Je savais bien que je ne disais pas que des bêtises.mannhunter a écrit : ↑18 juil. 21, 15:35peut-être un début d'explication avec ce qu'on peut lire sur le topic cannois du forum Filmdeculte:
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Cannes 2021
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Re: Cannes 2021
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Re: Cannes 2021
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Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Re: Cannes 2021
Une Palme d'or clivante, ce n'est pas vraiment une première. Après, j'espère que le temps permettra à Titane de faire retenir ses qualités propres. Parce que depuis hier c'est un festival d'interprétations et de récupérations sociopolitiques qui me font bien suer. Decourneau est une réalisatrice vraiment intéressante dont le cinéma singulier ne devrait pas se faire le porte-parole de quoi que ce soit.
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Re: Cannes 2021
Ne s’est-elle pas placée dans cette position elle-même lors de la remise de la palme ?
Quoiqu’il en soit, la presse a principalement mis en avant le fait qu’elle soit une jeune femme et que son film soit un film de genre.
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Re: Cannes 2021
Parasite était la dernière palme que j’avais vu depuis au moins 15 ans, je pense que je suis reparti pour 15 nouvelles années.
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Re: Cannes 2021
J'aime bien l'avis d'Hugues Dayez :
Hâte tout de même de le découvrir ce Titane.
C’est bien simple : la victoire de " Titane " face à " Un héros " de Farhadi, c’est comme si Luc Besson avait triomphé devant Ingmar Bergman, comme si le cinéma tape-à-l’œil avait battu le cinéma d’auteur, beau et profond. Et ça, c’est solidement déprimant.
Hâte tout de même de le découvrir ce Titane.
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Re: Cannes 2021
Alors, vu le mec qui a écrit ça, c'est vraiment à prendre avec des pincettes. Il est d'une approximation et d'une faiblesse d'écriture non négligeables, quant à la subtilité d'interprétation, c'est pas du tout son fort.mannhunter a écrit : ↑18 juil. 21, 15:35peut-être un début d'explication avec ce qu'on peut lire sur le topic cannois du forum Filmdeculte:
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Je ne connais pas ce Hugues Dayez, mais avec une affirmation pareil, aucun doute : c'est un imbécile. Alors évidemment je n'ai pas vu le Farhadi, et je ne doute pas une seule seconde que, comme ses précédents films, celui-ci doit être (au moins) très bien. Mais comparer Titane à du Besson...gnome a écrit : ↑18 juil. 21, 22:28 J'aime bien l'avis d'Hugues Dayez :C’est bien simple : la victoire de " Titane " face à " Un héros " de Farhadi, c’est comme si Luc Besson avait triomphé devant Ingmar Bergman, comme si le cinéma tape-à-l’œil avait battu le cinéma d’auteur, beau et profond. Et ça, c’est solidement déprimant.
Franchement, qu'il arrête de voir des films et de parler cinéma.
Dernière modification par -Kaonashi- le 20 juil. 21, 09:46, modifié 1 fois.
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Re: Cannes 2021
En tout cas j'ai rarement autant voulu connaître les votes des différents membres du jury
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Re: Cannes 2021
Un peu en retard, mais voilà ce que j'avais à dire sur :
Sélection officielle :
Drive my car (Hamaguchi)
Le film dure 3 heures et son argument semble faible pour une telle durée (un metteur en scène de théâtre réunit des acteurs pour répéter Oncle Vanya de Tchekhov, deux ans après la mort de son épouse), mais on ne voit pas le temps passer, et le Prix du Scénario récompense donc moins la force de l’argument que la finesse de l’écriture. Chaque scène, en effet, vient enrichir la complexité de personnages empreints de bonté (et ça fait du bien) mais de fragilité. C’est délicat, c’est subtil, mais ça dit finalement beaucoup de choses sur les histoires que nous nous racontons à nous-même, sur nos mensonges et nos renoncements. Il y a, à mi-film, peut-être la plus bouleversante scène (de dîner) que j’aie vu durant le festival. Cela aurait fait une belle Palme…
Haut et fort (Ayouch)
Un ancien rappeur arrive dans un centre culturel de Casablanca pour donner des cours de hip-hop. Le film avait un vrai potentiel poétique et politique, mais malgré une énergie certaine (et une maladresse parfois touchante), il se contente d’enfiler des récitations de textes d’intérêts très inégaux, sans dresser de perspectives plus profondes. Pas désagréable, mais plutôt très anodin.
