Période "Love and the Beat" et "You're under arrest"...
No comment.
Mais ça fait l'unanimité, il me semble...
Sans dec ? Si je gardais un disque de Gainsbourg, ce serait "Under arrest", chef-d'oeuvre absolu de romantisme noir.
Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.
Sans dec ? Si je gardais un disque de Gainsbourg, ce serait "Under arrest", chef-d'oeuvre absolu de romantisme noir.
Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.
C'est super, mais c'est comme Nougaro ou Brassens : la virtuosité me bluffe à chaque fois, mais sur le plan de l'émotion ça m'en touche une sans bouger l'autre.
Pour moi, la période 1958-1971 est dix mille fois au-dessus, même s’il ne vendait pas un album. J’adore ses cinq premiers albums mélange subtile de culture française classique et de musique jazz grâce aux orchestrations de Alain Goraguer.
C'est super, mais c'est comme Nougaro ou Brassens : la virtuosité me bluffe à chaque fois, mais sur le plan de l'émotion ça m'en touche une sans bouger l'autre.
Comme Supfiction L’alcool, Ce mortel ennui, Les petits riens, Amours sans Amour, .... sans parler d’Hotel particulier je les echanges pas contre Five easy pisseuses ou Suck baby suck....
Re: Serge Gainsbourg (1928-1991)
Publié : 31 mars 21, 21:16
par Supfiction
Scénique Railway, Baudelaire (chef-d’œuvre absolu entendu dans A single man), Black trombone, Intoxicated man..
Re: Serge Gainsbourg (1928-1991)
Publié : 31 mars 21, 23:22
par The Eye Of Doom
Supfiction a écrit : ↑31 mars 21, 21:16
Scénique Railway, Baudelaire (chef-d’œuvre absolu entendu dans A single man), Black trombone, Intoxicated man..
+1
Baudelaire c’est assez incroyable en effet. J’aime beaucoup aussi une autre de ses « adaptations », Honte à toi qui fut la mere de mes premières douleurs.... »
C’est comme quand Brassens chante Jean Richepin : Les oiseaux de passages » ou « Philistins, epiciers , tandis que vous carressiez vos femmes... » j’ai oublié le titre...