On pourra arguer qu'être moral peut commencer, dans le cas présent, par respecter la loi en payant les ayant-droits ce qui leur est du, comme le ferait n'importe quel éditeur légalement sérieux (soit environ 99% des éditeurs du marché français).Cololi a écrit :Pourquoi ? Si le réalisateur, les acteurs et autres sont morts ... personnellement je n'y vois pas de problème moral. Après la légalité ... c'est autre chose.
De mémoire, leur édition de M est aussi illégale.
Il y a peut-être, justement, un problème de droits et si FSF a pu éditer ces films, c'est précisément en... ne s'en embarrassant pas.Rick Blaine a écrit :Ca reste le problème. Mais j'imagine que c'est comme pour tous les titres, ça a un coût, au moins celui d'acquérir la copie HD.
On en a déjà discuté ailleurs, mais je ne pense pas que les chiffres de l'import anglophone soit à même de ruiner un projet. Le rendre moins rapidement rentable, oui, probablement, mais l'empêcher totalement, je n'y crois pas trop.Rick Blaine a écrit :Et comme ces films sont dispo depuis quelques temps de l'autre côté de la Manche, tu as d'autant moins d'acheteurs.
Donc en fait, le nom "Promouvoir", ça vient de "Promouvoir les bootlegs". Tout s'explique.1kult a écrit :Le plus fou et absurde de cette histoire c'est que l'avocat du sieur n'est autre que André Bonnet. Le père Bonnet est à la tête de l'association Promouvoir (oui, oui, la Vie d'Adèle, Love, Nymphomania, le pourtant très moral - et insupportable - Bang Gang interdits aux moins de 16 ou 18 c'est lui).