Nous sommes ici devant un film parlant typique de Harold Lloyd, le moins intéressant toutefois dans le groupe de 4 film tardifs(1930/1936) réédités sur le coffret New Line de l'hiver dernier(Meilleur objet DVD du monde qi vous voulez mon avis). Mais le clou est inévitablemant la reprise de la fameuse escalade de Safety Last. Mais on sent la répétition inutile, même si on comprend qu'un dieu du muet ait besoin en 1930 de faire ce rappel à l'ordre... Et c'est vrai qu'il n'y a pas de "liant" dans ce film, contrairement au chef d'oeuvre de 1923, dans lequel tout coule de source: les films muets de Lloyd étaient vraiment admirablement construits. Un autre problême ici, c'est précisément le son: il est irritant d'entendre l'auto-commentaire permanent de lloyd sur sa propre cascade:"Oh God! Look out! Ahhh...." Tout ceci nous fait clairement regretter l'ancienne version de la même cascade. Movie Crazy(1932) est meilleur. Cat's Paw(1934) est... disons... curieux, mais passionnant; quant à Milky Way(1936), ce n'est ni un mauvais Lloyd, ni un mauvais McCarey: on a fait pire comme pedigree...bruce randylan a écrit :a défaut de trouver un vrai topic je poste ici
A la hauteur - Feet First
retrouvaille avec Harold Lloyd que j'avais pas vu depuis une bonne dizaine d'année ( seulement Monte la-dessus pour être précis ).
C'est pas mal du tout mais le problème vient de la structure du film qui ressemble trop à un bout de bout de plusieurs court-métrages interchangeables et sans grand rapport entre eux ( Harold sur un Bateau, harold vendeur de chaussure, harold fait ses 1er pas dans le grand monde, harold sur la facade du building ).
C'est trop bien trop long et assez mal enchainé pour ne pas éviter une certaine lassitude au bout d'un moment.
Heureusement ça demeure assez drôle et le personnage de Lloyd attire la sympathie mais n'a pas le charisme d'une Buster Keaton.. Les gags sont parfois brillament inventifs, voir poétique d'autres plus prévisibles.
Le final est en revanche vraiment trés chouette, spectaculaire et jubilatoire où Lloys se trouve une nouvelle fois à plusieurs dizaine de mètres du vide.
15 minutes brillantes où le talent de l'artiste éclate de mille feux.
Un artiste à redécouvrir d'autant que les bonus du coffret dvd montre une période muette qui m'a l'air fabuleuse ( cette scène de mots croisés sur des petits mots doux est extraordinnaire, une des plus scènes de rencontres jamais écrites et filmées ).
Harold Lloyd (1893-1971)
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Grand comique burlesque des années 20, Harold Lloyd en est le plus étrange, à la fois imprévisible et son contraire, muet et bavard, imprudent et serein. Pour avoir vu Monte la-d'ssus (1923) de Fred Newmeyer et Sam Taylor, sur grand écran au festival de la Rochelle, cette occasion reste la meilleure découverte de ce comique inédit.
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Vive le sport
Plutto réussi dans l'ensemble malgré un scenario basique comme beaucoup ont été fait à l'époque.
Il faut donc s'attendre à une histoire trés prévisible qui ne fonctionne pas trés bien d'ailleurs avec les années ( College de Buster s'en sort mieux, c'est dire ).
heureusement l'humour a plutot bien franchi le cap des années avec quelques séquences mémorables comme une scène de balle avec un costume qui tombe en lambeau proprement hilarante.
mais le meilleur je trouve sont les séquences "romantiques" véritablement délicieuse. La scène de la rencontre devant la grille de mots croisés est dignes des meilleurs Lubitsch d'ailleurs
Rien de bien original dans la mise en scène qui se réveille surtout durant les séquences marquantes du film pour offrir quelques travelling mettant bien valeur l'action ou un cadrage/découpage quasi-parfait ( l'apparition dans la vitre, la scène bal, le chemin vers les glaces, le match final ).
pas le chef d'oeuvre attendu mais un film sympathique qui remplit sa mission pendant 80 minutes et c'est déja beaucoup !!
Plutto réussi dans l'ensemble malgré un scenario basique comme beaucoup ont été fait à l'époque.
Il faut donc s'attendre à une histoire trés prévisible qui ne fonctionne pas trés bien d'ailleurs avec les années ( College de Buster s'en sort mieux, c'est dire ).
heureusement l'humour a plutot bien franchi le cap des années avec quelques séquences mémorables comme une scène de balle avec un costume qui tombe en lambeau proprement hilarante.
mais le meilleur je trouve sont les séquences "romantiques" véritablement délicieuse. La scène de la rencontre devant la grille de mots croisés est dignes des meilleurs Lubitsch d'ailleurs
Rien de bien original dans la mise en scène qui se réveille surtout durant les séquences marquantes du film pour offrir quelques travelling mettant bien valeur l'action ou un cadrage/découpage quasi-parfait ( l'apparition dans la vitre, la scène bal, le chemin vers les glaces, le match final ).
pas le chef d'oeuvre attendu mais un film sympathique qui remplit sa mission pendant 80 minutes et c'est déja beaucoup !!
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Une série de photos prises par LLoyd dans les années 50 : http://www.photographersgallery.com/by_ ... asp?id=170
edit : il y a des photos de dingues sur ce site
edit : il y a des photos de dingues sur ce site
Dernière modification par Alphonse Tram le 5 juil. 08, 20:50, modifié 1 fois.
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Special Harold Lloyd
J'avais programmé l'enregistrements de 3 courts de Lloyd a TCM il y a deux semaines, mais a cause du mauvais temps j'ai perdu le signal du satellite...
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Re: Special Harold Lloyd
Pour ceux que cela intéresse:
Un coffret avec 6 longs et 4 courts:
DVD 1 : The Freshman - Billy Blazes Esq - The Cat's Paw - Bumping into Broadway
DVD 2 : Speedy - Dr Jack - A Sailor Made Man
DVD 3 : Why Worry ? - Movie Crazy - Haunted Spooks
Le tout pour 5 EUROS !!!
http://www.alapage.com/-/Fiche/DVDVideo ... -lloyd.htm
Idem pour Safety Last!:
http://www.alapage.com/-/Fiche/DVDVideo ... -last-.htm
Un coffret avec 6 longs et 4 courts:
DVD 1 : The Freshman - Billy Blazes Esq - The Cat's Paw - Bumping into Broadway
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Re: Special Harold Lloyd
Aujourd'hui et encore grace a TCM, je découvre Harold Lloyd, 3e grande star de la comédie muette après Chaplin et Keaton. 4 courts metrages dont j'en ai regardé deux aujourd'hui, suite demain.
Bumping Into Broadway (1919)
Premiere découverte de Lloyd et deja je m'amuse. Artiste sans le sous, LLoyd fait tout dans ce cours pour arriver a sortir du logement sans se faire jeter par le gros bras de la propriétaire qui lui a remis son 3e avis de paiement en retard. Il faut le voir courir, monter, descendre l'escalier, tout en jouant a cache-cache avec la propriétaire et le gros bras. Le final se passe dans une salle de jeu illégale ou LLoyd met la main sur le magot et doit tout faire pour éviter la police qui a envahi les lieux. Hilarant , je me suis follement amusé.
Note : 8.5 / 10
Among Those Present (1921)
Ici, LLoyd se fait passer pour un Lord, alors qu'il n'est qu'un "boy" de l'hotel. Il est invité a une chasse au renard chez une famille de riches nobles. Il tombe amoureux de la jeune fille, mais doit jouer son role de Lord. On lui demande des histoires de chasses, et on a droit a 3 récit absolument tordant d'une partie de chasse au canard, ensuite de renard et finalement un furieux combat avec un lion. J'en pleurais de rire. Viens ensuite la fameuse chasse au renard ou finalement Lloyd a affaire a tout un tas d'animal (cheval, moineau, putois, tourreau, chien et bouc) sauf un renard. Il en perd son pantalon et doit se debattre pour éviter de tomber sur les femmes qui se trouvent dans la propriété qui hurlent sans cesse en le voyant sous-vetements (ah l'amérique prude du debut du 20e siecle... franchement... ). Tellement amusant.
Note : 8.5 / 10
Tout ca me donne envie d'en découvrir plus, je vais devoir acheter des dvd de LLoyd moi.
