arfJack Sullivan a écrit :http://www.marmotte.net/milka/milka.mpgkayman a écrit : bon je voulais juste mettre l'accent sur l'une de ces Kieslowski's touch
La double vie de Véronique
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Kieslowski est mort d'une crise cardiaque. Littéralement il n'en pouvait plus sur toute la fin de sa vie. Faire des films le tuait littéralement, physiquement et psychologiquement. Apres sa trilogie Bleu Blanc rouge il avait déclaré qu'il ne pensait pas pouvoir refaire un film.Boubakar a écrit :En parcourant le dvd, je vois que le réalisateur est disparu très tôt (à 55 ans ). De quoi souffrait-il ?
Je me souviens d'ailleurs du Nulle Part Ailleurs sur C+ qu'il a fait à l'epoque d ela sortie de la trilogie, il semblait a bout de souffle, moribond.
Il avait entre autre sous le coude une trilogie Enfer / Paradis / Purgatoire. Y a de quoi s'arracher les neurones, quelle perte...
Pour l'anecdote il est mort le 13 mars 96, le meme jour que Fulci.
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tant que ca quoi, l'emotion que dégage le film ? ca doit dépendre des gens...je serais tenté de dire oui pour ma part.Boubakar a écrit :Ma copine, actuellement sur Paris, m'a dit avoir chialé après avoir revu le film.
Tant que ça ?
Dans les 90's, la vision me laissait triste pour plusieurs jours, j'y vois d'autres choses maintenant, plus "aériennes".
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Disons que certaines séquences près de la fin, notamment... je ne veux pas tirer de généralité, mais le thème de la recherche de l'Autre et de l'aspiration à l'Amour est tellement présent et bien rendu que ça prend à la gorge.Boubakar a écrit :Oui, ce qu'elle m'a dit, c'est que l'ambiance, l'émotion dégagée par le film l'a fait fondre en larmes.
Si tu es avec ton/ta copain/pine, encore, ça peut aller, mais sans, je peux concevoir un gros vague à l'âme...
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Rien que de lire ce que tu as écris, j'ai eu un gros point au coeur . Donc il vaut mieux que j'évite ce film pour le moment. C'est sympa de prévenir.Jack Sullivan a écrit :Disons que certaines séquences près de la fin, notamment... je ne veux pas tirer de généralité, mais le thème de la recherche de l'Autre et de l'aspiration à l'Amour est tellement présent et bien rendu que ça prend à la gorge.Boubakar a écrit :Oui, ce qu'elle m'a dit, c'est que l'ambiance, l'émotion dégagée par le film l'a fait fondre en larmes.
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Paradoxalement, la double vie fait partie des films dont je ne souhaite pas percer le mystère...
Trop d'irrationnel dans mon attachement à ce film. Trop de moi-même.
Alors qu'en général, j'adore décortiquer les films que j'apprécie, certains d'entre eux occupent un territoire sacré, sur lequel je n'ose pas m'aventurer. Il y a quelques films comme ça, qui doivent, pour moi, rester vierges de tout travail (intellectuel, s'entend). Je n'aime pas analyser pourquoi je les aime, ce que j'y apprécie, quels en sont les défauts.
Du coup, je ne lirai sans doute pas ce livre, malgré les innombrables informations qu'il renferme.
Trop d'irrationnel dans mon attachement à ce film. Trop de moi-même.
Alors qu'en général, j'adore décortiquer les films que j'apprécie, certains d'entre eux occupent un territoire sacré, sur lequel je n'ose pas m'aventurer. Il y a quelques films comme ça, qui doivent, pour moi, rester vierges de tout travail (intellectuel, s'entend). Je n'aime pas analyser pourquoi je les aime, ce que j'y apprécie, quels en sont les défauts.
Du coup, je ne lirai sans doute pas ce livre, malgré les innombrables informations qu'il renferme.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell