Boubakar a écrit : ↑13 mai 21, 21:56
Question toute bête, pour ceux qui ne peuvent payer qu'au début du mois suivant, on peut se faire mettre la totale des titres de côté ? Car dans l'affirmative, je suis partant.
En juillet ? Bah faut juste demander à payer par virement bancaire le 15 et payer juste avant qu'on n'efface la commande.
Oui je voulais dire payer début juin si les précos démarrent le 28 Mai. Mais si on peut payer par virement, c'est génial !
Boubakar a écrit : ↑11 mai 21, 13:13
J'attends les premières critiques, trop de joie dans cette annonce !
Des revues comme Cinéma en ont parlé à l'époque (dans deux numéros 108 et 112 : peut-être pour parler de l'interdiction dans le deuxième ?) ainsi que dans le numéro 77-78 de Positif. pas étonnant entre la revue des ciné-clubs d'un côté et la revue proche du mouvement surréaliste de l'autre... Faudra que je jette un œil aux articles car je pense avoir ces numéros-là.
J'ai sous les yeux le Positif numero 77-78 : grand enthousiasme vis à vis du film ou il est fait mention qu'il "provoqua l'étonnement le plus exquis" et où Jean-Loup Grosbard reçu le prix Byzance à Cannes "beaucoup plus juste et judicieux que l'officiel". On trouve 10 belles photos du film dans ce numéro avec scènes de nudités à l'appui comme on les aimait dans la revue lyonnaise éditée par le Terrain vague...
Bonne critique aussi dans la revue Cinéma mais pour eux avec "un laisser-aller du scénario" et un "aspect fauché de la mise en scène qui empêchent le film d'être le chef d'oeuvre un instant espéré" : c'est pas si mal !
Torrente a écrit : ↑14 mai 21, 02:33
Vous parlez de la revue Cinéma (année 66) et du numéro 108 ?
Quel est la taille de l'article ?
Et dans Positif, combien de pages lui sont consacrées ?
Dans le numéro 108 de Cinéma de 1966 il y a un petit article de 20 lignes page 25.
Dans Positif, c'est aux pages 121 a 127 dans la rubrique d'Eric Losfeld "Nous ne pensons qu'à..." où il s'agit surtout de photographies (10 au total) avec un petit texte marrant de 15 lignes ! Voili voilou
Stephane je t'ai envoyé 4 ou 5 email au sujet d'un blu-ray que tu m'a envoyé par erreur... La ruée des vikings à la place de Bianco Apache, tu peux me répondre stp ?
Juste pour info nous ne servons pas des service aprés vente pour les éditeurs. Ces messages doivent rester privés entre vous soit ici soit par mail.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Ben ce qui est embêtant c'est qu'on ne reçoit pas ça. Des emails sur le compte du chat ou un message privé ici ? Faut que je vérifie ça. Il faut écrire ici stephane@lechatquifume.com
CATIONS
LE CHAT QUI FUME
14 h ·
Spécification de notre édition BLURAY/UHD de BACCHANALES SEXUELLES de Jean Rollin. Une première mondiale sur ces 2 supports et une restauration 4K magnifique. Avec en plus 17 minutes de scènes coupées !
𝗧𝗘𝗖𝗛𝗡𝗜𝗤𝗨𝗘:
• 1974 - 1h25 - France - Version intégrale
• Restauration 4K réalisée à partir des négatifs image et son d'origine
• BLURAY - UHD
• Langues: Français et Anglais en DTS-HD MA 2.0 mono d'origine
• Sous titres: Anglais
• Toutes Zones
• 𝗘́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲́𝗲 𝗮̀ 𝟭𝟬𝟬𝟬 𝗲𝘅𝗲𝗺𝗽𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀
𝗥𝗘́𝗦𝗨𝗠𝗘́: À Paris, Valérie emménage dans l'appartement de son cousin, parti aux États-Unis pour six mois. Afin de tromper l'ennui, la jeune femme y convie son amie Sophie. Après quelques verres alcoolisés et des jeux saphiques, les deux copines s'endorment, l'esprit embrumé. Mais, dans la nuit, deux rats d'hôtel font irruption et kidnappent Sophie. L'un de ses camarades, Fred, débarque à son tour dans la demeure. Valérie et lui vont tout mettre en œuvre pour retrouver leur amie, retenue prisonnière dans le repaire de la cruelle Malvina, grande prêtresse des adorateurs de la chair fraîche !
𝗔̀ 𝗣𝗥𝗢𝗣𝗢𝗦 𝗗𝗨 𝗙𝗜𝗟𝗠: Second long métrage érotique de Jean Rollin après Jeunes filles impudiques, Bacchanales sexuelles est une comédie sans prétention – à l'humour aussi léger que les tenues de ses héroïnes – mettant en vedette la superbe Joëlle Cœur (Les Démoniaques, Les Week-ends maléfiques du comte Zaroff). Tournée en partie dans l'appartement du réalisateur, Tout le monde il en a deux (titre original) est une œuvre charnière dans la carrière de Jean Rollin, située après ses films de vampires qui le firent connaître et juste avant ses bandes classées X qu'il tournera sous les pseudonymes de Michel Gentil ou Robert Xavier. Bacchanales sexuelles vous est proposé en exclusivité mondiale dans un master restauré en UHD.
𝗕𝗢𝗡𝗨𝗦:
• Interview audio d'Annie Belle (25 min)
• Interview audio du directeur de la production Jean-Pierre Sammut (8 min)
• Scènes coupées (17 min)
• Rencontre avec Jean Rollin (49 min)
• La littérature et Jean Rollin par Pascal Françaix (52 min)
• L'itinéraire souvenir, reconstruction d'une œuvre perdue de Jean Rollin (30 mn)
• Paris Ciné Bis (21 min)
• Film annonce
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
!
)
!
