Top films animation japonaise

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Arion
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Re: Top films animation japonaise

Message par Arion »

Je plussoie, Hosoda est grand. :wink:
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Anorya
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Re: Top films animation japonaise

Message par Anorya »

Pas de classement ni d'ordre, juste mes 25 films d'animation japonaise préférés.


- Millenium actress
- Perfect blue
- Nausicäa de la vallée du vent
- AKIRA
- Porco Rosso
- Kiki, la petite sorcière
- Princesse Mononoke
- Jin-Roh, la brigade des loups
- Ghost in the shell
- Patlabor, the movie
- Patlabor 2
- Patlabor 3
- Le château dans le ciel
- Le voyage de Chihiro
- Cowboy Bebop : Knockin On Heaven’s Door
- Vampire hunter D - Bloodlust
- Les ailes d'Honneamise
- Summer wars
- Ame & Yuki, Les enfants-loups
- Le tombeau des lucioles
- Steamboy
- Memories
- Metropolis
- Berserk, the golden age part I, l'oeuf du roi conquérant
- Night on the galactic railroad


Liste qui peut toujours s'étoffer devant de futures belles découvertes à venir. ;)
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nekashokoi
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Re: Top films animation japonaise

Message par nekashokoi »

Je m'étonne de ne pas trouver l'excellent Colorful , de Keiichi Hara. Une perle !
Arion
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Re: Top films animation japonaise

Message par Arion »

nekashokoi a écrit :Je m'étonne de ne pas trouver l'excellent Colorful , de Keiichi Hara. Une perle !
Je l'ai en DVD, mais pas encore vu. Faudra que je m'y mette, du coup. :wink:
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Anorya
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Re: Top films animation japonaise

Message par Anorya »

Arion a écrit :
nekashokoi a écrit :Je m'étonne de ne pas trouver l'excellent Colorful , de Keiichi Hara. Une perle !
Je l'ai en DVD, mais pas encore vu. Faudra que je m'y mette, du coup. :wink:
Je suis dans le même cas qu'Arion. :wink:
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Best
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Re: Top films animation japonaise

Message par Best »

Anorya a écrit :
Arion a écrit : Je l'ai en DVD, mais pas encore vu. Faudra que je m'y mette, du coup. :wink:
Je suis dans le même cas qu'Arion. :wink:
J'ai bien aimé, mais je suis resté sur ma faim. Il en a été de même avec Un été avec Coo du même réalisateur qui ne m'a pas pleinement convaincu malgré d'évidentes qualités.
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Jeremy Fox
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Re: Top films animation japonaise

Message par Jeremy Fox »

Lettre à Momo (Hiroyuki Okiura)

Joli film magnifiquement dessiné qui lorgne vers l'univers Hayao Miyazaki sans néanmoins jamais retrouver sa poésie ou bien qu'à de trop rares instants. Faute à l'incursion du fantastique avec des personnages expressément grotesques (cependant assez drôles) qui cassent à mon avis la sensibilité qu'avait réussi à installer le cinéaste durant les premières séquences. C'est néanmoins, quoique trop long, très agréable avec quelques morceaux d'anthologies comme la course poursuite avec les sangliers et d'autres moments très touchants ou très réussis comme à chaque fois que le réalisateur filme la vie quotidienne des personnages principaux ou les habitants de l'île.
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Re: Top films animation japonaise

Message par shubby »

Y'a que du bon dans tout ça !
A voir en V.O systématiquement la japanim' sinon ça pique les oreilles.

Pas assez de Kawajiri : je rajoute son Wicked City ; c'est une date et son Vampire Hunter D Bloodlust une belle claque.
Je préfère nettement Dead Leaves à Redline rayon vitesse portnawak. Fulgurant - et animé !!!
J'ai découvert sur le tard Goshogun : The Time Etranger (1985) : une vieillerie surprenante, sorte de croisement entre les Watchmen &... je peux pas l'dire, y'a twist. Très émouvant.
Les films à sketch Memories & Manie Manie comportent des perles (respec. Magnetic Rose + Running Man).
Le dernier sketch de Short Peaces est bien fendard.
L'oeuf de l'ange de Oshii : il me fait décoller à chaque fois çui-là. Je panne pas tout mais j'adore.
Golgo 13 : le style Dezaki flingue la rétine au début des 80's. Super polar.
Phénix, l'oiseau de feu tiré du manga fleuve de Tezuka est fascinant. Tout vieux (1980) mais charmant.
Ghost in the Shell - Innocence prend de la bouteille : sacrément riche visuellement et sur le fond + son ambiance polar noir d'enfer. Cherchez la femme.

