Jim Carrey

[crys met]

Je pense qu'il a cru lire dans "l'improbable premier rôle" de ma phrase, le sens de "première fois dans un rôle "sérieux""; alors que je pensais au sens "rôle titre" dans le The Number 23 dont act

[Federico]

Merci pour vos vidéos ! J'ai tellement ri que c'est comme si j'avais bouffé trois steaks !
La venue de Jim Carrey, c'est quand même un des trucs les plus sympas qui soient arrivés à Hollywood ces 20 dernières années.

[Bogus]

Yes Man de Peyton Reed (2008)

Revu il y a deux jours sur NT1 et ça m'a confirmé la bonne impression que j'en gardais.
C'est un film attachant, drôle sans être vulgaire (la seule faute de goût à mes yeux demeure la vieille voisine libidineuse) et qui mine de rien, derrière la gentille moquerie de la mode du développement personnel, dis deux ou trois choses pas trop connes à défaut d'être originales.
Que ça soit dans la loufoquerie ou dans l'émotion (notamment dans la première partie assez grinçante quand même), Jim Carrey excelle en homme seul et refermé sur lui même qui décide de dire "OUI!" à la vie.
Zoé Deschannel trouve là un rôle plein de charme.
La réalisation est plutôt anonyme mais le film demeure agréable de bout en bout et si côté scénario on assiste au parcours classique de la comédie romantique là encore ça reste plaisant à suivre.
Pour moi c'est à ranger du côté des bons films de Jim Carrey.

[hansolo]

C'est un film attachant, drôle sans être vulgaire (la seule faute de goût à mes yeux demeure la vieille voisine libidineuse) et qui mine de rien, derrière la gentille moquerie de la mode du développement personnel, dis deux ou trois choses pas trop connes à défaut d'être originales.

Pas mieux.
Assez déçu tout de même par cette faute de goût (on se demande ce qu'elle vient faire là !)

[Nestor Almendros]

dans Libération, aujourd'hui (compte rendu de la Mostra):

Dans le fourre-tout hors compétition, derrière le titre le plus long du festival, Jim & Andy : the great story beyond - the story of Jim Carrey & Andy Kaufman with very special, contractually obligated mention of Tony Clifton, se nichait l'excellent documentaire de Chris Smith consacré au travail extraordinaire de Jim Carrey pour son rôle d'Andy Kaufman dans Man on the moon de Milos Forman. Le montage y alterne un passionnant entretien avec l'acteur et des images inédites filmées pendant le tournage du film de Forman, ces dernières démontrant ce dont nous n'avions jusqu'ici eu connaissance qu'à travers des témoignages : nuit et jour, y compris hors du plateau, Carrey se comporta comme s'il était totalement possédé par Andy Kaufman, ou par son avatar Tony Clifton, au point que personne ne pouvait plus s'adresser directement à lui. Accumulant les canulars de plus ou moins bons goût, l'acteur est intenable, manquant de gâcher le tournage, désespère le réalisateur, exaspère les techniciens. C'est souvent très drôle, mais aussi inquiétant (on frôle la folie) et parfois émouvant, comme lorsque les proches de Kaufman eux-mêmes sont bouleversés en rencontrant celui qui redonne corps au disparu.

Cela fait très envie. Carlotta ressort le Forman en salle dans quelques jours. S'ils envisagent une sortie Blu-ray plus tard, cela ferait un excellent complément.

[hansolo]

Cela fait très envie. Carlotta ressort le Forman en salle dans quelques jours. S'ils envisagent une sortie Blu-ray plus tard, cela ferait un excellent complément.

+1
Merci pour ce partage.
On ne dira jamais assez à quel point la perf de Carrey dans le film de Forman est phénoménale !

[Pomponazzo]

Excellente info, Nestor. Merci.
Hâte de voir ça un jour. Man on the Moon est vraiment un monument pour moi, Forman plus Carrey, ça c'est de l'alchimie...

[7swans]

dans Libération, aujourd'hui (compte rendu de la Mostra):

Dans le fourre-tout hors compétition, derrière le titre le plus long du festival, Jim & Andy : the great story beyond - the story of Jim Carrey & Andy Kaufman with very special, contractually obligated mention of Tony Clifton, se nichait l'excellent documentaire de Chris Smith consacré au travail extraordinaire de Jim Carrey pour son rôle d'Andy Kaufman dans Man on the moon de Milos Forman. Le montage y alterne un passionnant entretien avec l'acteur et des images inédites filmées pendant le tournage du film de Forman, ces dernières démontrant ce dont nous n'avions jusqu'ici eu connaissance qu'à travers des témoignages : nuit et jour, y compris hors du plateau, Carrey se comporta comme s'il était totalement possédé par Andy Kaufman, ou par son avatar Tony Clifton, au point que personne ne pouvait plus s'adresser directement à lui. Accumulant les canulars de plus ou moins bons goût, l'acteur est intenable, manquant de gâcher le tournage, désespère le réalisateur, exaspère les techniciens. C'est souvent très drôle, mais aussi inquiétant (on frôle la folie) et parfois émouvant, comme lorsque les proches de Kaufman eux-mêmes sont bouleversés en rencontrant celui qui redonne corps au disparu.

