Le cinéma italien contemporain

[Joshua Baskin]

Il y a eu un tout petit tirage de dvds italiens de Buoni a nulla, avec sottotitoli in italiano si ça peut te suffire (perso, c'est limite), et même celui-là n'est plus dispo sur le amazon.it (faut le faire venir des US par ex)...

Hum hum, le DVD n'est pas sous-titré. Allez c'est parti pour un film en italien sans sous-titres.

[El Dadal]

Scazzo ! Bon dans le pire des cas je te le rachète

Spoiler (cliquez pour afficher)

[Jack Burns]

Le festival d’Annecy s’est terminé hier soir à minuit avant que j’ai eu le temps de finir de visionner ce film avec Jasmine Trinca dans le rôle d’une réalisatrice de films. Quelques mots quand même. Peut-être que Jack Burns l'a vu : SIMPLE WOMEN

le résultat est une métafiction psychologique insuffisamment profonde et au rythme apathique laissant perplexe malgré la bonne volonté des actrices et les ambitions de la réalisatrice.

Avis partagé
Apathique et très ennuyeux ...Au vu des notes attribuées par le public ce film a peu de chances d etre distribué .

[Flol]

Jasmine Trinca, c'est la Camille Cottin italienne non ?

[Joshua Baskin]

Scazzo ! Bon dans le pire des cas je te le rachète

Spoiler (cliquez pour afficher)

Spoiler (cliquez pour afficher)

[Supfiction]

Jasmine Trinca, c'est la Camille Cottin italienne non ?

[Flol]

Bon ok, elle est 200 fois plus charmante.
Mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas un seul film italien contemporain qui se fasse sans elle.

[Supfiction]

La vita davanti a sé d’Edoardo Ponti

La vie devant soi (2020) marque le dernier retour de la grande Sophia Loren pour cette seconde adaptation du roman de Romain Gary/Ajar. Après Martin Éden l’année dernière, les italiens adaptent brillamment dans l’Italie contemporaine un best-seller étranger, à travers travers le personnage de momo, mineur isolé émigré africain, avec Madame Rosa, vieille femme juive italienne rescapée des camps de la mort.
La réalisation de Ponti (son propre fils donc) est sobre mais très soignée grâce à une très belle photographie, excepté une faute de goût, la création d’une lionne (imaginaire) par informatique qui n’était vraiment pas nécessaire et qui fait un peu sortir du film pour qui est regardant.

Les Misérables de Victor Hugo sont omniprésents par les temps qui courent. Ici, on appréciera le clin d’œil aux chandeliers avant que le roman n’apparaisse lui-même par la suite.
On appréciera également la grande sobriété du film notamment lorsque Auschwitz est évoqué (le gamin se demande pourquoi Madame Rosa est tatouée au bras, un autre gamin lui explique alors que c’est le code de sa batcave.. fossé des générations..). Madame Rosa ne cherchera même pas à lui expliquer ce qu’était Auschwitz (« Tu ne sais pas ce que c’est et c’est mieux comme ça »).

Pour le reste, l’essentiel est évidemment dans la relation entre le gamin et la vieille dame. Sophia est excellente et ne s’épargne rien. Ni de jouer immobile sous la pluie, ni de paraître très peu à son avantage, cheveux défaits, pas maquillée mais tout de même digne et élégante avec peu de choses. Si c’est un adieu définitif, c’est une sortie par la grande porte. Tout juste pourra t’on trouver l’affection des deux personnages un brin trop angélique ou rapide. Tout dépendra du spectateur..

[Jack Burns]

Je partage complètement ta réflexion sur le film .. .
Pour compléter j ai lu une itw du réalisateur qui a voulu rendre un petit hommage au film le plus beau et important de la carriere de sa mère " une journée particulière " avec la belle scène sur la terrasse ..
Belle chanson pour les fans de variété italienne et de Laura Piasini ( j en suis ) dans le générique final
https://www.youtube.com/watch?v=imjSm7FNmwE

[Flol]

Alors je voulais juste te dire que je suis amoureux de ton avatar.

[Joshua Baskin]

Moi aussi Flol, je suis amoureux de ton avatar.

[Supfiction]

Sortie le 5 février sur Netflix de L'ultimo Paradiso avec Riccardo Scamarcio. Et le retour de Valentina Cervi (petite fille de peppone et qui avait marqué les esprits dans Rien sur Robert face à Luchini) :

[Supfiction]

Deux nouveaux films avec Ricardo Scamarcio sur Netflix.
J’ai jeté un coup d’œil au premier, ça a l’air totalement nunuche.

[Supfiction]

Je continue de défricher la masse de films italiens qui arrivent régulièrement sur Netflix (qui est en train de prendre une nouvelle ampleur probablement grâce au coronavirus).
Voici une comédie populaire que je qualifierais de « à la Clovis Cornillac » qui a pour atout d’avoir la belle et très sexy Miriam Leone au casting. L’histoire de deux frères qui se détestent dont l’un perd totalement la mémoire, ce qui oblige le second à le garder 24/24.
Luca Argentero (beau gosse aux airs de Romain Duris) se débrouille bien dans le registre comique. Je découvre qu’il est la star de la nouvelle série hospitalière de TF1.

Gags faciles, romance téléguidée et petits ennuis en pagaille, c’est souvent idiot mais avec un peu d’indulgence, on rit parfois devant leurs conneries ou en tous cas on sourit.

[Alexandre Angel]

Moi aussi Flol, je suis amoureux de ton avatar.

Puisqu'on en parle Joshua, je suis aussi amoureux de ton avatar.