+ieurs OAV se battent bien aussi. Macross + ; Kenshin (...) souvenir, en effet (4 OAV ; la 1ère est un chef d’œuvre, les suivantes un peu moins mais tout de même), Black Magix M66, la 1ère des Crying freeman, les Black Jack de Dezaki sont très bons ("Le protecteur" et "une tumeur à visage humain" valent le détour). Certains surkiffent FLCL, yakafôkje. Les OAV de cul Mezzo Forte sont géniales. Série nulle par contre. Kite du même réal' Umetsu n'est pas mal du tout - pas vu encore l'adaptation live avec Samuel L. Jackson.

D'en parler donne envie d'en mater :)
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Profondo Rosso
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Re: Top films animation japonaise

Message par Profondo Rosso »

Gen d’Hiroshima de Mamoru Shinzaki (1983)

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L'histoire retrace le parcours de la famille Nakaoka à Hiroshima, du printemps 1945 au printemps 1953 en se centrant sur le bombardement atomique du 6 août 1945.

Gen d’Hiroshima est une des œuvres les plus emblématiques du traumatisme de la bombe et de ces conséquences aux Japon. Le manga édité entre 1973 et 1985 est grandement autobiographique, l’auteur Keiji Nakazawa s’inspirant de son expérience familiale. Il perdit ainsi son père, sa grande sœur et son petit frère dans un incendie causé par l’explosion, subissant par la suite les privations et assistants aux horreurs causées par les radiations. Ce traumatisme marquera toute son œuvre de mangaka, placée sous le sceau politique et antimilitariste et notamment dans le classique que constitue Gen d’Hiroshima. Le manga naît au départ d’une demande de l’éditeur de la populaire revue Jump proposant à ses auteurs de raconter une histoire personnelle. Nakazawa proposera alors Je l'ai vu, récit court et première évocation de son expérience du bombardement. L’enthousiasme suscité incitera son éditeur à lui réclamer une série qui sera donc Gen d’Hiroshima. La publication ne se fera pas sans heurts tant Nakazawa n’épargne rien dans la noirceur et l’œuvre quittera les pages de la populaire revue Weekly Shōnen Jump pour d’autres plus modestes (trois revues différentes de 1973 à 1985 en plus des volumes reliés) mais recueillera un vrai succès public et critique tout en attirant un lectorat plus adultes. Le cinéma va l’adapter sous la forme d’une trilogie réalisée par Tengo Yamada avec Hadashi no Gen en 1976, Hadashi no Gen: Namida no bakuhatsu en 1977 et Hadashi no Gen part 3: Hiroshima no tatakai en 1980. En 1983 c’est l’animation qui en offrira une transposition poignante produite par le studio Madhouse et réalisée par Mamoru Shinzaki.

Le film se déleste grandement de la facette politique du manga dans les personnages et le contexte si ce n’est furtivement (la nature pacifiste du père de Gen et la possible inimitié qu’elle cause face au voisinage), pour privilégier le récit familial. On assiste ainsi au quotidien difficile de la famille Nakaoka en ces temps de guerre à Hiroshima. Les survols aériens des avions américains (qui semble épargner la ville par rapport au reste du pays pour n’effectuer que des passages de « reconnaissance ») et les privations diverses constituent des difficultés concrètes ou abstraites que semblent toujours se surmonter par la solidarité familiale. Le tempérament turbulent des deux frères Gen et Shinji (la fratrie est réduite par rapport au manga où Gen avait également deux grands frères) apportent une insouciance bienvenue, la sagesse du père et la tendresse de la mère créant un cocon bienveillant dans l’intime. Chaque désagrément semblent pouvoir se résoudre par cette solidarité familiale ce qui donnera son lot moment vraiment touchant tel ce passage où Gen et Shinji iront pêcher/voler une carpe pour nourrir leur mère malade et la réaction de la « victime ». La mièvrerie est constamment évité même quand la situation pourrait s’y prêter mais Mamoru Shinzaki toujours le ton juste en privilégiant le point de vue enfantin : lorsque Shinji ira réclamer en douce les arrêtes du poisson que vient de manger sa mère, la narration ne s’attarde pas sur les larmes de celle-ci mais plutôt sur le savon musclé que passe Gen à son petit frère.

