Bonjour cinéfile
Je n'ai pas encore lu les contes, juste la préface des 188 où il dit admirer Fredric Brown, lui aussi précurseur de la nouvelle ultra courte (fantastique et SF). Bonne référence car c'est un auteur que j'aime énormément, ne serait-ce que pour
La Nuit du Jabberwock.
Il rend aussi hommage à Roland Topor qui a illustré ses livres et qui lui aussi pratiquait l'humour dérisoire et l'absurde.
Quand je regarderai le film de Resnais, je serai attentive au passage avec Claude Rich (acteur que j'adore en +). Merci de l'avoir signalé.
J'ai lu avant de te répondre
Les esclaves, c'est ce qui est pratique avec les textes courts
Sur le fond je suis d'accord: les chats gouvernent le monde !! ...car les chiens en seraient bien incapables d'ailleurs
Quand au retour après lecture, saches que je n'ai aucun esprit de synthèse, ni la tournure intellectuelle pour faire un rapport, je serais plutôt dans l'impression (sens figuré) indéfinie, c'est comme ça. Et puis il faut faire des efforts
cinéfile a écrit : ↑10 avr. 21, 21:47
Ils furent de mes lectures de confinement. Drôle de choix quand on connait l'univers si particulier de l'auteur où le sentiment d'oppression (dans tous les sens du terme) est omniprésent.
Je crois au contraire que ce genre de lectures est idéale pour un confinement (n'ai pas honte
), l'ironie des situations rend plus fort(e) !!
En tout cas, c'est un humour que j'apprécie car j'ai commencé à m'intéresser à la littérature avec les écrivains poètes surréalistes français et belges (Christian Dotremont par ex.) ou anglaises comme la grande Leonora Carrington ou Joyce Mansour.
Je ne parle pas d'André Breton qui fut certes le créateur meneur du mouvement en France, un collectionneur, mais pas un poète.
Leonora et Max Ernst