Les dvd devant lesquels je me suis endormi (Mars 2006)
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Les dvd devant lesquels je me suis endormi (Mars 2006)
Je vous propose un petit topic sur les films qui vous ont passablement barbé ce mois-ci ou qu'il faut regarder dans des conditions physiques et mentales optimales (une vitamine C au lieu d'un litre de bière devant L'Amour fou de Rivette...).
Pour mois, KO par deux fois hier soir (deux essais, deux ratés...) avec :
vraiment trop petits les sous-titres...
puis, en désespoir de cause :
ça m'apprendra à commencer les films à 23h30...
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Tiens c'est marrant ça...
Moi c'est tout le contraire ! Regarder des chef-d'oeuvres très tard dans la nuit, c'est le pied total. On met le casque sur les oreilles et hop, immersion totale... On a vraiment l'impression de communier avec l'oeuvre, que le monde entier se résume à un film et son spectateur.
Je me rappelle avoir commencé des Nostalghia et des Eraserhead vers 1h du mat... extraordinaire !
Moi c'est tout le contraire ! Regarder des chef-d'oeuvres très tard dans la nuit, c'est le pied total. On met le casque sur les oreilles et hop, immersion totale... On a vraiment l'impression de communier avec l'oeuvre, que le monde entier se résume à un film et son spectateur.
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C'est le bat dodo ?;)
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Il est vrai que certains films peuvent bénéficier d'un état entre deux, du moins pour une première vision : on n'est pas assoupi, mais on n'est pas non plus aussi vif qu'en pleine journée, du coup les images et les sons nous pénètrent plus facilement. J'ai ainsi souvenir d'une projection d'Avalon à 02:00 du matin où j'ai découvert le film comme un rêve. Un bon Lynch à 04:00 est également appréciable.masquedemort a écrit :Tiens c'est marrant ça...
Moi c'est tout le contraire ! Regarder des chef-d'oeuvres très tard dans la nuit, c'est le pied total. On met le casque sur les oreilles et hop, immersion totale... On a vraiment l'impression de communier avec l'oeuvre, que le monde entier se résume à un film et son spectateur.
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Pas plus tard qu'avant-hier, je n'ai pas pu lutté très longtemps face aux nombreuses digressions de ce film (que j'apprécie, je précise):
Sinon, de manière générale, j'évite de lancer un film quand je sens que je n'en verrai pas la fin... je suis incapable de me laisser bercer, je force mon attention autant que possible... et c'est pas le panard.
Sinon, de manière générale, j'évite de lancer un film quand je sens que je n'en verrai pas la fin... je suis incapable de me laisser bercer, je force mon attention autant que possible... et c'est pas le panard.
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Exactement. (ça me fait marrer car c'est un point de vue que j'ai défendu vendredi soir sur MSN face à deux forumeurs, qui étaient plus que perplexes)Swan a écrit :Il est vrai que certains films peuvent bénéficier d'un état entre deux, du moins pour une première vision : on n'est pas assoupi, mais on n'est pas non plus aussi vif qu'en pleine journée, du coup les images et les sons nous pénètrent plus facilement. J'ai ainsi souvenir d'une projection d'Avalon à 02:00 du matin où j'ai découvert le film comme un rêve. Un bon Lynch à 04:00 est également appréciable.
C'est bon de se sentir compris.
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Pour ma part, c'est souvent l'après midi que je peux piquer du nez pendant qq minutes (je mets pause, je m'assoupi entre 5 et 15 mn et c'est reparti sans pb arpès). Bcp moins le soir.
Par contre à partir d'une certaine heure (souvent après 1h), ce n'est souvent plus la peine d'insister. Chef d'oeuvre ou bouse...
Par contre à partir d'une certaine heure (souvent après 1h), ce n'est souvent plus la peine d'insister. Chef d'oeuvre ou bouse...
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Absolument : je le répète, ma première vision de Lost highway s'est déroulée vers 2h du mat', alors que je venais de regarder deux ou trois autres films avant. Pour dire, je me suis forcé à le regarder car je devais le rendre au video club avant 14h le lendemain ( enfin le jour même ).Swan a écrit :[...]J'ai ainsi souvenir d'une projection d'Avalon à 02:00 du matin où j'ai découvert le film comme un rêve. Un bon Lynch à 04:00 est également appréciable.
Eh bien ç'a été l'expérience de ciné la plus immersive de toute ma vie : j'étais crevé, rassasié d'images des films précédents, résultat je n'ai absolument pas vu le temps passer, j'étais incapable de savoir qui faisait quoi, mais j'étais tellement plongé dans cette ambiance unique, que quand le générique de fin est arrivé je l'ai regardé jusqu'au bout. Et j'ai dû attendre une ou deux minutes d'écran noir après pour me rendre compte que le film était fini.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?