Votre film du mois de Janvier 2013
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Film du mois de décembre : Une dangereuse méthode (Cronenberg - 2011)
Films découverts
La Madone aux deux visages (Crabtree - 1945) La même année que le fantastique Masque aux yeux verts le même studio produit un film aussi délirant, auquel il ne manque que les costumes pour être parfait (le cadre contemporain est presque curieux d'ailleurs, mais ne se fait pas sentir dans toute une partie de l'histoire). Certainement moins "bon" que Le Carosse d'Or, mais c'est le genre de plaisir coupable dont je raffole entre scénario ahurissant, scènes impressionnantes (dont celle du carnaval et évidemment les moments de dédoublement de personnalité), Stewart Granger sexy à souhait et les superbes Phyllis Calvert (inoubliable ici) et Patricia Roc. L'Italie catholique et ardente jusqu'à la folie vue par les anglo-saxons ... quel bonheur ! 9/10
La Otra (Gavaldon - 1946) J'en parle plus longuement dans le topic premake-remake mais enfin je suis emballé par ce film que je place sur le même plan que la Madone aux deux visages, l'ordre alphabétique décidant de leur position ici. 9/10
Le Carrosse d'or (Renoir - 1953) Presque complètement ébloui, pour ma part, même en ressentant à certains moments une distance (et donc l'ombre d'un ennui). Visuellement c'est absolument merveilleux, le scénario et la mise en scène sont d'une complexité et d'une finesse troublantes et poétiques (d'ailleurs je pense que c'est un film que j'aimerais de plus en plus) et Anna Magnani, très "callassienne", est impériale. Quand même ... ça c'est du film ! 9/10
Downton Abbey (Fellowes - 2010) Saison 1 absolument adictive grâce à un scénario d'une habileté diabolique qui vous rend chaque personnage intriguant et intéressant, sans tomber dans les facilités de la série TV (ça affleure parfois, mais très légèrement). Productions values, mise en scène, interprétation et musique superlatives. 9/10
Mains criminelles (Gavaldon - 1951) Captivant film noir mexicain qui montre que le cinéma sud-américain avait assimilé parfaitement les règles du genre. On pense au Charlatan de Goulding et à Assurance sur la mort sans que le film patisse de ces prestigieuses comparaisons, c'est dire. La chute est spectaculaire et explique une partie de l'intérêt d'une intrigue secondaire, Arturo di Cordova est parfait et Leticia Palma est une fabuleuse femme fatale. Une réussite. 8,5/10
Jane Eyre (Fukunaga - 2011) Une adaptation qui condense le roman en cherchant à être le plus fidèle possible. Un tour de force scénaristique donc et une réussite cinématographique. Peut-être pas la magie de la version Stevenson, mais l'esprit Brontë est bien là, adapté à notre sensibilité moderne (pas de cousinage par exemple, ça ferait trop coincidence incroyable) et bien servi par les acteurs (à remarquer James Bell parfait en pasteur sévère et Judi Dench, très flattée par le scénario et la dialogue). Merci Cathy pour le cadeau ! 8/10
Le signe du païen (Sirk - 1954) Très bon peplum, d'ailleurs assez surprenant dans son registre (plus porté sur le dialogue et les échanges que sur le combat et le spectacle). Tout se tient très bien, on est juste un peu déçu de ne pas retrouver davantage Sirk (qui expérimentait un nouveau format) et ses habituelles fulgurances visuelles. Jack Palance est fascinant, les atmosphères nocturnes également, la scène du Pape Léon encore plus. Dommage que le copie TCM soit celle tronquée de la danse de Ludmilla Tcherina en impératrice Pulchérie (rien que le nom, je suis fan). 8/10
Du saumon dans le désert (Hallström - 2012) Décidemment j'aime bien le cinéma sentimental et souriant de Lasse Hallström qui a presque fini par acquérir une personnalité cinématographique à force de faire dans le genre épinal/géographique. Cette fois-ci c'est à la fois le Yemen et l'Ecosse (après la France de Chocolat ou l'Amérique rurale de An unfinished life, deux films qui m'enchantent) qui sert de cadre à une histoire charmante de foi et de pêche. Ewan McGregor est excellent, mais Kristin Scott-Thomas dans un rôle très antipathique vole la vedette à tout le monde. 8/10
Keep on eye on Amelie (1973) Version télévisuelle et anglaise (BBC !) de la pièce de Feydeau qui a le charme /de "Au théâtre ce soir" et bénéficie de la présence de la géniale Judi Dench, à l'aise partout et dans tout. 6,5/10
Of Human Bondage (Goulding - 1946) une déception dans la carrière de Goulding (le film me semble être la moins bonne des adaptations du roman de Maugham malgré la joliesse de la production) mais une grande réussite dans celle d'Eleanor Parker qui aurait mérité davantage de développement. J'en parle sur le topic Parker. 6/10
Le Monde perdu (Spielberg - 1997) Un scénario de série B, mais des moyens de série A. Ca se laisse voir avec plaisir, en reprenant grosso modo les mêmes formules que le premier, mais l'effet de surprise ne joue plus, donc on a beaucoup moins peur. 6/10
Films revus
La Valse de Paris (Achard - 1949) 9/10 Difficile de différencier le pur plaisir cinéphilique, le rapport avec la musique d'Offenbach (et l'interprétation de Printemps) et les souvenirs de jeunesse associés à ce merveilleux film.
Le Chocolat (L.Hallström - 2000) 8,5/10
La folie du roi Georges (Hytner - 1994) 8,5/10
Un américain à Paris (Minelli - 1951) 8/10
Hantise (De Bont - 1999) 5/10 Remake avec des décors splendides et très peu d'idées de La Maison du Diable de Wise.
Films découverts
La Madone aux deux visages (Crabtree - 1945) La même année que le fantastique Masque aux yeux verts le même studio produit un film aussi délirant, auquel il ne manque que les costumes pour être parfait (le cadre contemporain est presque curieux d'ailleurs, mais ne se fait pas sentir dans toute une partie de l'histoire). Certainement moins "bon" que Le Carosse d'Or, mais c'est le genre de plaisir coupable dont je raffole entre scénario ahurissant, scènes impressionnantes (dont celle du carnaval et évidemment les moments de dédoublement de personnalité), Stewart Granger sexy à souhait et les superbes Phyllis Calvert (inoubliable ici) et Patricia Roc. L'Italie catholique et ardente jusqu'à la folie vue par les anglo-saxons ... quel bonheur ! 9/10
La Otra (Gavaldon - 1946) J'en parle plus longuement dans le topic premake-remake mais enfin je suis emballé par ce film que je place sur le même plan que la Madone aux deux visages, l'ordre alphabétique décidant de leur position ici. 9/10
Le Carrosse d'or (Renoir - 1953) Presque complètement ébloui, pour ma part, même en ressentant à certains moments une distance (et donc l'ombre d'un ennui). Visuellement c'est absolument merveilleux, le scénario et la mise en scène sont d'une complexité et d'une finesse troublantes et poétiques (d'ailleurs je pense que c'est un film que j'aimerais de plus en plus) et Anna Magnani, très "callassienne", est impériale. Quand même ... ça c'est du film ! 9/10
Downton Abbey (Fellowes - 2010) Saison 1 absolument adictive grâce à un scénario d'une habileté diabolique qui vous rend chaque personnage intriguant et intéressant, sans tomber dans les facilités de la série TV (ça affleure parfois, mais très légèrement). Productions values, mise en scène, interprétation et musique superlatives. 9/10
Mains criminelles (Gavaldon - 1951) Captivant film noir mexicain qui montre que le cinéma sud-américain avait assimilé parfaitement les règles du genre. On pense au Charlatan de Goulding et à Assurance sur la mort sans que le film patisse de ces prestigieuses comparaisons, c'est dire. La chute est spectaculaire et explique une partie de l'intérêt d'une intrigue secondaire, Arturo di Cordova est parfait et Leticia Palma est une fabuleuse femme fatale. Une réussite. 8,5/10
Jane Eyre (Fukunaga - 2011) Une adaptation qui condense le roman en cherchant à être le plus fidèle possible. Un tour de force scénaristique donc et une réussite cinématographique. Peut-être pas la magie de la version Stevenson, mais l'esprit Brontë est bien là, adapté à notre sensibilité moderne (pas de cousinage par exemple, ça ferait trop coincidence incroyable) et bien servi par les acteurs (à remarquer James Bell parfait en pasteur sévère et Judi Dench, très flattée par le scénario et la dialogue). Merci Cathy pour le cadeau ! 8/10
Le signe du païen (Sirk - 1954) Très bon peplum, d'ailleurs assez surprenant dans son registre (plus porté sur le dialogue et les échanges que sur le combat et le spectacle). Tout se tient très bien, on est juste un peu déçu de ne pas retrouver davantage Sirk (qui expérimentait un nouveau format) et ses habituelles fulgurances visuelles. Jack Palance est fascinant, les atmosphères nocturnes également, la scène du Pape Léon encore plus. Dommage que le copie TCM soit celle tronquée de la danse de Ludmilla Tcherina en impératrice Pulchérie (rien que le nom, je suis fan). 8/10
Du saumon dans le désert (Hallström - 2012) Décidemment j'aime bien le cinéma sentimental et souriant de Lasse Hallström qui a presque fini par acquérir une personnalité cinématographique à force de faire dans le genre épinal/géographique. Cette fois-ci c'est à la fois le Yemen et l'Ecosse (après la France de Chocolat ou l'Amérique rurale de An unfinished life, deux films qui m'enchantent) qui sert de cadre à une histoire charmante de foi et de pêche. Ewan McGregor est excellent, mais Kristin Scott-Thomas dans un rôle très antipathique vole la vedette à tout le monde. 8/10
Keep on eye on Amelie (1973) Version télévisuelle et anglaise (BBC !) de la pièce de Feydeau qui a le charme /de "Au théâtre ce soir" et bénéficie de la présence de la géniale Judi Dench, à l'aise partout et dans tout. 6,5/10
Of Human Bondage (Goulding - 1946) une déception dans la carrière de Goulding (le film me semble être la moins bonne des adaptations du roman de Maugham malgré la joliesse de la production) mais une grande réussite dans celle d'Eleanor Parker qui aurait mérité davantage de développement. J'en parle sur le topic Parker. 6/10
Le Monde perdu (Spielberg - 1997) Un scénario de série B, mais des moyens de série A. Ca se laisse voir avec plaisir, en reprenant grosso modo les mêmes formules que le premier, mais l'effet de surprise ne joue plus, donc on a beaucoup moins peur. 6/10
Films revus
La Valse de Paris (Achard - 1949) 9/10 Difficile de différencier le pur plaisir cinéphilique, le rapport avec la musique d'Offenbach (et l'interprétation de Printemps) et les souvenirs de jeunesse associés à ce merveilleux film.
Le Chocolat (L.Hallström - 2000) 8,5/10
La folie du roi Georges (Hytner - 1994) 8,5/10
Un américain à Paris (Minelli - 1951) 8/10
Hantise (De Bont - 1999) 5/10 Remake avec des décors splendides et très peu d'idées de La Maison du Diable de Wise.
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- Doublure lumière
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Film du mois de janvier Johnny s'en va-t-en guerre [Johnny Got His Gun] (Dalton Trumbo, 1971)
Classement du mois de janvier :
9/10
- Johnny s'en va-t-en guerre [Johnny Got His Gun] (Dalton Trumbo, 1971)
- Le Kid [The Kid] (Charlie Chaplin, 1921)
- Les Producteurs [The Producers] (Mel Brooks, 1968)
- La Splendeur des Amberson [The Magnificent Ambersons] (Orson Welles, 1942)
8/10
- The Descendants (Alexander Payne, 2011)
- Le Roman de Marguerite Gautier [Camille] (George Cukor, 1936)
- Zodiac (David Fincher, 2007)
- Meurtre mystérieux à Manhattan [Manhattan Murder Mystery] (Woody Allen, 1993)
- Où est la maison de mon ami ? [Khaneh doust kojast ?] (Abbas Kiarostami, 1987)
- Les Trois Lanciers du Bengale [The Lives of a Bengal Lancer] (Henry Hathaway, 1935)
- Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant [The Cook, the Thief, His Wife & Her Lover] (Peter Greenaway, 1989)
- Le Vol du grand rapide [The Great Train Robbery] (Edwin S. Porter, 1903)
7/10
- Tampopo (Juzo Itami, 1985)
- L'Apollonide : Souvenirs de la maison close (Bertrand Bonello, 2011)
- Il pleut toujours le dimanche [It Always Rains on Sunday] (Robert Hamer, 1947)
- Cousin, cousine (Jean-Charles Tacchella, 1975)
6/10
- Les Convoyeurs attendent (Benoît Mariage, 1999)
- Carnage (Roman Polanski, 2011)
- Chromosome 3 [The Brood] (David Cronenberg, 1979)
- Marathon Man (John Schlesinger, 1976)
- Le Voyage de la peur [The Hitch-Hiker] (Ida Lupino, 1953)
- La Vie est un long fleuve tranquille (Étienne Chatiliez, 1988)
5/10
- True Lies (James Cameron, 1994)
- Un prince à New York [Coming to America] (John Landis, 1988)*
4/10
- Love Field (Jonathan Kaplan, 1992)
* redécouverte
25 films, moyenne : 7,1/10
Film des mois précédents :
Classement du mois de janvier :
9/10
- Johnny s'en va-t-en guerre [Johnny Got His Gun] (Dalton Trumbo, 1971)
- Le Kid [The Kid] (Charlie Chaplin, 1921)
- Les Producteurs [The Producers] (Mel Brooks, 1968)
- La Splendeur des Amberson [The Magnificent Ambersons] (Orson Welles, 1942)
8/10
- The Descendants (Alexander Payne, 2011)
- Le Roman de Marguerite Gautier [Camille] (George Cukor, 1936)
- Zodiac (David Fincher, 2007)
- Meurtre mystérieux à Manhattan [Manhattan Murder Mystery] (Woody Allen, 1993)
- Où est la maison de mon ami ? [Khaneh doust kojast ?] (Abbas Kiarostami, 1987)
- Les Trois Lanciers du Bengale [The Lives of a Bengal Lancer] (Henry Hathaway, 1935)
- Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant [The Cook, the Thief, His Wife & Her Lover] (Peter Greenaway, 1989)
- Le Vol du grand rapide [The Great Train Robbery] (Edwin S. Porter, 1903)
7/10
- Tampopo (Juzo Itami, 1985)
- L'Apollonide : Souvenirs de la maison close (Bertrand Bonello, 2011)
- Il pleut toujours le dimanche [It Always Rains on Sunday] (Robert Hamer, 1947)
- Cousin, cousine (Jean-Charles Tacchella, 1975)
6/10
- Les Convoyeurs attendent (Benoît Mariage, 1999)
- Carnage (Roman Polanski, 2011)
- Chromosome 3 [The Brood] (David Cronenberg, 1979)
- Marathon Man (John Schlesinger, 1976)
- Le Voyage de la peur [The Hitch-Hiker] (Ida Lupino, 1953)
- La Vie est un long fleuve tranquille (Étienne Chatiliez, 1988)
5/10
- True Lies (James Cameron, 1994)
- Un prince à New York [Coming to America] (John Landis, 1988)*
4/10
- Love Field (Jonathan Kaplan, 1992)
* redécouverte
25 films, moyenne : 7,1/10
Film des mois précédents :
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- Machino
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Janvier 2013 :
Film du mois :