Bumping Into Broadway (1919)
Premiere découverte de Lloyd et deja je m'amuse. Artiste sans le sous, LLoyd fait tout dans ce cours pour arriver a sortir du logement sans se faire jeter par le gros bras de la propriétaire qui lui a remis son 3e avis de paiement en retard. Il faut le voir courir, monter, descendre l'escalier, tout en jouant a cache-cache avec la propriétaire et le gros bras. Le final se passe dans une salle de jeu illégale ou LLoyd met la main sur le magot et doit tout faire pour éviter la police qui a envahi les lieux. Hilarant , je me suis follement amusé.
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Among Those Present (1921)
Ici, LLoyd se fait passer pour un Lord, alors qu'il n'est qu'un "boy" de l'hotel. Il est invité a une chasse au renard chez une famille de riches nobles. Il tombe amoureux de la jeune fille, mais doit jouer son role de Lord. On lui demande des histoires de chasses, et on a droit a 3 récit absolument tordant d'une partie de chasse au canard, ensuite de renard et finalement un furieux combat avec un lion. J'en pleurais de rire. Viens ensuite la fameuse chasse au renard ou finalement Lloyd a affaire a tout un tas d'animal (cheval, moineau, putois, tourreau, chien et bouc) sauf un renard. Il en perd son pantalon et doit se debattre pour éviter de tomber sur les femmes qui se trouvent dans la propriété qui hurlent sans cesse en le voyant sous-vetements (ah l'amérique prude du debut du 20e siecle... franchement... ). Tellement amusant.
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Re: Harold Lloyd
Ah tiens, ça me rappelle que j'ai vu Speedy ( 1928 ) il y a quelques semaines et que j'avais oublié d'en parler ici alors que j'avais beaucoup aimé.
Je dirais même que sur la poignée de long-métrage que j'ai vu, celui-là se place dans le haut du panier.
Avec cette histoire d'un vieux Tramway que des malfrats veulent faire disparaitre, Llyod déploie un panel de gag et de situations irrésistibles qui ne faiblit à un aucun moment. C'est drôle du début à la fois avec un imagination déployée pour transcender chaque idée qui fait plaisir aux pupilles
il n'y a aucun temps mort et les scènes se suivent et ne se ressemblent pas en évitant toute répétition
En plus, c'est rempli de seconds rôles qui sont immédiatement attachants ( voir l'excellente scène de baston où les vieux frittent les mafieux à coups de jambe en bois ).
Je dirais même que sur la poignée de long-métrage que j'ai vu, celui-là se place dans le haut du panier.
Avec cette histoire d'un vieux Tramway que des malfrats veulent faire disparaitre, Llyod déploie un panel de gag et de situations irrésistibles qui ne faiblit à un aucun moment. C'est drôle du début à la fois avec un imagination déployée pour transcender chaque idée qui fait plaisir aux pupilles
il n'y a aucun temps mort et les scènes se suivent et ne se ressemblent pas en évitant toute répétition
En plus, c'est rempli de seconds rôles qui sont immédiatement attachants ( voir l'excellente scène de baston où les vieux frittent les mafieux à coups de jambe en bois ).
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Re: Harold Lloyd
Suite des visionnement d'hier.
From Hand to Mouth (1919)
Encore une fois sans le sous, Lloyd essai de trouver le moyen de se remplir l'estomac, accompagné d'une petite fille et d'un chien. Sauvé de justesse par une riche demoisselle alors qu'ils essayaient d'acheter du pain avec de la fausse monnaie trouvé au hasard par le chien, Lloyd sauvera la demoiselle plus tard des griffes de bandits engagé par un avocats véreux voulant récupéré pour l'heritage de la jeune fille. Scenes hilarantes ou Lloyd qui ne réussi pas a avoir l'attention de la police pour secourir la jeune fille, décide d'attaquer tous les policiers sur son passage et est par la suite poursuivi par une horde de policier qui s'empresseront de tabasser les bandits une fois arrivé sur les lieux.
Note : 8 / 10
Get Out and Get Under (1920)
Cette fois, Lloyd a assez d'argent pour posseder une superbe voiture dont il est tres fier, au point ou il est completement aveugle de ce qui se passe autour lorsqu'il la bichonne comme un petit bébé. Voulant impressionné la femme qu'il compte épousé, Lloyd veut lui faire prendre une promenade en voiture. Celle-ci l'attend au théatre ou il doit jouer le role de l'homme masqué, Lloyd prend sa voiture et apres multiples engeulades avec son voisin, avoir défoncé le garage, il s'engage sur la route... pour tomber en panne quelques kilometres plus loin. S'ensuit toute une série d'aventures rocambolesques avec un petit noir qui s'amuse a le faire facher, des policiers qui le poursuivent, une voiture qui s'enfuit toute seule.... hilarant !
