Bette Davis (1908-1989)
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Bette Davis (1908-1989)
Victoire sur la nuit (Dark Victory) d'Edmund Goulding - 1939
Le directeur des studios Jack Warner ne voulait pas du tournage de ce film, affirmant que le public n'accepterait jamais de voir l'histoire d'une femme qui "va mourir et qui le sait".
Bette Davis réussit à le faire changer d'avis et donna ainsi au public l'occasion de voir une des oeuvres maîtresse du genre mélodrame. En outre, elle releva tellement bien le défi qu'elle s'y révèle une actrice captivante et superbe, portant le film entièrement sur ses épaules, malgré la présence en fond de décor des jeunes Reagan et Bogart. Le film valut à l'actrice sa troisième nomination aux oscars, non transformée.
A mon sens,la vision du film peut s'accommoder de deux types de considérations:
-Ou bien on se contente de se laisser porter par l'histoire avec un scénario "hénaurme", à peine croyable mais qui fonctionne encore. Ce que ne démentent pas les films de Sirk, par exemple. Une belle photographie mais une mise en scène très conventionnelle dans son ensemble. Et, pas la moindre des choses, la fabuleuse performance de Bette Davis, sur laquelle il n'y a vraiment rien à redire.
-Ou bien on envisage en plus ce film comme un archétype du mélodrame hollywoodien où l'on retrouve bien installées les conventions du genre, comme la "mise à jour" du secret suivie des habituels sentiments de culpabilité jusqu'à la redemption finale, précurseurs en cela de la vague psycho-analytique qui suivra.
D'autre part on peut considérer que l'on est devant le sous-genre "films de femmes" à l'instar d'Imitation of Life de Sirk où le public féminin peut s'identifier aisément aux souffrances et aux aspirations des personnages. Mais si le point de vue est essentiellement féminin, les éléments en sont assez réactionnaires car l'ordre établi doit en conclusion demeurer intact. La rédemption, oui mais dans une vision du monde très manichéenne.
Le titre français semble un contresens: Victoire sur la Nuit (empruntée à un extrait du dialogue) ne rend en rien la notion d'Amère Victoire (Dark Victory) présente, me semble-t-il dans le titre original.
En conclusion un film à connaître. Et pour les plus sensibles, on n'évitera pas quelques larmes aux yeux.
Le directeur des studios Jack Warner ne voulait pas du tournage de ce film, affirmant que le public n'accepterait jamais de voir l'histoire d'une femme qui "va mourir et qui le sait".
Bette Davis réussit à le faire changer d'avis et donna ainsi au public l'occasion de voir une des oeuvres maîtresse du genre mélodrame. En outre, elle releva tellement bien le défi qu'elle s'y révèle une actrice captivante et superbe, portant le film entièrement sur ses épaules, malgré la présence en fond de décor des jeunes Reagan et Bogart. Le film valut à l'actrice sa troisième nomination aux oscars, non transformée.
A mon sens,la vision du film peut s'accommoder de deux types de considérations:
-Ou bien on se contente de se laisser porter par l'histoire avec un scénario "hénaurme", à peine croyable mais qui fonctionne encore. Ce que ne démentent pas les films de Sirk, par exemple. Une belle photographie mais une mise en scène très conventionnelle dans son ensemble. Et, pas la moindre des choses, la fabuleuse performance de Bette Davis, sur laquelle il n'y a vraiment rien à redire.
-Ou bien on envisage en plus ce film comme un archétype du mélodrame hollywoodien où l'on retrouve bien installées les conventions du genre, comme la "mise à jour" du secret suivie des habituels sentiments de culpabilité jusqu'à la redemption finale, précurseurs en cela de la vague psycho-analytique qui suivra.
D'autre part on peut considérer que l'on est devant le sous-genre "films de femmes" à l'instar d'Imitation of Life de Sirk où le public féminin peut s'identifier aisément aux souffrances et aux aspirations des personnages. Mais si le point de vue est essentiellement féminin, les éléments en sont assez réactionnaires car l'ordre établi doit en conclusion demeurer intact. La rédemption, oui mais dans une vision du monde très manichéenne.
Le titre français semble un contresens: Victoire sur la Nuit (empruntée à un extrait du dialogue) ne rend en rien la notion d'Amère Victoire (Dark Victory) présente, me semble-t-il dans le titre original.
En conclusion un film à connaître. Et pour les plus sensibles, on n'évitera pas quelques larmes aux yeux.
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Bette Davis (1908-1989)
La garce (Beyond the Forest) de King Vidor
Avec une telle affiche, je ne peut qu'avouer être plutôt déçu. Bette Davis, Joseph Cotten (que j'adule) et King Vidor. C'est beau, sublime noir et blanc, réalisation très belle et efficace lorsqu'il s'agit de jouer le jeu du personnage de Rosa. On assiste à un Davis' Show, pour le pire et le meilleur a mon avis. Si j'ai eu du mal avec le personnage comme avec l'actrice, au début du film, la seconde partie contreblance, offrant une plus grande diveristé dans le jeu de Bette Davis.
