jhudson a écrit :
Je sais mais c'était pour illustrer le bidouillage numérique, depuis il y a un nouveau master.
C'est quand même compliqué quand tu listes 3 ex censés représenter des cas typiques de réals habitués du DNR et que dans 1 des cas, en fait non, fallait comprendre autre chose et sincèrement, du coup, je ne comprends plus trop quoi.
Je sais j'aurais du être plus précis
Ca ne représente que les films cités, et s'il faut le préciser ce n'est pas une habitude dans la filmo des réalisateurs.
jhudson a écrit :La pauvreté de la modélisation CGI est noyé dans des effets de flou et /ou de lumiére que permet le numérique, de l’esbroufe a peu de frais.
J'ai du mal comprendre cette démarche, pour être a la mode des animés en CGI et être plus commercial , je ne vois aucune autre raison.
Y'avait pas aussi un delire de vouloir "uniformiser" le film avec sa suite, Innocence?
(qui elle, partait franco dans les tons jaunes et les modeles en CGI)
Mosin-Nagant a écrit :Le DNR c'est plus un truc de studio que de réalisateurs... Torrente parlait d'Universal à juste titre.
Je crois qu'il n'y a que James Cameron qui aime bien l'utiliser: c'est parfois bien dosé (Aliens) mais c'est souvent un carnage (T2). Sauf que pour French Connection et Dark City, rien à voir. L'un s'est amusé avec la colorimétrie sur la première édition quand l'autre se la joue Coppola avec sa version moins bonne que la version cinéma. Bref, je suis d'accord avec tenia. Il faudrait pas tout mélanger.
Frank N Furter a écrit :Le DNR est aussi présent sur la version cinéma proposée sur la même édition. C'est donc bien l'édition New Line qui présente du DNR et non le director's cut en particulier.
Si on regarde de prés le grain apparait par moment, l'encodage est complétement raté .
Le Blu Ray Allemand avec la version cinema date 2012.