Films découverts - redécouverts - revus :
Témoin à charge (Billy Wilder, 1957) : 19/20.
Un jour sans fin (Harold Ramis, 1993) : 19/20.
L'homme qui en savait trop (Alfred Hitchcock, 1956) : 18/20.
African Queen (John Huston, 1951) : 18/20.
Piège de cristal (John McTiernan, 1988) : 18/20.
La Cérémonie (Claude Chabrol, 1995) : 18/20.
Les Aristochats (Wolfgang Reitherman, 1971) : 18/20.
Les Nerfs à vif (Martin Scorsese, 1991) : 17/20.
Jo (Jean Girault, 1971) : 17/20.
Bronco Billy (Clint Eastwood, 1980) : 17/20.
Un taxi pour Tobrouk (Denys de la Patellière, 1960) : 17/20.
Meurtre mystérieux à Manhattan (Woody Allen, 1993) : 17/20.
L'Obsédé (William Wyler, 1965) : 17/20.
Cette sacrée vérité (Leo McCarey, 1937) : 17/20.
Cendrillon (Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske, 1950) : 17/20.
Blessures secrètes (Michael Caton-Jones, 1993) : 17/20.
Men in Black (Barry Sonnenfeld, 1997) : 17/20.
Scoop (Woody Allen, 2006) : 16/20.
L'Idéaliste (Francis Ford Coppola, 1997) : 16/20.
Bullitt (Peter Yates, 1968) : 16/20.
Soleil vert (Richard Fleischer, 1973) : 16/20.
Looking for Eric (Ken Loach, 2009) : 16/20.
L'homme de la loi (Michael Winner, 1971) : 16/20.
J'ai épousé une ombre (Robin Davis, 1983) : 16/20.
Bagdad Café (Percy Adlon, 1987) : 16/20.
American Graffiti (George Lucas, 1973) : 16/20.
Sans mobile apparent (Philippe Labro, 1971) : 16/20.
Comment voler un million de dollars (William Wyler, 1966) : 15/20.
Les amants de Vérone (André Cayatte, 1949) : 15/20.
Le maître d'école (Claude Berri, 1981) : 15/20.
Notre-Dame de Paris (Jean Delannoy, 1956) : 15/20.
Le pays de la violence (John Frankenheimer, 1970) : 15/20.
Créance de sang (Clint Eastwood, 2002) : 15/20.
Quatre du Texas (Robert Aldrich, 1964) : 15/20.
Le solitaire de Fort Humboldt (Tom Gries, 1976) : 15/20.
Blood Diamond (Edward Zwick, 2006) : 15/20.
Mission évasion (Gregory Hoblit, 2002) : 15/20.
Rollerball (Norman Jewison, 1975) : 15/20.
L'Histoire d'Adèle H. (François Truffaut, 1975) : 15/20.
Pierrot le fou (Jean-Luc Godard, 1965) : 15/20.
Sleepy Hollow, l'histoire du cavalier sans tête (Tim Burton, 1999) : 15/20.
Portrait d'un assassin (Bernard-Roland, 1949) : 15/20.
L'inconnu dans la maison (Georges Lautner, 1992) : 14/20.
Mensonges d'Etat (Ridley Scott, 2008) : 14/20.
Men in Black II (Barry Sonnenfeld, 2002) : 14/20.
Jerry Maguire (Cameron Crowe, 1996) : 13/20.
Superman Returns (Bryan Singer, 2006) : 13/20.
Merci la vie (Bertrand Blier, 1991) : 13/20.
L'Antidote (Vincent de Brus, 2005) : 13/20.
Mon beau-père et nous (Paul Weitz, 2010) : 12/20.
Descente aux enfers (Francis Girod, 1986) : 12/20.
Les Petits mouchoirs (Guillaume Canet, 2010) : 12/20.
L'Italien (Olivier Baroux, 2010) : 12/20.
Le Marquis (Dominique Farrugia, 2011) : 12/20.
A notre regrettable époux (Serge Korber, 1988) : 12/20.
Les saisons du plaisir (Jean-Pierre Mocky, 1988) : 12/20.
L'Homme orchestre (Serge Korber, 1970) : 11/20.
Twister (Jan de Bont, 1996) : 11/20.
La Rumba (Roger Hanin, 1987) : 10/20.
Ma vie est un enfer (Josiane Balasko, 1991) : 10/20.
Les Cigognes n'en font qu'à leur tête (Didier Kaminka, 1989) : 9/20.
Sur un arbre perché (Serge Korber, 1971) : 9/20.
Triplex (Georges Lautner, 1991) : 9/20.
Donnant, donnant (Isabelle Mergault, 2010) : 8/20.
Sherlock Holmes : jeu d'ombres (Guy Ritchie, 2011) : 8/20.
L'Aventure extraordinaire d'un papa peu ordinaire (Philippe Clair, 1989) : 7/20.
Inspecteur Gadget (David Kellogg, 1999) : 6/20.
La guerre des miss (Patrice Leconte, 2008) : 5/20.
C'est facile et ça peut rapporter 20 ans (Jean Luret, 1983) : 3/20.
L'Incruste (Corentin Julius et Alexandre Castagnetti, 2004) : 3/20.
Incontrôlable (Raffy Shart, 2006) : 2/20.
Films des mois précédents :
Film du mois :

