C'est surtout ça en faitAlexandre Angel a écrit :Mes grandes sœurs étaient amoureuses d'Oliver Tobias, que l'on retrouve dans Le Roman d'un voleur de chevaux, d'Abraham Polonsky.
Votre parcours sériephile
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Re: Votre parcours sériephile
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Re: Votre parcours sériephile
Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas ditJeremy Fox a écrit :C'est surtout ça en faitAlexandre Angel a écrit :Mes grandes sœurs étaient amoureuses d'Oliver Tobias, que l'on retrouve dans Le Roman d'un voleur de chevaux, d'Abraham Polonsky.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Evocation : angle 5
Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980) (suite)
On l'aura compris : de 1974 à 1977 régnait l'âge d'or des séries du Samedi après-midi, avec son Roi Mystères de l'Ouest et ses Ministres.
Un Samedi atomisé par une grève de l'ORTF était une catastrophe transformant les enfants que nous étions en zombies carnivores.
"Pourquoi la grève?" demandais-je invariablement. "C'est la faute à Giscard" me répondait-on systématiquement.
Donc, pour moi, c'était comme si Giscard faisait la grève. Logique implacable.
Autre ennemi redoutable : le Tournoi des cinq Nations. Alors celui-là, je le retenais!
On avait droit à l'épisode inaugural qui ouvrait traditionnellement le bal et puis, patatras, on enchaînait sur un match de rugby qui vous bouffait la moitié de l'après-midi. Ma froideur polie vis-à-vis de ce sport devait venir de là.
Mais en temps normal, c'était la fête. La perspective du Samedi après-midi illuminait la mâtinée écolière, la rendait voluptueuse.
Je ne rentrerais pas dans l'exhaustivité mais voici les programmes les plus charismatiques de ce traceur incroyable de mon enfance que fut La Une est à vous, rebaptisée Samedi est à vous dès Janvier 1975.
La période allant de Janvier 1974 à l'automne 75 est la plus mythique, celle qui concentre le maximum de sensations de dépaysement, d'émerveillement, de découvertes (n'oublions pas que j'avais, à ce moment-là, entre 7 et 9 ans, à une époque où la télévision prenait encore ses marques).
J'y découvrais Mission Impossible et son fabuleux générique fonctionnant comme une bande annonce.
Autre générique super-excitant : celui du Prisonnier, série à laquelle on m'avait préparé ( "Tu verras, il y a une boule blanche" ). J'adorais, et j'aime toujours, le crépitement électrisant du thème de Ron Grainer, dont on retrouvera des échos dans le score du Survivant de Boris Sagal.
Arthur, Roi des Celtes (que nous appelions tout simplement, je crois me souvenir, Le Roi des Celtes), mentionnée plus haut, ouvrait souvent les hostilités et parfumait ce début d'après-midi de l'odeur froide d'un humus anglais qu'arpentaient de pâles mais robustes chevelus celtiques très seventies emmitouflés dans leurs fourrures.
Souvent, les après-midi se terminaient avec Orson Welles et ses Mystères sur les notes mélancoliques très Mitteleuropa de John Barry.
Classiquement, entre le plat de résistance que nous servaient James West et Artemus Gordon et le dessert se glissaient ces trous normands que représentaient Les Globes Trotters, puis Le Prince Saphir, sympathique dessin animé nippon dont le générique était luxuriant. (à suivre)
Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980) (suite)
On l'aura compris : de 1974 à 1977 régnait l'âge d'or des séries du Samedi après-midi, avec son Roi Mystères de l'Ouest et ses Ministres.
Un Samedi atomisé par une grève de l'ORTF était une catastrophe transformant les enfants que nous étions en zombies carnivores.
"Pourquoi la grève?" demandais-je invariablement. "C'est la faute à Giscard" me répondait-on systématiquement.
Donc, pour moi, c'était comme si Giscard faisait la grève. Logique implacable.
Autre ennemi redoutable : le Tournoi des cinq Nations. Alors celui-là, je le retenais!
On avait droit à l'épisode inaugural qui ouvrait traditionnellement le bal et puis, patatras, on enchaînait sur un match de rugby qui vous bouffait la moitié de l'après-midi. Ma froideur polie vis-à-vis de ce sport devait venir de là.
Mais en temps normal, c'était la fête. La perspective du Samedi après-midi illuminait la mâtinée écolière, la rendait voluptueuse.
Je ne rentrerais pas dans l'exhaustivité mais voici les programmes les plus charismatiques de ce traceur incroyable de mon enfance que fut La Une est à vous, rebaptisée Samedi est à vous dès Janvier 1975.
La période allant de Janvier 1974 à l'automne 75 est la plus mythique, celle qui concentre le maximum de sensations de dépaysement, d'émerveillement, de découvertes (n'oublions pas que j'avais, à ce moment-là, entre 7 et 9 ans, à une époque où la télévision prenait encore ses marques).
J'y découvrais Mission Impossible et son fabuleux générique fonctionnant comme une bande annonce.
