Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[Watkinssien]

HEAT ce soir sur france5 qui tombe bien car je l'ai jamais vue

Je t'envie!

[Spongebob]

Ce soir c'est ma copine qui a choisi le film et ce sera Boîte noire (en 4K sur MyCanal).

[Mosin-Nagant]

[Torrente]

Pour ce soir, un film méconnu de Stephen Frears, Dirty pretty things, dont cette critique m'a convaincu d'y jeter un oeil :

Dirty Pretty Things (Frears) : simple, beau, touchant, voilà un film qui sait parfaitement éviter tout misérabilisme gonflant. A ce titre, la fin est très belle et reste d'une sobriété exemplaire.
Tautou est très crédible en jeune turque paumée, et Chiwetel Ejiofor est extraordinaire.

Beaucoup aimé. J'espère qu'il te siéra aussi.
Je me souviens surtout de la sensation de découvrir un acteur épatant.

Ce soir, j'ai une fringale d'asiatiques.
J'ai sorti du carton, une pile de films coréens obscurs qu'avaient sorti Elephant et CTV... je croise les doigts.

Chou blanc... encore.
Pas un seul film digne d'intérêt :



Public enemy, Some, Les formidables, She's on duty... zéro pointé.

Le bon côté, c'est que je vais faire une place de dingue (au moins une double Bestå à étagères simples... oui, c'est un très GROS carton).
Ce qui est dommage, par contre, c'est que la totalité du contenu de ce carton ne doit pas excéder 50 euros de valeur à la revente sur le marché de l'occasion... hors Manimal, bien sûr... et ça fait mal au c... œur


Ce soir, thrillers... je devrais notamment retenter, entre autres "merveilles" :



Showtime et Agents secrets... mais sans trop d'espoirs (à part celui de faire toujours plus de place, donc).




Les épisodes précédents :

Spoiler (cliquez pour afficher)

- Épisode 0
- Épisode 0 Bis ("they're coming to get you, Barbra")
- Épisode 1
- Épisode 1 Bis ("mauvaise blague")
- Épisode 2 ("et Lasse...")

[Duane Jones]

Spoiler (cliquez pour afficher)

Ah yes. Ça fait longtemps que je ne l'ai pas revu !

Vu hier Une tragédie américaine de Sternberg. C'est un peu le canard boiteux de la grande période du réalisateur, coincé dans la série de films avec Marlene Dietrich. Le film est tiré d'un roman Theodore Dreiser, qui donnera plus tard Une place au soleil de Georges Stevens. Film que je n'ai pas vu. Au grand désespoir de Dreiser, Sternberg n'aurait rien gardé de l'aspect sociologique et politique pour se concentrer uniquement sur l'aspect sexuel. Pas étonnant pour ce cinéaste et c'est tant mieux. La maîtrise technique est là, les séquences sur le lac sont d'une grande modernité. La sexualité et l'hypocrisie de la bourgeoisie sont abordées frontalement. Hélas le rythme bancal du film et un casting aux fraises m'ont empêché de me passionner pour l’histoire. Chose surprenante, le film comporte très peu de musique, ça n'a pas aidé.

Autres films regardés, Corridor (2012) de Johan Lundborg et Johan Storm. Thriller suédois dont la durée réduite d'1 h 15 m'a alléché. Erreur grave. Huis-clos où un étudiant en médecine antipathique et solitaire s'attache petit à petit à sa voisine du dessus, coiffeuse de son métier. Tout s'emballe quand l'étudiant soupçonne le petit (grand) copain (Peter Stormare) violent (vous suivez) d'avoir tué sa sympathique voisine. Ce film est atteint du syndrome du court métrage étiré en long métrage. Pas mal d'incohérences, une réa et un montage travaillés gâchés par une photo hideuse. Bof bof
Coherence de James Ward Byrkit, film de SF au budget mini compensé par un excellent scénario basé sur l'expérience dite du Chat de Schrödinger. A Los Angeles, des amis se retrouvent pour un dîner tandis qu'une comète passe non loin de la Terre. Une coupure de courant va complètement changer le cours de la soirée... Une bonne angoisse tout au long du film. Les histoires de double, je suis client. Et puis y'a Xander de Buffy et ça c'est la classe.

[manuma]

Cinéma français, ce soir, avec La Leçon particulière de Michel Boisrond.

[ewo]

Je viens de revoir La isla minima d'Alberto Rodriguez (blu-ray Le Pacte).

J'aime beaucoup l'histoire, l'ambiance, la photo, le casting et l'usage des SFX sur ce film (la partie les concernant dans les bonus est assez chouette. J'ai pensé à la façon dont Fincher utilise les effets spéciaux dans ses films).

Javier Gutiérrez je le trouve particulièrement bon dans ce film. Je ne l'ai pas vu dans d'autres films. Du moins je ne me rappelle pas de lui dans le Crime farpait.

