Merci
Netflix en France
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Brody
- Indices : bateau - requin
- Messages : 4950
- Inscription : 21 févr. 06, 18:42
- Localisation : à la flotte !
- -magik-
- Assistant opérateur
- Messages : 2045
- Inscription : 7 mars 19, 19:07
Re: Netflix en France
Le lien est mort : "Désolé, ce transfert a expiré et n'est plus disponible"zemat a écrit : ↑23 avr. 21, 15:52 Bon les gars, vous allez pouvoir remercier l'ami Jérôme dont le HDD est une caverne d'Ali Baba, et qui m'a donné l'autorisation de poster le lien : https://we.tl/t-5TNnk1UiB2
C'était donc non pas 1000 mais 2000 films diffusés de 84 à 90 par C+ et, MESDAMES et MESSIEURS, avec la date de diffusion !!!
Quelqu'un peut le remettre svp ?
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30354
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
- Localisation : En pause
Re: Netflix en France
Lea (2015) de Marco Tullio Giordana fait son apparition sur la plateforme aujourd'hui.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- Paroju
- Doublure lumière
- Messages : 589
- Inscription : 24 juil. 20, 13:32
Re: Netflix en France
En fait les Truffaut et les Demy sont toujours là.Paroju a écrit : ↑15 avr. 21, 21:47On a listé ça peu plus haut :
- Un oncle d'Amérique le 21 avril
- Les dents de la mer le 22 avril
- les Truffaut le 23 avril
- tous les Chaplin devraient dégager au 1er mai,
- les Dolan le 7 mai, (sauf Mommy le 12mai),
- les Lynch et les Kieslowski le 8 mai (sauf Dune le 1er mai),
- les Demy le 14 mai,
Tout comme Le kid, Juste la fin du monde et 3 Lynch.
- zemat
- Producteur Exécutif
- Messages : 7739
- Inscription : 1 juil. 10, 14:16
- Liste DVD
- Localisation : Dans le labo de Walter ou dans le bureau de Don.
Re: Netflix en France
Les droits ont été prolongés sur un nombre plus limité de titres.Paroju a écrit : ↑13 mai 21, 10:56En fait les Truffaut et les Demy sont toujours là.Paroju a écrit : ↑15 avr. 21, 21:47
On a listé ça peu plus haut :
- Un oncle d'Amérique le 21 avril
- Les dents de la mer le 22 avril
- les Truffaut le 23 avril
- tous les Chaplin devraient dégager au 1er mai,
- les Dolan le 7 mai, (sauf Mommy le 12mai),
- les Lynch et les Kieslowski le 8 mai (sauf Dune le 1er mai),
- les Demy le 14 mai,
Tout comme Le kid, Juste la fin du monde et 3 Lynch.
Pour les Lynch ce ne sont pas ceux du catalogue MK2.
- Paroju
- Doublure lumière
- Messages : 589
- Inscription : 24 juil. 20, 13:32
Re: Netflix en France
OK merci.
- Watkinssien
- Etanche
- Messages : 17125
- Inscription : 6 mai 06, 12:53
- Localisation : Xanadu
Re: Netflix en France
Visionné Love and Monsters de Michael Matthews.
Et bien, c'est plutôt une bonne surprise que ce divertissant tout à fait sympathique.
On peut reprocher une certaine naïveté, certaines conventions pas toujours finaudes (ces flash-backs nuisent à la fluidité du récit) et surtout un dernier acte vraiment en dessous du reste.
Pourtant, malgré ces défauts évidents, je n'ai jamais eu l'impression de voir un film cynique, timoré ou je-m'en-foutiste . Matthews signe un récit initiatique bienvenu, bien rythmé, assez bien mené, qui arrive à mêler différents tons (même si on est plus dans le spectacle familial qu'un produit méchant et craspec) sans jamais s'emmêler les pinceaux. En sus, je trouve réellement que le jeune acteur principal, qui avait tout de la tête à claques, est vraiment convaincant et parvient à rendre tout le temps attachant un personnage éperdument amoureux, candide, jamais insupportable.
Au milieu de ce film d'aventures fantastiques, au postulat prétexte, on peut apprécier un petit côté Amblin de l'ensemble, sans tomber dans le cinéma doudou de service , comme en témoigne le design assez inventif des créatures (avec un mélange assez habile d'animatroniques et de CGI) ou encore l'idée assez peu commune que les êtres humains sont vraiment solidaires, s'aiment réellement les uns des autres (sauf une exception et c'est là que le film s'essouffle curieusement). On peut également louer au cinéaste de nous sortir une très belle séquence un peu en aparté (la rencontre avec le robot).
Matthews manque un peu de souffle dans sa mise en scène, il manque une ampleur, une vraie inventivité, une vraie audace visuelle. Mais il ne tombe jamais dans les travers du surdécoupage, rarement dans la précipitation et porte un vrai amour pour la totalité de ses personnages et pour le monde qu'il décrit, dont on n'oublie pas de nous faire croire à sa vastitude.
Bon divertissement, jamais prétentieux et avec une petite âme d'artisan, c'est vraiment pas mal.
On peut reprocher une certaine naïveté, certaines conventions pas toujours finaudes (ces flash-backs nuisent à la fluidité du récit) et surtout un dernier acte vraiment en dessous du reste.