La seconde partie contrebalance d'ailleurs un peu tout. Plus sombre, plus glaçante, fondamentalement plus intéressante puisqu'elle remet pas mal de chose en question. Mais au travers de toute cette noirceur (car le film, du début à la fin, est extrêmement noir) surnage pas mal de défaut. Le personnage de Davis - encore - est beaucoup trop antipathique par exemple. Je ne peut pas cacher que j'avais encore en tête des films comme Double Indemnity ou surtout Angel Face (qui pourtant sont très loins de celui-ci), dans lesquelles la femme n'était pas seulement un piège démoniaque pour les protagonistes, mais aussi pour le spectateur qui se laissait charmer. Dans ce film, on peine vraiment à apprécier Davis, au pire on la plaint. Du coup à force de détester le personnage principale, on commence à fatiguer et à ésperer très fort que ça se passe mal. D'autant que les dernières minutes sont particulièrement pénible et pas très passionnante.
Ce que j'aimes quand un personnage principale est un salaud, c'est rentrer dans son jeu sans m'en rendre compte, l'adopter et l'apprécier, ésperer sa rédemption. Hors dans le film de Vidor, je n'ai jamais ressentit ça. Assez déçu donc.
Avec une telle affiche, je ne peut qu'avouer être plutôt déçu. Bette Davis, Joseph Cotten (que j'adule) et King Vidor. C'est beau, sublime noir et blanc, réalisation très belle et efficace lorsqu'il s'agit de jouer le jeu du personnage de Rosa. On assiste à un Davis' Show, pour le pire et le meilleur a mon avis. Si j'ai eu du mal avec le personnage comme avec l'actrice, au début du film, la seconde partie contreblance, offrant une plus grande diveristé dans le jeu de Bette Davis.
La seconde partie contrebalance d'ailleurs un peu tout. Plus sombre, plus glaçante, fondamentalement plus intéressante puisqu'elle remet pas mal de chose en question. Mais au travers de toute cette noirceur (car le film, du début à la fin, est extrêmement noir) surnage pas mal de défaut. Le personnage de Davis - encore - est beaucoup trop antipathique par exemple. Je ne peut pas cacher que j'avais encore en tête des films comme Double Indemnity ou surtout Angel Face (qui pourtant sont très loins de celui-ci), dans lesquelles la femme n'était pas seulement un piège démoniaque pour les protagonistes, mais aussi pour le spectateur qui se laissait charmer. Dans ce film, on peine vraiment à apprécier Davis, au pire on la plaint. Du coup à force de détester le personnage principale, on commence à fatiguer et à ésperer très fort que ça se passe mal. D'autant que les dernières minutes sont particulièrement pénible et pas très passionnante.
Ce que j'aimes quand un personnage principale est un salaud, c'est rentrer dans son jeu sans m'en rendre compte, l'adopter et l'apprécier, ésperer sa rédemption. Hors dans le film de Vidor, je n'ai jamais ressentit ça. Assez déçu donc.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
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Bette Davis (1908-1989)
Dans la série des portraits, je termine cette année 2004 par une grande actrice du cinéma américain qui a marqué de son aura un nombre considérable de film, la talentueuse Bette Davis.
Riche d'une carrière comportant 85 films ( elle débuta en 1931 par le film Bad Sister), elle continuera à exercer son métier jusqu'à sa mort, n'hésitant pas à tourner pour la télévision faisant fi de son statut de star du cinéma.
Elle devint une des plus grandes vedettes du studio Warner et s'imposa au tout premier plan du cinéma américain des années trente et quarante.
Elle a eu comme partenaires Humphrey Bogart, James Cagney, Errol Flynn, Henry Fonda, Paul Muni, Spencer Tracy, Leslie Howard, Edward G Robinson, soit un beau tableau de chasse.
Actrice qui ne manquait pas d'aplomb en publiant cette annonce, je cite :
"Mère de trois enfants - 10, 11 et 15 ans - Divorcée. Américaine. Trente ans d'expérience dans le cinéma. Toujours en vie et de meilleure humeur qu'on ne le dit. Cherche emploi à Hollywood. Expériences à Broadway".
Source Monsieur Cinéma.
Au hasard des différents cycles (cinéma de minuit ou autre), j'ai pu voir les films suivants :
Jezebel de William Wyler (1938)
(personnage taillé sur mesure pour Bette Davis)
Juarez de William Dieterle (1939)
La vie privée d'Elizabeth d'Angleterre de Michael Curtiz (1939)
Elle n'hésite pas à se vieillir et s'enlaidir pour ce rôle d'Elisabeth où elle traduit admirablement les angoisses, les désirs d'une femme, Reine d'Angleterre.
