Les Blu-Ray Badlands

[Jeremy Fox]

L'aiguille de Rashid Nugmanov : chronique par Jean Gavril Sluka, test technique par Stéphane Beauchet

[Jeremy Fox]

Les Femmes naissent deux fois testé par Antoine Royer

[Arn]

Les Femmes naissent deux fois testé par Antoine Royer

J'ai beaucoup aimé le film (j'en reparlerais surement sur le topic où est posté la critique), mais juste pour dire que les bonus sont aussi très intéressants et donne effectivement l'envie de découvrir plus largement la filmographie de Yûzô Kawashima.
En tout cas l'approche de Badlands, par la collaboration avec Ayako Wakao (très limité dans le temps puisque c'est trois films sur deux années), me parait être une jolie et bonne idée. Hâte de voir les deux autres

[bruce randylan]

Les Femmes naissent deux fois testé par Antoine Royer

J'ai beaucoup aimé le film (j'en reparlerais surement sur le topic où est posté la critique), mais juste pour dire que les bonus sont aussi très intéressants et donne effectivement l'envie de découvrir plus largement la filmographie de Yûzô Kawashima.

Merci, ça fait chaud au coeur. Ca a été pas mal de boulot pour croiser les intervenants et rendre leur interventions le fluide possible, entre dimension biographique et approche plus personnelle et thématique.

Si ça peut vous rassurer on est ressorti très frustré aussi de la conception des bonus avec tous ces titres alléchants comme sa comédie autour du Tonkatsu
On a réussi à en voir une douzaine entre quelques projections sur Paris (cinémathèque/MCJP) et quelques bootlegs. J'avais d'ailleurs écrit un texte très enthousiaste pour 1kult en 2013 après les découvertes du génial Chambre à Louer et du vibrant Suzaki Paradise (ça explique pourquoi j'ai assez peu parlé du réalisateur ici au passage).
Mais on peut affirmer que toute sa première partie de carrière chez Shochiku et début Nikkatsu est totalement invisible (même Gans ne les a pas vu ). C'est vraiment à partir de la très sympathique comédie de mœurs le poids de l'amour (1955) que sa filmographie devient "trouvable". Tout n'est pas toujours réussi cela dit comme le dytique Hungry Soul assez ennuyeux malgré quelques jolies séquences.

En occident, seul Eureka avait sorti un titre, le fameux Chronique du soleil à l'Ere d'Edo qui est rapidement devenu épuisé. A part ce titre, c'est la première fois que des films de Kawashima sortent en dehors du Japon. Autant dire qu'on est très fier de ces sorties même si on vraiment dû casser la tirelire pour y arriver. Mais Kawashima mérite bien cette prise de risque financière.

[Addis-Abeba]

Bruce tu dois les vendre sur ton site , ou que chez le Chat ?

[Akrocine]

Mais on peut affirmer que toute sa première partie de carrière chez Shochiku et début Nikkatsu est totalement invisible (même Gans ne les a pas vu ). C'est vraiment à partir de la très sympathique comédie de mœurs le poids de l'amour (1955) que sa filmographie devient "trouvable". Tout n'est pas toujours réussi cela dit comme le dytique Hungry Soul assez ennuyeux malgré quelques jolies séquences.

Il y a un rip qui traine de Tonkatsu taisho AKA The Pork Cutlet General (1952)

[Jeremy Fox]

La bête élégante testé par Antoine Royer

[David Locke]

Pour ma part, étant l'heureux propriétaire d'un - désormais rare - exemplaire de Bakumatsu Taiyo-Den (édition Eureka) - quel film ! - j'ai fait l'acquisition des 3 titres de Kawashima sortis par 1Kult dès leur apparition dans les rayons de Gibert.
Etant donnés leur rareté, la présence d'Ayako Wakao en protagoniste principale, les avis critiques recueillis ici et là et le soin visiblement mis dans ces éditions (nouveau master 4K, bonus exclusifs), je pense que je vais me régaler !