Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

[Flol]

Grâce à Yannick Dahan, je viens d'apprendre que :
- non, Anthony Hopkins n'est pas un bon acteur
- si j'ai aimé ce film, c'est uniquement dû à un conditionnement publicitaire généralisé
- je suis un ringard car j'aime encore et toujours ce film

[gehenne]

- je suis un ringard

Ah enfin, une vérité...

[Flol]

Je crois que j'ai tendu un sacré bâton...

[gehenne]

Je crois que j'ai tendu un sacré bâton...

Noooooooooooooooooooooooon !

[Roy Neary]

Qui aime bien châtie bien : Yannick Dahan, sur ce coup, dit des conneries plus grosses que sa faconde.

[Colqhoun]

Je crois que j'ai tendu un sacré bâton...

Prétentieux.

[Ouf Je Respire]

C'est un remaster de merde.

Ah? Tant que ça? Je ne dois donc pas l'acheter?

[frédéric]

Revu tout récemment. Une remastérisation, pas si parfaite, notamment dans les scènes sombres au début dans le château, mais après ça s'arrange vraiment.

Quand au film, il vieillit bien je trouve. Il reste toujours aussi émouvant et fantastique pour moi avec un Gary Oldman remarquable et une craquante Winona Ryder (dommage que l'on ne la voit plus).

[DaveDevil666]

J'ai cru voir dans le film un hommage à Orson Welles :

on y voit à un moment Anthony Hopkins/Van Helsing, lorsqu'il rentre dans une maison, dans un accoutrement faisant apparemment référence à Welles présentant "Orson Welles Great Mysteries", vêtu d'une cape, portant un chapeau et fumant le cigare.

http://archives.emissions.ca/607-4511-709198.html

[Zelda Zonk]

Revu le film la semaine dernière sur le câble, après de longues années.

C'est toujours aussi beau et bluffant, tant au niveau mise en scène, décors, traitement de l'image que scénario. On ne soulignera jamais assez l'intellligence de Coppola concernant les partis-pris par rapport au bouquin de Stocker, l'oeuvre originale pouvant être réputée comme un chef-d'oeuvre inadaptable. Les choix du cinéaste sont excellents, entre fidélité et trahison, il nous propose une relecture magnifique du roman.
Mes seules réserves (mineures) concernent l'interprétation : Reaves est un peu trop lisse, et Hopkins cabotine un peu.

Reste que j'ai été scotché de bout en bout, mais que je bouillais aussi de rage dans mon fauteuil : "putain, pourquoi le père Coppola s'est détourné de cette voie qui lui va si bien : l'adaptation de grands romans/sagas ? Pourquoi a-t-il perdu la foi ?" On a perdu là un immense cinéaste.

[Flol]

Reste que j'ai été scotché de bout en bout, mais que je bouillais aussi de rage dans mon fauteuil : "putain, pourquoi le père Coppola s'est détourné de cette voie qui lui va si bien : l'adaptation de grands romans/sagas ? Pourquoi a-t-il perdu la foi ?" On a perdu là un immense cinéaste.

Tu as vu Youth Without Youth ?

[Watkinssien]

Reste que j'ai été scotché de bout en bout, mais que je bouillais aussi de rage dans mon fauteuil : "putain, pourquoi le père Coppola s'est détourné de cette voie qui lui va si bien : l'adaptation de grands romans/sagas ? Pourquoi a-t-il perdu la foi ?" On a perdu là un immense cinéaste.

Tu as vu Youth Without Youth ?

+1 !

[Flol]

Tu as vu Youth Without Youth ?

+1 !

Ben quoi, j'ai juste posé une question.
Et "!" toi-même !

[Watkinssien]

J'ai pris ta question dans le sens où tu as assez apprécié le dernier Coppola pour ne pas dire qu'on a perdu ce cinéaste !

[Flol]

J'ai pris ta question dans le sens où tu as assez apprécié le dernier Coppola pour ne pas dire qu'on a perdu ce cinéaste !

Oui...en fait c'est ça.
Mais quand même !