Compartiment n°6 (Kuosmanen)
Une des bonnes surprises de la sélection, d’ailleurs récompensée par un Grand Prix (peut-être excessif, mais bon). Un voyage en train de Moscou à Mourmansk, qui confine au voyage initiatique teinté d’absurdité. Le film fonctionne surtout sur la relation entre les deux acteurs principaux, mais il parvient à être tour à tour drôle et touchant sans jamais appuyer ses effets.
Les Olympiades (Audiard)
Un noir et blanc très travaillé pour raconter plusieurs histoires entremêlées (et de fait, d’intérêts inégaux) dans le quartier des Olympiades. On sent que Audiard et ses coscénaristes (dont Thomas Bidegain) essayent de cocher toutes les cases (couples mixtes, émancipation féminine, indécision sexuelle, rôle des réseaux sociaux…) du film éveillé de 2021, et c’est parfois un peu trop « programmatique » pour fonctionner, mais le charisme des comédiens, l’élégance de la forme et le rythme de l’ensemble font que cela fonctionne. Pas forcément un grand film, mais du bon travail.
France (Dumont)
Comme beaucoup de films de Bruno Dumont récemment, le spectateur est régulièrement placé dans un état intermédiaire, où on hésite entre la stupéfaction admirative et la plus profonde consternation. Après quelques jours, le deuxième sentiment domine : la satire des médias est assez épaisse, et les tentatives humoristiques pas toujours fines, et le film n’a finalement pour moi d’intérêt que dans le portrait qu’il me semble dresser, en filigrane, de Léa Seydoux elle-même, son exposition et sa tristesse insondable.
Red Rocket (Baker)
Comme dans ses films précédents, la forme est très dynamique, avec un montage très vif, des dialogues percutants, et un enchaînement haletant de situations souvent assez drôles. Le propos du film, par contre, est beaucoup plus problématique, et selon le curseur, il faut trouver tout cela au mieux très futile, au pire d’une trivialité ou d’une vulgarité sans limites.
Tout s’est bien passé (Ozon)
Comme dans Gloire à Dieu, François Ozon s’inspire de faits réels pour construire un film-dossier, en l’occurrence sur la question de l’euthanasie, très documenté, solidement interprété et proprement mis en forme. Je n’ai malheureusement pas été ému, dans la mesure où cela me semble trop protocolaire, appliqué – et d’un strict point de vue cinématographique, je me demande bien ce que cela faisait en Compétition Officielle.
Hors compétition
Belle (Hosoda)
Nouveau film d’animation du réalisateur de Ame et Yuki les enfants loups ou Le garçon et la bête. Il s’agit d’une relecture pop, très moderne, de La belle et la bête, à l’heure des réseaux sociaux. Je décrirai le film comme « roboratif » : très fourni, parfois même trop riche, il y a à boire et à manger, et le sublime côtoie le trivial. Le résultat est toutefois impressionnant, propre à combler tous les appétits.
OSS 117 : alerte rouge en Afrique noire (Bedos)
Dans la continuité du deuxième épisode à Rio, très amusant et très efficace à défaut d’être constamment hilarant. Dujardin fait le job, en adjoignant à son personnage d’agent secret abruti une forme de ringardise : 117 est un peu dépassé, technologiquement, physiquement, sexuellement, et il lui faut réagir... Bedos tacle un peu les consciences contemporaines (mouvements féministes, antiracistes, etc.) mais sans en faire trop. Je l’ai vu à 2 heures du matin le dernier jour, et je n’ai pas vu le temps passer.
Je n'ai vu que 13 films sur les 24 de la compète, mais à l'arrache, sans réflexion particulière, j'ai repéré (au moins) trois lignes de force marquantes :
1) le cul. C'est courant à Cannes, mais entre le broute-minou de Benedetta, la scène de sexe au début du Hamaguchi, l'omniprésence des scènes liées au cul dans le Audiard, Red Rocket qui ne parle que de ça et même Moretti qui s'y met (j'en passe plein, dont Titane), c'était presque surprenant quand un film de la sélection officielle nous balançait pas un plan explicite de nudité au visage.