Films découverts - redécouverts - revus :
Témoin à charge (Billy Wilder, 1957) : 19/20.
Un jour sans fin (Harold Ramis, 1993) : 19/20.
L'homme qui en savait trop (Alfred Hitchcock, 1956) : 18/20.
African Queen (John Huston, 1951) : 18/20.
Piège de cristal (John McTiernan, 1988) : 18/20.
La Cérémonie (Claude Chabrol, 1995) : 18/20.
Les Aristochats (Wolfgang Reitherman, 1971) : 18/20.
Les Nerfs à vif (Martin Scorsese, 1991) : 17/20.
Jo (Jean Girault, 1971) : 17/20.
Bronco Billy (Clint Eastwood, 1980) : 17/20.
Un taxi pour Tobrouk (Denys de la Patellière, 1960) : 17/20.
Meurtre mystérieux à Manhattan (Woody Allen, 1993) : 17/20.
L'Obsédé (William Wyler, 1965) : 17/20.
Cette sacrée vérité (Leo McCarey, 1937) : 17/20.
Cendrillon (Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske, 1950) : 17/20.
Blessures secrètes (Michael Caton-Jones, 1993) : 17/20.
Men in Black (Barry Sonnenfeld, 1997) : 17/20.
Scoop (Woody Allen, 2006) : 16/20.
L'Idéaliste (Francis Ford Coppola, 1997) : 16/20.
Bullitt (Peter Yates, 1968) : 16/20.
Soleil vert (Richard Fleischer, 1973) : 16/20.
Looking for Eric (Ken Loach, 2009) : 16/20.
L'homme de la loi (Michael Winner, 1971) : 16/20.
J'ai épousé une ombre (Robin Davis, 1983) : 16/20.
Bagdad Café (Percy Adlon, 1987) : 16/20.
American Graffiti (George Lucas, 1973) : 16/20.
Sans mobile apparent (Philippe Labro, 1971) : 16/20.
Comment voler un million de dollars (William Wyler, 1966) : 15/20.
Les amants de Vérone (André Cayatte, 1949) : 15/20.
Le maître d'école (Claude Berri, 1981) : 15/20.
Notre-Dame de Paris (Jean Delannoy, 1956) : 15/20.
Le pays de la violence (John Frankenheimer, 1970) : 15/20.
Créance de sang (Clint Eastwood, 2002) : 15/20.
Quatre du Texas (Robert Aldrich, 1964) : 15/20.
Le solitaire de Fort Humboldt (Tom Gries, 1976) : 15/20.
Blood Diamond (Edward Zwick, 2006) : 15/20.
Mission évasion (Gregory Hoblit, 2002) : 15/20.
Rollerball (Norman Jewison, 1975) : 15/20.
L'Histoire d'Adèle H. (François Truffaut, 1975) : 15/20.
Pierrot le fou (Jean-Luc Godard, 1965) : 15/20.
Sleepy Hollow, l'histoire du cavalier sans tête (Tim Burton, 1999) : 15/20.
Portrait d'un assassin (Bernard-Roland, 1949) : 15/20.
L'inconnu dans la maison (Georges Lautner, 1992) : 14/20.
Mensonges d'Etat (Ridley Scott, 2008) : 14/20.
Men in Black II (Barry Sonnenfeld, 2002) : 14/20.
Jerry Maguire (Cameron Crowe, 1996) : 13/20.
Superman Returns (Bryan Singer, 2006) : 13/20.
Merci la vie (Bertrand Blier, 1991) : 13/20.
L'Antidote (Vincent de Brus, 2005) : 13/20.
Mon beau-père et nous (Paul Weitz, 2010) : 12/20.
Descente aux enfers (Francis Girod, 1986) : 12/20.
Les Petits mouchoirs (Guillaume Canet, 2010) : 12/20.
L'Italien (Olivier Baroux, 2010) : 12/20.
Le Marquis (Dominique Farrugia, 2011) : 12/20.
A notre regrettable époux (Serge Korber, 1988) : 12/20.
Les saisons du plaisir (Jean-Pierre Mocky, 1988) : 12/20.
L'Homme orchestre (Serge Korber, 1970) : 11/20.
Twister (Jan de Bont, 1996) : 11/20.
La Rumba (Roger Hanin, 1987) : 10/20.
Ma vie est un enfer (Josiane Balasko, 1991) : 10/20.
Les Cigognes n'en font qu'à leur tête (Didier Kaminka, 1989) : 9/20.
Sur un arbre perché (Serge Korber, 1971) : 9/20.
Triplex (Georges Lautner, 1991) : 9/20.
Donnant, donnant (Isabelle Mergault, 2010) : 8/20.
Sherlock Holmes : jeu d'ombres (Guy Ritchie, 2011) : 8/20.
L'Aventure extraordinaire d'un papa peu ordinaire (Philippe Clair, 1989) : 7/20.
Inspecteur Gadget (David Kellogg, 1999) : 6/20.
La guerre des miss (Patrice Leconte, 2008) : 5/20.
C'est facile et ça peut rapporter 20 ans (Jean Luret, 1983) : 3/20.
L'Incruste (Corentin Julius et Alexandre Castagnetti, 2004) : 3/20.
Incontrôlable (Raffy Shart, 2006) : 2/20.
Films des mois précédents :
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Film du mois :

LES DIMANCHES DE VILLE D'AVRAY de Serge Bourguignon (1962)
Films découverts
LES DIMANCHES DE VILLE D'AVRAY de Serge Bourguignon (1962) : 10/10
DREDD de Peter Travis (2012) : 9/10
L'ÎLE DU DOCTEUR MOREAU (Island Of Lost Souls) de Erle C. Kenton (1932) : 8/10
LES MAINS QUI TUENT (Phantom Lady) de Robert Siodmak (1944) : 8/10
LE CHÂTEAU DES MESSES NOIRES (Der Fluch Der Schwarzen Schwestern) de Joe Sarno (1973) : 8/10
LES MORTS-VIVANTS (White Zombie) de Victor Halperin (1932) : 8/10
LES HAUTS DE HURLEVENT de Andrea Arnold (2011) : 8/10
DESPUES DE LUCIA de Michel Franco (2012) : 8/10
VIERGES POUR LE BOURREAU (Il Boia Scarlatto) de Massimo Pupillo (1965) : 8/10
ODAYAKA (Odayaka Na Nichijô) de Nobuteru Uchida (2012) : 8/10
VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Julien Duvivier (1956) : 8/10
LE CHÂTEAU DES MORTS-VIVANTS (Il Castello Dei Morti Vivi) de Luciano Ricci & Lorenzo Sabatini (1964) : 7/10
KILLER JOE de William Friedkin (2011) : 7/10
INNOCENT SATURDAY (V Subbotu) de Aleksandr Mindadze (2011) : 7/10
UNIVERSAL SOLDIER : LE JOUR DU JUGEMENT (Universal Soldier : Day Of Reckoning) de John Hyams (2012) : 7/10
OGROFF de Norbert Moutier (1983) : 7/10
PLAISIR A 3 de Jesús Franco (1974) : 7/10
LE CIMETIERE DES MORTS VIVANTS (5 Tombe Per Un Medium) de Massimo Pupillo (1965) : 7/10
CELESTINE... BONNE A TOUT FAIRE de Jess Franco (1974) : 7/10
VIOLETTE NOZIERE de Claude Chabrol (1978) : 7/10
COMANCHE STATION (Comanche Station) de Budd Boetticher (1960) : 7/10
LE VENGEUR AGIT AU CREPUSCULE (Decision At Sundow) de Budd Boetticher (1957) : 7/10
L'HOMME DE L'ARIZONA (The Tall T) de Budd Boetticher (1957) : 7/10
L'AVENTURIER DU TEXAS (Buchanan Rides Alone) de Budd Boetticher (1958) : 7/10
LA CHEVAUCHEE DE LA VENGEANCE (Ride Lonesome) de Budd Boetticher (1959) : 7/10
DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) : 7/10
ROLLER BOOGIE de Mark L. Lester (1979) : 7/10
PIETA de Ki-duk Kim (2012) : 7/10
LA VERITE de Henri-Georges Clouzot (1960) : 7/10
L'ORGIE DES VAMPIRES (Il Mostro Dell'Opera) de Renato Polselli (1964) : 6/10
4 MOUCHES DE VELOURS GRIS (4 Mosche Di Velluto Grigio) de Dario Argento (1971) : 6/10
RED PLANET MARS de Harry Horner (1952) : 6/10
SHEENA, REINE DE LA JUNGLE (Sheena) de John Guillermin (1984) : 6/10
POSTCARDS FROM THE ZOO (Kebun Binatang) de Edwin (2012) : 6/10
LE SIGNE DU COBRA (Cobra Woman) de Robert Siodmak (1944) : 6/10
IN ANOTHER COUNTRY (Da-Reun Na-Ra-E-Seo) de Sang-soo Hong (2012) : 6/10
LE DERNIER REMPART (The Last Stand) de Jee-woon Kim (2013) : 6/10
COUP DE TÊTE de Jean-Jacques Annaud (1979) : 6/10
MY JOY (Schastye Moe) de Sergei Loznitsa (2010) : 6/10
LES ENVAHISSEURS DE LA PLANETE ROUGE (Invaders From Mars) de William Cameron Menzies (1953) : 5/10
LA CRYPTE DU VAMPIRE (La Cripta E l'Incubo) de Camillo Mastrocinque (1964) : 5/10
JOYEN Y ALOCADA de Marialy Rivas (2012) : 5/10
PAULETTE de Jérôme Enrico (2012) : 5/10
ZERO DARK THIRTY de Kathryn Bigelow (2012) : 5/10
3 de Pablo Stoll Ward (2012) : 5/10
LA PARADE (Parada) de Srdjan Dragojevic (2011) : 5/10
UN HOMME QUI ME PLAÎT de Claude Lelouch (1969) : 5/10
VINGT-QUATRE HEURES CHEZ LES MARTIENS (Rocketship X-M) de Kurt Neumann (1950) : 4/10
CANICHE de Bigas Luna (1979) : 4/10
LA FEMME INFIDELE de Claude Chabrol (1969) : 4/10
FLIGHT TO MARS de Lesley Selander (1951) : 4/10
DEAD SUSHI (Deddo Sushi) de Noboru Iguchi (2012) : 4/10
LA FEMME INFIDELE de Claude Chabrol (1969) : 4/10
THE MASTER de Paul Thomas Anderson (2012) : 3/10
LIFE WITHOUT PRINCIPLE (Dyut Meng Gam) de Johnnie To (2011) : 3/10
MUTANTES de Virginie Despentes (2009) : 3/10
A NOS AMOURS de Maurice Pialat (1983) : 3/10
ROSEWOOD LANE de Victor Salva (2011) : 3/10
A PLEIN TUBE! (The Dark Backward) de Adam Rifkin (1991) : 2/10
UNE HISTOIRE D'AMOUR de Hélène Fillières (2013) : 2/10
GANTZ : REVOLUTION (Gantz : Perfect Answer) de Shinsuke Sato (2011) :2/10
O FANTASMA de João Pedro Rodrigues (2000) : 2/10
LA MAISON AU BOUT DE LA RUE (House At The End Of The Street) de Mark Tonderai (2012) : 1/10
Films revus
LA LAME INFERNALE (La Polizia Chiede Aiuto) de Massimo Dallamano (1974) : 9/10
STAR WARS : EPISODE V - L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE (Star Wars Episode V : The Empire Strikes Back) de Irvin Kershner (1980) : 9/10
LES FRISSONS DE L'ANGOISSE (Profondo Rosso) de Dario Argento (1975) : 9/10
V POUR VENDETTA (V For Vendetta) de James McTeigue (2005) : 9/10
BODY DOUBLE de Brian De Palma (1984) : 8/10
LE MONDE DE NEMO (Finding Nemo) de Andrew Stanton & Lee Unkrich (2003) : 8/10
LES CLEFS DE BAGNOLE de Laurent Baffie (2003) : 8/10
THE HOLE de Joe Dante (2009) : 8/10
STAR WARS : EPISODE IV - UN NOUVEL ESPOIR (Star Wars Episode IV : A New Hope) de George Lucas (1977) : 7/10
DOUBLE DETENTE (Red Heat) de Walter Hill (1988) : 7/10
STAR WARS : EPISODE III - LA REVANCHE DES SITH (Star Wars Episode III : Revenge Of The Sith de George Lucas (2005) : 6/10
STAR WARS : EPISODE VI - LE RETOUR DU JEDI (Star Wars Episode VI : The Return Of The Jedi) de Richard Marquand (1983) : 6/10
STAR WARS : EPISODE II - L'ATTAQUE DES CLONES (Star Wars Episode II : Attack Of The Clones) de George Lucas (2002) : 5/10
LE JOUR D'APRES (The Day After Tomorrow) de Roland Emmerich (2004) : 5/10
STAR WARS : EPISODE I - LA MENACE FANTÔME(Star Wars Episode I : The Phantom Menace) de George Lucas (1999) : 4/10
POSEIDON de Wolfgang Petersen (2006) : 4/10
AINSI VA LA VIE (Hope Floats) de Forest Whitaker (1998) : 3/10
Films des mois précédents/