Autre générique super-excitant : celui du Prisonnier, série à laquelle on m'avait préparé ( "Tu verras, il y a une boule blanche" ). J'adorais, et j'aime toujours, le crépitement électrisant du thème de Ron Grainer, dont on retrouvera des échos dans le score du Survivant de Boris Sagal.
Arthur, Roi des Celtes (que nous appelions tout simplement, je crois me souvenir, Le Roi des Celtes), mentionnée plus haut, ouvrait souvent les hostilités et parfumait ce début d'après-midi de l'odeur froide d'un humus anglais qu'arpentaient de pâles mais robustes chevelus celtiques très seventies emmitouflés dans leurs fourrures.
Souvent, les après-midi se terminaient avec Orson Welles et ses Mystères sur les notes mélancoliques très Mitteleuropa de John Barry.
Classiquement, entre le plat de résistance que nous servaient James West et Artemus Gordon et le dessert se glissaient ces trous normands que représentaient Les Globes Trotters, puis Le Prince Saphir, sympathique dessin animé nippon dont le générique était luxuriant. (à suivre)
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Re: Votre parcours sériephile
En Bretagne, un attentat des autonomistes bretons avait détruit l'antenne relais en février 74 : pas de télévision pendant plus d'un mois, la cata ...Alexandre Angel a écrit : Un Samedi atomisé par une grève de l'ORTF était une catastrophe transformant les enfants que nous étions en zombies carnivores.
...La Bretagne vit alors sans télévision jusqu'à début avril 1974 voire début mai pour les zones les plus reculées. Les Bretons redécouvrent la vie de leurs grands-parents, les librairies font recettes et les veillées nocturnes reprennent. Selon les activistes du FLB, cette coupure ne peut être que bénéfique au peuple breton, contrairement « au rôle néfaste de la télé », et il est même question un temps d'un possible retour du baby boom en Bretagne dans les mois qui suivent l'attentat...
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Re: Votre parcours sériephile
Pas mal!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Je viens de voir que le Prisonnier est passé en France en 68.
Et dire que je me sentais rebelle en le regardant dans Temps X
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Re: Votre parcours sériephile
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Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980) (suite)
J'avais évoqué bien plus haut toute une ambiance atmospherico-contextuelle propice aux rêveries enfantines sous envoûtement télévisuel.
Celles générées par La Une est à vous, en mode noir et blanc, rappelons-le, fomentaient des espaces mentaux qui américanisaient le décor familier de la ville et de ses périphéries.
On peut dire que le western et le polar se partageaient un imaginaire duel constitué de deux pôles complémentaires.
Au western les embruns campagnards qu'une ville moyenne telle que Belfort accueillait facilement de plein fouet. Au polar (et aussi au fantastique) le soin d'accomoder le climat de Burbank au décorum périphérique de ma ville.
De 74 à 75, le genre policier ouvrait souvent et fermait l'émission.
Si Robert Stack, tout jeune, ouvrait le bal avec Les Incorruptibles, il pouvait le poursuivre avec Les Règles du Jeu.
Mais c'était souvent avec Opération Vol (enchanté Robert Wagner) que s'évanouissait tranquillement l'après-midi.
Il faudrait, à ce propos, déployer tout un chapitre sur la présence "ricochet" de bons nombre de comédiens qui trouvaient le moyen de se dédoubler, de trouver leur propre écho, au sein de la jungle des séries: bon nombre de seconds couteaux mais aussi des acteurs de premiers plans.
Ainsi Lee Majors que je connus d'abord en Homme qui valait trois milliards avant de le retrouver dans La Grande Vallée, énième histoire de ranch qui me fit connaître...Barbara Stanwick (Samedi est à vous-1975). Ou Richard Anderson, le mentor de Steve Austin (toujours L'Homme qui valait trois milliards) que je retrouvais quelque temps plus tard, et rajeuni, en envahisseur dans la série éponyme.
Des exemples comme cela, il y en a pléthore.
Et que dire de ceux qui, ne se contentant pas de se dupliquer, se payaient le luxe de se "tripliquer" comme Robert Conrad, passant des Mystères de l'Ouest à L'Homme de Vienne, puis de L'Homme de Vienne aux Têtes Brûlées.
Et David McCallum, ce blondinet omniprésent, promenant sa frimousse d'un épisode fameux d' Au delà du réel où il choppe littéralement la grosse tête (The Sixth Finger)à cette série de 75, L'Homme invisible, en passant par Des Agents très spéciaux.
Et Leonard Nimoy, bien avant qu'on me parle de Mr Spock, qui pouvait à la fois faire partie de la team de Mission Impossible et commettre un crime dans un épisode de Columbo.
Au delà du réel et Colombo ?
Il va en être question (à suivre)
Et le Samedi fut à nous (de 1970 à 1980) (suite)
J'avais évoqué bien plus haut toute une ambiance atmospherico-contextuelle propice aux rêveries enfantines sous envoûtement télévisuel.
Celles générées par La Une est à vous, en mode noir et blanc, rappelons-le, fomentaient des espaces mentaux qui américanisaient le décor familier de la ville et de ses périphéries.
