Notation :
20/20 : Chef d'oeuvre absolu (Je vénère)
De 17,5 à 19,5/20 : Excellent film (J'adore)
De 15 à 17/20 : Très bon film (J'aime beaucoup)
De 12,5 à 14,5/20 : Bon film (J'aime bien)
De 10 à 12/20 : Film moyen (J'aime un peu)
De 5 à 9,5/20 : Mauvais film (Je n'aime pas)
De 0 à 4,5/20 : Très mauvais film (Je déteste)
Film du mois :
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Films vus en DVD/Blu-Ray ou à la télévision :
Eve - Joseph L. Mankiewicz (1950) [Blu-Ray] : Je l'avais découvert il y a quelques années et j'avais le souvenir d'un film très statique. Mais je me trompais : c'est un pur chef d'oeuvre. Dans un ensemble très esthétique Mankiewicz dresse un portrait au vitriol du monde du théâtre et du cinéma. Bette Davis, avec un jeu inégalable, et George Sanders, cynique à souhait, y excellent à travers des dialogues sublimement écrits, toute la force du film résidant dans ces derniers (aucune scène d'action ici). Une très belle musique et un excellent choix de seconds rôles (la sympathique Thelma Ritter, future Stella dans Fenêtre sur Cour, et Marilyn Monroe, dans un petit rôle) accompagnent ce grand classique. C'est, avec Boulevard du Crépuscule, un des films les plus réussis sur le thème du cinéma et du théâtre. 18/20 ↑ (+ 4 points)
Sur la piste des Mohawks - John Ford (1939) [TCM] : Après un début assez lent et presque ennuyeux, l'ensemble devient plus mouvementé, avec les multiples attaques et combats contre les Indiens (présentés une fois de plus comme sanguinaires et cruels, mais sous influence des Anglais). Henry Fonda est très bon, en revanche je trouve le jeu de Claudette Colbert assez dépassé (ses crises d'hystérie me mettent mal à l'aise...). Quelques scènes sont notables, comme la course poursuite finale et le récit de la bataille par Henry Fonda, très émouvant. Ici, pas besoin de flash-back : seuls les mots suffisent pour procurer de l'émotion. Malgré tous les petits détails énumérés, mon impression finale reste très favorable, influencée par la réalisation magnifique de John Ford, avec un splendide Technicolor, et le thème du film, à savoir la Guerre d'Indépendance (très peu évoqué dans les westerns) qui font de ce film un divertissement toujours très agréable. 16/20
Boule de feu - Howard Hawks (1941) [OCS] : Une comédie absolument jubilatoire, avec des acteurs très drôles (Gary Cooper/Barbara Stanwyck, quel duo !) des gags très bien trouvés et une intrigue policière se mêlant parfaitement au scénario à la manière de Certains l'aiment chaud. Outre un très bon choix de seconds rôles, notamment dans le rôle des sept professeurs où l'on retrouve Oskar Homolka (interprète d'Hitchcock dans Sabotage, puis de Wilder dans Sept ans de Réflexion) et Henry Travers (futur ange gardien de James Stewart dans La vie est belle) le film possède également une construction tout à fait exemplaire. Plus qu'une simple comédie, le film de Hawks, assez méconnu malheureusement, propose une revisite moderne du conte de Blanche-Neige et les Sept Nains avec quelques scènes de suspense et d'émotion. 15/20
Les Cheyennes - John Ford (1964) [TCM] : Malgré sa durée conséquente (2h30), le long-métrage est parvenu à me captiver tout le long. Dans un ensemble empreint de culpabilité, le réalisateur dresse un portait touchant et émouvant des Indiens Cheyennes, à travers notamment l'enfant blessé et l'institutrice Quaker, femme indépendante et déterminée. Le film, divisé en deux parties, comprend un intermède comique et assez étrange : des scènes avec James Stewart dans le rôle de Wyatt Earp, qui apportent un peu de légèreté mais dont on se demande ce qu'elles viennent faire là. L'interprétation de Richard Widmark est à mettre en valeur, ainsi que l'apparition d'Edward G. Robinson en guest-star. Une réussite pour le dernier western de John Ford. 14/20