LES DIMANCHES DE VILLE D'AVRAY de Serge Bourguignon (1962)
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DREDD de Peter Travis (2012) : 9/10
L'ÎLE DU DOCTEUR MOREAU (Island Of Lost Souls) de Erle C. Kenton (1932) : 8/10
LES MAINS QUI TUENT (Phantom Lady) de Robert Siodmak (1944) : 8/10
LE CHÂTEAU DES MESSES NOIRES (Der Fluch Der Schwarzen Schwestern) de Joe Sarno (1973) : 8/10
LES MORTS-VIVANTS (White Zombie) de Victor Halperin (1932) : 8/10
LES HAUTS DE HURLEVENT de Andrea Arnold (2011) : 8/10
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VIERGES POUR LE BOURREAU (Il Boia Scarlatto) de Massimo Pupillo (1965) : 8/10
ODAYAKA (Odayaka Na Nichijô) de Nobuteru Uchida (2012) : 8/10
VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Julien Duvivier (1956) : 8/10
LE CHÂTEAU DES MORTS-VIVANTS (Il Castello Dei Morti Vivi) de Luciano Ricci & Lorenzo Sabatini (1964) : 7/10
KILLER JOE de William Friedkin (2011) : 7/10
INNOCENT SATURDAY (V Subbotu) de Aleksandr Mindadze (2011) : 7/10
UNIVERSAL SOLDIER : LE JOUR DU JUGEMENT (Universal Soldier : Day Of Reckoning) de John Hyams (2012) : 7/10
OGROFF de Norbert Moutier (1983) : 7/10
PLAISIR A 3 de Jesús Franco (1974) : 7/10
LE CIMETIERE DES MORTS VIVANTS (5 Tombe Per Un Medium) de Massimo Pupillo (1965) : 7/10
CELESTINE... BONNE A TOUT FAIRE de Jess Franco (1974) : 7/10
VIOLETTE NOZIERE de Claude Chabrol (1978) : 7/10
COMANCHE STATION (Comanche Station) de Budd Boetticher (1960) : 7/10
LE VENGEUR AGIT AU CREPUSCULE (Decision At Sundow) de Budd Boetticher (1957) : 7/10
L'HOMME DE L'ARIZONA (The Tall T) de Budd Boetticher (1957) : 7/10
L'AVENTURIER DU TEXAS (Buchanan Rides Alone) de Budd Boetticher (1958) : 7/10
LA CHEVAUCHEE DE LA VENGEANCE (Ride Lonesome) de Budd Boetticher (1959) : 7/10
DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) : 7/10
ROLLER BOOGIE de Mark L. Lester (1979) : 7/10
PIETA de Ki-duk Kim (2012) : 7/10
LA VERITE de Henri-Georges Clouzot (1960) : 7/10
L'ORGIE DES VAMPIRES (Il Mostro Dell'Opera) de Renato Polselli (1964) : 6/10
4 MOUCHES DE VELOURS GRIS (4 Mosche Di Velluto Grigio) de Dario Argento (1971) : 6/10
RED PLANET MARS de Harry Horner (1952) : 6/10
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LE DERNIER REMPART (The Last Stand) de Jee-woon Kim (2013) : 6/10
COUP DE TÊTE de Jean-Jacques Annaud (1979) : 6/10
MY JOY (Schastye Moe) de Sergei Loznitsa (2010) : 6/10
LES ENVAHISSEURS DE LA PLANETE ROUGE (Invaders From Mars) de William Cameron Menzies (1953) : 5/10
LA CRYPTE DU VAMPIRE (La Cripta E l'Incubo) de Camillo Mastrocinque (1964) : 5/10
JOYEN Y ALOCADA de Marialy Rivas (2012) : 5/10
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ZERO DARK THIRTY de Kathryn Bigelow (2012) : 5/10
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CANICHE de Bigas Luna (1979) : 4/10
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FLIGHT TO MARS de Lesley Selander (1951) : 4/10
DEAD SUSHI (Deddo Sushi) de Noboru Iguchi (2012) : 4/10
LA FEMME INFIDELE de Claude Chabrol (1969) : 4/10
THE MASTER de Paul Thomas Anderson (2012) : 3/10
LIFE WITHOUT PRINCIPLE (Dyut Meng Gam) de Johnnie To (2011) : 3/10
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A NOS AMOURS de Maurice Pialat (1983) : 3/10
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LA LAME INFERNALE (La Polizia Chiede Aiuto) de Massimo Dallamano (1974) : 9/10
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THE HOLE de Joe Dante (2009) : 8/10
STAR WARS : EPISODE IV - UN NOUVEL ESPOIR (Star Wars Episode IV : A New Hope) de George Lucas (1977) : 7/10
DOUBLE DETENTE (Red Heat) de Walter Hill (1988) : 7/10
STAR WARS : EPISODE III - LA REVANCHE DES SITH (Star Wars Episode III : Revenge Of The Sith de George Lucas (2005) : 6/10
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STAR WARS : EPISODE II - L'ATTAQUE DES CLONES (Star Wars Episode II : Attack Of The Clones) de George Lucas (2002) : 5/10
LE JOUR D'APRES (The Day After Tomorrow) de Roland Emmerich (2004) : 5/10
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POSEIDON de Wolfgang Petersen (2006) : 4/10
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Films du mois de janvier 2013
Film du mois

Films découverts
Life of Pi (2012) 8.5 / 10
Frozen Impact (2003) 7 / 10
Jack Reacher (2012) 8 / 10
Django Unchained (2012) 8.5 / 10
Man's Genesis (1912) 6 / 10
Go West (1925) 8.5 / 10
Battling Butler (1926) 8.5 / 10
Films redécouverts
La guerre des tuques (1984)
Our Hospitality (1923) 9 / 10
Sherlock Jr. (1924) 9 / 10
Three Ages (1923) 8 / 10
Reservoir Dogs (1992) 8.5 / 10
Films des mois précédents de JUIN 2008 à DECENBRE 2012
Année 2008
(Pas de film du mois en février, aucune découverte)











Film du mois
Films découverts
Life of Pi (2012) 8.5 / 10
Frozen Impact (2003) 7 / 10
Jack Reacher (2012) 8 / 10
Django Unchained (2012) 8.5 / 10
Man's Genesis (1912) 6 / 10
Go West (1925) 8.5 / 10
Battling Butler (1926) 8.5 / 10
Films redécouverts
La guerre des tuques (1984)
Our Hospitality (1923) 9 / 10
Sherlock Jr. (1924) 9 / 10
Three Ages (1923) 8 / 10
Reservoir Dogs (1992) 8.5 / 10
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Top 20 actuel
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Mes dvd
http://someone1600.dvdaf.com/
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
JANVIER 2013
Film du mois
The Dark Knight Returns : part 2 (Jay Oliva)
Films (re)découverts
Inception (Christopher Nolan) 9/10
The Dark Knight Returns : part 2 (Jay Oliva) 8.5/10
Une nuit en enfer (Robert Rodriguez) 8/10
The Chaser (Na Hong-jin) 8/10
La momie (Karl Freund) 8/10
Pas de pitié pour les salopards (Giorgio Stegani) 7.5/10
The Secret (Pascal Laugier) 7.5/10
Ted (Seth McFarlane) 7/10
Nanny McPhee (Kirk Jones) 6.5/10
L'ombre du mal (James McTeigue) 6.5/10
Dream House (Jim Sheridan) 6/10
The Incident (Alewandre Courtès) 4.5/10
Séries TV
Dexter saison 5 (James Manos Jr.) 7.5/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 7/37 7/10
Once Upon a Time saison 1 ( Edward Kitsis & Adam Horowitz) 6.5/10
Star Trek : la série originale saison 1 (Gene Roddenberry) 7.5/10
Star Trek : The Next Generation saison 1 (Gene Roddenberry) épisode 10/26 5/10
Films des mois précédents
Film du mois
The Dark Knight Returns : part 2 (Jay Oliva)
Films (re)découverts
Inception (Christopher Nolan) 9/10
The Dark Knight Returns : part 2 (Jay Oliva) 8.5/10
Une nuit en enfer (Robert Rodriguez) 8/10
The Chaser (Na Hong-jin) 8/10
La momie (Karl Freund) 8/10
Pas de pitié pour les salopards (Giorgio Stegani) 7.5/10
The Secret (Pascal Laugier) 7.5/10
Ted (Seth McFarlane) 7/10
Nanny McPhee (Kirk Jones) 6.5/10
L'ombre du mal (James McTeigue) 6.5/10
Dream House (Jim Sheridan) 6/10
The Incident (Alewandre Courtès) 4.5/10
Séries TV
Dexter saison 5 (James Manos Jr.) 7.5/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 7/37 7/10
Once Upon a Time saison 1 ( Edward Kitsis & Adam Horowitz) 6.5/10
Star Trek : la série originale saison 1 (Gene Roddenberry) 7.5/10
Star Trek : The Next Generation saison 1 (Gene Roddenberry) épisode 10/26 5/10
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Janvier 2013
MON FILM DU MOIS

