équivalent).Celui-ci,ramené à la vie,l'assistera dans une enquête.Une grande partie du scenario joue sur le décalage entre la personnalit trsè "victorienne" de Holmes et notre époque .
==> LE RETOUR DE SHERLOCK HOLMES tout simplement :wink:
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par Lord Henry »

Et là aussi, c'est une idée dont le film ne fait pas grand-chose.
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Re: Sherlock Holmes au cinéma

Message par LDL »

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meme avis :

SHERLOCK HOLMES ET LA VOIX DE LA TERREUR est a mon avis le pire de tous, et j'ai les 14 ! et en VF, et en VO !

cela dit, il reste bien sur un certain plaisir a les revoir, pour moi ce sont des souvenirs d'enfance, mais rien a voir avec d'autres souvenirs qui restent intacts comme El Dorado avec Wayne, Ivanhoe avec Taylor, ou Robin des Bois avec Flynn, qui sont, et qui restent des MUST malgre de nombreuses autres versions surtout pour le dernier. Holmes par Rathbone, ce n'est pas le cas....


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