C'est un véritable bonheur. Et puis c'est tellement vrai !AlexRow a écrit :Bon ben puisqu'on sort Georges du placard
Ancienne enfant d'Marie-salope
Mélanie, la bonne au curé,
Dedans ses trompes de Fallope,
S'introduit des cierges sacrés.
Des cierges de cire d'abeille
Plus onéreux, mais bien meilleurs, {2x}
Dame! la qualité se paye
A Saint-Sulpice, comme ailleurs. {2x}
La chanson paillarde que vous avez dans la tête
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Marjolaine avait mauvaise haleine
Et chacun savait pourquoi
Elle avait toujours la bouche pleine
Et c'était pas du nougat
Elle faisait tellement de pipes
Qui n'étaient pas en bruyères
Elle n'a jamais vu le visage d'un type
Mais des miliers de derrières
Et chacun savait pourquoi
Elle avait toujours la bouche pleine
Et c'était pas du nougat
Elle faisait tellement de pipes
Qui n'étaient pas en bruyères
Elle n'a jamais vu le visage d'un type
Mais des miliers de derrières
"Ah ! Celui-là, au moins, était innocent, vous le savez bien !"
- murphy
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Je bois
A trop forte dose
Je vois
Des éléphants roses
Des araignées sur le plastron
D'mon smoking
Des chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
Room
L'amour
Ne m'dit plus grand chose
Toujours
Ces araignées sur le plastron
D'mon smoking
Ces chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
Room
A trop forte dose
Je vois
Des éléphants roses
Des araignées sur le plastron
D'mon smoking
Des chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
Room
L'amour
Ne m'dit plus grand chose
Toujours
Ces araignées sur le plastron
D'mon smoking
Ces chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
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Murphy, c'est un chaud.AlexRow a écrit :C'est drôlement paillard
Please re-mix Death Magnetic Remastered in 2015 (digital download)!
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Je ne veux pas savoir pourquoi.Cinzano a écrit :C'est un véritable bonheur. Et puis c'est tellement vrai !Ancienne enfant d'Marie-salope
Mélanie, la bonne au curé,
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Des cierges de cire d'abeille
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"Give me all the bacon and eggs you have."
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- C'est du harfang
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Bigre, il s'en chante, par ici, des chansons grivoises...murphy a écrit : Tu es là
Comme un marbre rose
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Bali Balo dans son berceauSimone Choule a écrit :J'aime également beaucoup la chute, pleine d'espoir :
Bali Balo dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil
Avec sa bite en arc de cercle
Il parvint à soulever l’couvercle
Ah-ah-ah oui vraiment Bali Balo
Est un salaud !
Bandait déjà comme un taureau
Fils de pute lui dit sa mère
T'en fais déjà plus que ton père
Ah-ah-ah oui vraiment Bali Balo
Est un salaud !
-
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Il ne manque plus que le De profundis morpionibus et on aura fait le tour des grands classiques.
Il restera encore quelques trésors profondément enfouis dans les abysses des siècles, comme ce très charmant :
Ung jour Colin la Colette accula
En luy disant : "Or mettez le cul la".
Puis de si pres se print à l'acoler
Qu'en l'acolant (bricolant) la gouste fist couler,
La gouste fist couler,
Et pour culer jamais ne recula.
(vers 1550)
Il restera encore quelques trésors profondément enfouis dans les abysses des siècles, comme ce très charmant :
Ung jour Colin la Colette accula
En luy disant : "Or mettez le cul la".
Puis de si pres se print à l'acoler
Qu'en l'acolant (bricolant) la gouste fist couler,
La gouste fist couler,
Et pour culer jamais ne recula.
(vers 1550)
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Idylle souterraine (aka la jeune fille du métro)
1. C'était un' jeun' fill' simple et bonne
R'fusant rien à personne
Un jour dans l' métro y avait presse,
Un jeune homme osa, je l' confesse,
Lui passer la main sur les...ch'veux
Comme elle avait bon coeur
Ell' s'rapprocha un peu
2. Le type vit l' mouv'ment d' la d'moiselle
Et recommença de plus belle;
Puis, comme dans l'coeur de l'homme tout d'suite
S'réveill' le cochon qui y habite,
Sans attendr' il sortit sa...carte,
Elle vit qu'il s'app'lait Jules
Et d'meurait rue Descartes.
3. L' métro continuait son voyage
Ell' se dit: " C' garçon n'est pas sage
Je sens quelque chos' de pointu,
Qui, d'un air ferme et convaincu,
Tâche de pénétrer dans mon...coeur
O sentiment nouveau,
Doux frisson du bonheur !"
4. Comme elle avait peur pour sa robe,
A cette attaque ell' se dérobe;
Et pour savoir c' qui la chatouille,
Derrièr' son dos ell' tripatouille,
Et tomb' sur un' bell' pair' de...gants,
Que l' jeune homme, à la main,
Tenait candidement
5. Alors, n'ayant plus aucun doute
Elle dit à son compagnon d'route
"C'que tu fais là, c'est ridicule
Tu vas trouer mon caracul
Puisqu'à toute fin, 'faut qu'tu m'em...bête
Je m'retrousse, car en d'ssous
L'ouverture est toute faite.
6. Ça prouve qu'à à Paris quand on s'aime,
On peut s' le dire en public même
Les amoureux ne s' font pas d' bile,
A travers tout ils se faufilent,
Qu'on les r'garde ou non, ils s'en...fichent
L'amour ouvre les yeux
Aux gens les plus godiches.
1933, paroles : Louis Hennevé/ musique: Gaston Gabaroche
1. C'était un' jeun' fill' simple et bonne
R'fusant rien à personne
Un jour dans l' métro y avait presse,
Un jeune homme osa, je l' confesse,
Lui passer la main sur les...ch'veux
Comme elle avait bon coeur
Ell' s'rapprocha un peu
2. Le type vit l' mouv'ment d' la d'moiselle
Et recommença de plus belle;
Puis, comme dans l'coeur de l'homme tout d'suite
S'réveill' le cochon qui y habite,
Sans attendr' il sortit sa...carte,
Elle vit qu'il s'app'lait Jules
Et d'meurait rue Descartes.
3. L' métro continuait son voyage
Ell' se dit: " C' garçon n'est pas sage
Je sens quelque chos' de pointu,
Qui, d'un air ferme et convaincu,
Tâche de pénétrer dans mon...coeur
O sentiment nouveau,
Doux frisson du bonheur !"
4. Comme elle avait peur pour sa robe,
A cette attaque ell' se dérobe;
Et pour savoir c' qui la chatouille,
Derrièr' son dos ell' tripatouille,
Et tomb' sur un' bell' pair' de...gants,
Que l' jeune homme, à la main,
Tenait candidement
5. Alors, n'ayant plus aucun doute
Elle dit à son compagnon d'route
"C'que tu fais là, c'est ridicule
Tu vas trouer mon caracul
Puisqu'à toute fin, 'faut qu'tu m'em...bête
Je m'retrousse, car en d'ssous
L'ouverture est toute faite.
6. Ça prouve qu'à à Paris quand on s'aime,
On peut s' le dire en public même
Les amoureux ne s' font pas d' bile,
A travers tout ils se faufilent,
Qu'on les r'garde ou non, ils s'en...fichent
L'amour ouvre les yeux
Aux gens les plus godiches.
1933, paroles : Louis Hennevé/ musique: Gaston Gabaroche
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- Georges Perec
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Celle-là, je l'adore.NounouOgg a écrit :Idylle souterraine (aka la jeune fille du métro)
Dans le même genre, il y a aussi
Ouvre la fenêtre
(J. Prévost, M. Montier)
qui se chante sur cet air-là.
L'fils du maire de mon pays (oui, oui, oui, oui)
N'est pas l' plus bête du canton (non, non, non, non)
Seules les mauvaises langues, dit-on,
Prétendent qu'il a l'air d'un...
Ouvre la fenêtre qu'on respire un peu
Qu'il a l'air d'un orgueilleux.
Toutes les filles en pincent pour lui (oui, oui, oui, oui)
Mais il n'est pas polisson (non, non, non, non)
Et sans un être un cénobite,
Il n'a qu'une toute petite...
Ouvre la fenêtre qu'on respire un peu
Qu'une petite môme aux yeux bleus.
Il paraît même qu'aujourd'hui, (oui, oui, oui, oui)
Sans qu'elle rougisse d'émotion (non, non, non, non)
À la lisière du village,
Il lui ravit son p...
Ouvre la fenêtre qu'on respire un peu
Son plus innocent aveu.
Elle lui dit : C'est inouï (oui, oui, oui, oui)
Mais je crains ton abandon ! (non, non, non, non)
J'ai peur qu'notr'amour se perde
Il lui répondit : J't'emm...
Ouvre la fenêtre qu'on respire un peu
J't'emmène chez moi si tu veux.
Sitôt arrivés chez lui (oui, oui, oui, oui)
Ils n'eurent plus d'hésitation (non, non, non, non)
Comme il l'embrassait dans l'cou
Elle lui dit : Tirons un...
Ouvre la fenêtre, fait d'plus en plus chaud
Tirons un peu les rideaux.
Aussitôt il obéit (oui, oui, oui, oui)
Il pensa : Ce n' s'ra plus long ! (non, non, non, non)
L'ayant prise sur une chaise
Il lui dit : Faut que j'te...
Ouvre la fenêtre, fait d' plus en plus lourd
Que je te prouve mon amour.
Mais la p'tite soudain comprit : (oui, oui, oui, oui)
N'continue pas d' cette façon ! (non, non, non, non)
Il dit : Je suis convaincu
Qu'tu vas me montrer ton c...
Ouvre la fenêtre, on respire du feu
Ton contentement d'ici peu.
Elle cria : J'm'évanouis (oui, oui, oui, oui)
Je n'me sens pas bien d'aplomb... (non, non, non, non)
- Redress'-toi, v'la qu' tu t'affaisses,
Dit-il, écarte donc les...
Ouvre la fenêtre, je suis tout en eau
Les scrupules de ton cerveau.
Bientôt, l'coeur épanoui, (oui, oui, oui, oui)
Elle avoua : je n' dis plus non ! (non, non, non, non)
De joie mes paupières se mouillent
J' voudrais t'embrasser les...
Ouvre la fenêtre, on étouffe ici
Les deux mains et te dire merci.