FILMS DÉCOUVERTS / FILMS REVUS
Horton (2008) -
-
Un film d'animation extrêmement intélligent.
Vacances à la Grecque (My life in ruins - Donald Petrie - 2008)
♥ - Jolie surprise romantique
Very bad cops (The other guys - Adam McKay - 2010) -
Cycle Rita Hayworth
L'étoile des étoiles (Down to earth - Alexander Hall - 1947)
- Agréable comédie musicale
L'ange de Broadway (Angels over Broadway - Ben Hecht & Lee Garmes - 1940)
- Un bon suspense et très bon jeux d'acteur
Les amours de Carmen (The loves of Carmen - Charles Vidor - 1948)
-
- Une histoire tragique intéressante, mais pas assez approfondie. Mais fabuleuse interprétation de Rita Hayworth!
L'enfer des Tropiques (Fire down below - Robert Parrish - 1957)
- Le duo Robert Mitchum - Jack Lemmon fonctionne à merveille dans ce cocktail exotique d'humour et de tragique.
La reine de Broadway (Cover girl - Charles Vidor - 1944)
- Let's keep on singin' make way for tomorrow... Je ne m'en lasse pas!
La belle du Pacifique (Miss Sadie Thompson - Curtis Bernhardt - 1953)
- Une ode à la pin-up préférée des soldats, mais également un regard critique sur le puritanisme américain.
Salomé (Salome - William Dieterle - 1953)
-
- Le grand intéret de ce film réside dans les dernières minutes, durant lesquelle Rita Hayworth interprète la très sensuelle danse des 7 voiles. Pour le reste, 'Salomé' est un péplum classique sans surprises, agréable à regarder.
L'affaire de Trinidad (Affair in Trinidad - Vincent Sherman - 1952)
- Un film noir haletant et un couple Hayworth-Ford sublime!
The game that kills (D. Ross Lederman - 1937)
-
Girls can play (Lambert Hillyer - 1937)
Homicide Bureau (Charles C. Coleman - 1939)
Cycle Woody Allen
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe...sans jamais oser le demander (Everything you always wanted to know about sex... but were afraid to ask - Woody Allen - 1972)
- Film inégal, mais au final relativement plaisant. J'avoue que le chapitre du mouton m'a bien fait rire!
Le sortilège du scorpion de Jade (The curse of the Jade scorpion - Woody Allen - 2001)
-
- Idée de scénario excellente, et dans l'ensemble ce film est bien ficelé. Emotionnellement parlant, par contre, il perd des points.
Woody et les robots (Sleeper - Woody Allen - 1973)
- Le film est un rien trop long, ce qui casse quelque peu le rythme. Et puis, il a quand même assez mal vieilli...
= Chef-d'oeuvre -
= Un excellent moment -
= Pas mal -
= Bof -
= Archi-nul - ♥ = coup de coeur
Films des mois précédents
MON FILM DU MOIS

FILMS DÉCOUVERTS / FILMS REVUS
Horton (2008) -


Vacances à la Grecque (My life in ruins - Donald Petrie - 2008)

Very bad cops (The other guys - Adam McKay - 2010) -

Cycle Rita Hayworth
L'étoile des étoiles (Down to earth - Alexander Hall - 1947)

L'ange de Broadway (Angels over Broadway - Ben Hecht & Lee Garmes - 1940)

Les amours de Carmen (The loves of Carmen - Charles Vidor - 1948)


L'enfer des Tropiques (Fire down below - Robert Parrish - 1957)

La reine de Broadway (Cover girl - Charles Vidor - 1944)

La belle du Pacifique (Miss Sadie Thompson - Curtis Bernhardt - 1953)

Salomé (Salome - William Dieterle - 1953)


L'affaire de Trinidad (Affair in Trinidad - Vincent Sherman - 1952)

The game that kills (D. Ross Lederman - 1937)


Girls can play (Lambert Hillyer - 1937)

Homicide Bureau (Charles C. Coleman - 1939)

Cycle Woody Allen
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe...sans jamais oser le demander (Everything you always wanted to know about sex... but were afraid to ask - Woody Allen - 1972)

Le sortilège du scorpion de Jade (The curse of the Jade scorpion - Woody Allen - 2001)


Woody et les robots (Sleeper - Woody Allen - 1973)






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- Iiiiiiil est des nôôôôtres
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Film du mois (malgré une note un peu moindre que d'autres) :

- Des Hommes et des Dieux (Xavier Beauvois) 9/10
- Le hobbit - un voyage inattendu (Peter Jackson) 7.5/10
Difficile de parler de déception, je ne peux pas dire que l'attente était énorme. J'avais beaucoup aimé la précédente trilogie, mais la révision dans leur versions longues des deux premiers épisodes me fait dire que, si c'est de l'excellent cinéma d'aventure, ce ne sont pas non plus les chefs-d’œuvre absolus parfois annoncés. Je ne vis donc pas parler de déception mais plutôt de manque d'emballement.
Alors, certes, c'est assez beau et dépaysant (vu en 3D mais pas en 48fps). Les scènes du début en Erebor sont superbes, les scènes dans la caverne des gobelins excellentes aussi (tiens j'ai pensé à Indy et le temple maudit), mais le choix des images de synthèse fait parfois perdre un peu de poésie. Rivendale était pour moi beaucoup plus magique dans Le seigneur des anneaux. Quitte à utiliser des CGI, autant y aller fort ! Le choix des CGI pour les créatures a du pour et du contre aussi. C'est discutable. Le film ne prend d’ailleurs vraiment de l'intérêt (si on excepte le superbe prologue) qu'un peu avant Rivendale. Avant ça, le premier tiers est plombé par un humour gras (les trolls !) qui détonne avec la première trilogie et par... des chansons !
Je me serais cru chez Disney. Sachant Tolkien friand de ça (ce sont en partie ces chansons qui m'ont fait interrompre le livre que je n'ai pas repris depuis), je me dit que ça doit coller avec l'Univers, mais personnellement, j'ai trouvé que ces deux chansons des nains tombaient comme un cheveu dans la soupe. J'ai été surpris d'ailleurs de voir qu'ils avaient repris presque plan plan la bande dessinée parue à l'époque chez Delcourt. Reste que passé ce premier tiers, le film prend petit à petit son rythme de croisière et offre son lot de péripéties.
- Time crimes (Nacho Vigalondo) 6.5/10
Au départ, j'avoue ne pas avoir trop accroché au début. Les réactions et les décisions du "héros" étant totalement débiles menant de catastrophe en catastrophe. Les choses se mettent en place après le premier voyage dans le temps et alors, le film devient vraiment ludique et amusant avec le jeu des doubles. Un film honorable donc. Pas révolutionnaire point de vue mise en scène et interprétation, mais plaisant à suivre.
- La cinquième saison (Peter Brosens - Jessica Woodworth) 8.5/10
- Django Unchained (Quentin Tarantino) 8.5/10
- La science des rêves (Michel Gondry) 9/10
- Des Hommes et des Dieux (Xavier Beauvois) 9/10
- Le hobbit - un voyage inattendu (Peter Jackson) 7.5/10
Difficile de parler de déception, je ne peux pas dire que l'attente était énorme. J'avais beaucoup aimé la précédente trilogie, mais la révision dans leur versions longues des deux premiers épisodes me fait dire que, si c'est de l'excellent cinéma d'aventure, ce ne sont pas non plus les chefs-d’œuvre absolus parfois annoncés. Je ne vis donc pas parler de déception mais plutôt de manque d'emballement.
Alors, certes, c'est assez beau et dépaysant (vu en 3D mais pas en 48fps). Les scènes du début en Erebor sont superbes, les scènes dans la caverne des gobelins excellentes aussi (tiens j'ai pensé à Indy et le temple maudit), mais le choix des images de synthèse fait parfois perdre un peu de poésie. Rivendale était pour moi beaucoup plus magique dans Le seigneur des anneaux. Quitte à utiliser des CGI, autant y aller fort ! Le choix des CGI pour les créatures a du pour et du contre aussi. C'est discutable. Le film ne prend d’ailleurs vraiment de l'intérêt (si on excepte le superbe prologue) qu'un peu avant Rivendale. Avant ça, le premier tiers est plombé par un humour gras (les trolls !) qui détonne avec la première trilogie et par... des chansons !

- Time crimes (Nacho Vigalondo) 6.5/10
Au départ, j'avoue ne pas avoir trop accroché au début. Les réactions et les décisions du "héros" étant totalement débiles menant de catastrophe en catastrophe. Les choses se mettent en place après le premier voyage dans le temps et alors, le film devient vraiment ludique et amusant avec le jeu des doubles. Un film honorable donc. Pas révolutionnaire point de vue mise en scène et interprétation, mais plaisant à suivre.
- La cinquième saison (Peter Brosens - Jessica Woodworth) 8.5/10
- Django Unchained (Quentin Tarantino) 8.5/10
- La science des rêves (Michel Gondry) 9/10
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Film du Mois de Janvier 2013 :

Films découverts :
- Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov : 10/10
- Don't Come Knocking de Wim Wenders : 8/10 Ciné
- The Master de Paul Thomas Anderson : 8/10 Ciné
- Ta'm e guilass (Le goût de la cerise) de Abbas Kiarostami : 7.5/10 Ciné
- Елена (Elena) de Andrey Zvyagintsev : 7.5/10 Ciné
- Zero Dark Thirty de Katrin Bigelow : 7/10 Ciné
- Tadjrebeh (L'Expérience) de Abbas Kiarostami : 7/10 Ciné
- Oslo, 31. august (Oslo, 31 Août) de Joachim Trier : 6.5/10 Ciné
- Ten de Abbas Kiarostami : 6.5/10 Ciné
- Amai Yoru no Hate (La Fin d'une Douce Nuit) de Yoshishige Yoshida : 6.5/10
- Princess (Princesse) de Anders Morgenthaler : 6.5/10
- Dans la Maison de François Ozon : 6/10 Ciné
- Holy Motors de Leo Carax : 6/10 Ciné
- Inland Empire de David Lynch : 3/10
Films revus :
- Take Shalter de Jeff Nichols : 8.5/10 Ciné
- Platoon de Oliver Stone : 8.5/10
Films des mois précédents :[spoiler]
Janvier 2013 : Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov
Décembre : The Man Who Loved Cat Dancing de Richard C. Sarafian
Novembre : Brute Force de Jules Dassin
Octobre : Die Büchse der Pandora (Loulou) de Georg Wilhelm Pabst
Septembre : Waterloo Bridge de Mervyn Leroy
Aout : Suna no Onna (La Femme des Sables) de Hiroshi Teshigahara
Avril : Cure de Kiyoshi Kurosawa
Mars : Shotgun Stories de Jeff Nichols
Février : Blood Simple des Frères Coen
Janvier 2012 : The Artist de Michel Hazanavicius
Décembre : Shame de Steve McQueen
Novembre : Paths of Glory de Stanley Kubrick
Octobre : Yellow Sky de William A. Wellman
Septembre : Take Shelter de Jeff Nichols
Aout : Insomnia de Erik Skjoldbjærg
Juillet : Collapse de Chris Smith
Juin : Essential Killing de Jerzy Skolimowski
Mai : The Tree of Life de Terrence Malick
Avril : Heat de Michael Mann
Mars : Shunpu Den (Histoire d'une Prostituée) de Seijun Suzuki
Février : Incendies de Denis Villeneuve
Janvier 2011 :
Décembre : La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier
Novembre : Electra Glide in Blue de James William Guercio
Octobre : Sandra de Luchino Visconti
Septembre : Keoma de Enzo G. Castellari
Aout : The Red Shoes de Michael Powell et Emeric Pressburger
Juillet : Boogie Nights de Paul Thomas Anderson
Juin 2010 : Munich de Steven Spielberg[/spoiler]

