En fait, j’ai du le voir la première fois il y a 30 ans dans Rocketeer.
Alan Arkin
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Re: Alan Arkin
Ce n'était pas la première fois que je le voyais (Wait until dark et Bad medicine avaient dû passer par là avant) mais c'est avec ce solide film télé que j'ai vraiment retenu son nom :
Grand acteur, toujours bon au miminum, quel que soit le niveau d'intérêt du film.
Sinon, pas encore cité ici, il y a ce Slum of Beverly hills dont je garde un excellent souvenir
Grand acteur, toujours bon au miminum, quel que soit le niveau d'intérêt du film.
Sinon, pas encore cité ici, il y a ce Slum of Beverly hills dont je garde un excellent souvenir
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Re: Alan Arkin
Oui c'est excellent ça, et si je me fie à mes souvenirs, il me semble qu'il y tenait à peu près le même rôle de paternel que dans Edward.
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Re: Alan Arkin
Vu Seule dans la nuit hier soir, je lui ai mis 6/10 mais il perdait facile 1 ou 2 points sans la présence d'Arkin et ce bond incroyable.
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Re: Alan Arkin
FOUR DAYS IN SEPTEMBER (1997)
Thriller politique revenant sur l'enlèvement de l'ambassadeur des Etats Unis au Brésil, en 1969, par un groupe révolutionnaire luttant contre la dictature au pouvoir, signé par l’enfant du pays, Bruno Barreto. Son premier essai du genre, A show of force, ne m’avait déjà pas particulièrement marqué (sorti de son excellent score), et il en va un peu de même pour ce Four days in September à la réalisation sans éclat et l’écriture très classique, voire rudimentaire dans son traitement des personnages. En dépit d’un sujet fort, l’œuvre demeure chiche en tension, génère peu d’émotions et ses quelques élans mélodramatiques ne m’ont malheureusement pas semblé spécialement pertinents. Après, Arkin est impeccable, comme toujours, et cela reste assez bien mené, sans longueur. Au final, malgré ses scories, sans doute que j’ai vu de plus intéressant de Barreto à ce jour juste après le sensible Carried away - cinéaste dont je ne connais toutefois que la carrière US.
Thriller politique revenant sur l'enlèvement de l'ambassadeur des Etats Unis au Brésil, en 1969, par un groupe révolutionnaire luttant contre la dictature au pouvoir, signé par l’enfant du pays, Bruno Barreto. Son premier essai du genre, A show of force, ne m’avait déjà pas particulièrement marqué (sorti de son excellent score), et il en va un peu de même pour ce Four days in September à la réalisation sans éclat et l’écriture très classique, voire rudimentaire dans son traitement des personnages. En dépit d’un sujet fort, l’œuvre demeure chiche en tension, génère peu d’émotions et ses quelques élans mélodramatiques ne m’ont malheureusement pas semblé spécialement pertinents. Après, Arkin est impeccable, comme toujours, et cela reste assez bien mené, sans longueur. Au final, malgré ses scories, sans doute que j’ai vu de plus intéressant de Barreto à ce jour juste après le sensible Carried away - cinéaste dont je ne connais toutefois que la carrière US.