On peut dire que le western et le polar se partageaient un imaginaire duel constitué de deux pôles complémentaires.
Au western les embruns campagnards qu'une ville moyenne telle que Belfort accueillait facilement de plein fouet. Au polar (et aussi au fantastique) le soin d'accomoder le climat de Burbank au décorum périphérique de ma ville.
De 74 à 75, le genre policier ouvrait souvent et fermait l'émission.
Si Robert Stack, tout jeune, ouvrait le bal avec Les Incorruptibles, il pouvait le poursuivre avec Les Règles du Jeu.
Mais c'était souvent avec Opération Vol (enchanté Robert Wagner) que s'évanouissait tranquillement l'après-midi.
Il faudrait, à ce propos, déployer tout un chapitre sur la présence "ricochet" de bons nombre de comédiens qui trouvaient le moyen de se dédoubler, de trouver leur propre écho, au sein de la jungle des séries: bon nombre de seconds couteaux mais aussi des acteurs de premiers plans.
Ainsi Lee Majors que je connus d'abord en Homme qui valait trois milliards avant de le retrouver dans La Grande Vallée, énième histoire de ranch qui me fit connaître...Barbara Stanwick (Samedi est à vous-1975). Ou Richard Anderson, le mentor de Steve Austin (toujours L'Homme qui valait trois milliards) que je retrouvais quelque temps plus tard, et rajeuni, en envahisseur dans la série éponyme.
Des exemples comme cela, il y en a pléthore.
Et que dire de ceux qui, ne se contentant pas de se dupliquer, se payaient le luxe de se "tripliquer" comme Robert Conrad, passant des Mystères de l'Ouest à L'Homme de Vienne, puis de L'Homme de Vienne aux Têtes Brûlées.
Et David McCallum, ce blondinet omniprésent, promenant sa frimousse d'un épisode fameux d' Au delà du réel où il choppe littéralement la grosse tête (The Sixth Finger)à cette série de 75, L'Homme invisible, en passant par Des Agents très spéciaux.
Et Leonard Nimoy, bien avant qu'on me parle de Mr Spock, qui pouvait à la fois faire partie de la team de Mission Impossible et commettre un crime dans un épisode de Columbo.
Au delà du réel et Colombo ?
Il va en être question (à suivre)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Je ne devais pas être attiré par les séries policières à l'époque car je n'en connais pas beaucoup y compris parmi celles que tu cites. Je crois n'avoir jamais non plus vu un épisode du prisonnier Par contre souvent 'traumatisé' par des épisodes de Le 6ème sens ou Au-delà du réel : l'épisode du temps qui s'arrête sauf pour un homme, avec un camion sur le point d'écraser un enfant, étant mon souvenir le plus fort de l'émission toute entière.
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Re: Votre parcours sériephile
...et Hawaï Police d'Etat ?Jeremy Fox a écrit :Je ne devais pas être attiré par les séries policières à l'époque
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Alexandre Angel a écrit :...et Hawaï Police d'Etat ?Jeremy Fox a écrit :Je ne devais pas être attiré par les séries policières à l'époque
Ca m'ennuyait à mourir. Je ne l'ai vraiment apprécié qu'à sa redécouverte à 45 ans Comme Star Trek d'ailleurs que je n'avais jamais vu.
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Re: Votre parcours sériephile
Je m'y attendais pas à celle-là!Jeremy Fox a écrit :Ca m'ennuyait à mourir.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Un peu pareil, il y a plein de séries qui me reviennent après coup, mais je pense que les premières séries policières que j'ai vraiment suivi ce sont Starsky et Hutch et Drôles de Dames.Jeremy Fox a écrit :Je ne devais pas être attiré par les séries policières à l'époque
On a déjà évoqué Les Rues de San Francisco, Kojak, Cannon, L'Homme de Fer, Mannix, Sergent Anderson, aux musiques de génériques inoubliables mais aussi ce séducteur de Banacek ou l'intransigeant Serpico ( qui avait la tête de mon prof de français de l'époque )
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Re: Votre parcours sériephile
Voilà, pareil. La seule que j'ai du regarder avant était Amicalement votre et de temps en temps les Incorruptibles. Plus attiré par l'aventure, les séries animalières et le fantastique à l'époque.Karras a écrit : les premières séries policières que j'ai vraiment suivi ce sont Starsky et Hutch et Drôles de Dames.
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Re: Votre parcours sériephile
Ça sent le transfert : c'est ton prof qui devait être intransigeantKarras a écrit :l'intransigeant Serpico ( qui avait la tête de mon prof de français de l'époque )
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Votre parcours sériephile
Ah non, lui il était cool. Il nous faisait faire des exposés sur des sujets qui nous tenait à cœur. Des copines de classe ( on devait être à peu prêt 7 gars pour 25 filles en 4ème ) en avait fait un sur le MLF ou il s'était fait traiter "d'erreur biologique", ça l'avait bien fait marrer ....Alexandre Angel a écrit :Ça sent le transfert : c'est ton prof qui devait être intransigeantKarras a écrit :l'intransigeant Serpico ( qui avait la tête de mon prof de français de l'époque )