2) les bagnoles. Là aussi, l'accident de voiture est (hormis dans Benedetta, mais vous comprendrez facilement pourquoi) un passage quasi-obligé - à tel point qu'à la fin du festival, dès qu'un personnage montait en voiture, je m'inquiétais pour lui. Certains arrivent très tôt, d'autres très tard, d'autres comme un cheveu sur la soupe...
3) les réseaux sociaux (enfin, les outils numériques). Omniprésents, très influents sur l'intrigue (la mise en ligne d'une vidéo dans le Farhadi, les commentaires du public dans France, les rumeurs dans les Olympiades, le fils de Marino Fois dans La Fracture, le mari d'Alba Rohrwacher dans Tre Piani...), et carrément au coeur du sujet du Hosoda, je suis surtout surpris de la manière dont ils sont quasi-exclusivement envisagés de façon négative, (menaçante, séparante, agressive...) : de façon symptomatique, le film qui me semblait le plus susceptible de mettre en avant l'aspect libertaire, d'ouverture au monde, qu'on leur attribue parfois (de moins en moins ceci dit) les occulte totalement (je pense au Nabil Ayouch).
Sélection officielle :
Drive my car (Hamaguchi)
Le film dure 3 heures et son argument semble faible pour une telle durée (un metteur en scène de théâtre réunit des acteurs pour répéter Oncle Vanya de Tchekhov, deux ans après la mort de son épouse), mais on ne voit pas le temps passer, et le Prix du Scénario récompense donc moins la force de l’argument que la finesse de l’écriture. Chaque scène, en effet, vient enrichir la complexité de personnages empreints de bonté (et ça fait du bien) mais de fragilité. C’est délicat, c’est subtil, mais ça dit finalement beaucoup de choses sur les histoires que nous nous racontons à nous-même, sur nos mensonges et nos renoncements. Il y a, à mi-film, peut-être la plus bouleversante scène (de dîner) que j’aie vu durant le festival. Cela aurait fait une belle Palme…
Haut et fort (Ayouch)
Un ancien rappeur arrive dans un centre culturel de Casablanca pour donner des cours de hip-hop. Le film avait un vrai potentiel poétique et politique, mais malgré une énergie certaine (et une maladresse parfois touchante), il se contente d’enfiler des récitations de textes d’intérêts très inégaux, sans dresser de perspectives plus profondes. Pas désagréable, mais plutôt très anodin.
Compartiment n°6 (Kuosmanen)
Une des bonnes surprises de la sélection, d’ailleurs récompensée par un Grand Prix (peut-être excessif, mais bon). Un voyage en train de Moscou à Mourmansk, qui confine au voyage initiatique teinté d’absurdité. Le film fonctionne surtout sur la relation entre les deux acteurs principaux, mais il parvient à être tour à tour drôle et touchant sans jamais appuyer ses effets.
Les Olympiades (Audiard)
Un noir et blanc très travaillé pour raconter plusieurs histoires entremêlées (et de fait, d’intérêts inégaux) dans le quartier des Olympiades. On sent que Audiard et ses coscénaristes (dont Thomas Bidegain) essayent de cocher toutes les cases (couples mixtes, émancipation féminine, indécision sexuelle, rôle des réseaux sociaux…) du film éveillé de 2021, et c’est parfois un peu trop « programmatique » pour fonctionner, mais le charisme des comédiens, l’élégance de la forme et le rythme de l’ensemble font que cela fonctionne. Pas forcément un grand film, mais du bon travail.
France (Dumont)
Comme beaucoup de films de Bruno Dumont récemment, le spectateur est régulièrement placé dans un état intermédiaire, où on hésite entre la stupéfaction admirative et la plus profonde consternation. Après quelques jours, le deuxième sentiment domine : la satire des médias est assez épaisse, et les tentatives humoristiques pas toujours fines, et le film n’a finalement pour moi d’intérêt que dans le portrait qu’il me semble dresser, en filigrane, de Léa Seydoux elle-même, son exposition et sa tristesse insondable.
Red Rocket (Baker)
Comme dans ses films précédents, la forme est très dynamique, avec un montage très vif, des dialogues percutants, et un enchaînement haletant de situations souvent assez drôles. Le propos du film, par contre, est beaucoup plus problématique, et selon le curseur, il faut trouver tout cela au mieux très futile, au pire d’une trivialité ou d’une vulgarité sans limites.
Tout s’est bien passé (Ozon)
Comme dans Gloire à Dieu, François Ozon s’inspire de faits réels pour construire un film-dossier, en l’occurrence sur la question de l’euthanasie, très documenté, solidement interprété et proprement mis en forme. Je n’ai malheureusement pas été ému, dans la mesure où cela me semble trop protocolaire, appliqué – et d’un strict point de vue cinématographique, je me demande bien ce que cela faisait en Compétition Officielle.
Hors compétition
Belle (Hosoda)
Nouveau film d’animation du réalisateur de Ame et Yuki les enfants loups ou Le garçon et la bête. Il s’agit d’une relecture pop, très moderne, de La belle et la bête, à l’heure des réseaux sociaux. Je décrirai le film comme « roboratif » : très fourni, parfois même trop riche, il y a à boire et à manger, et le sublime côtoie le trivial. Le résultat est toutefois impressionnant, propre à combler tous les appétits.
OSS 117 : alerte rouge en Afrique noire (Bedos)
Dans la continuité du deuxième épisode à Rio, très amusant et très efficace à défaut d’être constamment hilarant. Dujardin fait le job, en adjoignant à son personnage d’agent secret abruti une forme de ringardise : 117 est un peu dépassé, technologiquement, physiquement, sexuellement, et il lui faut réagir... Bedos tacle un peu les consciences contemporaines (mouvements féministes, antiracistes, etc.) mais sans en faire trop. Je l’ai vu à 2 heures du matin le dernier jour, et je n’ai pas vu le temps passer.
Je n'ai vu que 13 films sur les 24 de la compète, mais à l'arrache, sans réflexion particulière, j'ai repéré (au moins) trois lignes de force marquantes :
1) le cul. C'est courant à Cannes, mais entre le broute-minou de Benedetta, la scène de sexe au début du Hamaguchi, l'omniprésence des scènes liées au cul dans le Audiard, Red Rocket qui ne parle que de ça et même Moretti qui s'y met (j'en passe plein, dont Titane), c'était presque surprenant quand un film de la sélection officielle nous balançait pas un plan explicite de nudité au visage.
2) les bagnoles. Là aussi, l'accident de voiture est (hormis dans Benedetta, mais vous comprendrez facilement pourquoi) un passage quasi-obligé - à tel point qu'à la fin du festival, dès qu'un personnage montait en voiture, je m'inquiétais pour lui. Certains arrivent très tôt, d'autres très tard, d'autres comme un cheveu sur la soupe...
3) les réseaux sociaux (enfin, les outils numériques). Omniprésents, très influents sur l'intrigue (la mise en ligne d'une vidéo dans le Farhadi, les commentaires du public dans France, les rumeurs dans les Olympiades, le fils de Marino Fois dans La Fracture, le mari d'Alba Rohrwacher dans Tre Piani...), et carrément au coeur du sujet du Hosoda, je suis surtout surpris de la manière dont ils sont quasi-exclusivement envisagés de façon négative, (menaçante, séparante, agressive...) : de façon symptomatique, le film qui me semblait le plus susceptible de mettre en avant l'aspect libertaire, d'ouverture au monde, qu'on leur attribue parfois (de moins en moins ceci dit) les occulte totalement (je pense au Nabil Ayouch).
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Re: Cannes 2021
Merci pour tes comptes-rendus
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- Arn
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- Inscription : 19 oct. 17, 16:32
Re: Cannes 2021
Oui merci, notamment pour les points communs de tes différents visionnage.
Surtout très hâte de découvrir le Hamaguchi.
Surtout très hâte de découvrir le Hamaguchi.
- Major Tom
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Re: Cannes 2021
Oui, merci ed !
- primus
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Re: Cannes 2021
Merci Ed.
Je trouve finalement Dumont mauvais pour la comédie, la satire. Passée la bonne surprise de la première saison de Quinquin j'ai trouvé la suite bien trop appuyée. Comme Ma loute et semble t'il ce France. Il insiste, il insiste mais ça ne fonctionne pas.
Je trouve finalement Dumont mauvais pour la comédie, la satire. Passée la bonne surprise de la première saison de Quinquin j'ai trouvé la suite bien trop appuyée. Comme Ma loute et semble t'il ce France. Il insiste, il insiste mais ça ne fonctionne pas.