Note : 8.5 / 10
From Hand to Mouth (1919)
Encore une fois sans le sous, Lloyd essai de trouver le moyen de se remplir l'estomac, accompagné d'une petite fille et d'un chien. Sauvé de justesse par une riche demoisselle alors qu'ils essayaient d'acheter du pain avec de la fausse monnaie trouvé au hasard par le chien, Lloyd sauvera la demoiselle plus tard des griffes de bandits engagé par un avocats véreux voulant récupéré pour l'heritage de la jeune fille. Scenes hilarantes ou Lloyd qui ne réussi pas a avoir l'attention de la police pour secourir la jeune fille, décide d'attaquer tous les policiers sur son passage et est par la suite poursuivi par une horde de policier qui s'empresseront de tabasser les bandits une fois arrivé sur les lieux.
Note : 8 / 10
Get Out and Get Under (1920)
Cette fois, Lloyd a assez d'argent pour posseder une superbe voiture dont il est tres fier, au point ou il est completement aveugle de ce qui se passe autour lorsqu'il la bichonne comme un petit bébé. Voulant impressionné la femme qu'il compte épousé, Lloyd veut lui faire prendre une promenade en voiture. Celle-ci l'attend au théatre ou il doit jouer le role de l'homme masqué, Lloyd prend sa voiture et apres multiples engeulades avec son voisin, avoir défoncé le garage, il s'engage sur la route... pour tomber en panne quelques kilometres plus loin. S'ensuit toute une série d'aventures rocambolesques avec un petit noir qui s'amuse a le faire facher, des policiers qui le poursuivent, une voiture qui s'enfuit toute seule.... hilarant !
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- k-chan
- squatteur
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Re:
J'arrive tard, mais comme je viens de découvrir le film, je tiens à dire que je ne suis pas d'accord. Pour ma part, ce film m'a beaucoup plus enthousiasmé que College de Buster Keaton (il faudrait que je revois ce dernier cela dit).bruce randylan a écrit :Vive le sport
( College de Buster s'en sort mieux, c'est dire ).
C'est hilarant, et les parties romantiques du film sont en effet superbes (et je trouve l'actrice plutôt charmante).
Je suis donc dans un un petit cycle Harold Lloyd (les dvd Studio Canal)...
J'avais vu les très bons Haunted Spook (Le manoir hanté), Dr. Jack (et puis ça va !) et Why Worry? (Faut pas s'en faire) il y a quelques mois. De bonnes surprises !
Et maintenant que je continue les découvertes, c'est simple, je suis sur-excité.
Sortent notamment du lot :
- The Freshman (Vive le sport !) : irrésistible, donc.
- Speedy (En vitesse) : un joyaux, carrément époustouflant dans sa deuxième partie (les scènes de rue )
- Never Weaken (Voyage au paradis) : un court métrage jouissif et qui fout le vertige.
- Movie Crazy (Silence, on tourne !) : un film parlant de 1932, qui se passe dans le milieu du cinéma : avec ce film, Harold Lloyd prouve qu'il a passé le cap muet-parlant avec brio. La réalisation est impeccable (certains plans sont vraiment surprenants), le son est très bien utilisé, les dialogues sont bons et les gags visuels propres au muet, parfaitement intégrés, s'enchainent sans temps mort, avec une inventivité qui laisse admiratif. Harold Lloyd et Constance Cummings sont excellents. Une perle !
Je suis hyper fan de Buster Keaton et Charlie Chaplin, mais très grosse surprise, les personnages incarnés par Harold Lloyd me touchent encore plus. Je m'identifie encore plus facilement à lui qu'aux 2 autres géants du cinéma burlesque.
J'adore ses personnages toujours ambitieux mais pas très doués, qui finissent tout de même par triompher. Il est vrai, comme tu le soulignes pour Vive le sport !, que les intrigues sont par moment prévisibles, mais pour ma part, peu importe, je ne demande justement rien d'autre en suivant ce genre de films. Ca fini exactement comme je le souhaite, et c'est ce qui me rend heureux.