Films découverts :
- Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov : 10/10
- Don't Come Knocking de Wim Wenders : 8/10 Ciné
- The Master de Paul Thomas Anderson : 8/10 Ciné
- Ta'm e guilass (Le goût de la cerise) de Abbas Kiarostami : 7.5/10 Ciné
- Елена (Elena) de Andrey Zvyagintsev : 7.5/10 Ciné
- Zero Dark Thirty de Katrin Bigelow : 7/10 Ciné
- Tadjrebeh (L'Expérience) de Abbas Kiarostami : 7/10 Ciné
- Oslo, 31. august (Oslo, 31 Août) de Joachim Trier : 6.5/10 Ciné
- Ten de Abbas Kiarostami : 6.5/10 Ciné
- Amai Yoru no Hate (La Fin d'une Douce Nuit) de Yoshishige Yoshida : 6.5/10
- Princess (Princesse) de Anders Morgenthaler : 6.5/10
- Dans la Maison de François Ozon : 6/10 Ciné
- Holy Motors de Leo Carax : 6/10 Ciné
- Inland Empire de David Lynch : 3/10
Films revus :
- Take Shalter de Jeff Nichols : 8.5/10 Ciné
- Platoon de Oliver Stone : 8.5/10
Films des mois précédents :[spoiler]
Janvier 2013 : Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov
Décembre : The Man Who Loved Cat Dancing de Richard C. Sarafian
Novembre : Brute Force de Jules Dassin
Octobre : Die Büchse der Pandora (Loulou) de Georg Wilhelm Pabst
Septembre : Waterloo Bridge de Mervyn Leroy
Aout : Suna no Onna (La Femme des Sables) de Hiroshi Teshigahara
Avril : Cure de Kiyoshi Kurosawa
Mars : Shotgun Stories de Jeff Nichols
Février : Blood Simple des Frères Coen
Janvier 2012 : The Artist de Michel Hazanavicius
Décembre : Shame de Steve McQueen
Novembre : Paths of Glory de Stanley Kubrick
Octobre : Yellow Sky de William A. Wellman
Septembre : Take Shelter de Jeff Nichols
Aout : Insomnia de Erik Skjoldbjærg
Juillet : Collapse de Chris Smith
Juin : Essential Killing de Jerzy Skolimowski
Mai : The Tree of Life de Terrence Malick
Avril : Heat de Michael Mann
Mars : Shunpu Den (Histoire d'une Prostituée) de Seijun Suzuki
Février : Incendies de Denis Villeneuve
Janvier 2011 :
Décembre : La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier
Novembre : Electra Glide in Blue de James William Guercio
Octobre : Sandra de Luchino Visconti
Septembre : Keoma de Enzo G. Castellari
Aout : The Red Shoes de Michael Powell et Emeric Pressburger
Juillet : Boogie Nights de Paul Thomas Anderson
Juin 2010 : Munich de Steven Spielberg[/spoiler]
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"Mad Max II c'est presque du Bela Tarr à l'aune des blockbusters actuels" Atclosetherange
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
JANVIER 2013
Films découverts
L'ange ivre (Akira Kurosawa - 1948) 8/10
Flyboys (Tony Bill - 2006) 6/10
Film du mois
Films revus
Films découverts
L'ange ivre (Akira Kurosawa - 1948) 8/10
Flyboys (Tony Bill - 2006) 6/10
Film du mois
Films revus
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1970-2005: un artiste à la recherche de l'équilibre dans sa Force...
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Sorties salles 2013
Yossi (Eytan Fox, 2/1) ***
Faire quelque chose (Vincent Goubet, 2/1)****
Le roi du curling (Ole Endresen, 2/1)***
Comme un lion (Samuel Collardey, 9/1)****
Django unchained (Quentin Tarantino, 16/1)****
Blancanieves (Pablo Berger, 23/1)****
El estudiante (Santiago Mitre, 23/1)***
Lullaby to my father (Amos Gitaï, 16/1)****
La parade (Srdjan Dragojevic, 16/1)***
Films découverts ou redécouverts
Images de la vie (John Stahl, 1934)****
Legong, dance of the virgins (Henry de la Falaise, 1935)***
Min Ye (Souleymane Cissé, 2009)***
Crossfire Hurricane (Brett Morgen, 2012)**
Time Out (Andrew Niccol, 2011)**
Notre-Dame de Paris (Wallace Worsley, 1923)****
Show Boat (George Sydney, 1951)***
Retour (Hal Ashby, 1978)***
Iran's son is unaware of his mother (Ferydoun Rahnema, 1976)***
Le festin de Babette (Gabriel Axel, 1987)****
Paris-New York (Yves Mirande, 1940)***
L'enquête est close (Jacques Tourneur, 1951)***
Muppets, le retour (James Bobin, 2011)*
Promenade avec l'amour et la mort (John Huston, 1969)****FILM DU MOIS
La banque Nemo (Marguerite Viel, 1934)***
Embryo (Ralph Nelson, 1976)***
Quatre nuits d'un rêveur (Robert Bresson, 1971)**
Tête brûlée (Wes Anderson, 1996)**
Yossi (Eytan Fox, 2/1) ***
Faire quelque chose (Vincent Goubet, 2/1)****
Le roi du curling (Ole Endresen, 2/1)***
Comme un lion (Samuel Collardey, 9/1)****
Django unchained (Quentin Tarantino, 16/1)****
Blancanieves (Pablo Berger, 23/1)****
El estudiante (Santiago Mitre, 23/1)***
Lullaby to my father (Amos Gitaï, 16/1)****
La parade (Srdjan Dragojevic, 16/1)***
Films découverts ou redécouverts
Images de la vie (John Stahl, 1934)****
Legong, dance of the virgins (Henry de la Falaise, 1935)***
Min Ye (Souleymane Cissé, 2009)***
Crossfire Hurricane (Brett Morgen, 2012)**
Time Out (Andrew Niccol, 2011)**
Notre-Dame de Paris (Wallace Worsley, 1923)****
Show Boat (George Sydney, 1951)***
Retour (Hal Ashby, 1978)***
Iran's son is unaware of his mother (Ferydoun Rahnema, 1976)***
Le festin de Babette (Gabriel Axel, 1987)****
Paris-New York (Yves Mirande, 1940)***
L'enquête est close (Jacques Tourneur, 1951)***
Muppets, le retour (James Bobin, 2011)*
Promenade avec l'amour et la mort (John Huston, 1969)****FILM DU MOIS
La banque Nemo (Marguerite Viel, 1934)***
Embryo (Ralph Nelson, 1976)***
Quatre nuits d'un rêveur (Robert Bresson, 1971)**
Tête brûlée (Wes Anderson, 1996)**
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013

Film du mois

Walkabout (1971 - Nicolas Roeg)
Films vus/découverts.
● John Carter - 6/6. That was epic.

● Je suis curieuse (version jaune) - 3,5/6. Oui ben moi je le suis plus du coup.

● Inseminoid - 2/6. L'a mal vieilli ce bidule et la qualité déplorable du DVD comme le jeu approximatif des comédiens et plein d'incohérence bizarres n'aident pas, sinon bof bof.
● Django - 5/6. L'original avec Franco Nero, qu'est-ce que c'est bien.

● Le jour où la terre s'arrêta - 6/6.
● The raid - 4/6. De l'action bigger-than-life que ça en devient tellement bigger que ça s'essouffle et qu'on y croit moins sur la fin.

● Et vogue le navire - 5,5/6. Requiem sur la fin d'une époque tout en étant un hommage au cinéma et à l'opéra, voilà que Fellini bien avant Cameron faisait un peu son Titanic. Sauf que c'est Fellini, donc rien à voir. Magistral.
● Walkabout - 5/6.
● Bellamy - 4/6.
● Zero Dark Thirty - 5/6.
=========Le coin à part (courts,séries etc...)==========
● Black panthers - 5/6. Agnès Varda pour un doc rare sur les Black Panthers. On l'imagine, seule, blanche, de petite taille au milieu de tous ces gens, parfois portés par une froide colère noire (sans mauvais jeu de mot). Good. 
● Vincent - 4/6. Les débuts de Tim Burton et déjà une petite perle touchante. 6 mn de bonheur.
● Frankenweenie - 5/6. Mieux que la nouvelle version, cette première mouture des années 80 se permet de toucher et d'aller à l'essentiel en seulement 30 mn. Beau.
● Il était une fois l'espace (série). - 4,5/6. On approche de la fin, ça avait mis du temps à démarrer et malgré le manichéïsme des mêmes méchants (le nabot et le teigneux), ça reste plus qu'intéressant.

Films revus/redécouverts.
● Shaun of the dead - 5/6. Les anglais sont toujours au top. Pourquoi pas plus d'oeuvres barrées comme ça chez nous ? Quelques réals ont pourtant cette ambition (Hazanavicius, Sattouf...) mais ils se comptent sur les doigts de la main.
● Moonrise Kingdom - 5/6.
● Poltergeist - 5/6. Sympathique ce petit Tobe Spielberg.

● Near Dark, aux frontières de l'aube - 6/6.

● Terminator - 5/6. Oui parce que depuis peu, j'ai entamé un week-end Terminator, dernièrement...

● Terminator 2 - 5/6. Encore un truc pas vu depuis une décennie quasiment comme pour Poltergeist. Redécouverte totale. Je me rappelais plus par contre que le gamin Furlong était aussi tête à claque. C'est à cause de lui que le film pâtit un peu par moment. Robert Patrick a la classe en T1000.
● Terminator 3 - 5/6. L'épisode le plus drôle et curieusement le plus sombre. Le voir après le 2 permet de repérer avec bonheur tous les clins d'oeils qui lui sont fait. Un vrai cadeau aux fans.
● La guerre des mondes (Spielby) - 6/6.
● L'effet papillon - 1/6. Rien à faire je n'y arrive toujours pas. De bonnes idées de SF emballées dans un fond bien malsain avec un mec qui a toutes les merdes du monde, les réals y allant à fond avec leurs gros sabots pour bien le mettre dans son caca.
Tu comprends, on devrait lui imposer un trauma comme ça il remonterait le temps.
_ Nan attends mec, pourquoi pas plusieurs traumas ?
_ Han oui. Alors attends, euh, son voisin serait pédophile et il y passe avec la fille qu'il aime.
_ Et on dira que l'autre gamin il deviendra ultra violent parce qu'il a été mal élevé (et accessoirement sans doute à cause des jeux vidéos).
_ Ouais et même que son pote va mettre de la dynamite pour exploser un voisin.
_ Puis l'autre pour se venger et ben y brûlera son chien.
Putain la finesse. Tout ça pour un outil scénaristique mais zéro empathie pour ses personnages qui ne servent qu'à justifier une suite de raisonnements sur la théorie du chaos. Désolé moi ça me fait vomir d'avoir à ce point aussi peu d'humanisme.
J'en parle par ici tiens.
Last edited by Anorya on 6 Feb 13, 20:34, edited 6 times in total.

