L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968)

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tenia
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Re: L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968)

Message par tenia »

La différence de qualité visuelle HD est effectivement assez flagrante entre les 2 titres, mais quand on voit ce qu'est capable de donner parfois L'étrangleur de Boston, perso, je ne peux pas m'empêcher de blamer le matériel plus qu'autre chose, car dès que le film est visuellement plus typique, le rendu est des lieues au dessus du reste du film.

Par contre, sur mon 50G20, j'ai été bien incapable de voir les fines lignes verticales dont on a parlé plus haut. Mais sur le PC, dès qu'on zoome, c'est absolument flagrant. Sur TotalMedia Theater, on a la possibilité de zoomer dans l'image, pendant sa lecture (ou en pause) en utilisant la molette. Ca pardonne pas... Et je serai bien curieux de savoir d'où vient cet encodage étrange, parce que c'est comme ça sur l'absolue intégralité du film.
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Rockatansky
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Re: L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968)

Message par Rockatansky »

Et sinon vous regardez souvent vos films zoomés à 200% ?
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tenia
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Re: L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968)

Message par tenia »

Rockatansky a écrit :Et sinon vous regardez souvent vos films zoomés à 200% ?
Disons que moi, je ne le vois pas, mais spontanément, je me pose la question : quid en vidéo projection. C'est pas zoomé à 200%, mais j'imagine que passer d'un 50" à 3m de diagonale, ça doit faire un peu "loupe". Juste un peu. :mrgreen:

Et puis, de manière plus cartésienne, le fait est qu'il y a un truc étrange à la base. Qu'on soit obligés de zoomer pour s'en rendre compte est le pendant "test consommateur", le fait que ce soit là est le pendant "test technique".
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Re: L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968)

Message par David Locke »

Ayant visionné le film en projection (2,5 m de diagonale environ), je n'ai rien remarqué concernant les bandes noires dont il est question.
En revanche, cela a déjà été dit, la copie à la source est loin d'être exceptionnelle, notamment en ce qui concerne le piqué ou le rendu des couleurs.
Les trois quarts du temps, on a une image avec du gros grain, instable, et une palette qui va du marron à l'ocre en passant par le vert bouteille avec l'impression qu'on a systématiquement ajouté une touche de noir dans la couleur pour faire sale. Deux exceptions : la scène dans le bar gay et la fin...
Cela dit, je pense que cela est fidèle aux intentions du réalisateur, ainsi qu'aux limites techniques d'époque (split screen multiple avec caches mouvants, arriflex à l'épaule).
Spoiler (cliquez pour afficher)
La dernière partie (dont le chef op explique en bonus qu'elle a été tournée dans une pièce tendue de tissus blanc éclairée de l'extérieur) est très bien rendue dans sa différence avec le reste du film : une lumière à la fois diffuse et clinique, froide pour l'atmosphère mais donnant une impression d'intimité avec les visages (cela m'a rappelé les plans de la station spatiale dans Solyaris de Tarkovski). Je n'ai pas le DVD, mais en bluray, cette scène fait l'effet d'une révélation...
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