[Alibabass]

Résultat : HEAT ou tarte tatin dans ta gueule, que ça soit dans les moments les plus costauds que les moments les plus émouvants, tout en douceur et frayeur. Incroyable.

[Jeremy Fox]

Ce soir retour aux choix de madame avec Comme un torrent de Minnelli. Si j'ai le temps j’enchaînerais avec La Trahison du Capitaine Porter de De Toth.

Up pour ce soir

[Courleciel]

Après une après-midi à la Fondation Pathé pour la suite du cycle Raretés du cinéma muet portugais, se sera une soirée cinéma fantastique avec The Haunting de Robert Wise et The Uninvited Lewis Allen.

[Zelda Zonk]

Résultat : HEAT ou tarte tatin dans ta gueule, que ça soit dans les moments les plus costauds que les moments les plus émouvants, tout en douceur et frayeur. Incroyable.

Oui, c'est normal de se prendre une claque devant un tel film.

Ce soir, France - Angleterre, of course, pour le Grand Chelem

[Invité1]

Ma soirée d'hier fut consacrée à la découverte de deux films conseillés par des Classikiens.

Tout d'abord, le bien nommé Make-Out with Violence (retitré Zombie Lover pour sa distribution française) réalisé par les Deagol Brothers et que nous conseille pertinemment Torrente dans le topic dédié à Joe Dante.
Un film dont je n'avais jamais entendu parler jusqu'ici et qui m'a touchée en plein cœur de par sa justesse et son audacieuse intelligence à narrer l'été d'une poignée d'adolescents (dont 3 frères) confrontée à vivre un éprouvant deuil suite à la disparition d'une de leurs amies, aimée de tous.
Malgré de faibles moyens et des acteurs sensiblement inexpérimentés, le métrage transpire l'amour du cinéma sur chaque plan et raconte une histoire aussi belle que crépusculaire, aussi romantique que putride, perpétuellement juste et sincère.
J'ai parfois pensé à Twin Peaks (l'adolescente de 17 ans décédée mais cependant omniprésente dans les esprits), voire d'autres fois à American Graffiti qui serait remaké par une Sofia Coppola en grande forme au rythme de chansons indie-pop en lieu et place des standards 60's.
Le film fut visiblement vendu à sa sortie comme un énième zombie movie (ce qu'il n'est absolument pas, la "zombie girl" n'étant ici qu'un prétexte narratif sous forme d'allégorie) et s'est donc vu détesté par ceux qui s'attendaient à un pique-nique sanguinolent. Make-Out with Violence n'est rien d'autre qu'une fascinante et sépulcrale chronique adolescente que je vais consciencieusement conserver dans ma BRthèque. Merci Torrente
7.5/10

J'ai enchaîné avec L'Homme Qui Venait D'Ailleurs que m'a conseillée l'agent Cooper il y a quelques jours et que j’achèverais de visionner ce soir pour cause d'assoupissement au bout d'une petite heure. Très hâte d'en découvrir la fin.

[Addis-Abeba]

Ce soir comme presque tout les weekend nous sortons,nous voyons des amis

[Torrente]

Ce soir, thrillers... je devrais notamment retenter, entre autres "merveilles", Showtime et Agents secrets... mais sans trop d'espoirs (à part celui de faire toujours plus de place, donc).

Bilan moins négatif qu'anticipé :




- Confirmation qu'Agents secrets du fils Schoendoerffer est raté mais cette fois-ci, j'ai tenu au delà de la 30ème minute. Prouesse physique s'il en est !
Par contre, que c'est mal filmé... mes aïeux... ce corps à corps... Nolan et Ratner ne font pas pire.
Et je ne parle même pas des dialogues, rendant presque tous les acteurs mauvais.




- Je pensais l'avoir déjà vu mais je devais confondre... peut-être avec Hollywood homicide
Pas une pépite, mais une sorte de prototype de "film du Vendredi soir", agréable à défaut d'être idéal.
Scénaristiquement décevant (formidable idée de départ mal et peu développée), Showtime est sauvé par :
- sa technique : certaines cascades sont impressionnantes, les fonds verts sont limités, s'en dégage une impression de buddy-movie 'old school' presque déjà "rétro" et inespéré pour l'époque
- et ses acteurs : Eddie Murphy n'a pas "trouvé" son personnage mais De Niro confirme ses talents comiques, décelés dans l'épisode 1 du "carton de la honte" pour sa prestation convaincante dans Midnight run.