Comanche Station - Budd Boetticher (1960) [DVD] : Des scènes d'action courtes et très efficaces, des interprétations magnifiques avec d'une part Randolph Scott, personnage profond et ambigu et le bad-guy Claude Akins (qui égale presque Lee Marvin), un suspense psychologique intéressant et une scène finale très émouvante font de ce film un véritable chef d'oeuvre du genre. Le scénario, assez simple mais plein de rebondissements, se termine par une note assez noire. Quant à Budd Boetticher, avec de très belles couleurs, il nous montre tout son savoir-faire et la virtuosité de sa mise en scène à travers les quelques scènes de chevauchée. Quelques légères pointes d'ennui pour ma part notamment au début du long-métrage mais je n'en tiendrai pas rigueur : ce film est tout simplement grandiose. 16/20
L'Énigme du Chicago Express - Richard Fleischer (1952) [DVD] : Moi qui adore toutes les intrigues qui se passent dans un train (Une femme disparaît, Le Crime de l'Orient Express, et dans une moindre mesure, L'Inconnu du Nord-Express), je suis servi avec ce polar efficace et rondement mené, proposant une intrigue linéaire et de nombreux rebondissements. Les trois acteurs principaux sont très bons, et les seconds rôles bien choisis. La mise en scène de Richard Fleischer est ingénieuse et on le voit à plusieurs reprises, avec notamment le célèbre plan d'une lime à ongle suivi du mouvement du train. Finalement, cette série B tournée avec un budget limité (absence de stars et de musique) égale voir surpasse certaines super-productions et me laisse une impression très favorable. 15/20
La Prisonnière du Désert - John Ford (1956) [Blu-Ray] : Toujours aussi agréable à revoir, le chef d'oeuvre de John Ford reste placé très haut dans mon classement personnel. Tout d'abord, grâce aux splendides paysages de Monument Valley, magnifiés par la photographie de Winton C. Hoch. Les scènes sous la neige sont également très belles, l'ensemble du film est cadré à la perfection. Ensuite, grâce à la psychologie des personnages développés par le cinéaste, en particulier l’ambiguïté profonde du personnage principal. Celui-ci, de prime abord raciste et brutal, est au final très attachant, tout comme les personnages secondaires auxquels Ford porte une attention particulière. Enfin, grâce à l'interprétation magistrale de John Wayne, dans son plus beau rôle, et une scène finale très émouvante. Comme Jeremy Fox, j'ai trouvé que le film manquait un peu de rythme dans sa dernière partie, mais rien de bien méchant. The Searchers reste et restera un chef d'oeuvre du Septième Art. 19/20 →
Blow Out - Brian de Palma (1981) [TCM] : C'est un des premiers Brian de Palma que j'avais vu durant mon adolescence, et s'il m'avait laissé une impression favorable à cette époque, curieusement j'ai moins accroché cette fois-ci. Même si l'intrigue est très bien pensée, l'ensemble manque peut-être un peu de linéarité et d'harmonisation entre les différentes séquences. La force du film réside par ailleurs dans ces dernières : la mise en scène virtuose de Brian de Palma reste tout à fait exemplaire. La scène la plus réussie est, je pense, celle du meurtre dans la salle de bain, courte et efficace. Je dois reconnaître que la fin est bouleversante et touchante, cependant j'ai eu un peu de mal à adhérer aux deux personnages principaux qui frôlent un peu la caricature. Malgré ces quelques aspects, Blow-Out reste un excellent bon divertissement, digne du grand Brian de Palma. 15,5/20 ↓ (- 1,5 point)
Une femme disparaît - Alfred Hitchcock (1938) [DVD] : Souvent considéré comme le chef d'oeuvre de la période anglaise d'Alfred Hitchcock avec Les 39 Marches, j'ai personnellement une petite préférence subjective pour celui-ci, probablement à cause du cadre du long-métrage : début du film dans un petit village pittoresque d'Europe de l'Est, puis un train où se déroule l'intrigue d'espionnage. Les passagers sont presque tous hypocrites, mis à part la ravissante Iris Henderson et la charmante Miss Froy. C'est donc grâce à cette intéressante galerie de personnages (le couple illégitime, l'inquiétant docteur) et un humour omniprésent (même s'il est parfois un peu lourd) grâce à Michael Redgrave et le duo de britanniques, qu'Hitchcock parvient à nous captiver malgré quelques incohérences scénaristiques. 16,5/20 ↑ (+ 0,5 point)
Rio Grande - John Ford (1950) [TCM] : Considéré souvent comme le volet le plus faible du triptyque de Ford sur la cavalerie, Rio Grande n'en est pas moins un très bon film. Outre l'argument principal, à savoir la guerre contre les Apaches, c'est également une histoire d'amour et de relations familiales, avec quelques scènes très émouvantes. John Wayne y est impeccable, comme d'habitude, et constitue un formidable duo avec Maureen O'Hara. Les seconds rôles, habitués des films de Ford, sont également très bons. De plus, la photographie en noir et blanc signée Bert Glennon est agréable et très belle. Cependant, le scénario reste très moyen et somme toute assez classique, tout comme les scènes de batailles contre les Indiens, pas très réalistes et presque bâclées (en particulier la scène finale). Malgré ces aspects négatifs, l'ensemble reste très soigné et le film, un classique du genre. 15/20
Voyage au pays de la peur - Norman Foster et Orson Welles (1943) [TCM] : Un petit film d'espionnage sans grande prétention, qui s'inscrit dans les séries B de propagande produites par la RKO durant la Seconde Guerre Mondiale. L'ensemble est assez plaisant et agréable, mais malheureusement le scénario est bancal, l'alternance entre scènes d'action et dialogues est assez mal géré, ce qui donne naissance à beaucoup de scènes inutiles malgré la courte durée du long-métrage. On reconnaît bien la pâte d'Orson Welles à travers quelques plans, comme la splendide séquence d'ouverture. La scène finale du combat sous la pluie, haletante et trépidante, est une vrai réussite, il faut le reconnaître. Enfin, le sympathique Joseph Cotten, la délicieuse Dolores del Rio ainsi que l'inquiétant méchant obèse forment un casting très correct, pour un film qui remplit finalement assez bien son office. 12/20
Les Furies - Anthony Mann (1950) [TCM] : Film d'Anthony Mann très méconnu (il n'a même pas l'honneur d'une édition DVD en France !) il s'agit d'un des premiers westerns psychologiques. Les personnages sont effectivement très bien développés : le vaniteux et arrogant T.C. Jeffords, régnant en tyran sur la propriété qui donne son titre au film. Quant à sa fille Vance, interprétée magistralement par Barbara Stanwyck, c'est une femme indépendante, déterminée à ne pas se laisser faire par son père. Dans une superbe scène apportant une petite touche film noir, Barbara Stanwyck, folle de haine et de jalousie, défigure avec une paire de ciseaux la nouvelle maîtresse de T.C. (interprétée par la géniale Judith Anderson). Si on peut déplorer un petit manque de rythme, notamment dans la dernière demi-heure, et quelques faiblesses dues au scénario, ce western reste un excellent divertissement. 15/20
Je sais où je vais - Michael Powell et Emeric Pressburger (1945) [TCM] : Encore une très belle découverte avec ce film britannique du duo Powell/Pressburger (dont je découvre peu à peu la filmographie). Comme dans A Canterbury Tale, les deux cinéastes s'attachent à la nature en filmant les magnifiques paysages d'Écosse. Le directeur de la photographie Erwin Hillier accomplit ici un travail remarquable, avec des jeux de transparence et la scène très réaliste des tourbillons. Ils portent également une attention particulière à leurs personnages : on s'attache ainsi très facilement à eux, en particulier à Wendy Hiller, qui va évoluer tout au long du film, et Roger Livesey, formant un très beau couple. Outre un romantisme omniprésent et une légère touche fantastique apportée par les légendes celtiques, ce chef-d'oeuvre est également une critique pertinente de la société anglaise. 17/20
Le Pigeon d'argile - Richard Fleischer (1949) [TCM] : Encore un très bon polar de Fleischer, qui comporte tous les éléments nécessaires à ce genre de film : une intrigue haletante et palpitante, avec de nombreux rebondissements, une tension présente tout au long du film, qui a une durée très courte (à peine plus d'une heure). La mise en scène de Fleischer est ingénieuse une fois de plus, on le voit à travers les scènes de flash-back vraiment très originales dans leur construction. La formidable scène dans le train à la fin du long-métrage annonce bien sûr L'Énigme du Chicago Express, qui se déroulera, quant à lui, intégralement dans un train. On peut éventuellement reprocher le côté prévisible du scénario, sans vraiment de surprises, et le manque de charisme de l'acteur principal, Bill Williams (j'ai eu du mal à m'y attacher), qui forme néanmoins un beau couple avec la charmante Barbara Hale. Un thriller très efficace, modèle du genre. 13/20
Des pas dans le brouillard - Arthur Lubin (1955) [TCM] : Je l'avais vu il y a très longtemps et je n'avais quasiment aucun souvenir du scénario. En fait, celui-ci propose non seulement une intrigue policière très ingénieuse avec beaucoup de suspense, digne de Conan Doyle (les costumes et les décors font d'ailleurs penser à l'époque de Sherlock Holmes), mais c'est également une histoire d'amour pleine d'émotion. Les interprétations de Stewart Granger, personnage très sombre (double meurtrier) et de Jean Simmons, jeune femme d’apparente innocence mas qui va mener un redoutable chantage, sont formidables. On notera également la scène finale, tout simplement bouleversante. Cependant, je pourrais reprocher le manque d'originalité dans la mise en scène (mis à part dans la superbe séquence du meurtre dans le brouillard) ainsi que quelques longueurs, mais ça reste un excellent film anglais. 14,5/20 ↑ (+ 2,5 points)
La Vénus des mers chaudes - John Sturges (1955) [TCM] : Même si je serais un peu moins méchant que Jeremy en accordant quelques points pour des scènes maritimes assez bien filmées, ça reste incroyablement mauvais. L'ensemble est vraiment insipide, il n'y a quasiment rien à récupérer. Le scénario est inepte et inconsistant, sans originalité, les interprètes sont médiocres (même la très belle Jane Russell), en particulier Gilbert Roland, cabotin à outrance. Les dialogues sont, encore une fois, mal écrits et le film très bavard. Bref, on s'ennuie ferme, je crois même que j'ai failli m'endormir. Un navet, à oublier immédiatement dans la carrière d'un metteur en scène par ailleurs excellent (Règlements de compte à O.K. Corral, La Grande Évasion). 06/20
Bodyguard - Richard Fleischer (1948) : [TCM] Encore un très bon polar de Richard Fleischer, tourné juste après Clay Pigeon. Ici, on est plus dans le pur film noir que Clay Pigeon, thriller d'espionnage. Le scénario, signé Robert Altman, a le mérite de proposer un déroulement étonnamment linéaire ainsi qu'un suspense pas trépidant mais suffisant. Cependant, l'histoire souffre de quelques invraisemblances et incohérences et on a parfois du mal à s'y passionner. Malgré le petit budget, les interprètes sont très corrects : Lawrence Tierney et Priscilla Lane forment ainsi un couple très agréable à suivre. Néanmoins, les seconds rôles, notamment les méchants, sont parfois insignifiants voir carrément mauvais. De plus, le suspens est moins trépidant et l'histoire moins passionnante que dans Clay Pigeon, finalement meilleur que Bodyguard qui reste tout de même un honnête film noir. Du pur divertissement. 11,5/20
Sept hommes à abattre - Budd Boetticher (1981) [DVD] : L'intrigue est sensiblement la même que pour les autres films du cycle Ranown : un homme, campé avec talent par Randolph Scott, cherche à venger sa femme des bandits qui l'ont tuée. Cet argument, répété à plusieurs reprises, va donner naissance à des chefs d'oeuvre du western, comme Sept hommes à abattre. Les scènes d'action sont magnifiques, surtout le duel final mis en scène de façon particulière, et les dialogues sont écrits avec brio. Le scénario de Burt Kennedy est parfaitement construit et son déroulement est exemplaire : les péripéties s'enchaînent sans que l'on ressente une seule seconde le moindre signe d'ennui (dès les premières minutes qui commencent par un double meurtre). Enfin, Randolph Scott et Lee Marvin s'affirment comme deux des meilleurs interprètes du genre, en incarnant des personnages ambigus mais attachants. 17/20 ↑ (+ 2 points)
Douze Hommes en colère - Sidney Lumet (1957) [Blu-Ray] : Passionnant de bout en bout, le film de Lumet est un véritable chef d'oeuvre du film judiciaire et même, du cinéma en général. Chaque juré bénéficie d'une personnalité propre et souvent fascinante ; aucun des douze personnages n'est sacrifié au cours du film. Henry Fonda y est tout simplement formidable, peut-être son meilleur rôle avec Les Rains de la Colère. L'intrigue se déroule dans un huit-clos parfait : unité de temps, unité de lieu. La façon de filmer, qui évolue au fur et à mesure, accentue la pression et la tension que l'on ressent très bien entre les personnages, tout comme la chaleur oppressante. Bien sûr, aucune scène d'action ici : tout repose sur les dialogues et les longueurs que l'on pouvait craindre sont totalement absentes. Lumet signe également une critique de la société et de la justice humaine et nous offre un pur chef d'oeuvre. 17/20 ↑ (+ 2 points)
Rendez-vous avec la Peur - Jacques Tourneur (1957) [Blu-Ray] : Signant une incursion de plus dans le fantastique après le génial cycle Val Lewton, Jacques Tourneur révolutionne à nouveau le genre et réaffirme son statut de maître absolu dans ce domaine. Le film est desservi par les interprétations du prodigieux Dana Andrews (dans son meilleur rôle avec Laura), très naturel et crédible, ainsi que la charmante Peggy Cummins, actrice très peu connue. Mais c'est surtout la mise en scène de Tourneur qui révolutionne le genre : la scène dans le couloir de l'hôtel, dans les escaliers du manoir de Karswell... La photographie est magnifique et la récente édition chez Wil Side lui fait bien honneur. Malgré les scènes avec le démon qui font bien sourire de nos jours (et qui gâchent de plus le suspense du film), Rendez-vous avec la Peur demeure un chef d'oeuvre de l'épouvante et de l'autosuggestion. 17/20
Assassin sans visage - Richard Fleischer [TCM] 14,5/20
Films vus au cinéma :
Diamants sur Canapé - Blake Edwards (1961) : Une Audrey Hepburn sublime, un George Peppard sympathique (et émouvant dans la magnifique scène finale sous la pluie) et un Mickey Rooney (parfois trop) burlesque constituent un casting homogène et impeccable. Notons également le sympathique Martin Balsam, un an après son rôle d'Arbogast dans Psychose. Ajoutons à cela la réalisation soignée de Blake Edwards et une musique magnifique, nous ne sommes pas très loin d'un chef d'oeuvre. Cependant, j'attendais un peu plus des scènes chez Tiffany's et j'ai souvent ressenti quelques pointes d'ennuis, notamment dans l'inutile et interminable séquence de la soirée. De plus, j'ai parfois eu du mal à saisir les subtilités de l'intrigue, légèrement embrouillée. Malgré tout, le film me laisse tout de même une impression favorable. 13/20
Séries TV :
The Persuaders Épisode 1 : Premier Contact - Basil Dearden (1971) 6/10
The Persuaders Épisode 10 : Un ami d'enfance - Val Guest (1971) 5,5/10
The Persuaders Épisode 17 : Minuit moins huit kilomètres - Val Guest (1972) 6,5/10
Réalisateur du mois :
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Films des mois précédents :
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