La Vipère de William Wyler (1941)
Un autre grand rôle de composition pour Bette Davis qui interprète une belle garce.
Eve (All About Eve) de Joseph L. Mankiewicz '1950)
Film brillant et dévastateur sur le milieu théâtral.
Le Seigneur de l'aventure de Henry Koster (1955)
Seize ans après, elle retrouve de nouveau Elisabeth d'Angleterre
Milliardaire d'un jour de Frank Capra (1960)
Remake d'un film de Capra Lady For a day. Se laisse voir pour son rôle en Annie La Pomme.
Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (1961) de Rober Aldrich
Découvert cette année, ce film est incroyable par la performance de ses deux monstres, Bette Davis et Joan Crawford.
L'Argent de la vieille de Luigi Comencini (1972)
Pas le plus connu des films de ce grand réalisateur italien, dont l'intrigue autour d'une partie de carte se révèle drôle et grave à la fois. Les interprètes étant, outre Bette Davis, Alberto Sordi, Sylvana Mangano et Joseph Coten.
Mort sur le Nil de John Guillermin (1978)
Voilà, je termine ces quelques lignes en vous souhaitant de passer un bon réveillon.
Bonnes fêtes de fin d'année à tous !!!!
Riche d'une carrière comportant 85 films ( elle débuta en 1931 par le film Bad Sister), elle continuera à exercer son métier jusqu'à sa mort, n'hésitant pas à tourner pour la télévision faisant fi de son statut de star du cinéma.
Elle devint une des plus grandes vedettes du studio Warner et s'imposa au tout premier plan du cinéma américain des années trente et quarante.
Elle a eu comme partenaires Humphrey Bogart, James Cagney, Errol Flynn, Henry Fonda, Paul Muni, Spencer Tracy, Leslie Howard, Edward G Robinson, soit un beau tableau de chasse.
Actrice qui ne manquait pas d'aplomb en publiant cette annonce, je cite :
"Mère de trois enfants - 10, 11 et 15 ans - Divorcée. Américaine. Trente ans d'expérience dans le cinéma. Toujours en vie et de meilleure humeur qu'on ne le dit. Cherche emploi à Hollywood. Expériences à Broadway".
Source Monsieur Cinéma.
Au hasard des différents cycles (cinéma de minuit ou autre), j'ai pu voir les films suivants :
Jezebel de William Wyler (1938)
(personnage taillé sur mesure pour Bette Davis)
Juarez de William Dieterle (1939)
La vie privée d'Elizabeth d'Angleterre de Michael Curtiz (1939)
Elle n'hésite pas à se vieillir et s'enlaidir pour ce rôle d'Elisabeth où elle traduit admirablement les angoisses, les désirs d'une femme, Reine d'Angleterre.
La Vipère de William Wyler (1941)
Un autre grand rôle de composition pour Bette Davis qui interprète une belle garce.
Eve (All About Eve) de Joseph L. Mankiewicz '1950)
Film brillant et dévastateur sur le milieu théâtral.
Le Seigneur de l'aventure de Henry Koster (1955)
Seize ans après, elle retrouve de nouveau Elisabeth d'Angleterre
Milliardaire d'un jour de Frank Capra (1960)
Remake d'un film de Capra Lady For a day. Se laisse voir pour son rôle en Annie La Pomme.
Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (1961) de Rober Aldrich
Découvert cette année, ce film est incroyable par la performance de ses deux monstres, Bette Davis et Joan Crawford.
L'Argent de la vieille de Luigi Comencini (1972)
Pas le plus connu des films de ce grand réalisateur italien, dont l'intrigue autour d'une partie de carte se révèle drôle et grave à la fois. Les interprètes étant, outre Bette Davis, Alberto Sordi, Sylvana Mangano et Joseph Coten.
Mort sur le Nil de John Guillermin (1978)
Voilà, je termine ces quelques lignes en vous souhaitant de passer un bon réveillon.
Bonnes fêtes de fin d'année à tous !!!!
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Re: Portrait "Bette Davis"
J'avais lu ça en effet. C'était avant qu'Aldrich ne lui redonne un rôle pour Baby Jane, non ? C'est excellent et ça montre le caractère de la grande dame du cinéma américain.bogart a écrit : Actrice qui ne manquait pas d'aplomb en publiant cette annonce, je cite :
"Mère de trois enfants - 10, 11 et 15 ans - Divorcée. Américaine. Trente ans d'expérience dans le cinéma. Toujours en vie et de meilleure humeur qu'on ne le dit. Cherche emploi à Hollywood. Expériences à Broadway".
