Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.Jean-Pierre Festina a écrit : ↑31 mars 21, 14:05Sans dec ? Si je gardais un disque de Gainsbourg, ce serait "Under arrest", chef-d'oeuvre absolu de romantisme noir.Trelkovsky a écrit : ↑3 mars 06, 15:31
Période "Love and the Beat" et "You're under arrest"...
No comment.
Mais ça fait l'unanimité, il me semble...
Serge Gainsbourg (1928-1991)
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C'est super, mais c'est comme Nougaro ou Brassens : la virtuosité me bluffe à chaque fois, mais sur le plan de l'émotion ça m'en touche une sans bouger l'autre.Supfiction a écrit : ↑31 mars 21, 15:25Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.Jean-Pierre Festina a écrit : ↑31 mars 21, 14:05
Sans dec ? Si je gardais un disque de Gainsbourg, ce serait "Under arrest", chef-d'oeuvre absolu de romantisme noir.
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Comme Supfiction L’alcool, Ce mortel ennui, Les petits riens, Amours sans Amour, .... sans parler d’Hotel particulier je les echanges pas contre Five easy pisseuses ou Suck baby suck....Jean-Pierre Festina a écrit : ↑31 mars 21, 20:52C'est super, mais c'est comme Nougaro ou Brassens : la virtuosité me bluffe à chaque fois, mais sur le plan de l'émotion ça m'en touche une sans bouger l'autre.Supfiction a écrit : ↑31 mars 21, 15:25
Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.
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Re: Serge Gainsbourg (1928-1991)
Scénique Railway, Baudelaire (chef-d’œuvre absolu entendu dans A single man), Black trombone, Intoxicated man..
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Re: Serge Gainsbourg (1928-1991)
+1Supfiction a écrit : ↑31 mars 21, 21:16 Scénique Railway, Baudelaire (chef-d’œuvre absolu entendu dans A single man), Black trombone, Intoxicated man..
Baudelaire c’est assez incroyable en effet. J’aime beaucoup aussi une autre de ses « adaptations », Honte à toi qui fut la mere de mes premières douleurs.... »
C’est comme quand Brassens chante Jean Richepin : Les oiseaux de passages » ou « Philistins, epiciers , tandis que vous carressiez vos femmes... » j’ai oublié le titre...
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Re: Serge Gainsbourg (1928-1991)
C’est La nuit d’octobre dans son album n°2.