Cette dimension bucolique ne peut cependant pas surmonter l’innommable quand surgit le bombarde du août 1945. La mise en scène de Mamoru Shinzaki s’était jusque-là faite efficace mais dans les standards télévisuels de l’époque, le savoir-faire de Madhouse en plus. Il signe pourtant un stupéfiant moment de cauchemar avec la scène de bombardements. Les couleurs désaturées du ciel où s’avance le bombardier, les silhouettes à peine esquissées des pilotes et le point de vue « divin » où s’agrandit le champignon atomique exprime le profond détachement des agresseurs. Du point de vue des habitants, c’est une apocalypse aux couleurs rougeoyantes où le souffle mortel déforme sans distinction les corps de femmes et enfants dans des tableaux cauchemardesques. Le réalisateur filme la scène dans un ralenti où les multiples points de vue expriment la stupéfaction et l’horreur de l’instant, un moment suspendu dont les ravages n’en finissent pas. Cette abomination collective n’en devient que plus douloureuse quand elle est ramené à l’intime et que Gen assiste impuissant à la mort de sa famille coincé dans la maison en flamme. Toute la douce caractérisation qui a précédé renforce encore l’impact émotionnel de cet instant déchirant. La dimension politique moins prégnante que dans le manga est néanmoins sous-jacente par la voix-off, la critique de l'impérialisme, de l'aveuglement des militaires et du nationalisme se laissant deviner à plusieurs reprises. C’est cette voix-off qui souligne le mutisme et le refus de reddition du régime, cause du second bombardement nucléaire à Nagasaki. Cette vision de japonais pleurant à la reddition tant attendue souligne également le degré de fanatisme atteint par la population, même après pareille épreuve.

Le film ne nous épargne rien des phénomènes météorologiques (la pluie acide causée par les radiations), des images macabres dignes d’un récit d’horreur (les nuées de cadavres calcinés dans la ville, les irradiés et mutilés avançant plus morts que vif comme des zombies) et des conséquences physiologiques sanglantes de la bombe. Le héros Gen voit son enthousiasme constamment ramené à l’horreur ambiante, le possible renouveau étant toujours contrebalancé par un autre malheur – l’amitié avec un irradié profond débouchant sur une perte traumatisante filmée avec une belle sobriété par Shinzaki. Si la conclusion nous ramène à une métaphore récurrente du manga et exprimée au début par le père (« Soyez comme ce blé, fort, même si vous vous faites piétiner… »), la frontière reste ténue entre abandon et espoir après un spectacle si douloureux. Même avec la simplification et la relative édulcoration, cette adaptation animée reste une œuvre intense et éprouvante qui ouvre la voie à des réussites futures comme Le Tombeau des lucioles d’Isao Takahata (1988) et le plus récent L’île de Giovanni de Mizuho Nishikubo (2013). Le film recevra le prestigieux Le prix Noburō Ōfuji en 1983 et connaîtra une suite toujours signée Mamoru Shinzaki en 1986. 5/6
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Roilo Pintu
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Re: Top films animation japonaise

Message par Roilo Pintu »

Mois de découverte, gros mois de plaisir sur l’animation japonaise, grâce à OCS.
Ce qui tombe bien, vu les manques que j’ai sur le sujet. Mon appétit n’en est que décuplé après ce mois de Janvier, ou entre autre j’ai découvert :

Belladonna - Eiichi Yamamoto (1973)
Explosion de couleurs, styles, musique, un film surprenant du début à la fin, qui mêle animation, dessins fixes, aquarelles, tableaux érotiques. Belladona est un film totalement libre, parfois difficile à suivre, mais terriblement attirant par sa beauté, fascinant par ses visions cauchemardesques au service d’une histoire toujours aussi troublante et moderne. Une orgie visuelle, un film envoutant et unique à voir.

Les Enfants Loups - Mamoru Hosoda (2012)
Histoire très émouvante, véritable déclaration d’amour aux mères, à ceux qui parviennent à élever leurs enfants malgré les difficultés de tous les jours, une histoire simple où une mère affronte les épreuves du quotidien avec courage et dignité, avec en toile de fond un fantastique assez léger qui permet d’illustrer la différence, l’acceptation de soi, la violence des sentiments, le destin que l’on se choisi, la personnalité que l’on développe. Pour accompagner ses enfants Ame et Yuki, une mère partagée entre son désir de protection, et celui de les laisser grandir et s’émanciper. Sujet universel. Un film bien rempli et fortement émouvant dans un final poignant et de toute beauté.

La traversée du temps - Mamoru Hosoda (2006)
Beaucoup de finesse, de sensibilité et de beauté dans ce film, où il est question de voyage dans le temps mais pour mieux mettre en avant l’instant présent. Un film simple, une narration directe en forme de parcours initiatique, qui n’hésite pas les ruptures de ton, entre comédie et drame. Ne pas fuir, mais savoir affronter les problèmes.