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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Janvier 2013
Film du mois: Barry Lyndon
Navet du mois: Django Unchained
Films vus:
1. Bullitt (1968) 7/10
2. La caduta degli dei (1969) 9/10
3. Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution (1965) 6/10
4. Carnival of souls (1962) 6/10
5. Fellini - Satyricon (1969) 5/10
6. Repulsion (1965) 5/10
7. What ever happened to Baby Jane? (1962) 8/10
8. Yossi & Jagger (2002) 6/10
9. Kes (1969) 7/10
10. The War Game (1965) 5/10
11. They shoot horses, don't they? (1969) 7/10
12. Lásky jedné plavovlásky (1965) 4/10
13. Witchfinder General (1968) 5/10
14. The Hobbit: An Unexpected Journey (2012) 9/10
15. The Producers (1968) 8/10
16. Per qualche dollaro in più (1965) 8/10
17. Persona (1966) 5/10
18. Sherlock Holmes: A Game of Shadows (2011) 5/10
19. J. Edgar (2011) 7/10
20. Life of Pi (2012) 8/10
21. Maniac (2012) 7/10
22. Peeping Tom (1960) 7/10
23. The descendants (2011) 6/10
24. Argo (2012) 6/10
26. Oliver! (1968) 6/10
27. La noire de... (1966) 6/10
28. Horí, má panenko (1967) 6/10
29. Sedmikrásky (1966) 4/10
30. Beasts of the Southern Wild (2012) 7/10
31. Moonrise Kingdom (2012) 6/10
32. Dylan Dog: Dead of Night (2010) 4/10
33. Moneyball (2011) 6/10
34. Stagecoach (1939) 8/10
35. Ezra (2007) 8/10
36. Lincoln (2012) 4/10
37. Django Unchained (2012) 2/10
38. Barry Lyndon (1975) 10/10
39. Wrath of the Titans (2012) 4/10
40. Dream House (2011) 4/10
41. Bride of Frankenstein (1935) 8/10
42. Skyfall (2012) 6/10
43. Les Misérables (2012) 1/10
44. Brief Encounter (1945) 7/10
45. The Towering Inferno (1974) 7/10
46. The Ten Commandments (1956) 8/10
47. The Mission (1986) 6/10
48. To Catch a Thief (1955) 6/10
49. Chariots of Fire (1981) 7/10
50. Silver Linings Playbook (2012) 6/10