A mon avis, c'est l'actrice la plus talentueuse de sa génération. Voir l'une des plus grandes comédiennes américaines.
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Je viens de recevoir en dvd zone 1 "The Watcher in the Woods / Les Yeux de la Forêt" (John Hough, 1980), avec Bette Davis, Caroll "Baby Doll" Baker, et la très belle Lynn-Holly Johnson. Un film fantastique charcuté lors de sa sortie en salle. Je ne l'avais jamais vu (enfin, j'avais lu la version bd, dans le Journal de Mickey, qui curieusement reprenait la trame d'origine !). C'était le temps où les productions Walt Disney se diversifiaient en faisant des films plus sombres (Le Trou Noir, 1979, La Foire des Ténèbres, 1983).
I wish I was in Tijuana, eating barbequed Iguana, I'd take requests on the telephone, I'm on a wavelength far from home. I'm on a Mexican Radio, I'm on a Mexican, woaa Radio !
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Deux rôles où elle donne la démesure de son talent : Baby Jane et Chut, chut, chère Charlotte. Rarement une actrice accepte la vieillesse (ou plutôt le système le lui interdit), et Bette Davis a la force et l'aplomb d'en jouer.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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Au début de sa carrière, elle avait été modelée sur le modèle Constance Bennett ( il y a pas d'actrices aussi disparates que Connie et Bette), car cette dernière était trop chère et trop rusée dans la négociation de ses contrats. Carole Lombard aussi a commencé en "Connie B. du pauvre". Puis les 2 ont développé leurs propres personae, et d'ailleurs Constance est un peu oubliée alors que Bette (et dans une poindre mesure Carole Lombard) a survécu dans la mémoire cinématographique.Lord Henry a écrit :Avant William Wyler, il y eut la Bette Davis blonde platine, héroïne de comédies ou de mélodrames routiniers à la Warner, qui déjà vampirisait l'écran.
Il y avait aussi un mufle qui à l'époque avait annoncé qu'il "ne lui prédisait aucun avenir au cinéma car il n'imaginait aucun partenaire mâle la culbuter" . C'est pour ça qu'on a essayé d'abord de la fondre dans le moule en la teignant en blonde platine, lui rasant les sourcils, lui faire adopter une coupe de style "renaissance" qui fut so successful pour Constance Bennett, etc. Je comprend que Bette ait dévelloppé une mentalité revancharde. Alors qu'elle n'a jamais été plus fascinante que dans "All about Eve" où elle a retrouvé sa couleur de cheveux, ses sourcils, sa taille, son bâgout, royale quoi !
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Re: Portrait "Bette Davis"
Pour moi c'est carrément la plus grande actrice de tout les temps ni plus ni moins, juste devant Katharine HepburnGeorge Kaplan a écrit :
A mon avis, c'est l'actrice la plus talentueuse de sa génération. Voir l'une des plus grandes comédiennes américaines.
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Sur la fin de sa carrière, elle s'illustra dans le genre fantastique (Disney) outre "Les yeux de la forêt", on la vit dans "Les Visteurs d'un autre monde (1978) " également réalisé par John Hough.Wall of Voodoo Fan a écrit :Je viens de recevoir en dvd zone 1 "The Watcher in the Woods / Les Yeux de la Forêt" (John Hough, 1980), avec Bette Davis, Caroll "Baby Doll" Baker, et la très belle Lynn-Holly Johnson. Un film fantastique charcuté lors de sa sortie en salle. Je ne l'avais jamais vu (enfin, j'avais lu la version bd, dans le Journal de Mickey, qui curieusement reprenait la trame d'origine !). C'était le temps où les productions Walt Disney se diversifiaient en faisant des films plus sombres (Le Trou Noir, 1979, La Foire des Ténèbres, 1983).
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Dans "The Watcher in the Woods", Bette Davis est deux fois plus effrayante que ledit occupant des bois, brrrrrrrbogart a écrit :Sur la fin de sa carrière, elle s'illustra dans le genre fantastique (Disney) outre "Les yeux de la forêt", on la vit dans "Les Visteurs d'un autre monde (1978) " également réalisé par John Hough.Wall of Voodoo Fan a écrit :Je viens de recevoir en dvd zone 1 "The Watcher in the Woods / Les Yeux de la Forêt" (John Hough, 1980), avec Bette Davis, Caroll "Baby Doll" Baker, et la très belle Lynn-Holly Johnson. Un film fantastique charcuté lors de sa sortie en salle. Je ne l'avais jamais vu (enfin, j'avais lu la version bd, dans le Journal de Mickey, qui curieusement reprenait la trame d'origine !). C'était le temps où les productions Walt Disney se diversifiaient en faisant des films plus sombres (Le Trou Noir, 1979, La Foire des Ténèbres, 1983).
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