Alors pour pinailler, ce chef d’œuvre de Kazan n'est pas en Scope contrairement au Fleuve sauvage, dont tout soudainement, je ne souviens plus du titre original .Zelda Zonk a écrit : ↑12 nov. 20, 10:04Revu il y a peu en VOD sur Univers Ciné et la copie était très belle, mettant parfaitement en valeur le Cinémascope dès la séquence initiale de la cascade.
Natalie Wood (1938-1981)
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
Wild River tout simplement
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
merci
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
Sinon, oui, Splendor in the grass (un de mes films favoris) n'est pas en scope.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
Pour moi aussi, La fièvre dans le sang / Splendor in the glass est le sommet de l'oeuvre de Kazan (avec justement Le fleuve sauvage / Wild river et America America, ces deux sublimes films peut-être légèrement en-deçà). Natalie Wood y est absolument magnifique, et la séquence finale entre Natalie Wood et Warren Beatty (très bon lui aussi) est à mon sens l'une des plus belles scènes du cinéma : ce sentiment de perte irrémédiable, de gâchis, m'a longtemps hanté.
Splendor in the grass mériterait vraiment une sortie en blu-ray chez nous (Carlotta ? Wild side video ? Vous m'entendez ?)
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Çà a surtout détruit sa carrière.Major Tom a écrit : ↑23 nov. 20, 18:58"Autres époques autres mœurs", pas forcément chez nous puisque la majorité sexuelle est toujours à 15 ans. Mais là-bas c'est sûr que ça doit choquer aujourd'hui.Supfiction a écrit : ↑23 nov. 20, 18:23 Je crois que je l’avais déjà lu mais évidemment l’évocation de sa liaison à 15 ans avec Nicholas Ray est un nouveau rappel d’autres époques autres mœurs.
À l'époque, beaucoup se mariaient ou avaient des liaisons jeunes. Entre autres, Marilyn Monroe, alors Norma Jeane, s'était mariée à 16 ans ; Elvis avait rencontré Priscilla lorsqu'elle avait 14 ans (et ils se sont mariés quand elle en avait 21) ; ou bien sûr Jerry Lee Lewis (22 ans) avait épousé sa cousine de 13 ans, mais bon, là ça avait quand même fait un scandale.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
A priori, Jerry Lee. Dans les années qui ont suivi son 1er mariage, il se faisait huer par des gens venus à ses concerts que pour ça.
En même temps, la majorité sexuelle à 15 ans, ok, j'ai même deux tantes qui se sont mariées à cet âge là au milieu et à la fin des années 60 (banalement car elles étaient enceintes ), mais la cousine de Jerry Lee, c'était vraiment une gamine ayant l'air d'une gamine.
Dommage car il était lancé comme une balle à la fin des années 50 et fait preuve d'une sacrée énergie dans un film criminel de cette époque là (Mariage en 57. Film sorti en 58) : High School Confidential (Jeunesse droguée)
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A Jerry Lee Lewis! Il n'était plus visible que dans les charts country je crois, tous les autres le boycottaient.
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Effectivement. Comme c’est (plus ou moins fidèlement) raconté dans Great balls of fire.
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TitiPopCulture a écrit : ↑1 juil. 23, 09:27 Au programme :
Le miracle sur la 34ème rue - George Seaton (1947)
La star - Stuart Heisler (1952)
La fureur de vivre - Nicholas Ray (1955)
Collines brûlantes - Stuart Heisler (1956)
Bombardier B-52 - Gordon Douglas (1957)
La fièvre dans le sang - Elia Kazan (1961)
West Side Story - Robert Wise, Jerome Robbins (1961)
Une vierge sur canapé - Richard Quine (1964)
Daisy Clover - Robert Mulligan (1965)
Les plaisirs de Pénélope - Arthur Hiller (1966)
Propriété interdite - Sydney Pollack (1966)
Brainstorm - Douglas Trumbull (1983)
Je crois l’avoir vu dans une édition pirate assez horrible et en vo pure (à l’époque où je voulais avoir tout vu de Natalie) et j’en garde un souvenir d’un truc plutôt farfelu et dispensable.
Par contre, ce sera un plaisir de revoir Collines brûlantes avec Tab Hunter.
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https://www.telerama.fr/cinema/cycle-na ... tor=AL-276
Revu Pénélope pour l’occasion et enfin dans de bonnes conditions et sous-titré. Finalement, cela ne manque pas de charme et se laisse regarder avec plaisir si l’on est fan de Natalie qui est de presque tous les plans et de tous les angles de la caméra amoureuse d'Arthur Hiller dans le rôle d’une jolie et piquante cleptomane, volant pour évacuer ses frustrations (le sous-texte est d’ailleurs féministe, à l’instar de certains Doris Day de la même époque). L’actrice s’amuse visiblement beaucoup faisant oublier la minceur du scénario, des gags (très) faiblards et un casting masculin pas au niveau malgré un Peter Falk que l’actrice retrouve après The great race. Dommage que Jack Lemmon ne les ai pas rejoint, il aurait parfaitement pris le rôle du mari et élevé le niveau.
Revu Pénélope pour l’occasion et enfin dans de bonnes conditions et sous-titré. Finalement, cela ne manque pas de charme et se laisse regarder avec plaisir si l’on est fan de Natalie qui est de presque tous les plans et de tous les angles de la caméra amoureuse d'Arthur Hiller dans le rôle d’une jolie et piquante cleptomane, volant pour évacuer ses frustrations (le sous-texte est d’ailleurs féministe, à l’instar de certains Doris Day de la même époque). L’actrice s’amuse visiblement beaucoup faisant oublier la minceur du scénario, des gags (très) faiblards et un casting masculin pas au niveau malgré un Peter Falk que l’actrice retrouve après The great race. Dommage que Jack Lemmon ne les ai pas rejoint, il aurait parfaitement pris le rôle du mari et élevé le niveau.
Dernière modification par Supfiction le 9 août 23, 18:40, modifié 1 fois.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
A noter une BO de John Williams (enfin, il se faisait encore appeler Johnny Williams à cette époque) que d'aucuns trouveront kitsch, mais dont je suis secrètement fan, avec sa chanson-titre aux relents de Beach Boys.Supfiction a écrit : ↑9 août 23, 14:59 https://www.telerama.fr/cinema/cycle-na ... tor=AL-276
Revu Pénélope pour l’occasion et enfin dans de bonnes conditions et sous-titré. Finalement, cela ne manque pas de charme et se laisse regarder avec plaisir si l’on est fan de Natalie qui est de presque tous les plans et de tous les angles de la caméra amoureuse d'Arthur Hiller dans le rôle d’une jolie et piquante cleptomane, volant pour évacuer ses frustrations (le sous-texte est d’ailleurs féministe, à l’instar de certains Doris Day de la même époque). L’actrice s’amuse visiblement beaucoup faisant oublier la minceur du scénario, des gags (très) faiblards et un casting masculin pas au niveau malgré un Peter Falk que l’actrice retrouve après The great race. Dommage que Jack Lemmon ne les ai pas rejoint, il aurait parfaitement pris le rôle du mari et élever le niveau.
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Re: Natalie Wood (1938-1981)
Bien joué Demi-Lune, tu viens d’écrire exactement le même message que je comptais écrire.
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