Film du mois: Barry Lyndon
Navet du mois: Django Unchained
Films vus:
1. Bullitt (1968) 7/10
2. La caduta degli dei (1969) 9/10
3. Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution (1965) 6/10
4. Carnival of souls (1962) 6/10
5. Fellini - Satyricon (1969) 5/10
6. Repulsion (1965) 5/10
7. What ever happened to Baby Jane? (1962) 8/10
8. Yossi & Jagger (2002) 6/10
9. Kes (1969) 7/10
10. The War Game (1965) 5/10
11. They shoot horses, don't they? (1969) 7/10
12. Lásky jedné plavovlásky (1965) 4/10
13. Witchfinder General (1968) 5/10
14. The Hobbit: An Unexpected Journey (2012) 9/10
15. The Producers (1968) 8/10
16. Per qualche dollaro in più (1965) 8/10
17. Persona (1966) 5/10
18. Sherlock Holmes: A Game of Shadows (2011) 5/10
19. J. Edgar (2011) 7/10
20. Life of Pi (2012) 8/10
21. Maniac (2012) 7/10
22. Peeping Tom (1960) 7/10
23. The descendants (2011) 6/10
24. Argo (2012) 6/10
26. Oliver! (1968) 6/10
27. La noire de... (1966) 6/10
28. Horí, má panenko (1967) 6/10
29. Sedmikrásky (1966) 4/10
30. Beasts of the Southern Wild (2012) 7/10
31. Moonrise Kingdom (2012) 6/10
32. Dylan Dog: Dead of Night (2010) 4/10
33. Moneyball (2011) 6/10
34. Stagecoach (1939) 8/10
35. Ezra (2007) 8/10
36. Lincoln (2012) 4/10
37. Django Unchained (2012) 2/10
38. Barry Lyndon (1975) 10/10
39. Wrath of the Titans (2012) 4/10
40. Dream House (2011) 4/10
41. Bride of Frankenstein (1935) 8/10
42. Skyfall (2012) 6/10
43. Les Misérables (2012) 1/10
44. Brief Encounter (1945) 7/10
45. The Towering Inferno (1974) 7/10
46. The Ten Commandments (1956) 8/10
47. The Mission (1986) 6/10
48. To Catch a Thief (1955) 6/10
49. Chariots of Fire (1981) 7/10
50. Silver Linings Playbook (2012) 6/10
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- Ewok on the wild side
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Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Je vais essayer de participer, cette année.
Alors, pour ce mois de janvier.
Vacances (George Cukor, 1938)
La confrontation entre le milieu cossu de la haute société new-yorkaise et celui, humble et désintéréssé, d’un courtier aventureux, fournit à Cukor la matière d’une piquante étude de mœurs, qui creuse les questions des aspirations enchaînées, de l’épanouissement individuel sacrifié sur l’autel des convenances familiales (Linda en sursis, Ned déjà vaincu), de l’aliénation plus ou moins volontaire à une existence dorée. Comme dans tous les grands fleurons du genre, la cocasserie des situations met en valeur les atermoiements des personnages, et ici c’est au terme d’une délicieuse valse avec la sincérité en amour, la loyauté de l’engagement, le consensus dans le couple, qu’un homme et une femme unis par un même goût de la liberté prendront conscience qu’ils sont faits l’un pour l’autre. 5/6
Foxfire, confessions d’un gang de filles (Laurent Cantet, 2012)
En se confrontant aux lieux communs de la chronique historique et aux attraits de la mythologie américaine des fifties, Cantet donne à tester la rigueur documentaire de son approche, d’ordinaire imperméable aux effets de mode. Le résultat n’évite pas toujours les étapes prévisibles de la trajectoire exaltation/désillusion/étiolement des utopies, mais la précision avec laquelle le cinéaste saisit les tensions d’une époque et capte les ardeurs d’une bande de filles soudées dans un même rêve communautaire, romantique, post-adolescent, garantit à sa peinture d’une révolte un intérêt constant. La fraîcheur et la conviction des jeunes actrices emportent définitivement le morceau. 4/6
Kes (Ken Loach, 1969)
L’enfance est la période des rêves et des chagrins les plus vifs, celle qui fermente les orientations de toute une existence. Si Loach apporte une belle pierre à l’édifice des films consacrés au sujet, il en fait également la lentille d’une minutieuse description sociale, celle du Yorkshire des mineurs, accablé de fatigue et d’ennui. Il dénonce surtout les méfaits de la répression au sein de l’école, la faillite d’un système éducatif de classes qui nie les individualités et perpétue la transmission d’une violence larvée. Ce qui n’empêche pas l’humour d’affleurer (le cours de football), ni l’espoir de s’affirmer lorsque Billy, ce garçon frêle à l’émouvante obstination, soutenu par un prof bienveillant, parvient à captiver tous ses camarades de classes avec l’exposé de sa passion. 4/6
La maison dans l’ombre (Nicholas Ray, 1952)
Le Violent aurait pu servir de titre français pour celui-ci également : la brutalité des rues new-yorkaises déteint sur le protagoniste, flic aux méthodes expéditives en quête d’une contrition impossible. Nicholas Ray applique au polar urbain sa méthode, cotonneuse, alanguie, avant d’expédier le récit dans une province enneigée où se cache un angelot meurtrier, déchiré entre des pulsions incontrôlables et la douceur de sa sœur aveugle. En poétisant la confrontation au regard de l’autre, la réversibilité et l’ambivalence mystérieuse de la culpabilité et et de l’innocence, les vertus de l’amour salvateur enfin, le cinéaste développe une tonalité brumeuse, presque onirique, qui offre à ce beau film toute sa singularité. 4/6
The master (Paul Thomas Anderson, 2012)
Anderson aurait pu se contenter de récolter les dividendes du précédent film mais il choisit de prendre à rebours son sujet et oppose à la satisfaction immédiate du spectateur une fuyante et déroutante odyssée intérieure dans l’Amérique faussement prospère des années 50. Toute en décrochages dissonants et confrontations incongrues, elle offre un visage singulier à une folie ordinaire qui fait de l’aliénation servile et de la soumission désirée le terreau d’une étrange forme d’amitié et d’interdépendance. S’il n’engage que peu d’émotion, le film, ponctué de trouées parfois cocasses, parfois hypnotiques, et narré sur un tempo très particulier fait d’ellipses et d’attentes, témoigne d’une maîtrise intacte, d’un refus constant de se laisser dominer par les attentes et les lieux communs. 4/6
Ludwig ou le crépuscule des dieux (Luchino Visconti, 1972)
C’est à nouveau sur la relation conflictuelle de l’homme au monde et l’aspiration impossible à un idéal romantique que Visconti développe sa méditation. Le déclin physique et moral du roi Louis II de Bavière dicte la splendeur hiératique d’une mise en scène qui interroge l’écoulement du temps et l’héritage laissé par l’homme à travers sa création. Dans sa chute inexorable vers la déraison et ses lubies mégalomanes pour vaincre l’histoire, dans sa fuite de la réalité au profit de parures, de bacchanales et d’apparats crépusculaires, le monarque d’un univers qui s’écroule scelle sa perte en oubliant sa condition de simple mortel. Les quatre heures sont majestueuses mais non dénuées de longueurs. 4/6
Les fantastiques années vingt (Raoul Walsh, 1939) - 5/6
Des tranchées de la Grande Guerre à la levée de la Prohibition, trois trajectoires se tressent à la faveur de sauts et d’enchaînements effrénés, de procédés figuratifs aussi limpides que fulgurants, qui associent les individualités aux évolutions frénétiques de l’Histoire. Walsh privilégie la clarté d’un récit brassant un matériau hyperconsistant qui traverse quinze ans de réformisme (celui de la dépression), dépasse les enjeux rooseveltiens de ses idées pour s’inscrire pleinement au sein du processus inéluctable défini par la plupart des films suivants. Écartelé entre les valeurs sociales et un rêve impossible, fuyant le compromis pour mieux accepter finalement, tel le Doniphon de Liberty Valance, son retrait d’un monde auquel il n’appartient plus, Cagney offre à ce film époustouflant une complexité, une intensité rares. 5/6
L'homme au bras d'or (Otto Preminger, 1955)
L’Amérique des paumés et des perdants, des marginaux et des bannis de la réussite, est ici dépeinte avec une crudité qui, on le sait, vaudra à Preminger quelques soucis avec le code Hays. Les ressorts de l’intrigue ont beau appuyer parfois un peu lourdement le propos, le film n’en éclaire pas moins généreusement le drame d’un homme rattrapé par ses démons, que seule l’affection d’une amie fidèle pourra sauver. La partition jazzy de Bernstein colle aux images, la description du monde nocturne du poker clandestin captive, et la frontalité avec laquelle sont transcrites les affres de la drogue trouve son accord parfait dans la formidable interprétation de Sinatra. 4/6
Commentaires à venir (?) :
Le voyage des comédiens (Theo Angelopoulos, 1975) - 3/6
Le masque du démon (Mario Bava, 1960) - 4/6
La chevauchée de la vengeance (Butt Boetticher) - 5/6
Harold et Maude (Hal Ashby, 1971) - 4/6
La dernière séance (Peter Bogdanovich, 1971) - 5/6
Sherlock Jr (Buster Keaton, 1924) - 5/6
Et j'ai revu :
Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman, 1982)
Film sublimissime, d’une inspiration absolument souveraine, dont la redécouverte a été un tel éblouissement que je l'ai intégré à mon top 100. Il s’agit sans doute de l'œuvre la plus ample et la plus ambitieuse de Bergman, une magnifique synthèse qui reprend en le dépassant l’ensemble de ses motifs. Souvenirs d’enfance, réminiscences nostalgiques, crainte des interdits religieux, complicité avec l’univers féminin, découverte de la mort, vivants et fantômes, théâtre et cinéma, art et spiritualité… tout se marie avec une fécondité romanesque digne des géants de la littérature. Il y a quelque chose de définitif dans cette célébration renouvelée de l’illusion, de la fantaisie, de l’amour et de la générosité, dans cette chronique familiale dont l’exceptionnelle richesse n’égale que l’immense tendresse humaine. 6/6
Alors, pour ce mois de janvier.
Vacances (George Cukor, 1938)
La confrontation entre le milieu cossu de la haute société new-yorkaise et celui, humble et désintéréssé, d’un courtier aventureux, fournit à Cukor la matière d’une piquante étude de mœurs, qui creuse les questions des aspirations enchaînées, de l’épanouissement individuel sacrifié sur l’autel des convenances familiales (Linda en sursis, Ned déjà vaincu), de l’aliénation plus ou moins volontaire à une existence dorée. Comme dans tous les grands fleurons du genre, la cocasserie des situations met en valeur les atermoiements des personnages, et ici c’est au terme d’une délicieuse valse avec la sincérité en amour, la loyauté de l’engagement, le consensus dans le couple, qu’un homme et une femme unis par un même goût de la liberté prendront conscience qu’ils sont faits l’un pour l’autre. 5/6
Foxfire, confessions d’un gang de filles (Laurent Cantet, 2012)
En se confrontant aux lieux communs de la chronique historique et aux attraits de la mythologie américaine des fifties, Cantet donne à tester la rigueur documentaire de son approche, d’ordinaire imperméable aux effets de mode. Le résultat n’évite pas toujours les étapes prévisibles de la trajectoire exaltation/désillusion/étiolement des utopies, mais la précision avec laquelle le cinéaste saisit les tensions d’une époque et capte les ardeurs d’une bande de filles soudées dans un même rêve communautaire, romantique, post-adolescent, garantit à sa peinture d’une révolte un intérêt constant. La fraîcheur et la conviction des jeunes actrices emportent définitivement le morceau. 4/6
Kes (Ken Loach, 1969)
L’enfance est la période des rêves et des chagrins les plus vifs, celle qui fermente les orientations de toute une existence. Si Loach apporte une belle pierre à l’édifice des films consacrés au sujet, il en fait également la lentille d’une minutieuse description sociale, celle du Yorkshire des mineurs, accablé de fatigue et d’ennui. Il dénonce surtout les méfaits de la répression au sein de l’école, la faillite d’un système éducatif de classes qui nie les individualités et perpétue la transmission d’une violence larvée. Ce qui n’empêche pas l’humour d’affleurer (le cours de football), ni l’espoir de s’affirmer lorsque Billy, ce garçon frêle à l’émouvante obstination, soutenu par un prof bienveillant, parvient à captiver tous ses camarades de classes avec l’exposé de sa passion. 4/6
La maison dans l’ombre (Nicholas Ray, 1952)
Le Violent aurait pu servir de titre français pour celui-ci également : la brutalité des rues new-yorkaises déteint sur le protagoniste, flic aux méthodes expéditives en quête d’une contrition impossible. Nicholas Ray applique au polar urbain sa méthode, cotonneuse, alanguie, avant d’expédier le récit dans une province enneigée où se cache un angelot meurtrier, déchiré entre des pulsions incontrôlables et la douceur de sa sœur aveugle. En poétisant la confrontation au regard de l’autre, la réversibilité et l’ambivalence mystérieuse de la culpabilité et et de l’innocence, les vertus de l’amour salvateur enfin, le cinéaste développe une tonalité brumeuse, presque onirique, qui offre à ce beau film toute sa singularité. 4/6
The master (Paul Thomas Anderson, 2012)
Anderson aurait pu se contenter de récolter les dividendes du précédent film mais il choisit de prendre à rebours son sujet et oppose à la satisfaction immédiate du spectateur une fuyante et déroutante odyssée intérieure dans l’Amérique faussement prospère des années 50. Toute en décrochages dissonants et confrontations incongrues, elle offre un visage singulier à une folie ordinaire qui fait de l’aliénation servile et de la soumission désirée le terreau d’une étrange forme d’amitié et d’interdépendance. S’il n’engage que peu d’émotion, le film, ponctué de trouées parfois cocasses, parfois hypnotiques, et narré sur un tempo très particulier fait d’ellipses et d’attentes, témoigne d’une maîtrise intacte, d’un refus constant de se laisser dominer par les attentes et les lieux communs. 4/6
Ludwig ou le crépuscule des dieux (Luchino Visconti, 1972)
C’est à nouveau sur la relation conflictuelle de l’homme au monde et l’aspiration impossible à un idéal romantique que Visconti développe sa méditation. Le déclin physique et moral du roi Louis II de Bavière dicte la splendeur hiératique d’une mise en scène qui interroge l’écoulement du temps et l’héritage laissé par l’homme à travers sa création. Dans sa chute inexorable vers la déraison et ses lubies mégalomanes pour vaincre l’histoire, dans sa fuite de la réalité au profit de parures, de bacchanales et d’apparats crépusculaires, le monarque d’un univers qui s’écroule scelle sa perte en oubliant sa condition de simple mortel. Les quatre heures sont majestueuses mais non dénuées de longueurs. 4/6
Les fantastiques années vingt (Raoul Walsh, 1939) - 5/6
Des tranchées de la Grande Guerre à la levée de la Prohibition, trois trajectoires se tressent à la faveur de sauts et d’enchaînements effrénés, de procédés figuratifs aussi limpides que fulgurants, qui associent les individualités aux évolutions frénétiques de l’Histoire. Walsh privilégie la clarté d’un récit brassant un matériau hyperconsistant qui traverse quinze ans de réformisme (celui de la dépression), dépasse les enjeux rooseveltiens de ses idées pour s’inscrire pleinement au sein du processus inéluctable défini par la plupart des films suivants. Écartelé entre les valeurs sociales et un rêve impossible, fuyant le compromis pour mieux accepter finalement, tel le Doniphon de Liberty Valance, son retrait d’un monde auquel il n’appartient plus, Cagney offre à ce film époustouflant une complexité, une intensité rares. 5/6
L'homme au bras d'or (Otto Preminger, 1955)
L’Amérique des paumés et des perdants, des marginaux et des bannis de la réussite, est ici dépeinte avec une crudité qui, on le sait, vaudra à Preminger quelques soucis avec le code Hays. Les ressorts de l’intrigue ont beau appuyer parfois un peu lourdement le propos, le film n’en éclaire pas moins généreusement le drame d’un homme rattrapé par ses démons, que seule l’affection d’une amie fidèle pourra sauver. La partition jazzy de Bernstein colle aux images, la description du monde nocturne du poker clandestin captive, et la frontalité avec laquelle sont transcrites les affres de la drogue trouve son accord parfait dans la formidable interprétation de Sinatra. 4/6
Commentaires à venir (?) :
Le voyage des comédiens (Theo Angelopoulos, 1975) - 3/6
Le masque du démon (Mario Bava, 1960) - 4/6
La chevauchée de la vengeance (Butt Boetticher) - 5/6
Harold et Maude (Hal Ashby, 1971) - 4/6
La dernière séance (Peter Bogdanovich, 1971) - 5/6
Sherlock Jr (Buster Keaton, 1924) - 5/6
Et j'ai revu :
Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman, 1982)
Film sublimissime, d’une inspiration absolument souveraine, dont la redécouverte a été un tel éblouissement que je l'ai intégré à mon top 100. Il s’agit sans doute de l'œuvre la plus ample et la plus ambitieuse de Bergman, une magnifique synthèse qui reprend en le dépassant l’ensemble de ses motifs. Souvenirs d’enfance, réminiscences nostalgiques, crainte des interdits religieux, complicité avec l’univers féminin, découverte de la mort, vivants et fantômes, théâtre et cinéma, art et spiritualité… tout se marie avec une fécondité romanesque digne des géants de la littérature. Il y a quelque chose de définitif dans cette célébration renouvelée de l’illusion, de la fantaisie, de l’amour et de la générosité, dans cette chronique familiale dont l’exceptionnelle richesse n’égale que l’immense tendresse humaine. 6/6
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- Joined: 1 Aug 12, 02:33
Re: Votre film du mois de Janvier 2013
Films vus ce mois-ci :
Découvertes :
This Sporting Life de Lindsay Anderson (9,5/10)
Billy Liar de John Schlesinger (6/10)
Darling de John Schlesinger (9/10)
La collectionneuse d'Eric Rohmer (10/10)
L'amour l'après midi d'Eric Rohmer (10/10)
Revus :
Sleuth de J.L. Mankiewicz (10/10)
Reservoir Dogs de Tarantino (4/10)
Beyond a reasonable Doubt de Fritz Lang (7/10)
While de City Sleeps de Fritz Lang (6,5/10)
The Big Heat de Fritz Lang (9,5/10)
The shop around the corner de Lubitsch (8/10) revu au cinéma
To be or not to be de Lubisch (10/10) revu au cinéma
The Big Combo de Joseph H. Lewis (10/10) 12ème vision en trois mois...
Découvertes :
This Sporting Life de Lindsay Anderson (9,5/10)
Billy Liar de John Schlesinger (6/10)
Darling de John Schlesinger (9/10)
La collectionneuse d'Eric Rohmer (10/10)
L'amour l'après midi d'Eric Rohmer (10/10)
Revus :
Sleuth de J.L. Mankiewicz (10/10)
Reservoir Dogs de Tarantino (4/10)
Beyond a reasonable Doubt de Fritz Lang (7/10)
While de City Sleeps de Fritz Lang (6,5/10)
The Big Heat de Fritz Lang (9,5/10)
The shop around the corner de Lubitsch (8/10) revu au cinéma
To be or not to be de Lubisch (10/10) revu au cinéma
The Big Combo de Joseph H. Lewis (10/10) 12ème vision en trois mois...