Pourtant, malgré ces défauts évidents, je n'ai jamais eu l'impression de voir un film cynique, timoré ou je-m'en-foutiste . Matthews signe un récit initiatique bienvenu, bien rythmé, assez bien mené, qui arrive à mêler différents tons (même si on est plus dans le spectacle familial qu'un produit méchant et craspec) sans jamais s'emmêler les pinceaux. En sus, je trouve réellement que le jeune acteur principal, qui avait tout de la tête à claques, est vraiment convaincant et parvient à rendre tout le temps attachant un personnage éperdument amoureux, candide, jamais insupportable.
Au milieu de ce film d'aventures fantastiques, au postulat prétexte, on peut apprécier un petit côté Amblin de l'ensemble, sans tomber dans le cinéma doudou de service , comme en témoigne le design assez inventif des créatures (avec un mélange assez habile d'animatroniques et de CGI) ou encore l'idée assez peu commune que les êtres humains sont vraiment solidaires, s'aiment réellement les uns des autres (sauf une exception et c'est là que le film s'essouffle curieusement). On peut également louer au cinéaste de nous sortir une très belle séquence un peu en aparté (la rencontre avec le robot).
Matthews manque un peu de souffle dans sa mise en scène, il manque une ampleur, une vraie inventivité, une vraie audace visuelle. Mais il ne tombe jamais dans les travers du surdécoupage, rarement dans la précipitation et porte un vrai amour pour la totalité de ses personnages et pour le monde qu'il décrit, dont on n'oublie pas de nous faire croire à sa vastitude.
Bon divertissement, jamais prétentieux et avec une petite âme d'artisan, c'est vraiment pas mal.
Mother, I miss you
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 54841
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Netflix en France
J'applaudis des 2 mains tant je suis d'accord avec toi : une très chouette surprise, mêlant habilement le post-apo, le film d'aventures et la romcom, tout en étant malin sans tomber dans l'ironie.
Et la musique co-composée par Marco Beltrami est pas mal du tout.
Et la musique co-composée par Marco Beltrami est pas mal du tout.
- Watkinssien
- Etanche
- Messages : 17125
- Inscription : 6 mai 06, 12:53
- Localisation : Xanadu
- Boubakar
- Mécène hobbit
- Messages : 52282
- Inscription : 31 juil. 03, 11:50
- Contact :
Re: Netflix en France
D'ailleurs, j'ai appris que c'est un film Paramount, destiné à sortir en salles. Qui fournit aussi bien Netflix qu'Amazon pour la SVOD.
- MJ
- Conseiller conjugal
- Messages : 12485
- Inscription : 17 mai 05, 19:59
- Localisation : Chez Carlotta
Re: Netflix en France
Netflix c'est surtout bien pour la comédie et si je devais me demander ce qui m'a fait le plus rire pour le moment en 2021 (mais j'ai un humour défaillant), le passage au long d'Eric André serait immédiatement ce qui me vient à l'esprit. Déroulé forcément prétexte, mais toutes les situations réelles sont sidérantes.
Et étrangement ça redonne une forme de confiance en les gens (les groupes de pauvres y ont globalement des réactions plus humaines que ceux de riches, cela dit).
Mention spéciale à la scène du zoo pour ceux qui auraient eu la chance d'y assister.
Et étrangement ça redonne une forme de confiance en les gens (les groupes de pauvres y ont globalement des réactions plus humaines que ceux de riches, cela dit).
Mention spéciale à la scène du zoo pour ceux qui auraient eu la chance d'y assister.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
-
- Howard Hughes
- Messages : 15550
- Inscription : 14 juin 07, 18:26
Re: Netflix en France
Il y a 3 gags successifs qui m'ont un peu gâché mon plaisir (je crois que ça commence avec la pause-caca à moins que ça soit déjà le 2ème) et fait sortir du métrage car ils n'ont rien à y faire et nuisent au rythme de l'ensemble (on sent les gags capillotractés légèrement hors contexte et ajoutés pour atteindre la durée souhaitée) mais hormis ça, c'était sympathique, je suis d'accord.
C'est surtout l'arc narratif de Tiffany Haddish qui m'a tué et toutes les situations/gags où elle apparaît qui élèvent le film au dessus d'un sous-Harold & Kumar/Dumb & Dumber/Jay & Bob.
C'est surtout l'arc narratif de Tiffany Haddish qui m'a tué et toutes les situations/gags où elle apparaît qui élèvent le film au dessus d'un sous-Harold & Kumar/Dumb & Dumber/Jay & Bob.
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30354
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
- Localisation : En pause
Re: Netflix en France
Nouvelle fournée italienne ce jour
En vrac : du Matarazzo, Milian, Toto, Sergio Martino, Richard Anconina...
En vrac : du Matarazzo, Milian, Toto, Sergio Martino, Richard Anconina...
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18368
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Netflix en France
Je vais jamais avoir le temps !!!
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- cinephage
- C'est du harfang
- Messages : 23921
- Inscription : 13 oct. 05, 17:50
Re: Netflix en France
Déja que je suis loin d'avoir épuisé le stock de films suédois... C'est étonnant, mais particulièrement appréciable, ces films de patrimoines (j'en ai vu 8 sur les 17 que j'ai prévu de voir, dont l'un qui a été mon film du mois). Ce qui est chiant, c'est qu'il est difficile de les localiser sur la plate-forme.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell