Vingt-cinquième et dernière manche : les résultats
LES INNOCENTS CHARMEURS (Andrzej Wajda - 1960) Il était musicien dans la Dernière charge, il l'est à nouveau dans le film suivant de Wajda : à la contrebasse, Roman Polanski. Jack Carter et jailaflemme : 5 points chacun
BIENVENUE MONSIEUR MARSHALL (Luis Garcia Berlanga - 1953) Flavia, littlebill, John Holden et tenia : 3 points chacun
S.O.B. (Blake Edwards - 1981) Non, je n'étais pas de la party Jack Carter, Alexandre Angel, Demi-Lune et moonfleet : 3 points chacun
FAUT-IL TUER SISTER GEORGE ? (Robert Aldrich - 1968) Susannah York récupère le chapeau melon de son déguisement en Stan Laurel. Beryl Reid était elle Oliver Hardy, mais absente à l'image... Faut dire que j'ai quand même un faible pour Susannah, je sais pas pourquoi. Vic Vega, Karras, littlebill et Jack Carter : 3 points chacun
LE DIABLE AU CORPS (Marco Bellocchio - 1986) Coucou, il est de retour Marco... Maruschka Detmers sur le dance floor. Ailleurs, elle y perpétrait une fellation in vivo qui avait fait scandale à Cannes en 1986, quand le film avait été proposé dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs.
Chou blanc
LES CHAUSSONS ROUGES (Michael Powell & Emeric Pressburger - 1948) On termine naturellement sur celui que je considère peut-être, arbitrairement, comme mon film préféré de tous les temps.
Et il n'y a que Jack Carter et Alexandre Angel à sabler le champagne avec moi : 5 points chacun
Si je m'a pas gouré : Vic marque 3 points, littlebill 6 points :
LITTLEBILL peut fièrement arborer la couronne de vainqueur
Et un grand bravo à tous les deux pour ce passionnant mano a mano, jusqu'au final
John Holden a écrit : ↑14 nov. 20, 16:50
La 6 c'est une capture d'un film datant de 1948 ?!!!!
Et le mec à droite dans le fond avec son sweet années 80, c'est une erreur de casting ?!
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
John Holden a écrit : ↑14 nov. 20, 16:50
La 6 c'est une capture d'un film datant de 1948 ?!!!!
C'est en effet une réflexion que je me suis faite. Mais ça fait partie de la modernité du film (le côté "documentaire" sur un certain milieu) que j'avais ressentie lors d'une récente revision. Et particulièrement au cours de cette séquence de fête post-spectacle.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
John Holden a écrit : ↑14 nov. 20, 16:50
La 6 c'est une capture d'un film datant de 1948 ?!!!!
C'est en effet une réflexion que je me suis faite. Mais ça fait partie de la modernité du film (le côté "documentaire" sur un certain milieu) que j'avais ressentie lors d'une récente revision. Et particulièrement au cours de cette séquence de fête post-spectacle.
Ben oui merci, ce film, également l'un de mes préférés de tous les temps, comme pas mal de Powell, je l'ai vu un paquet de fois.
Je félicite une nouvelle fois Beule pour trouver des captures introuvables de films vus et revus.
Annoncé grand favori au début de la compet', c'est peu dire qu'il a déçu, ratant même son objectif secondaire au final Nul doute qu'en grand compétiteur, il reviendra plus fort que jamais
22 zigfrid 2 points
24 damdouss 1 point
Un grand merci à tous pour votre participation, vos encouragements et votre bonne humeur constante. Ce fut un plaisir de vous arbitrer durant cette quinzaine
Merci Beule pour l'organisation. Je participe quasi jamais à ce genre de jeux car je ne suis jamais là à assez de manches et quand je le suis, je ne trouve jamais rien, mais finalement ici, c'était hardu mais presque abordable.