A noter : le DVD est techniquement très réussi et vu les DVD que j'enchaîne depuis quelques jours, je le précise car le bilan n'est pas très heureux de ce côté-là.
J'en étais venu à me demander comment l'on pouvait encore se contenter de visionner ce format sur les écrans actuels et comment l'on pouvait encore oser en commercialiser... je ne voyais que de la bouillie, même à distance réglementaire. En regardant Showtime, je réalise que tout ça dépend de la qualité du travail effectué, même si la technologie est dépassée.




- Home invasion, petit DTV qui mixe Panic room avec The call (de loin et dans le noir parce qu'il est bien entendu qu'il n'arrive à la cheville, ni de l'un, ni de l'autre) remplit convenablement son contrat de thriller du Vendredi.
Natasha donne de sa personne, Jason la joue toute en sobriété monolithique, Scott, à l'opposé, en fait des caisses et la petite tête blonde est à claquer comme toute petite tête bonde qui se respecte.
Un produit de consommation courante vite vu, vite oublié mais pas désagréable donc, pour peu qu'on n'en attende pas monts et merveilles.




- The stranger inside, autre petit thriller, sexy cette fois, pour finir la nuit avec William Baldwin et Estella Warren, s'est malheureusement révélé bien décevant et incompréhensible.
Il faudra que je retienne le nom du scénariste de cette "chose".

70-30 donc. Et 30% de réussite, c'est déjà pas si mal.

Ma soirée d'hier fut consacrée à la découverte de deux films conseillés par des Classikiens.

Tout d'abord, le bien nommé Make-Out with Violence (retitré Zombie Lover pour sa distribution française) réalisé par les Deagol Brothers et que nous conseille pertinemment Torrente dans le topic dédié à Joe Dante.
Un film dont je n'avais jamais entendu parler jusqu'ici et qui m'a touchée en plein cœur de par sa justesse et son audacieuse intelligence à narrer l'été d'une poignée d'adolescents (dont 3 frères) confrontée à vivre un éprouvant deuil suite à la disparition d'une de leurs amies, aimée de tous.
Malgré de faibles moyens et des acteurs sensiblement inexpérimentés, le métrage transpire l'amour du cinéma sur chaque plan et raconte une histoire aussi belle que crépusculaire, aussi romantique que putride, perpétuellement juste et sincère.
J'ai parfois pensé à Twin Peaks (l'adolescente de 17 ans décédée mais cependant omniprésente dans les esprits), voire d'autres fois à American Graffiti qui serait remaké par une Sofia Coppola en grande forme au rythme de chansons indie-pop en lieu et place des standards 60's.
Le film fut visiblement vendu à sa sortie comme un énième zombie movie (ce qu'il n'est absolument pas, la "zombie girl" n'étant ici qu'un prétexte narratif sous forme d'allégorie) et s'est donc vu détesté par ceux qui s'attendaient à un pique-nique sanguinolent. Make-Out with Violence n'est rien d'autre qu'une fascinante et sépulcrale chronique adolescente que je vais consciencieusement conserver dans ma BRthèque. Merci Torrente
7.5/10

Merci (et de rien)
Quel plaisir !
Je suis bien content que le film t'ait touchée comme il m'a touché malgré ses défauts.




Les épisodes précédents :

Spoiler (cliquez pour afficher)

- Épisode 0
- Épisode 0 Bis ("they're coming to get you, Barbra")
- Épisode 1
- Épisode 1 Bis ("mauvaise blague")
- Épisode 2 ("et Lasse...")
- Épisode 3 ("k-thrillers")

[Duane Jones]

Vu hier soir le film indien Kuruthi (2021) de Manu Warrier. Dans une maison perdue dans la forêt, une famille musulmane protège un policier hindou et le meurtrier (également hindou) d'un vieux musulman, contre le fils de ce dernier et ses acolytes. Vous l'avez deviné, ça aborde intelligemment les tensions entre musulmans et hindous en Inde. Ce n'est pas du Bollywood mais l'utilisation de chansons est d'une efficacité folle, particulièrement durant la course poursuite finale. Tout cela tient très bien la route même si j'ai trouvé l'ensemble assez bavard et parfois too much, des séquences de bastons pas toujours réalistes dû aux effets utilisés. Pour un film indien, on est proche du moyen métrage car ça ne dure que 2 heures. Et ça c'est bien.
Soirée en famille pour aujourd'hui, on regardera peut-être Quelques minutes après minuit de Bayona.

- Confirmation qu'Agents secrets du fils Schoendoerffer est raté mais cette fois-ci, j'ai tenu au delà de la 30ème minute. Prouesse physique s'il en est !
Par contre, que c'est mal filmé... mes aïeux... ce corps à corps... Nolan et Ratner ne font pas pire. Et je ne parle même pas des dialogues, rendant presque tous les acteurs mauvais.

Tu vends du rêve ! Truands était tellement nullissime... Faudrait peut-être que je le vois avec des potes pour le fun !
Et ce Zombie Lover me tente bien.