Je suis là où on m'a misGeorge Costanza a écrit :Le coming-out d'un véritable alter-mondialiste refoulé ! Et ça se disait "de droite"...Nikita a écrit : Je préfère aussi la sous production à la surproduction
non, il n'y a pas de sous texte
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Bien qu'étant un indécrottable païen, j'ai souvent été tenté de le penser en écoutant cette extra-terrestre. Comme quoi, l'écrivain Jim Harrison a eu raison de dire que "Dieu est une femme et la plus grande de toute".Amarcord a écrit : Cocteau Twins est le groupe qui m'a le plus marqué, avec les Pixies. La voix de Liz vous ferait presque croire en Dieu...
Tu m'étonnes...Amarcord a écrit :(il FAUT avoir entendu au moins une fois dans sa vie Great Spangled Fritillary !).
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Petite précision : The High Monkey-Monk était, à l'origine, un morceau que les Cocteau Twins avaient "donné" au journal musical anglais de référence (avec le Melody Maker) New Musical Express, pour une compilation (à l'époque sur cassette !) offerte avec un numéro du NME. Depuis, ce titre est trouvable aussi, tout à fait officiellement, sur le CD bonus contenu dans le fameux coffret sorti au début des années 90, qui regroupait tous les EP officiels du groupe sortis chez [4|A|D] (de Lullabies [1982] à Iceblink-Luck [1990], donc), ainsi, donc, qu'un CD 4 titres, dans lequel, outre ce The High Monkey-Monk (qui a l'air de dater vraisemblablement de l'époque de Blue Bell Knoll, 1988 donc), on trouve une version instrumentale de Oomingmak (l'originale - chantée - figurant sur mon album préféré des Cocteau : Victorialand, en 1986), ainsi que le très joli Crushed (pas vraiment un inédit, puisqu'il figurait déjà sur la mythique compilation Lonely Is An Eyesore, sortie en 1987, qui rassemblait, outre les Cocteau Twins, quelques uns des autres fers de lance du non moins mythique label [4|A|D], tels que Dead Can Dance, Clan Of Xymox, Throwing Muses, This Mortal Coil, Colourbox, Dif Juz et The Wolfgang Press). Mais la pièce de choix de ce CD 4 titres bonus du coffret reste sans doute le très beau Dials, issu du très rare single promotionnel Heaven or Las Vegas (1990).giftongue a écrit :Sinon pour revenir aux vrais Cocteau Twins j'aime beaucoup (entre autres!) ce morceau moins connu (trouvé à l'époque sur un bootleg "the forgotten 4AD tracks " ???)
Beauté volée qui contenait aussi un titre d'un autre groupe d'exception porté par une voix féminine hors-concours et qui se retrouvera lui aussi sur d'autres b.o. de films sortis en 1996 : "Glory Box" de Portishead (qu'on peut entendre également dans Chacun cherche son chat et Dangereuse Alliance).Amarcord a écrit : Alice (peut-être la dernière grande chanson du groupe, qui retrouve là un peu de la splendeur de ses grandes années), trouvable sur 2 BO à la fois (quelle idée !) : celle de Beauté volée, de Bertolucci, et celle de Lovely Bones de Peter Jackson
Je les ai vus sur scène, à Marseille, en 1994 (où ils avaient eu le bon goût de se produire pile poil le jour de mon anniversaire ) : il est un fait que ce n'était pas leur point fort, la scène ! Sans compter que c'était déjà dans l'après [4|A|D]... Mais bon : il n'était pas question de les laisser filer, même si je n'en attendais déjà plus grand chose. Un peu comme quand je suis allé voir les Pixies à Paris, en 2004 : je tenais absolument à les voir, même si je savais bien qu'ils étaient, sans doute, surtout là pour relever les compteurs... (bien qu'au final, je dois à l'honnêteté de dire que la prestation fut généreuse : ils étaient visiblement heureux d'être là et n'ont pas compté leur temps). Idem pour Dead Can Dance (quand était-ce déjà ??), lesquels reviennent d'ailleurs à Paris (au Grand Rex) en septembre prochain (concert sold out en moins d'un quart d'heure !!!)... Qui sait ce que ça donnerait s'il venait aux Cocteau l'idée de refaire une tournée !Federico a écrit :Autre source de déception vis-à-vis de cette merveilleuse formation : ils ne furent jamais un groupe de scène, en grande partie à cause du trac de Liz Fraser (souvenirs embarrassés de l'écoute de leurs différents passages aux Black Sessions de Bernard Lenoir).