Classement des sorties Cinéma/VOD/DTV 2022 [clos]

[Manolito]

Prey : 4/10

[ShadowOfAngelus]

Trois fois rien : 6/10

[halford66]

Elvis 7/10 une très bonne surprise et le film de Baz Luhrmann le plus"digeste" malgré une durée un peu excessive de 2H40,au bout de 1H30 j'ai un peu décroché.

Dommage pour l'utilisation de musiques modernes etc anachroniques notamment la chanson rap du générique final,c'est vraiment de mauvais goût et ça gâche presque tout ce que j'ai vu auparavant.

[Karras]

Last seen alive (Amazon) (4/10) : Vague remake de la disparue avec Jeff Bridges et Kiefer Sutherland ; fait illusion 1/2 heure avant de tomber dans la médiocrité.

[Jeremy Fox]

Jane par Charlotte : 5.5/10

[Lohmann]

Un été comme ça 5/10

[tchi-tcha]

After Yang (Kogonada) 2,5/10
(Quand Blade Runner rencontre Terrence Malick, Colin Farrell explore les souvenirs d'un robot en faisant du thé zen. Joli tout plein, certes, mais de la SF cheap et arty tellement délicate, feutrée et diffuse que je m'y suis fait chi*r à un point qui dépasse les limites de ma patience et de ma résistance au sommeil. Rejet complet, donc.)

[halford66]

Bullet train 6,5/10
Les nuits de Mashhad 6,5/10

[Alibabass]

L'été Eternité (Emilie Aussel) : 6/10
- Le point commun entre celui-là et le film Mi Iubita, Mon amour : le désir de se confronter au réel, à ses moments ou le miracle du réel dépasse le programmatisme de la fiction (dans le premier, les moments sur la plage ; pour le second, les moments après avoir quitté une première fois la maison de cette famille Roumaine pour le train et la plage, captation ado/adulte). Les deux possèdent des formes parcellaire, plus brute pour l'été éternité, moins bruyante pour le deuxième. Reste que ça ne fait pas un tout qui donne des ailes aux films, à un moment il aurait été plus judicieux d'oublier Antonioni pour le premier film et Emmanuel Bercot (La Puce) et Kechiche (La vie d'Adèle, sans l'aspect lutte des classes) pour Mi Iubita. Allez, la prochaine fois, sans rancune, j'y crois à ses deux femmes.

[odelay]

Last seen alive (Amazon) (4/10) : Vague remake de la disparue avec Jeff Bridges et Kiefer Sutherland ; fait illusion 1/2 heure avant de tomber dans la médiocrité.

Ah donc c'est un remake du remake qui lui-même n'était vraiment pas terrible.

[Rockatansky]

Prey - Dan Trachtenberg - 5,5/10

[Paroju]

Elvis (Luhrman) : 7/10
Un autre monde (Brizé) : 7/10

Icare (Vogele, 2022) : 6.5/10 #il leur manque une note
Crime of the future (Cronenberg) : 6.5/10

Viens, je t'emmène (Guiraudie) : 6/10

Les vedettes (Barré) : 5.5/10
Bubble (Araki) : 4/10

Mes anciennes notes

Spoiler (cliquez pour afficher)

Licorice Pizza (PTA) : 8.5/10

The green knight (Lowery) : 7/10
Freaks out (Mainetti) : 7/10
Flee (Rasmusen) : 7/10

Appolo 10 1/2 : 6.5/10

Le haut du panier : 6/10
Alerte rouge : 6/10

Choose or die : 5.5/10

Spiderhead : 5/10

La maison : 4/10

Marmaduke : 3/10

[zybine]

Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson) : 6,5/10

[Boubakar]

Bullet train : 6,5/10

[TheGentlemanBat]

L'Année du requin : 2.5/10 (il va pouvoir rentrer dans le classement grâce à mon sens du sacrifice )

C'est extrêmement rare que je descende aussi bas mais là je trouve le plongeon sacrément mérité tant le 2ème film des frangins Boukherma est un naufrage quasi intégral. J'ignore ce qu'il leur est passé par la tête quand ils ont eu l'idée de cette vague comédie franchouillarde mâtinée de thriller aquatique rendant hommage au chef-d'oeuvre de Spielberg mais la sauce ne prend à aucun moment. Pas un demi sourire esquissé pendant la projo, j'ai même plutôt grimacé à chaque intervention de cette horrible voix off qui d'entrée de jeu se propose de tout nous expliquer (les dialogues, souvent insipides, ne valent pas mieux) et côté frissons, malgré une BO sonnant beaucoup comme du Rob qui essaye d'insuffler ponctuellement un semblant de tension, là-aussi on repassera vu la rareté des apparitions du fameux squale (il faut quand même attendre la toute dernière bobine pour enfin assister à l'affrontement, expédié en 10 min chrono, entre ce dernier et Maja Bordenave et son équipe). Si 2/3 plans d'ensemble font plutôt le job, de près le bestiau fait d'ailleurs un peu peine à voir. Reste une facture visuelle plutôt soignée, dans la lignée de leur précédent métrage, et... c'est à peu près tout

Même si au vu des qualités éparses de Teddy justement je ne m'attendais pas à quelque chose d'exceptionnel, très grosse déconvenue donc que cette Année du requin à l'encéphalogramme dangereusement plat qui est de loin je crois ce que j'ai vu de plus mauvais/raté au ciné ces derniers mois (j'imagine au passage que c'est sans doute en grande partie sur les noms de Kad Merad et Marina Foïs, qui forment un couple à l'écran complètement improbable, qu'un navet pareil a pu se monter).