Cela fait très envie. Carlotta ressort le Forman en salle dans quelques jours. S'ils envisagent une sortie Blu-ray plus tard, cela ferait un excellent complément.

"Malheureusement" ( ), Netflix vient de se payer le doc.

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[Rockatansky]

Good news

[Flol]

dans Libération, aujourd'hui (compte rendu de la Mostra):

Dans le fourre-tout hors compétition, derrière le titre le plus long du festival, Jim & Andy : the great story beyond - the story of Jim Carrey & Andy Kaufman with very special, contractually obligated mention of Tony Clifton, se nichait l'excellent documentaire de Chris Smith consacré au travail extraordinaire de Jim Carrey pour son rôle d'Andy Kaufman dans Man on the moon de Milos Forman. Le montage y alterne un passionnant entretien avec l'acteur et des images inédites filmées pendant le tournage du film de Forman, ces dernières démontrant ce dont nous n'avions jusqu'ici eu connaissance qu'à travers des témoignages : nuit et jour, y compris hors du plateau, Carrey se comporta comme s'il était totalement possédé par Andy Kaufman, ou par son avatar Tony Clifton, au point que personne ne pouvait plus s'adresser directement à lui. Accumulant les canulars de plus ou moins bons goût, l'acteur est intenable, manquant de gâcher le tournage, désespère le réalisateur, exaspère les techniciens. C'est souvent très drôle, mais aussi inquiétant (on frôle la folie) et parfois émouvant, comme lorsque les proches de Kaufman eux-mêmes sont bouleversés en rencontrant celui qui redonne corps au disparu.

Cela fait très envie. Carlotta ressort le Forman en salle dans quelques jours. S'ils envisagent une sortie Blu-ray plus tard, cela ferait un excellent complément.

"Malheureusement" ( ), Netflix vient de se payer le doc.

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Ah ah c'est fabuleux.
J'espère que Dunn n'est pas fan de Jim Carrey.

[-Kaonashi-]

Je suis tombé sur ce lien début août :
http://www.cbc.ca/radio/q/blog/a-new-do ... -1.4240135
La vidéo semble hébergé par le compte vimeo de Jim Carrey lui-même.
C'est touchant, enfin en tout cas il a l'air tout à fait sincère, et ça expliquerait en partie la distance qu'il semble mettre entre lui et le cinéma depuis plusieurs années.

N'empêche il manque, sur grand écran ! Son dernier film sorti chez nous, Dumb & Dumber de, c'était il y a presque 3 ans. Les deux autres qu'il a fait depuis ne sont pas sortis chez nous, voire carrément nulle part pour True Crimes...

[AtCloseRange]

http://www.dazeddigital.com/fashion/art ... -interview

[El Dadal]

Magique, on dirait du Alvy Singer.

[hansolo]

Talentueux, courageux et lucide!

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[Farnaby]

Je trouve au contraire ce tweet mensonger et arrogant : de cette arrogance typique d’un certain gauchisme qui, tout à sa passion d’accuser partout et tout le temps l’Occident / les USA de tous les maux de la Terre, dénie aux peuples du reste du monde leurs responsabilités. Non, les Yéménites ne sont pas des jouets débiles et irresponsables dans les mains des USA : c’est un peuple responsable qui s’entretue dans une guerre civile décidée, voulue et accomplie, du moins au début, par lui et par lui seul. L’illustration d’ailleurs est parfaite : d’après elle, ce snt les USA qui tuent les enfants. Quid des autorités yéménites non rebelles ? Quid de l’Arabie Saoudite ? Voilà au moins deux bras qui ont actionné la bombe, purement et simplement niés par Carrey et le dessin : ces gens, pays, peuples ou parties de peuple n’existent pas, puisqu’on vous dit que ce sont les Américains qui ont directement, seuls et volontairement tués des enfants.
Et là réside le mensonge : les USA en leur qualité d’allié du Yemen « non rebelle » aux côtés de l’Arabie Saoudite, et en leur qualité de vendeur d’arme, n’est pas responsable de la mort de ces enfants : partiellement sans aucun doute, mais pas entièrement. Donc « Our crime » est un mensonge. « Partially our crime » aurait été plus juste. J’ajoute que ce genre de prise de position lapidaire, unilatérale, fondée sur l’émotion (et, encore une fois, sur une sorte de complexe de supériorité mélangé à un auto-dénigrement systématique) fait fi du réel : quid des rebelles en face ? Carrey a-t-il vérifié que ce bus d’enfants n’avait pas été utilisé précisément comme « bouclier humain » par les rebelles ? Quel est le bilan des morts de civils pour les deux parties ? Etc. Etc.