Les films longs (pour les muets) fonctionnent en effet un peu par épisodes, et pourraient très bien faire des courts-métrages, mais pour ce que j'ai vu, je trouve que ça s'enchaine toujours très bien. Je ne sais pas si on peut employer le terme "chef-d'oeuvre" pour un de ces films, termes que méritent amplement Le mécano de la General ou Les lumières de la ville, mais on s'en balance. Les films de (ou plutôt "avec", je ne sais pas quel est son niveau d'implication dans la mise en scène) Harold Lloyd, pour les plus réussis, sont vraiment jouissifs.
Je suis fan !! Vivement la suite !
J'ai par contre commis un boulette il y a quelque temps, en voulant regarder Safety Last (Monte là-dessus), son film le plus célèbre. C'était excellent, mais j'étais tellement fatigué que je n'ai pas tenu jusqu'au bout. A revoir, donc.
- cinephage
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Re: Re:
Je partage tout à fait ton entousiasme, k-chan. Harold Lloyd dégage une fraicheur et une certaine naïveté qui collent parfaitement à ce véritable teenage-movie avant l'heure (blagues dans le dos du principal, bal de la promo, enjeu de popularité...). Les situations sont très ingénieuses, souvent très drôles. Le comique ici repose moins sur des enjeux physiques que chez Chaplin ou Keaton, mais c'est néanmoins tout à fait réussi.k-chan a écrit :J'arrive tard, mais comme je viens de découvrir le film, je tiens à dire que je ne suis pas d'accord. Pour ma part, ce film m'a beaucoup plus enthousiasmé que College de Buster Keaton (il faudrait que je revois ce dernier cela dit).bruce randylan a écrit :Vive le sport
( College de Buster s'en sort mieux, c'est dire ).
C'est hilarant, et les parties romantiques du film sont en effet superbes (et je trouve l'actrice plutôt charmante).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re:
Ma foi, je trouve cette critique très positive. Si on compare ce film à Lubitsch, ce n'est quand même pas pour en dire du mal, et ça nous rappelle que Lloyd, en producteur-superviseur avisé, attendait de ses collaborateurs qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes, et cette remarque prouve que c'est un objectif atteint. Si je suis en revanche en porte-à-faux sur la comparaison avec Keaton (Le Lloyd est bien meilleur!!!), j'ajouterais que si on attend des merveilles de ce film, c'est bien parce que c'était le préféré de son auteur. D'où une relative, mais certaine déception.bruce randylan a écrit :Vive le sport
La scène de la rencontre devant la grille de mots croisés est dignes des meilleurs Lubitsch d'ailleurs
- k-chan
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Re: Re:
Si tu n'en as pas vu d'autres, je t'encourage à continuer, notamment avec les films que j'ai cité au-dessus.cinephage a écrit :Je partage tout à fait ton entousiasme, k-chan.
Là, j'aurais très envie d'en voir d'autres : Hot Water, For Heaven's Sake (Pour l'amour du ciel) ,The Kid Brother (Le petit frère), Girl Shy (Ca t'la coupe !) et Grandma's Boy.
Indisponibles chez nous, je crois bien.
C'est surtout la comparaison avec le Keaton qui ma fait tiquer. Visiblement, on est d'accord.allen john a écrit :Ma foi, je trouve cette critique très positive.
De mon coté, un ami à moi (présent par le passé sur le forum, et gros fan de Keaton) ne m'avait guère dit du bien de ce film de Lloyd. Donc pour moi, c'est l'inverse.allen john a écrit :j'ajouterais que si on attend des merveilles de ce film, c'est bien parce que c'était le préféré de son auteur. D'où une relative, mais certaine déception.
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- Euphémiste
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Re: Harold Lloyd
Fan aussi de Chaplin et de Keaton (que je découvre particulierement avec TCM, n'ayant vu que The general en dvd), je suis vraiment tres content de découvrir aussi LLoyd maintenant grace a TCM. Comme K-chan, je trouve ses films bien réussi, meme si pour l'instant je n'ai vu aucun que je qualifierais de chef d'oeuvre comme beaucoup de Chaplin et de Keaton.
Speedy passe le 1er janvier, ca me fera un beau cadeau de fete.
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