Dans un recoin de ce monde - Sunao Katabuchi (2016)
Un film puissant, émouvant et singulier, un témoignage bouleversant sur la guerre, la petite histoire au milieu de la grande histoire. Le personnage principal est une jeune fille, passionnée par le dessin, et amenée à quitter son Hiroshima natal pour emménager dans le village de son futur époux. Confrontée à plusieurs épreuves, Suzu fait toujours face, reste positive et avance. Une leçon de vie touchante, un beau portrait de femme, une chronique quotidienne en temps de guerre, servie par une belle animation, des paysages resplendissants. On en ressort assez ému.

Autres découvertes toutes aussi impressionnantes, chez Hosoda toujours, l’original et rythmé Summer Wars (une direction artistique étourdissante, un récit parfaitement équilibré entre le réel et le virtuel), le film d’aventure sous forme de récit initiatique avec Le Garçon et la Bête. Changement de registre avec l’émouvant Silent Voice qui malgré quelques longueurs touche droit au cœur de manière assez habile, ou encore le vertigineux, visionnaire et passionnant Perfect Blue....
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Roilo Pintu
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Re: Top films animation japonaise

Message par Roilo Pintu »

Un été avec Coo - Keiichi Hara (2007)
Belle découverte, derrière un film très poétique, qui peut sembler naïf, une histoire passionnante, émouvante, pleine d’humour, parfois cruelle, avec plusieurs tiroirs pour pousser la réflexion sur des sujets variés, les traditions et leur folklore, l’écologie bien sûr, l’acceptation de soi et l’ouverture aux autres, quête identitaire, le deuil et son acceptation, la violence et le harcèlement (physique ou journalistique)… Un été avec Coo est un film assez riche, qui aurait mérité d’être un peu plus condensé.
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Re: Top films animation japonaise

Message par a2line »

1;Dans un recoin de ce monde - Sunao Katabuchi
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Un film poétique et réaliste à la fois, extrêmement émouvant

2.Porco Rosso (et la majorité des Miyazaki mais je me limite à 1)

3. Le tombeau des lucioles (Isao Takahata)

4.Les enfants loups (Mamoru Hosoda)

5.Your Name - Makoto Shinkai
"Any view of things that is not strange, is false" (Neil Gaiman)

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Re: Top films animation japonaise

Message par Roilo Pintu »

Le très beau film de Sunao Katabuchi, Dans un recoin de ce monde, est actuellement soldé à 9 euros chez ESC (blu ray).

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Re: Top films animation japonaise

Message par LeRationaliste »

Je dirais :

- Nausicaa de la Vallée du Vent (Hayao Miyazaki, 1984).

- Macross, Do You Remember your Love ? (Shoji Kawamori, 1984).

- Harlock SSX, L'Arcadia de ma Jeunesse (Tomoharu Katsumata, 1982).

- Akira (Katsuhiro Otomo, 1988).

- Les Enfants de la Mer (Ayumu Watanabe, 2019).

- Maquia (Mari Okada, 2018).

- Perfect Blue (Satoshi Kon, 1997).

- Your Name (Makoto Shinkai, 2016).

- Belladonna (Eichii Yamamoto, 1973).

- Millienium Actress (Satoshi Kon, 2001).
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Re: Top films animation japonaise

Message par Harkento »

Roilo Pintu a écrit :Le très beau film de Sunao Katabuchi, Dans un recoin de ce monde, est actuellement soldé à 9 euros chez ESC (blu ray).

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Merci pour l'info ! :D

Sinon, Top15 :

1. Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki)
2. Mind Game (Masaaki Yuasa)
3. Princesse Mononke (Hayao Miyazaki)
4. Millenium actress (Satoshi Kon)
5. Patlabor 2 (Mamoru Oshii)
6. Akira (Katsuhiro Ôtomo)
7. Les ailes d'Honnéamise (Hiroyuki Yamaga)
8. Colorful (Keiichi Hara)
9. Paprika (Satoshi Kon)
10. Ninja Scroll (Yoshiaki Kawajiri)
11. Ame & Yuki, les enfants loups (Mamoru Hosada)
12. Pompoko (Isaho Takahata)
13. Ghost in the Shell (Mamoru Oshii)
14. Le château ambulant (Hayao Miyazaki)
15. L'oeuf de l'ange (Mamoru Oshii)

J'aimerais en mettre au moins 30 autres mais il faut que ça reste sélectif...
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