Re: Les derniers Bonus que vous avez vus
Publié : 10 oct. 20, 18:22
Lorenzo : le blu-ray tout fraichement sorti chez Elephant a pour seul bonus une présentation de 27 minutes par Rafik Djoumi (dont la perte de poids est impressionnante), et elle est vraiment intéressante, car on sent qu'il défend avec passion le film, qui est par ailleurs le préféré de George Miller de sa carrière.
Les coulisses sont assez vite évacués (Michelle Pfeiffer et Andy Garcia pressentis à la place de Susan Sarandon et Nick Nolte), car le tournage a été assez tranquille si on excepte la famille du petit garçon qui était assez envahissante sur le plateau. Djoumi fait à la place une analyse extrêmement sentie du film, qu'il compare à une guerre, et à un refus de l'ordre établi, deux thèmes qui parcourent la plupart de l’œuvre de Miller. Il v a même jusqu'à parler d'horreur dans les scènes de râle du garçon, dont la mise en scène de ces plans auraient inspiré des films comme Conjuring ou des œuvres de la même période.
Enfin, il va parler de la réception critique (assez bonne aux USA, inexistante en France à part un article écrit par lui-même au temps du Cinéphage), commerciale (où le film a été vendu comme une séance du samedi soir et il est assez critique sur l'affiche qui ne représenterait en rien l’œuvre), et sur sa quasi-absence d'exploitation vidéo, ce qui a fait que Lorenzo est, jusqu'à encore très récemment, un film méconnu. Il revient aussi sur la postérité du film, qu'on retrouve dans Paul ou les séries American dad et Community.
Les coulisses sont assez vite évacués (Michelle Pfeiffer et Andy Garcia pressentis à la place de Susan Sarandon et Nick Nolte), car le tournage a été assez tranquille si on excepte la famille du petit garçon qui était assez envahissante sur le plateau. Djoumi fait à la place une analyse extrêmement sentie du film, qu'il compare à une guerre, et à un refus de l'ordre établi, deux thèmes qui parcourent la plupart de l’œuvre de Miller. Il v a même jusqu'à parler d'horreur dans les scènes de râle du garçon, dont la mise en scène de ces plans auraient inspiré des films comme Conjuring ou des œuvres de la même période.
Enfin, il va parler de la réception critique (assez bonne aux USA, inexistante en France à part un article écrit par lui-même au temps du Cinéphage), commerciale (où le film a été vendu comme une séance du samedi soir et il est assez critique sur l'affiche qui ne représenterait en rien l’œuvre), et sur sa quasi-absence d'exploitation vidéo, ce qui a fait que Lorenzo est, jusqu'à encore très récemment, un film méconnu. Il revient aussi sur la postérité du film, qu'on retrouve dans Paul ou les séries American dad et Community.