Label lancé au UK en 2016, Powerhouse films s'alimente dans les catalogues de Columbia, Universal désormais syndiqué.
Leurs éditions se distinguent par de très beaux visuels, des livrets remplis et des tonnes de bonus. Côté image, il y aurait du très bon et du correct. Il devient petit à petit un éditeur incontournable.
Tous les films bénéficient de sous titres anglais.
Il n'y a quasiment jamais de promotion sur les titres (une promo sur leur site l'année dernière mais avec des frais de ports exhorbitants). Un prix décent est autour de 15£.
Leur catalogue so far :
Editions singles
Les coffrets
Last edited by Joshua Baskin on 3 May 18, 11:42, edited 2 times in total.
Sinon, j'ai quasiment tout de cet éditeur. Comme effectivement il n'y a pas vraiment de promos sur ces titres, je précommande pour ce qui est des coffrets et pour les titres à l'unité j'ai souvent été chercher chez les vendeurs pros anglais sur Priceminister. Ils ont les ports gratuits donc sur un titre qui fait aux alentours de 20€ ça fait gagner 4€ en super points derrière quand il y a une opé à 20%.
Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
1 - ceux ont le chic pour me faire acheter des films que je n'ai même pas envie de voir
2 - ceux qui ont le chic pour me retirer l'envie d'acheter des films que je rêve pourtant de voir (ou revoir)
3 - ceux qui ne jouent aucun rôle dans ma motivation d'achat
Le mystère est : pourquoi une grande partie des éditeurs français appartient au type 2 et pourquoi une grande partie des éditeurs anglais appartient au type 1 ? Quelle est la recette ? Est-elle si bizarre qu'elle soit irreproductible en France ?
En France Gaumont, Carlotta me font acheter avec bonheur des "horreurs" ou des bizarreries (pour mon surmoi de cinéphile) comme "Et ta soeur" ou "Body Double". Et Elephant (entre autres) m'empêche d'acheter des Lang (et autres) que j'adore.
Au Royaume-Uni, Eureka, Arrow et maintenant Powerhouse sont en train, j'en ai peur et je m'en réjouis, de me faire acheter à peu près n'importe quoi...
Pour le coffret Sinbad :
- le programme de remplacement est disponible
- les coffrets numéros 4001 à 6000 sont déjà corrigés.
Autre précision : leurs sorties sont maintenant BD-only là où elles étaient en combo avant. Les ré-éditions perdaient auparavant le DVD et le livret, elles perdent maintenant uniquement le livret. Le boîtier change aussi afin de reconnaître les premiers pressages des seconds, en passant de Scanavo à des Amarays.
Comme je le disais dans le topic consacré à Arrow, j'ai commencé à fouiller leur catalogue il y a seulement quelques jours suite à une discussion avec Joshua...résultat : je m'en suis déjà mis 8 de côté dans ma wishlist Amazon UK + 3 dans mon panier (A Day in the Death of Joe Egg, The Reckoning et Fragment of Fear).
Plus que quelques jours avant que mon doigt ne glisse malencontreusement sur le bouton "Proceed to checkout"...
Farnaby wrote:Pour moi, il y a trois types d'éditeurs :
1 - ceux ont le chic pour me faire acheter des films que je n'ai même pas envie de voir
2 - ceux qui ont le chic pour me retirer l'envie d'acheter des films que je rêve pourtant de voir (ou revoir)
3 - ceux qui ne jouent aucun rôle dans ma motivation d'achat
Le mystère est : pourquoi une grande partie des éditeurs français appartient au type 2 et pourquoi une grande partie des éditeurs anglais appartient au type 1 ? Quelle est la recette ? Est-elle si bizarre qu'elle soit irreproductible en France ?
Farnaby wrote:Pour moi, il y a trois types d'éditeurs :
1 - ceux ont le chic pour me faire acheter des films que je n'ai même pas envie de voir
2 - ceux qui ont le chic pour me retirer l'envie d'acheter des films que je rêve pourtant de voir (ou revoir)
3 - ceux qui ne jouent aucun rôle dans ma motivation d'achat
Le mystère est : pourquoi une grande partie des éditeurs français appartient au type 2 et pourquoi une grande partie des éditeurs anglais appartient au type 1 ? Quelle est la recette ? Est-elle si bizarre qu'elle soit irreproductible en France ?
Peut-être parce que l'on connait tous les éditeurs français, y compris les mauvais, et qu'à l'inverse on parle surtout des bons éditeurs anglais (Arrow, Powerhouse, BFI).
Je vous conseil de vous monter une collection Odeon Entertainment (et encore ce sont loin d'être les pires), vous constaterez qu'il peut aussi y avoir des médiocres chez les anglais
Shameless sont plutôt pas terribles non plus. De mémoire, 101 Films, c'est pas trop ça non plus. Artificial Eye ont fait des trucs assez approximatifs aussi (mais eux sont le plus souvent tributaires du matos, ils ne dégrainent pas à tout va). Chez Network, même chose.
Après, il me semble qu'il y a une certaine démultiplication des labels indépendants en France qu'on voit moins en Angleterre, où une majeure partie du calendrier des sorties est quand même concentrée chez certains éditeurs. A partir du moment où ils sont plutôt bons, ça limite forcément les risques.
Et au-delà de ça, l'herbe est évidemment toujours plus verte ailleurs.